“Le sens ou la signification de la vie est de donner à la vie du sens ou de la signification!” Le fameux psychanalyste, Viktor Frankl, fit cette observation excellente il y a un peu plus de 60 ans. J’ajouterais seulement que, sans sens ou signification, l’être humain devient dénué de sens ou de signification! C’est quoi qui serai plus important que le sens? Une personne ne peut pas quitter son lit ou aller chez l’épicier sans l’invocation de processus dans l’esprit humain qui impliquent intimement le sens ou la signification. Comme remarqué par le psychologue social Baumeister: “Chaque personne doit activement construit le sens ou la signification de sa vie …. De tels choix déterminent le sens ou la signification que votre vie va avoir.” (p.3 meaning ) [Bien entendu, du fait qu’il est psychologique social, Baumeister insiste que le sens ou la signification est généralement obtenu, d’une manière ou d’une autre, à travers les “véhicules” sociaux ou culturels]. Beaucoup des “géants” de la psychologie, tels que Carl Jung, Viktor Frankl, Clifford Geertz, Roy Baumeister, Paul Wong, ainsi qu’un grand nombre de psychologies existentiels et positif, ne denient pas qu’un besoin énorme d’avoir du sens ou de la signification est vital et nécessaire pour les êtres humains et l’humanité, et c’est essentiel dans la conscience humaine et le comportement. Le concept central de tous ces fameux personnages est la théorie qui dit que l’être humain est un animal à la recherche de sens.
Viktor Frankl, qui fut un Juif qui a survécu aux atrocités nazies (camps de concentration) et qui fut un pionnier of dans le champ de la psychanalyse et de la psychologie, basa sa théorie psychologique sur le principe que les êtres humains possèdent une « volonté de sens/signification » très puissante: “la recherche du sens et de la signification est la principale motivation dans la vie humaine et ce n’est pas une « rationalisation secondaire de pulsions instinctives. Ce sens est unique et spécifique et par-là on veut dire qu’il doit et peut être satisfait seulement par l’être humain; Alors ça va accomplir une signifiance qui satisfera sa propre volonté de sens.” (p.99 search ) Carl Jung a remarqué, "L’être humain ne peut pas supporter une vie dénuée de sens." Plus tard dans le Zarathustra Seminar (p. 1105) Jung ajouta, "La vie qui ne se surpasse pas est réellement dénuée de sens: ce n’est pas la vraie vie; c’est seulement quand la vie se surpasse elle-même qu’elle a du sens." D’une manière similaire, le biologiste français qui a gagné le Prix Nobel, Francois Jacob insiste que, “Ce que l’être humain recherché, jusqu’à l’étape de l’anxiété, dans ses dieux, dans son art, dans sa science, est du sens et de la signification. Il ne peut pas supporter le vide. Il verse du sens sur les évènements comme il verse du sel sur sa nourriture.”
Le fameux anthropologiste Clifford Geertz a fait une observation remarquablement similaire: "L’impulse nous poussant à donner du sens aux évènements de la vie, de donner de la forme et de l’ordre, est évidemment aussi réelle et urgente que les besoins biologiques qui nous sont plus familiers ." (p.140 – mes italiques) Geertz insiste que l’art et les religions sont, fondamentalement, essentiellement des expressions d’un besoin de sens très puissant qui, comme il l’a remarqué, est une impulse aussi impérative que n’importe quel besoin biologique tel que la faim ou le sexe. Le psychologue important (qui est aussi un auteur), Roy Baumeister, parle d’une “pulsion à comprendre » très persuasive et puissante et d’un besoin de sens qui fut essentiel pour la marche de l’humanité, culturellement et socialement. Baumeister insiste que la culture et la société humaines sont en premier lieu en rapport avec le sens et la signification. Quand vous en venez aux basics, la société et la religion sont substantiellement des structures de fonction formées par du sens. Elles sont des systèmes de sens et de signification.
Paul Wong, un psychologue éminent positif/existentiel déclare sans équivoque : “La recherche du sens est une obligation biologique.” (p. 635 quest ). Le besoin humain d’avoir du sens ne devrait pas être un fait nouveau pour les psychologies du fait que, 2000 années dans le passé, Aristote fut le premier a “officiellement” noter que l’homme est un animal a la recherche de sens sans son observation : “Tous les hommes désirent acquérir la connaissance.” Viktor Frankl a eu un impact profond sur la psychologie existentielle et positive et, en grande partie à cause de son influence, les psychologies existentiels et positifs ont conduit des centaines d’études et d’expérimentés sur le rôle du sens dans la vie et dans la conscience humaine. Ces études ont de manière convaincante montré le rôle important du sens et de la spiritualité dans la vie humaine. Comme cela fut remarqué par un psychologue, “L’attention scientifique croissante à la construction du sens au sein du paysage psychologique, et principalement au sein des deux cadres signifiants de la psychologie positive et existentielle, fournit un sol fertile pour que l’on puisse dialoguer.” (p. 95 positive ) Dans l’anthologie de Wong de plus de 700 pages comprenant 46 psychologues existentiels et positifs, the Human Quest for Meaning , quasiment tous les articles mentionnent au moins le rôle du sens.
Les études des psychologues existentiels et positifs ont montré qu’un sentiment fort de sens conduit à se sentir bien dans sa peau. Sans exception, “les études ont prouvé que quand les gens ont le sentiment que leurs vies ont du sens, ils ont tendance à avoir une vie épanouie (satisfaction dans la vie, bien-être subjectif, bonne santé des sens).” (p. 96 Quest ) Inversement, le sens est réciproquement connecté à la tristesse, aux émotions négatives, à la dépression, à la déprime, aux troubles de stress post-traumatique, à l’anxiété, à l’hostilité, aux comportements antisociaux et aux addictions a la drogue (p. 173-174 Quest ) Les psychologues Gary T. Reker et Paul T. P. Wong, dans un article, disent que “le sens total fonctionne comme un pare-chocs effectif contre le stress de la vie (protégeant la santé, health protecting )et comme un activateur général du bien-être psychologique et de l’amour propre (qui aide à la sante, health promoting ). ( Quest p.443)
Je serais négligeant si je ne mentionnais pas au moins que Roy Baumeister souligne le fait que “le sens” pour une personne peut en réalité être fait de plusieurs sens, constituant essentiellement une conglomération de sens qui guide et forme le comportement et la pensée humaines. En fait, Baumeister insiste que “le sens semble atténuer même des formes basiques de souffrance comme la douleur corporelle” (p.247 meaning ) Pourtant, les académies évitent la pertinence et l’importance du sens et du besoin que la vie ait du sens – ce que je vais démontrer dans cet essai.
Frankl's Disconnect (La déconnexion de Frankl)
Avant de continuer, j’aimerais souligner qu’on ne peut pas comprendre la psychologie sans saisir la réalité de la déconnexion de Frankl ( Frankl’s Disconnect ). Viktor Frankl avait remarqué dans les années 1940 que “l’image par laquelle les sciences individuelles font une description de la réalité sont devenues tellement disparates et différentes l’une de l’autre qu’il est de plus en plus difficile, hélas, d’obtenir une fusion des différentes représentations.” (p. 7 will ) Ce qui veut dire: les différentes disciplines et écoles de pensée en science, et il semble particulièrement en psychologie, sont devenues tellement différentes l’une de l’autre qu’elles se sont transformées en entités déconnectées! La tendance actuelle dans le monde académique semble être la "spécialisation" – ce qui fait que la déconnexion devient pire, produisant un gouffre entre une cinquantaine d’écoles de psychologie.
Frankl et Jung furent contournés par la psychologie dominante, académique et matérialiste (on doit remarquer que le psychologue Bargh fait également référence à la psychologie dominante ou ‘ mainstream ’). Carl Jung et les psychologues existentiels et positifs Pargamente et Mahoney ont remarqué que la psychologie « traditionnelle » a toujours eu une préférence pour les théories basées sur les données physiologiques. Vous vous demandez comment je puisse dire une telle chose. Par curiosité, j’ai acheté cinq manuels d’occasion du genre “Introduction à la psychologie” et aucun d’entre eux n’a mentionné le besoin de trouver du sens à la vie. De fait, Introduction to Psychology du psychologue social Sorenson (considéré comme un des meilleurs psychologues sur la planète) mentionne la notion de sens seulement quand cela concerne prendre des décisions. Etant donné que tous ces grands penseurs de la psychologie parlent de l’importance du sens ainsi que du fait qui va de soi que sans le sens, les humains sont dénués de sens, on viendrait à la conclusion que ça serait le premier chapitre après celui sur les méthodes de recherche.
En plus de ça, je devrais souligner une conversation pertinente avec une Towson University psychology major (« majeure en psychologie de l'Université de Towson » selon Google Translate ) dans son dernier semestre, ce qui m’a donné une vision plus pénétrante sur l’application matérialiste de la psychologie. Parlant avec elle, je lui ai demandée si elle avait entendu parler du “besoin d’avoir du sens” en mentionnant tous les psychologues qui pensaient que cette notion était importante. M………., qui semblait très intelligente, m’a répondu qu’elle n’avait pas entendu parler du “besoin d’avoir du sens”. Elle avait entendu parler des psychologues existentiels et positifs mais seulement en passant et elle ne semblait pas connaitre les travaux de Frankl. Je lui avais donc donné un essai court sur le sens et le besoin d’avoir du sens, et il semble qu’elle l’avait apprécié.
Pour moi, ce “défaut” apparent dans l’éducation des étudiants est très saillante en ce que la psychologie est un enseignement. Parce que nous devenons souvent la manière avec laquelle on se voit et on se considère. Et avec le déclin de la religion, la psychologie est devenue, par défaut, la nouvelle religion ou la nouvelle religiosité. Donc, je considère le manque de concept de sens comme étant une influence importante sur la conscience humaine et que, en conséquence, ça peut créer des problèmes sérieux. Je devrais ajouter que, en partie à cause de ma recherché et en partie à cause de ma conversation avec la Towson University psychology major qu’el semblerait apparent que, en général, il apparait évident que les psychologues existentiels et positifs sont exclus de la psychologie dominante, académique et matérialiste.
Frankl's Disconnect in Spirituality (La déconnexion de Frankl dans la spiritualité)
La déconnexion de Frankl (Frankl's disconnect) est une question très importante dans la science, et particulièrement dans le domaine de la psychologie. Quand il en vient à la spiritualité, ça semble plus frappant, et cela se doit, sans doute, au stigma superstitieux attaché à l’esprit et à la spiritualité. Pargament, dans son article, “ Spirituality: The Search for the Sacred” dit sans équivoque: “pour les pères fondateurs de la psychologie, les phénomènes spirituels étaient des sujets importants qui méritaient une étude psychologique sérieuse. Depuis les débuts du vingtième siècle, cependant, les psychologues ont eu la tendance à (1) ignorer la spiritualité; (2) à considérer la spiritualité comme étant une pathologie; ou (3) à traiter la spiritualité comme étant un processus qui peut être réduit à des fonctions sous-jacentes et basiques.” Je dois ajouter que la notion acceptée quasi-universellement de Clifford Geertz sur la religion laisse l’esprit en dehors de la définition. Quand j’ai montré cela a Brain Hayden, un anthropologiste et un auteur, Hayden était d’accord avec moi que la définition concernant la religion concoctée par Geertz – qui ne fut pas mise en doute pendant 50 ans – n’est pas une vraie définition de ce qu’est la religion. Une grande portion des études de Geertz se concentre sur les rituels spirituels étant donné que la plupart de ses écrits parlaient de la religion. Donc, on peut seulement tirer cette conclusion : le stigma spirituel attaché à la spiritualité et à la religion explique en grande partie pourquoi on a négligé l’esprit et la spiritualité et cette négligence est une grave erreur.
David Wulff, dans son manuel, “ Psychology of Religion” , remarque que Stanley Hall, et ça remonte jusqu’à 1882, avait noté que la plupart des conversions [spirituelles et religieuses] se passent à la période de la puberté …” (p. 42) Edward Osborne Wilson, un biologiste américain contemporain qui est également un théoricien, un naturaliste et un auteur, dans ses écrits, parlait de ses expériences adolescentes de conversion et donnait une description des émotions incroyablement puissantes qui se déroulaient dans son expérience spirituelle et personnelle. Etant donné que les Baptists traditionnels ne croient pas en l’évolution, les convictions scientifiques et biologistes de Wilson furent plus fortes que ce qu’il avait vécu spirituellement durant son adolescence.
C. Daniel Batson (1943 - ), un psychologue social américain, a développé la Quest Orientation scale or measure (échelle ou mesure d'orientation des quêtes) qui se concentre sur les caractéristiques du doute et de l’identité dans les croyances religieuses (qui peut refléter le doute en ce que ses sujets étaient des étudiants) et le fait est que les sujets de ses études étaient des étudiants en école secondaire ou en college. Wulff tire la conclusion qu’un “élément énorme dans Bateson’s quest orientation (l’orientation de quête de Bateson) se déroule souvent comme un état temporaire, principalement chez les adolescents et les jeunes adultes dans leur « vingtaine irrégulière » (p. 238) Aujourd’hui il y a même une publication traitant des expériences spirituelles durant l’enfance.
Non seulement les gens éprouvent des crises spirituelles Durant l’adolescence ou à la mort d’un bien-aimé, mais également durant la crise de la quarantaine. Deux personnes fameuses de l’histoire qui ont eu des crises spirituelles graves durant leur crise de la quarantaine furent le romancier et théologien russe Lev Tolstoï, et le théologien érudit musulman Al Ghazali. En dernier, les grief psychologists (psychologues du deuil) que quand un époux meurt, souvent à la vieillesse, les influences spirituelles peuvent être également très importantes.
En dépit du fait que l’esprit et la spiritualité sont des facteurs lions d’être négligeables dans les cycles de la vie des gens, dans les théories sur l’identité et le soi, il y a un vide énorme quand il en vient à l’esprit et à la spiritualité. Le Handbook of Self and Identity , édité par Mark R. Leary et June Price Tangney, n’a pas une seule référence à l’esprit ou à la spiritualité. Ces éditeurs ou rédacteurs font une description du but de leur livre: “Etant donné les avancées énormes en théorie et en recherché sur le soi durant les quelques dernières décennies, il semble opportun d’assimiler les travaux dans ce domaine en pleine croissance au sein du Handbook of Self and Identity (manuel du soi et de l’identité).” (p. xi) Le Handbook of Self and Identity a plus de 700 pages et est assez complet.
J’ai acheté le Handbook pour m’aider dans ma recherché sur le rôle du sens dans la théorie de la personnalité. Bien que j’admets qu’il me fut en effet utile pour comprendre comment le concept de sens s’applique dans le domaine du soi et de l’identité, il n’y avait MEME PAS UNE SEULE référence à l’esprit ou à la spiritualité dans cette revue globale des théories sur le soi et l’identité. Le “ Handbook of Self and Identity ” dresse la liste de plus de 3,000 psychologues qu’il incorpore dans le texte. Comment se fait-il que pas un des 3000 psychologues ne fasse mention de l’esprit ou de la spiritualité? Donc, quand je parle de psychologie matérialiste, je n’invente rien car je ne fais que parler de la réalité concrète et contemporaine.
La dichotomie entre la psyché et le matérialisme.
Carl Jung s’attaque à ce problème dans une certaine mesure, et ça remonte aux années 1930, quand il dit: "le concept du corps vivant amène une petite quantité un peu plus grande de difficultés dans notre travail d’élucidation (de l’être vivant) que le concept général de la vie, car le corps est une réalité visible et tangible...." mais après il en tire la conclusion que "le corps manque de quelque chose qui en soi-même est nécessaire à la vie, à savoir le facteur psychique." (CW8: 652) Jung croyait que la physiologie et la psyché étaient les deux côtés différents d’une même pièce de monnaie. Jung tire cette autre conclusion: "La science n’a jamais été capable de saisir l’énigme de la vie, que ce soit dans la matière organique ou dans les successions mystérieuses de l’imagerie mentale; en conséquence, nous en sommes encore à la recherche de l’être vivant." (CW8 620) En 1933, Carl Jung remarquait que “La croyance modern dans la supériorité des explications physiques” menait effectivement à l’élimination de tous les aspects métaphysiques et spirituels de la conscience humaine”. De la même façon, les psychologues positifs modernes, Pargamount et Mahoney, font cette observation que "Depuis les débuts du vingtième siècle, ..... Les psychologues ont eu la tendance à traiter la spiritualité comme un processus qui peut être réduit à un sous-jacent de fonctions psychologiques, sociales et physiologiques.”
Dans leur recherche, les psychologues, Baruss et Moore, ont découvert que les croyances concernant la nature de la conscience “sont étroitement liées aux croyances concernant la réalité." ( Transcendent , p. 27) A savoir, la matérialiste vision du monde et la psychologie académique et également matérialiste ont tendance à avoir des vues très étroites et limitées en ce qui concerne la conscience humaine étant donné qu’ils la confinent au seul domaine physiologique et à la mise en marche de neurones dans la cervelle humaine. Tandis que la physique (quantique) s’est éloignée à des années-lumière de ce qu’on pourrait appeler la « physique des boules de billard », la psychologie académique et officielle semble coincée, dans une certaine mesure, dans un équivalent psychotique de la « physique des boules de billard ». Donc, les conclusions de Jung sur le fait que la science has échoué de saisir l’énigme de la vie sont toujours valides aujourd’hui.
En réalité, cette définition très étroite de la conscience détruit toute notion de sens supérieur – qui peut être un facteur saillant dans le fait d’ignorer le sens dans les manuels d’introduction à la psychologie. Bien entendu, cela semble être une conclusion inévitable que sans un sentiment de sens et de signification, les êtres humains sont dénués de sens. En plus de ça, sans sentiment de sens supérieur, une notion refusée d’emblée par un grand nombre de scientifiques académiques (Richard Dawkins par exemple), ça réduit les humains à des animaux animés par une conglomération de besoins et de pulsions physiologiques. Et on a tendance à devenir ce que l’on croit, et on est généralement ce que l’on enseigne. Et si nous croyons que nous sommes seulement des animaux et qu’il n’y a pas de sens à la vie, qu’en reste-t-il de l’espoir? –ce qui pourrait – en partie du moins – expliquer pourquoi les suicides ont eu un 25% d’augmentation depuis 1999, selon le CDC .
Un très bref aperçu de la chronologie historique de la psychologie - en tant que signification du sens
J'ai fait un survol préalable des chronologies de l'histoire de la psychologie. Dans deux frises chronologique ou lignes du temps Carl Jung n’était pas mentionné et Frankl fut seulement mentionné dans une ligne du temps. La psychologie behaviouriste (Watson-Skinner) dirigeait le domaine psychologique dans les années 1940 et la psychologie cognitive devint l’école principale de pensée en psychologie durant les années 1950. Ça ne vaut presque pas la peine de dire que la psychologie montre une préférence qui a tendance à garder les émotions a l’écart et à les ignorer. Les émotions firent leur comeback seulement avec les conclusions des années 1990 du neuroscientifique Antonio Damasio à la suite d’expérimentés qui prouvent que les processus inconscients et les émotions sont jouent un rôle essentiel quand on porte des jugements et quand on prend des décisions. Bien entendu, Jung avait dit que les émotions – et l’inconscient – dominaient les processus dans la conscience et le comportement humain. L’école de « l’inconscient » conduite par le psychologue Bargh déclare maintenant que les processus inconscients sont les maitres quand il en vient à prendre des décisions. La création de la psychologie positive par Seligman fut notée comme étant un évènement remarquable – mais les psychologues existentialistes étaient absents et le sens n’était même pas mentionné en passant. L’essentiel semble que la psychologie officielle et "matérialiste" sont en train de diriger le spectacle depuis qu’on a considéré que William James et le functionalism étaient vieux-jeu et donc n’étaient plus à la mode!
Charles Peck Jr ; traduit par Jean-Marie Avril
De l'auteur : j'ai passé une année scolaire dans Rennes, la France comme un étudiant participant à un échange la voie en arrière en 1968. Comme un étudiant de collège, j'ai été frappé de merveille par la ville de Paris. Il est après tout une incroyablement belle ville fixée avec le sens culturel et le symbolisme. Je devrais noter que mon Grand Oncle Allen Peck était parmi les premiers Américains à recruter dans la Première Guerre mondiale avec l'escadron de bagarreur légendaire, le Lafayette Escadrille. Aussi, Mon Grand-père Albert Murphy, sur le côté de ma mère, s'est battu avec les Canadiens à l'Arête Vimy dans la Première Guerre mondiale, aussi. Cette offensive Alliée était une de peu d'offensives qui a réussi pendant la Première Guerre mondiale. Enfin, je dirais en passant que mon Arrière-grand-père Arthur Murphy a exercé les fonctions d'un membre élu sur l'Assemblage Québécois dans Québec français. Ainsi j'ai vraiment quelques racines dans la culture française dans ma vie et parmi mes ancêtres.