Vilbert Vallance a commenté : « Excellent , excellent article ! » Le deuil : rêves de personnes décédées (à partir de 2100 av. J.-C.), expériences spirituelles comme processus adaptatifs : L.W. Easterling, J. Parker, K. Adams, B. Hyde, avec V. Frankl, Neimeyer + J MacPhail, prévoyance de l'enfance-épiphanie + Synthèse-consensus-spirituel-moi : W James, V Frankl, C Jung, E Cayce : La vie est ce que vous en faites Le premier rêve enregistré d'un défunt date de 2100 av. J.-C. en Égypte. « Vers 2100 av. J.-C., un Égyptien nommé Heni écrivit une lettre à son père décédé, lui demandant de l'aider à surmonter ses cauchemars. « La mort, surtout lorsqu’elle revêt le masque de l’absurdité et de l’insignifiance, semble être le défi ultime au « sens de la vie » et les auteurs notent comment Janoff-Bulman et McPherson (1997) se sont concentrés sur « l’expérience » subjective de la douleur qu’ils relient aux « hypothèses brisées » et à une « conscience accrue » de la fragilité de la vie et de la vulnérabilité humaine (Janoff-Bulman & McPherson, 1997, p. 103) » Mort de Dorothy, la matriarche chimpanzée : la mort, une force primordiale « Le 23 septembre 2008, Dorothy, une femelle chimpanzé d'une quarantaine d'années, est décédée d'une insuffisance cardiaque congestive. Figure maternelle et aimée, Dorothy a passé huit ans au Centre de sauvetage des chimpanzés de Sanaga-Yong au Cameroun. Jeremy Berlin, journaliste pour National Geographic, a interviewé la photographe Monica Szczupider, qui travaillait comme bénévole au centre de sauvetage lorsqu'elle a pris cette photo. Derrière l'objectif : les chimpanzés en deuil PAR MARILYN TERRELL National Geographic 28 octobre 2009 Le fait que des chimpanzés se soient rassemblés pour dire adieu à leur matriarche témoigne de la prégnance et de la puissance de l'idée et des émotions liées à la mort. Table des matières I. Introduction A. L'énigme de la vie et de la mort : historiquement, la « mort » a donné naissance à « l'esprit comme force vitale » - symbole et archétype B. « L'homme n'est pas détruit par la souffrance, il est détruit par la souffrance sans signification » - Viktor Frankl C. Rêves et visions du défunt et du deuil D. Plan : Études sur les rêves des défunts et la spiritualité dans le deuil II. Spiritualité et synthèse : l'histoire unique de Jean MacPhail : une enfance prévoyante et une compréhension du monde III. Synthèse-Consensus : Viktor Frankl, Carl Jung, William James + Saslow & Edgar Cayce IV. L'intelligence spirituelle s'articule avec la synthèse-consensus V. Perspective sur la mort, le deuil et les expériences spirituelles en tant que mécanismes adaptatifs 1. Easterling (et al) : « À l’inverse, l’expérience a montré aux professionnels de la pastorale que les individus semblent mieux s’en sortir s’ils peuvent « actualiser » leurs expériences spirituelles en temps de crise. 2. Julie Parker : « Les résultats de cette étude étayent le modèle émergent du deuil selon lequel le maintien de liens continus avec la personne décédée peut être adaptatif. Ils étayent également l'affirmation selon laquelle les systèmes de croyances spirituelles et/ou religieuses sont associés à des résultats adaptatifs du deuil. » 3. Gabriella Kilianova met en lumière les opinions d'un prêtre catholique en Slovaquie. Le prêtre « partait du principe que de tels rêves aident les gens à surmonter la perte de leurs proches ». Cela semble faire partie du folklore pastoral, mais aussi en raison des réflexions et des commentaires du prêtre sur l'au-delà et sur les liens avec les âmes des défunts. 4. Adams et Hyde : « Des études qualitatives ont montré que certains enfants réfléchissent à leurs rêves et y trouvent un sens, certains de ces rêves ayant un impact spirituel ! » 5. Donna Thomas : « Qu’elles soient « positives » ou « négatives », les expériences anormales peuvent catalyser l’auto-guérison chez les enfants et les jeunes. Les enfants acquièrent ainsi une plus grande conscience d’eux-mêmes et un sentiment d’intra-connexion entre eux-mêmes, les autres et le monde. » 6. Étude sur les soins palliatifs : « La plupart des participants [58 % des 278 participants] ont déclaré que leurs rêves étaient soit agréables, soit à la fois agréables et dérangeants... Thèmes de rêve prédominants... souvenirs passés agréables, le défunt exempt de maladie, souvenirs de la maladie du défunt ou de l'heure du décès, le défunt dans l'au-delà semblant à l'aise et en paix, et le défunt communiquant un message. » Addendum I : Spiritualité fructueuse et créative Addendum II : Liste des études sur les rêves des défunts I. Introduction A. L'énigme de la vie et de la mort : historiquement, la « mort » a donné naissance à « l'esprit comme force vitale » - symbole et archétype Carl Gustav Jung (1875 – 1961) était un psychiatre et psychanalyste suisse contemporain de Freud, ainsi que son complice pendant un certain temps. Jung fut, bien sûr, le créateur de son célèbre concept de conscience collective et d’archétypes. Un concept central de la théorie jungienne est l’individuation – le processus de différenciation et de développement du soi tout au long de la vie à partir d’éléments conscients et inconscients. Carl Jung, qui a exploré l’aspect de « l’esprit » en tant que force vitale, a observé : « Le lien entre l’esprit et la vie est l’un de ces problèmes impliquant des facteurs d’une telle complexité que nous devons être sur nos gardes de peur de nous retrouver pris dans le filet des mots dans lequel nous cherchons à enfermer ces grandes énigmes… Le problème a dû commencer à l’aube grise des temps, lorsque quelqu’un a fait la découverte déconcertante que le souffle vivant qui quittait le corps du mourant dans le dernier râle signifiait plus que de l’air en mouvement . » Le lien établi par les premiers humains – ou hominidés – était celui entre l’absence de souffle et l’absence d’une force vitale mystérieuse, inconnaissable et magique. Un aperçu rapide de la perspective de Jung sur « l’esprit » Dans le volume 8 des Œuvres complètes, paragraphe 648 (révisé en 1968), Jung a déclaré : « La vie et l’esprit sont deux puissances ou nécessités entre lesquelles l’homme est placé. L’esprit donne un sens à sa vie et la possibilité de son plus grand développement. Mais la vie est essentielle à l’esprit, car sa vérité n’est rien s’il ne peut pas vivre. » Le mot hébreu « ruach » – le mot lié à l’idée-symbole d’« esprit » – se traduit alternativement par « vent », « respirer » ou « esprit ». En arabe, il existe deux mots pour les mots : esprit, âme ou soi – à savoir, ruH (esprit, âme) et nafs (esprit, âme, soi). Ces deux mots arabes sont également liés aux idées de souffle ou de vent (par exemple, ruH est lié à riH (vent) et nafs à nafas [souffle]). En anglais moderne, le mot « esprit » provient du mot latin spiritus et signifie « esprit, âme, courage ou vigueur ». Cependant, le latin « spiritus » trouve son origine dans le proto-indo-européen peis ou speis, qui signifie « souffler ». Au fur et à mesure de l'évolution du langage, le verbe spirare, « respirer », est devenu la forme latine du mot latin anima, « âme », qui dérive de la racine indo-européenne signifiant « respirer ». De l'autre côté du monde, le mot hindou prana en sanskrit fait référence au « souffle », à la « force vitale » ou au « principe vital » et est considéré comme une énergie cosmique. Les anciens Égyptiens croyaient que l'âme humaine était composée de cinq parties dont « Ka » était l'essence vitale. Le Ka était insufflé à l'être humain à l'instant de la naissance et c'était le « Ka » qui donnait réellement la vie à la personne. De même, dans les langues scandinaves, baltes et slaves, les mots pour « souffle » sont intimement liés aux concepts de « l’esprit ». Par exemple, dans l’ancienne œuvre littéraire germanique, ond est le don du dieu largement vénéré de la mythologie germanique antique, Odin, qui est souvent représenté comme un dieu borgne et à longue barbe brandissant une lance, célèbre pour ses actes valeureux qui remontent à la création originale. Ond, qui est le don métaphorique de l’esprit, se traduit aussi littéralement par « souffle », dont le sens métaphorique, comme dans tant de langues, est « esprit » ou « âme ». Il existe de nombreux autres exemples du lien linguistique répandu entre spirt et souffle. En fin de compte, Carl Jung avait clairement tout à fait raison lorsqu’il affirmait que l’esprit ou la force vitale provenait des premiers humains qui ont compris que lorsqu’une personne cesse de respirer, quelque chose de mystérieux et de puissant se produisait. B. « L'homme n'est pas détruit par la souffrance, il est détruit par la souffrance sans signification » - Viktor Frankl Le Dr Paul Wong, auteur, chercheur et psychologue de renom, souligne que Viktor Frankl, « alors qu’il était incarcéré dans les camps de concentration nazis… a découvert le pouvoir de la logothérapie, qui signifie « guérison par le sens ! » Wong poursuit en disant que « Frankl soutenait que la guérison doit se produire au niveau spirituel et que la pratique médicale doit aborder les questions existentielles de la souffrance et de la mort. « L’homme n’est pas détruit par la souffrance ; il est détruit par la souffrance sans sens » Frankl (1984). » De plus, le Dr Paul Wong déclare que la médecine holistique « met l’accent sur les avantages de l’intégration de la religion/spiritualité dans la vie et la pratique de chacun, tant pour le guérisseur que pour le patient. Lorsque le guérisseur a connu une transformation spirituelle, alors des soins compatissants et spirituels découlent naturellement de l’être intérieur du guérisseur ; un tel échange d’énergie vitale peut faciliter la guérison et la plénitude du patient. » Roy Baumeister souligne le fait que les expériences démontrent effectivement que le sens peut réduire la douleur. C. Rêves et visions des personnes décédées et en deuil Pour comprendre quelque chose, que nous en soyons conscients ou non, il faut choisir un modèle. Nous comprenons ce que nous voyons en le comparant à quelque chose d'autre, quelque chose que nous pensons mieux comprendre. Mais ce avec quoi nous le comparons s'avère avoir une énorme influence sur le résultat. Iain McGilchrist Les études montrent régulièrement qu'entre un tiers et la moitié des gens ont des expériences spirituelles ou spirituelles-psychologiques. Il n'existe pas de chiffres précis sur les types ou catégories d'expériences, mais je soupçonne que les rêves et les visions de personnes décédées figurent probablement parmi les types d'expériences les plus fréquents. Tout d'abord, la mort est une réalité universelle pour l'humanité. Ensuite, la mort et son origine impliquent des émotions très puissantes et primaires. Les rêves de personnes décédées et ceux qui sont liés à la mort de toute autre manière ne sont donc pas rares pendant l'enfance (voir Mallon, 2002 ; Punama¨ki, 1999 ; Siegel et Bulkeley, 1998), en particulier parce que ces rêves peuvent refléter de près les étapes du processus de deuil (Garfield, 1996). Des études qualitatives ont montré que certains enfants réfléchissent à leurs rêves et y trouvent un sens, certains de ces rêves ayant un impact spirituel (Adams, 2003 ; Coles, 1990 ; Siegel et Bulkeley, 1998 (Children's Grief Dreams and the Theory of Spiritual Intelligence : Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University) Le modèle de rêve indigène naturel comparé au modèle matérialiste Le premier rêve enregistré d’un défunt remonte à 2100 avant J.-C. en Égypte. « Vers 2100 avant J.-C., un Égyptien nommé Heni écrivit une lettre à son père décédé, lui demandant de l’aider à surmonter ses cauchemars. Heni décrivit comment, dans ses rêves, Seni, le serviteur de son père décédé, ne cessait de le fixer. Essayant peut-être de soulager sa conscience coupable, Heni fit allusion à la façon dont il avait maltraité Seni, mais affirma qu’il n’était pas le premier à l’avoir maltraité. Heni supplia son père : « Ne le laisse pas me faire du mal. » La lettre de Heni est l’une des premières références aux rêves de l’Égypte ancienne que l’on trouve dans la vingtaine de Lettres aux morts non royales. » Alessandro Casale observe : « Les sociétés indigènes d’Amérique du Nord et du Sud ont des théories et des interprétations du rêve qui révèlent un ordre philosophique sur la nature de l’univers. Ce concept est souvent différent de celui d’autres sociétés non indigènes, comme celles euro-américaines, qui négligent largement le rêve comme étant sans importance dans la réalité de la vie quotidienne. » (Indigenous New Hampshire Collaborative Collective Indigenous Dreams: Prophetic Nature, Spirituality, and Survivance Par Alessandro Casale) D’après mon expérience, il est trop vrai que les sociétés euro-américaines « négligent » les rêves en tant que source d’« intelligence ». L’article sur les rêves antiques des défunts faisait des observations similaires. « Le mot le plus couramment utilisé pour « rêve » dans l’histoire de l’Égypte ancienne était le nom « resut », qui signifie littéralement « éveil ». Les mots égyptiens sont généralement écrits sous la forme d’une combinaison de signes phonétiques, plus un signe ou un classificateur à la fin, indiquant la catégorie du mot… Contrairement à la compréhension moderne de la nature d’un rêve, les Égyptiens ne le considéraient pas comme surgissant de l’intérieur du dormeur, ni comme un phénomène psychologique, ni comme une activité réalisée par un individu. Au contraire, il avait une existence externe objective en dehors de la volonté du rêveur passif. D’une certaine manière, le rêve était perçu comme un espace seuil dont les limites se situaient quelque part entre le monde des vivants et le monde de l’au-delà – un espace qui permettait le contact entre le rêveur et ceux qui habitaient l’au-delà : les dieux, les morts, les démons et les damnés. » Il est très pertinent que la science moderne (par exemple John Bargh) souligne le rôle important du lien entre l’environnement et l’inconscient : Pour appuyer davantage cette notion d’adaptation contextuelle naturelle du comportement d’une personne à l’environnement présent, la recherche cognitive indique que les objets liés à l’action activent plusieurs plans d’action en parallèle et que la production d’action est motivée par une certaine forme de désinhibition sélective. Par exemple, les résultats suggèrent que les stimuli ambiants (par exemple, les marteaux) nous incitent automatiquement à interagir physiquement avec le monde (par exemple, effectuer une prise de force, Tucker & Ellis, 2001) (Bargh Unconscious Mind). En outre, peut-être que l’accent mis sur le « soi » comme indépendant et totalement autonome alimente l’individualisme extrême comme le qualifie David Hay. Enfin, l’idée exagérée et agrandie du soi joue probablement un rôle dans l’épidémie de narcissisme (Twenge). Dans tous les cas, la science moderne a démontré qu’en réalité, il existe une « existence externe objective en dehors de la volonté du rêveur passif » Il n’est pas surprenant que les gens rêvent de leurs pères et mères décédés, mais les psychiatres semblent surpris – du moins dans deux études que j’ai pu lire. J’aime bien parler aux gens. J’ai rencontré Nunzi et Licia – tous deux italiens. Ils ont tous deux raconté des rêves qu’ils avaient faits de leurs pères (ils ont tous deux rêvé de leur père plutôt que de leur mère). Dans leurs rêves, rien n’était « sauvage » ou même vaguement surnaturel – bien qu’ils aient tous deux communiqué qu’ils avaient le sentiment que les esprits-âmes de leurs pères se connectaient à eux. J’ai eu l’impression que le père de Nunzi – dans son rêve – l’aidait à surmonter certaines situations de sa vie. Ce que je veux dire, c’est que pour beaucoup de gens, rêver de leur mère ou de leur père est très naturel. Les premières sociétés humaines décrivaient souvent l’apparition des ancêtres dans les rêves comme des efforts pour aider le rêveur. Mes relations avec les étudiants de Bla’an croient que c’est vrai – et si ce n’est pas littéralement vrai, dans le contexte de la façon dont l’esprit fonctionne, c’est très probablement symboliquement vrai. L’intérêt récent pour les expériences spirituelles semble provenir d’un regain d’intérêt pour les rêves des défunts et la spiritualité dans le deuil, issu de l’école de pensée pastorale en psychologie. Kate Adams et Brendan Hyde affirment que « les rêves des défunts, et ceux qui sont liés à la mort d’une autre manière, ne sont donc pas rares pendant l’enfance… d’autant plus que ces rêves peuvent refléter de près les étapes du processus de deuil ». Dans mes recherches, il existe une différence nette entre les études des « rêves des défunts » menées par les psychologues et celles des psychiatres. Sur les 19 études que j’ai examinées sur les rêves des défunts, les deux études psychiatriques sur les rêves des défunts les ont toutes deux qualifiées d’hallucinations et de délires. Le premier rêve enregistré d’un défunt remonte à l’Égypte en 2100 av. J.-C. Le Dr Neal (JHU) a déclaré qu’elle (et la psychiatrie) n’avait aucune formation ni éducation sur les personnes qui ont des expériences spirituelles. Comme le remarque JE Kennedy, « très peu de recherches » ont été menées sur les personnes qui ont des expériences spirituelles transcendantales. L’APA, qui décrit les expériences spirituelles-psychiques comme des anomalies, est tout aussi mauvaise et parfois pire. L’approche psychanalytique considère que les rêves sont entièrement le reflet des désirs et des instincts intérieurs. « De nombreuses approches freudiennes traditionnelles du traitement ne sont plus en vogue, mais la thérapie psychanalytique moderne continue de jouer un rôle important en psychologie aujourd’hui. » « Eysenck (1952) a livré la critique la plus dommageable de la psychanalyse lorsqu’il a examiné les études sur les résultats thérapeutiques des patients névrosés. Il a constaté qu’environ la moitié d’entre eux se rétablissaient en deux ans. Ce qui était si accablant pour la psychanalyse, c’est que pour des patients similaires qui n’avaient reçu aucun traitement (témoins sur liste d’attente), le chiffre était d’environ les deux tiers. » (https://www.simplypsychology.org/psychoanalysis.html) Perspective personnelle et expériences uniques Personnellement, j’ai fait un certain nombre de rêves qui prédisent l’avenir. Voici quelques points saillants de certains de mes rêves - certains documentés par des courriels, tous avec des interprétations cohérentes et raisonnables : (1) Rêve précognitif sur le « Pakistan et la « guerre nucléaire » - extrait du courriel - 18-01-2019 - un mois plus tard, l'Inde a lancé une attaque contre les djihadistes islamiques en (2) Une perception hybride du rêve : « Tag » précognitif (une action centrale avec un ou deux détails) du terroriste « incel » au Canada fin avril 2018. (3) Rêve sur la Libye (26-02-2019), un mois plus tard, les forces américaines ont quitté la Libye (4) Synchronicité avec l'attaque terroriste musulmane solitaire à Strasbourg, en France - rêve (19-09-20) (5) Rêve de Dudayev (chef tchétchène) - le rêve contenait plusieurs détails correspondant à la mort de Dudayev, le chef tchétchène (6) Bombe de Fredericksburg (civil) Plusieurs détails d'un rêve correspondaient à la mort d'une femme par une bombe. Rappel au Règlement : Il y a trois facteurs à prendre en compte. Le premier est que, comme l’a souligné un chercheur, les scientifiques pouvaient autrefois affirmer que la télépathie et la précognition n’étaient tout simplement pas possibles scientifiquement. Avec les nouvelles révélations de la physique quantique, la physique des « boules de billard » n’est plus un argument valable. Comme l’a observé Niels Bohr, un pionnier de la physique quantique : « Si la mécanique quantique ne vous a pas profondément choqué, vous ne l’avez pas encore comprise. Tout ce que nous appelons réel est fait de choses qui ne peuvent pas être considérées comme réelles. » Deuxièmement, le consensus de synthèse de Viktor Frankl, Carl Jung et William James selon lequel les « expériences spirituelles » et l’esprit créent du sens et un sens de la réalité (ce qui s’applique également aux expériences non spirituelles) s’accorde également sur le fait que des expériences différentes créent des visions du monde différentes. Enfin, le processus de catégorisation est considéré comme un processus essentiel de la conscience humaine et il serait logique que des expériences inhabituelles soient catégorisées comme « inhabituelles ». Rappel au Règlement : Mes rêves ne sont pas si différents du tissage onirique t'boli-bla'an t'nalak – au lieu du dessin t'nalak j'ai – occasionnellement – des aperçus sur les événements politiques. « L'art du tissage chez les T'boli est une tradition spirituelle sacrée. On pense que les dessins arrivent [par les rêves] de Fu Dalu, l'esprit de l'abaca [matière pour le tissu] (p. 214). Le t'nalak, un textile tissé en abaca ou chanvre de Manille, a de nombreuses utilisations traditionnelles pour les T'boli. Le textile peut être utilisé comme dot, comme instrument de sacrifice pour guérir une maladie, comme monnaie d'échange pour le bétail et surtout comme emblème de l'inspiration de la tribu. L'ensemble du processus de tissage T'nalak, de la teinture au tissage, se transmet de génération en génération de parents maternels, ce qui a nécessité une communauté de tissus tissés et de teintures traditionnelles à base de plantes afin de maintenir la tradition du tissage T'nalak. Be Lang Dulay, une artiste nationale, a popularisé le tissage T'nalak avec ses plus de 100 motifs T'nalak différents. Comme l'a souligné Amanda Everett, les concepts philippins de « bayanihan et damay [qui] sont des exemples de partenariat communautaire solide » sont corrélés et liés à la pratique spirituelle traditionnelle du t'nalak - le tissage des rêves. Bayanihan est un mot philippin dérivé du mot bayan qui signifie ville, nation ou communauté. « Bayanihan » signifie littéralement « être un bayan » et est donc utilisé pour désigner un esprit d'unité et de coopération communautaire. » Même le plus bref coup d'œil au festival t'nalak ci-dessous révèle que le t'nalak n'est pas une question de tissu, de vêtements ou de tissage - mais de communauté et d'identité spirituelle. D'un certain point de vue, Be Lang Dulay, l'artiste t'boli t'nalak qui avait 100 idées et conceptions différentes, en avait beaucoup plus que mes idées politiques. De même, mes idées étaient toutes liées à la communauté et au groupe – toutes étant des perceptions de menaces pour le groupe. Rappel au Règlement : Cette perspective est un contrepoids au stéréotype irréaliste de la « boule de cristal » ou aux stéréotypes « magiques » – dans la mesure où elle dépeint de manière réaliste les expériences spirituelles comme des réactions à des stimuli et à des circonstances. Historiquement, le stéréotype de la boule de cristal – selon lequel les gens peuvent voir dans une boule de cristal et voir l’avenir – n’a aucune validité ni réalité et historiquement, ceux qui essaient de faire des prédictions ont des taux d’échec très élevés (Nostradamus, Jean Dixon et dans une certaine mesure Edgar Cayce) Rappel au Règlement : les prophètes sont plus nombreux quand la mort nationale menace . Les prophètes traitaient l’homme, non comme un atome, mais comme une partie d’un organisme social, un membre vivant d’un corps vivant. Guérir ce corps lorsqu’il était malade (Esaïe I : 6), le mettre en garde contre une dissolution prochaine et le ramener sur les sentiers qui conduisent à la perfection en Dieu, telle était leur grande et unique mission (Jérémie 6 : 6). C’est pourquoi ils étaient toujours les plus nombreux lorsque la mort nationale menaçait. Juste avant la chute de Samarie et la chute de Jérusalem, nous les trouvons à l’œuvre en plus grand nombre et avec la plus grande énergie. (LES PROPHÈTES DE L’ANCIEN TESTAMENT EN TANT QUE RÉFORMATEURS SOCIAUX. Par le révérend GEO. STIBITZ,) Huit principaux comportements antisociaux aux États-Unis Sept principaux comportements antisociaux sont apparus depuis (très) environ 2000 : 1. Plus de 400 fusillades dans des écoles, dont 73 pendant trois années consécutives 2. Plus de 610 fusillades de masse au cours des quatre dernières années consécutives 3. augmentation horrible du taux de suicide d’environ 36 % entre 2000 et 2021 (CDC) ; 4. augmentation choquante des agressions physiques contre les enseignants ; 5. augmentation considérable des agressions contre les professionnels de santé ; 6. L'article du Post indique que le rapport du FBI montre un record historique de crimes haineux aux États-Unis - beaucoup d'Asiatiques pour une raison quelconque - avec 896 Philippins se déclarant victimes de crimes haineux aux États-Unis 7. Les homicides volontaires de policiers ont augmenté de façon spectaculaire aux États-Unis ; 8. Bien que cet essai se concentre sur l’Amérique et la société occidentale, l’illustration la plus frappante des comportements antisociaux vient de Chin – avec 90 décès dans des attaques répétées contre des écoles maternelles et élémentaires (attaques au couteau) sur des enfants de 5 à 6 ans – une indication claire d’une influence idéologique sociale 9. Une épidémie de narcissisme dans les pays occidentaux. Cartographie de l'ampleur de l'épidémie de narcissisme : augmentation du narcissisme entre 2002 et 2007 au sein des groupes ethniques Jean M. Twenge, Joshua D. Foster Bien que les facteurs sociologiques soient essentiels, Trump et certains dirigeants politiques et religieux de premier plan sont des modèles de comportements antisociaux et Trump est apparu sur la scène politique vers 2015, lorsque la flambée des fusillades dans les écoles a commencé. Il semble évident que ma situation correspond au modèle de STIBITZ Les rêves – et la vie – sont ce que les gens en font La moitié ou plus de mes amis Facebook sont des poètes. Comme l’a observé Abraham Heschel : « Le prophète est un poète. Son expérience est celle que connaissent les poètes. Ce que les poètes appellent inspiration poétique, les prophètes l’appellent révélation divine. » (p. 482 – 483) Message de Barbara, poète italienne – "Touché mon cher ami poète Charlie ! Vraiment intéressant...Bref, je dis que j'ai une sensibilité particulière à travers les rêves. Ma poésie est née de cela. A l'hôpital ma mère était en train de mourir je rêvais d'elle au petit matin, m'accueillant avec une riche symbolique de signes et de mots. Elle partait avec son frère décédé, heureuse et radieuse, me laissant avec une égale sérénité. Le téléphone a sonné, elle venait de s'envoler. Deux jours plus tard j'ai commencé à écrire, mon âme était remplie de poésie. Et d'autres faits en rêve reliaient ma vie à l'au-delà, j'ai hérité de ce don de ma grand-mère. 🙏🏼⭐😘💖🌹 Ainsi, dans ce sens, les efforts scolaires et académiques pour déterminer « ce qui est » et quantifier la réalité sont comme des chiens qui courent après leur queue car en fin de compte, d'un point de vue fondamental, la vie, les rêves et la spiritualité sont ce que les gens en font. D. Plan : Études sur les rêves des défunts et la spiritualité dans le deuil 1. Easterling (et al) : « À l’inverse, l’expérience a montré aux professionnels de la pastorale que les individus semblent mieux s’en sortir s’ils peuvent « actualiser » leurs expériences spirituelles en temps de crise. 2. Julie Parker : « Les résultats de cette étude étayent le modèle émergent du deuil selon lequel le maintien de liens continus avec la personne décédée peut être adaptatif. Ils étayent également l'affirmation selon laquelle les systèmes de croyances spirituelles et/ou religieuses sont associés à des résultats adaptatifs du deuil. » 3. Gabriella Kilianova met en lumière les opinions d'un prêtre catholique en Slovaquie. Le prêtre « partait du principe que de tels rêves aident les gens à surmonter la perte de leurs proches ». Cela semble faire partie du folklore pastoral, mais aussi en raison des réflexions et des commentaires du prêtre sur l'au-delà et sur les liens avec les âmes des défunts. 4. Adams et Hyde : « Des études qualitatives ont montré que certains enfants réfléchissent à leurs rêves et y trouvent un sens, certains de ces rêves ayant un impact spirituel ! » 5. Donna Thomas : « Qu’elles soient « positives » ou « négatives », les expériences anormales peuvent catalyser l’auto-guérison chez les enfants et les jeunes. Les enfants acquièrent ainsi une plus grande conscience d’eux-mêmes et un sentiment d’intra-connexion entre eux-mêmes, les autres et le monde. » 6. Étude sur les soins palliatifs : « La plupart des participants [58 % des 278 participants] ont déclaré que leurs rêves étaient soit agréables, soit à la fois agréables et dérangeants... Thèmes de rêve prédominants... souvenirs passés agréables, le défunt exempt de maladie, souvenirs de la maladie du défunt ou de l'heure du décès, le défunt dans l'au-delà semblant à l'aise et en paix, et le défunt communiquant un message. » 7. Addendum I – Nouvelle catégorisation des types de spiritualité créatifs-productifs 8. L'addendum II contient une liste abrégée de 11 études sur les rêves des défunts et la détresse spirituelle. Y compris Hong Kong, la Roumanie-Serbie, la Slovaquie, les Philippines, la Corée (pré-moderne), l'Irlande, II. Spiritualité et synthèse : l'histoire unique de Jean MacPhail : une enfance prévoyante et une compréhension du monde Synthèse, interconnectivité et neurosciences de la morale Funk et Gazzanigna observent que : « La moralité est un ensemble de processus émotionnels et cognitifs complexes qui se reflète dans de nombreux domaines du cerveau. Certains d’entre eux sont régulièrement jugés indispensables pour émettre un jugement moral, mais aucun d’entre eux n’est uniquement lié à la moralité… Certaines des émotions traitées sont plus centrales à la moralité que d’autres, mais toutes les émotions contribuent au jugement moral dans des situations contextuelles spécifiques. Les circuits neuronaux des régions cérébrales impliquées dans la moralité se chevauchent avec ceux qui régulent d’autres processus comportementaux. » Les articles sur les neurosciences de la musique font des observations remarquablement similaires – les processus de la musique sont interconnectés avec le langage, le chant, la danse, etc. et se chevauchent avec différents processus comportementaux. Il n’y a absolument aucune raison de s’attendre à quelque chose de différent avec la spiritualité et les processus spirituels. Des études sur des personnes qui ont vécu des expériences spirituelles ou psychiques spirituelles, comme l’observent Park et Paloutzian, révèlent qu’entre un tiers et la moitié des gens ont des expériences spirituelles et psychiques – de tous types et de toutes variétés imaginables. Cela dit, peu d’entre eux en parlent par peur des représailles – ce qui est une crainte raisonnable dans notre civilisation « civilisée ». Fraser Watts note des résultats similaires dans son livre. Park et Paloutzian poursuivent en disant que les études « établissent définitivement la normalité de tels rapports et que les sociologues ont jusqu’à récemment ignoré un phénomène courant ». Ce dernier commentaire est tout à fait vrai. Plusieurs chercheurs qualifient la spiritualité de domaine d’étude « émergent » – bien que la plupart des étudiants pensent que tout a été dit et fait à présent. Une étude a fait référence à la « spiritualité relationnelle » comme à une nouvelle « école de pensée » en psychologie. Français Les auteurs Brendon Hyde et Kate Adams observent : « Les rêves de personnes décédées et ceux qui sont liés à la mort d'une autre manière ne sont donc pas rares pendant l'enfance (voir Mallon, 2002 ; Punamaki, 1999 ; Siegel et Bulkeley, 1998), en particulier étant donné que de tels rêves peuvent refléter de près les étapes du processus de deuil (Garfield, 1996)…. Des rêves comme ceux-ci, qu'un individu peut considérer comme « spirituels », sont souvent importants pour lui en raison de l'impact qu'ils ont sur sa vie. » Le Dr Ingela Visuri, dans son article sur la spiritualité autistique, a observé que la « détresse » peut être une cause sous-jacente. Jean McPhail a également observé que le stress dans ses expériences semble être un facteur important – et bien sûr la « mort » et le deuil seraient un facteur de stress important. Jean MacPhail, ancienne chercheuse en neuropathologie à l'université de Harvard, auteur de A Spiral Life (un bon livre), ainsi qu'une religieuse contemplative du Vedanta, donne également des conférences et écrit des articles et des essais. Lorsque Jean était une très jeune enfant de seulement cinq ans, son monde a été brisé par une expérience traumatisante qui a changé sa vie. Sa mère est sortie un jour d'humeur « féerique » pour ne plus jamais être revue vivante. Jean - plus tard - à l'âge de 14 ans, a écrit dans un poème sa vision de la mort de sa mère à l'âge de 5 ans - dont elle a découvert l'exactitude beaucoup plus tard à 22 ans - mais a continué à synthétiser ses émotions et sa vie brisée dans un poème par excellence de création ou de recréation de sens et de synthèse psychologique et spirituelle. Lorsque j'ai lu son poème pour la première fois, je n'ai pas pleinement réalisé ce qui se passait et je l'ai survolé. Le poème de Jean - à l'âge très tendre de 14 ans était une synthèse remarquable de vision et de « remise en ordre de sa maison ». « Sur la montagne, les ombres Passer et repasser, sur des rochers bleus Et noir, Où se trouve un temple brisé Argenté par la faible lune. Une couronne de boucles bouclées Et un bras tendu, Froid, froid et lourd, Trempé par la rosée de la nuit, Dépourvu de vie et de tristesse. Aucune trace de joie, oui, elle est là --- Silencieux, immobile, véritable bonheur et félicité. Des ailes fugaces apportent les soupirs D'un enfant; Les larmes tombent comme des gouttes de pluie douce Sur des paupières blanches comme du marbre. Une lumière tamisée et jaune Brille dans la ville. L'œil de l'amour et un cœur qui pleure Dans la nuit calme et chaude. Jean, une jeune fille de quatorze ans, commence son poème par une vision d'un « temple brisé, argenté par la faible lune » et une description de sa vision de la mort de sa mère : « Une couronne de boucles et un bras tendu… Dépourvu de vie et de tristesse ». Lorsque Jean a finalement parlé au coroner à l'âge de 23 ans, le coin a dit que sa mère était morte de froid dans le lit d'un ruisseau. Vient ensuite « Des ailes fugaces apportent les soupirs D'un enfant Les larmes tombent comme des gouttes de pluie douce », ce qui est une reconnaissance émotionnelle du fait qu'en tant qu'enfant, elle était impuissante à influencer la situation ainsi que la réalité et la vérité de son chagrin et de sa tristesse. Elle termine le poème par une résolution : « L'œil de l'amour et un cœur pleurent ». En relisant le poème de Jean, il est plutôt évident qu'elle « mettait de l'ordre dans sa maison » - ce qui est cohérent avec le consensus de la synthèse Frankl-James-Jung selon lequel les expériences spirituelles créent du sens et un sens de la réalité. Réflexions et commentaires À la lumière de l’approche de Niemeyer qui considère le deuil comme une reconstruction de sens, ainsi que l’intelligence spirituelle comme une résolution de problèmes, et du consensus de synthèse de Frankl, Jung et William James qui s’accordent généralement sur la fonction du processus de deuil, il devrait être clair que dans le poème de Jean, elle « reconstruit » et restructure sa signification. Il semble donc assez évident que Jean a forgé une nouvelle perspective et une nouvelle vision du monde avec une grâce et une sagesse à la fois troublantes pour une adolescente de quatorze ans. C’était une résolution et une synthèse très touchantes et pleines de compassion – ainsi que réalistes III. Synthèse-Consensus : Viktor Frankl, Carl Jung, William James + Saslow (et al) & Edgar Cayce L’une de mes « réussites » a été d’identifier la synthèse-consensus de Viktor Frankl, Carl Jung et William James. Le Dr Paul Wong l’a identifiée comme une « nouvelle approche intégrative » ! En fait, elle est « nouvelle » – ayant été négligée par la psychologie traditionnelle. En fait, en ce qui concerne la psychologie traditionnelle qui néglige le consensus de synthèse – dans mes cinq livres sur la psychologie de la religion, ni dans aucune de mes autres recherches ou lectures, je n’ai même pas rencontré le concept de William James de « sens de la réalité » – qui est à mon avis un concept essentiel pour comprendre la spiritualité. En termes simples, le consensus de synthèse a trois caractéristiques : 1. Les expériences spirituelles et la spiritualité créent du sens et un sens de la réalité (modèles) 2. Des expériences différentes créent des visions du monde différentes (tolérance) 3. Les émotions dynamisent les symboles, les abstractions ou les modèles. Carl Jung : « L'esprit donne un sens à sa vie » Carl Jung, psychanalyste et contemporain de Sigmund Freud, n’aurait pas pu être plus clair ni plus concis lorsqu’il a fait cette déclaration simple mais profonde (CW8:643). Jung a observé, dans les Œuvres complètes (CW8: 648 -1968 révisé) que « la vie et l’esprit sont deux puissances ou nécessités entre lesquelles l’homme est placé. L’esprit donne un sens à sa vie et la possibilité de son plus grand développement. Mais la vie est essentielle à l’esprit, car sa vérité n’est rien s’il ne peut pas vivre. » Cela est cohérent avec la conviction fortement exprimée par Jung selon laquelle les expériences ont une influence primordiale sur les croyances des gens – sans aucun doute, les expériences ont également une influence sur les expériences non spirituelles. Jung a déclaré que « du point de vue psychologique, le phénomène de l'esprit, comme tout complexe autonome, apparaît comme une intention de l'inconscient supérieure, ou du moins égale, aux intentions de l'ego. Si nous devons rendre justice à l'essence de ce que nous appelons l'esprit, nous devrions en réalité parler d'une conscience « supérieure » plutôt que de l'inconscient, car le concept d'esprit est tel que nous sommes obligés de le relier à l'idée de supériorité sur la conscience de l'ego. » (dans CW8 : 643) En général, Carl Jung considérait « la psyché » comme « des parties séparées… connectées les unes aux autres… [mais] relativement indépendantes… des « complexes autonomes » » (CW8 582). La vision de Jung sur les processus autonomes séparés s'est avérée relativement juste à la lumière des neurosciences. Edgar Cayce : « Le moi spirituel, c'est la vie ! » Edgar Cayce (1877-1945) était un chef spirituel et un « médium-guérisseur » connu qui a été actif de 1925 à 1945 environ. Edgar Cayce était phénoménal. Il a guéri huit personnes épileptiques à une époque où il n’existait pas de médicaments contre l’épilepsie, et encore moins de remèdes. À quelques reprises, Edgar Cayce a parlé dans des langues dont il n’avait aucune connaissance consciente. Comme le souligne le célèbre parapsychologue Stephan Schwartz, il était un visionnaire à distance avant même que la vision à distance ne soit connue. Edgar Cayce a également souligné l’importance du lien entre l’esprit et la spiritualité. Edgar Cayce a observé : « Le moi spirituel est la vie, l'activité du mental et du physique est celle de l'âme - et donc d'un corps-âme » (lecture Edgar Cayce 3590-2). Gardez les forces mentales en harmonie avec votre moi supérieur et élevez-vous au-dessus des conditions qui assaillent l'esprit, car si nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes à ceux qui dépendent de nous, nous devons avoir un corps en bonne forme physique et un esprit au-dessus du niveau inférieur. Alors, faites-le ! (3991-1) Ainsi, le Maître – en tant qu’esprit – est la voie, le comment, dont on prend conscience par l’application, par la gestion des espoirs, des désirs, de la foi de l’âme elle-même. Car l’esprit appartient au corps et à l’âme, et lorsqu’il est purifié dans la Conscience Christique, il vit comme tel indéfiniment. (3292-1) Saslow, et al : La spiritualité est particulièrement associée à une identité spirituelle , D’après les recherches sur la corrélation entre spiritualité et compassion, Saslow et al. observent : « La spiritualité était particulièrement associée à l’identité spirituelle, aux expériences transcendantes et à la tendance à prier. La religiosité était particulièrement liée au fondamentalisme religieux, à la participation à des services religieux, à la lecture d’un livre sacré et à la tendance à prier… De même, la spiritualité leur permet de se sentir aimants et respectueux envers les autres… d’éprouver davantage d’« amour compatissant » envers les proches et les étrangers (Sprecher et Fehr, 2005),… d’avoir des valeurs universelles… En résumé,… les individus spirituels valorisent la prosocialité [connectivité]… » Viktor Frankl : Le noyau le plus profond de l’être et du sens est le soi spirituel ! Le Dr P. Wong souligne le principe de Viktor Frankl : « Croire que les êtres humains ont un noyau spirituel avec un besoin inné de sens. En d’autres termes, le noyau le plus profond du « moi » est spirituel. C’est cette dimension spirituelle des êtres humains, et pas seulement leur besoin d’information de sens, une quête de compréhension, qui est la source première de la quête de sens. C’est cette insistance spirituelle et motivationnelle sur la quête de sens qui fait de nous des êtres véritablement humains. Nous cherchons du sens parce que nous sommes des êtres spirituels. La volonté de sens est une autre façon de dire que nous avons le besoin spirituel de rechercher la transcendance de soi. » Paul Wong développe les vues de Viktor Frankl sur la nature des processus spirituels ou noétiques (du nous) : Frankl croit que les ressources de la psychologie positive sont enracinées dans un noyau spirituel… Frankl déclare : « La dimension noétique [spirituelle] contient des qualités telles que notre volonté de sens, notre orientation vers un but, nos idées et nos idéaux, notre créativité, notre imagination, notre foi, l'amour qui va au-delà du physique, une conscience au-delà du surmoi, la transcendance de soi, les engagements, la responsabilité, le sens de l'humour et la liberté de choix . » (Fabry 1994 pp.18-19) William James : les expériences spirituelles et religieuses peuvent créer un « sens de la réalité » (p. 48) « Elles [les abstractions (symboles) et les émotions-expériences spirituelles] déterminent notre attitude vitale de manière aussi décisive que l’attitude vitale des amoureux est déterminée par le sens habituel, …… Elles sont convaincantes pour ceux qui les ont comme n’importe quelle expérience sensible directe peut l’être, et elles sont, en règle générale, beaucoup plus convaincantes que les résultats établis par la simple logique…… si vous les avez, et si vous les avez de manière assez forte, il est probable que vous ne pourrez pas vous empêcher de les considérer comme des perceptions authentiques de la vérité, comme des révélations d’une sorte de réalité [je souligne] qu’aucun argument adverse, aussi irréfutable soit-il par vos mots, ne peut expulser de votre croyance » est ce que William James a souligné dans son ouvrage classique de 1902, The Varieties of Religious Experiences. William James poursuit en disant que les expériences spirituelles et religieuses peuvent créer et générer un « sens de la réalité » Commentaire : Ainsi, à la lumière du fait que les expériences spirituelles impliquent souvent des émotions très chargées et tendent également à façonner un sens de la réalité, ainsi que du fait que le deuil est principalement une question d'attachement et d'émotions, il serait logique que les expériences spirituelles dans les processus de deuil puissent remodeler et faciliter la reconstruction du sens essentielle dans les processus de deuil, comme le souligne Neimeyer. Sens de la réalité : Les recherches modernes confirment l’argument de William James sur le « sens de la réalité ». L’« enquête » de David Hay a démontré que « bien que beaucoup de ces expériences [spirituelles] aient été très brèves, elles ont souvent eu un effet spectaculaire sur l’humeur et le bien-être, et les gens s’en souvenaient pour le reste de leur vie ». D’après une étude réalisée auprès de personnes ayant vécu des expériences spirituelles ou spirituelles-psychiques, J. E. Kennedy conclut que ces expériences ont accru leur intérêt et leurs croyances dans les questions spirituelles et leur sentiment de bien-être. Plus précisément, « la majorité des personnes interrogées ont indiqué que les expériences ont entraîné une augmentation de la croyance en la vie après la mort, de la croyance que leur vie est guidée ou surveillée par une force ou un être supérieur, de l’intérêt pour les questions spirituelles ou religieuses, du sentiment de connexion avec les autres, du bonheur, du bien-être, de la confiance, de l’optimisme quant à l’avenir et du sens de la vie. Ils ont également indiqué une diminution de la peur de la mort, de la dépression ou de l’anxiété, de l’isolement et de la solitude, ainsi que de l’inquiétude et des craintes concernant l’avenir ! » D’après mes recherches et mon expérience, il semble que l’ouvrage classique de William James : « Les différentes expériences religieuses » soit exclu du programme des cours de psychologie de premier cycle universitaire. Une étudiante en développement de l’enfant m’a dit qu’elle n’avait jamais entendu parler de l’ouvrage classique de William James. J’ai mentionné que c’était injuste, car William James avait observé que des expériences différentes créaient des visions du monde différentes – ce qui montre une compréhension tolérante. Elle a répondu que c’était dommage – c’est comme ça ! À mon avis, la plupart des diplômés des universités américaines – en plus de n’avoir aucune formation ou éducation en expériences spirituelles (bien sûr, le Dr Stacey Neal (JHU) a déclaré qu’elle n’avait pas non plus de formation ou d’éducation) sont beaucoup trop attachés à la vision matérialiste du monde – à mon avis. Malheureusement, il y a beaucoup de vérité dans ce que dit McGilChrist : « Et cela signifie que nous devrions être sceptiques à juste titre face à la vision de l’hémisphère gauche d’un monde mécaniste, d’une société atomisée, d’un monde dans lequel la concurrence est plus importante que la collaboration ; un monde dans lequel la nature est un amas de ressources à exploiter, dans lequel seuls les humains comptent, et pourtant les humains ne sont que des machines – pas même de très bonnes machines, d’ailleurs ; un monde curieusement dépouillé de profondeur, de couleur et de valeur. Ce n’est pas la vision intelligente, bien que dure, que ses partisans se rassurent en faisant croire qu’elle est ; c’est juste un fantasme stérile, le produit d’un manque d’imagination, qui nous permet de manipuler plus facilement ce que nous ne comprenons plus. Mais c’est un fantasme qui déplace et rend inaccessible le monde vibrant, vivant et profondément créatif dont nous avons eu la chance d’hériter – jusqu’à ce que nous dilapidions notre héritage. » ― Iain McGilchrist, Le Maître et son émissaire : le cerveau divisé et la formation du monde occidental Pour moi, la psychologie et la psychiatrie – telles qu’elles sont – sont une menace pour mon bien-être – pas seulement une « absence de compréhension » – mais hostiles et trop souvent haineuses lorsqu’il s’agit de spiritualité. IV. L'intelligence spirituelle s'intègre dans la synthèse-consensus SPIRITUALITÉ, INTELLIGENCE SPIRITUELLE ET RÊVES La spiritualité est une prédisposition humaine naturelle (par exemple, Hay et Nye, 2006 ; O'Murchu, 1997, 2000). Elle est plus fondamentale que la religion institutionnelle (James, 1901/1977 ; Maslow, 1970 ; Tacey, 2000) et concerne le sentiment de connexion d'une personne avec soi-même, les autres et le monde (ou le cosmos). Pour certaines personnes, la connexion avec une dimension transcendante fait partie de la spiritualité (Bosacki, 2001 ; Elton-Chalcraft, 2002 ; Fisher, 1999 ; Hyde, 2004 ; Tacey, 2003). Hay et Nye (2006) soutiennent que la spiritualité implique une conscience profonde de la relation que l'on entretient avec soi-même et avec tout ce qui est autre que soi. Il est possible de concevoir la spiritualité comme une forme d’intelligence (Emmons, 1999, 2000 ; Hyde, 2003, 2004 ; Kwilecki, 2000 ; Zohar et Marshall, 2000). L’une des caractéristiques de l’intelligence est la capacité à résoudre des problèmes (Ruzgis et Grigorenko, 1994 ; Walters et Gardner, 1986). Zohar et Marshall (2000) définissent l’intelligence spirituelle comme l’aptitude mentale utilisée par les êtres humains pour aborder et trouver des solutions aux problèmes de sens et de valeur dans la vie. En s’appuyant sur le discours découlant des théories de la motivation et de la personnalité, Emmons (1999) suggère en outre que les gens sont capables d’utiliser des ressources spirituelles pour résoudre des problèmes : Le traitement adaptatif de l’information spirituelle fait partie de l’intelligence, et les différences individuelles dans les compétences avec lesquelles ce traitement se produit constituent des caractéristiques essentielles de la personnalité. La spiritualité peut servir de source d'information aux individus et, en fonction de leurs intérêts et de leurs aptitudes, les individus deviennent plus ou moins compétents dans le traitement de cette information (p. 163). (Les rêves de deuil des enfants et la théorie de l'intelligence spirituelle : Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University) « Elle [la spiritualité] est plus primordiale que la religion institutionnelle » FAIT Français La spiritualité est une prédisposition humaine naturelle ! Elle est plus primitive que la religion institutionnelle et concerne le sentiment d'appartenance d'une personne à soi-même, aux autres et au monde ! - K. Bishop Grosseteste U, B Hyde Australian Catholic University Oui, la spiritualité est plus primitive, Anton Killin : « Les plus anciens instruments de musique connus [datent] d'il y a 40 000 ans (40 Kya) » Killin soutient que la genèse de la musique chez les hominidés remonte probablement à 275 000 ans. En fait, j'ai récemment découvert des informations selon lesquelles des flûtes préhistoriques identiques datant d'il y a 30 à 40 000 ans et trouvées en Chine et en Allemagne présentent une similitude remarquable dans leur fabrication. Français À titre d'information [assez folle], je devrais ajouter que « Une vue agrandie de la paroi circulaire de l'un des trous pour les doigts d'une flûte à sept trous de Jia3hu2 [Chine] révèle des similitudes frappantes avec le biseau trouvé dans les trous des flûtes d'Ulm [Allemagne]… [et] un biseau pratiquement identique autour des trous pour les doigts qui indique qu'elles ont dû faire partie de la même tradition ancienne de production d'instruments. » (Prehistoric European And East Asian Flutes, Victor H. Mair) En gros, la distance entre la Chine et l'Allemagne serait de 7223,54 km. ou 4488,5 miles. Comment « un biseau pratiquement identique indiquant la même « tradition » dans des flûtes d'il y a 30 à 40 000 ans séparées par d'énormes distances est une question assez folle. Paradigme du prisme et spiritualité – Énergie provenant du symbolisme spirituel inconscient, mais filtrée et traitée par les régions et processus interconnectés du cerveau. Les gens ont des points de vue différents parce qu'ils filtrent ou traitent les données et les informations différemment. La personnalité, l'éducation, la culture, l'environnement, l'ethnicité et les expériences sont des facteurs déterminants. L’attention sélective – un trait adaptatif évolutif : William James a souligné il y a longtemps que pour prêter attention à quelque chose, il fallait nécessairement « ignorer » ou exclure des informations-stimuli, ce qui « implique un retrait de certaines choses afin de traiter efficacement d’autres ». Les neuroscientifiques Bernhard Hommel (et al) : « Quel est le rapport avec l’attention ? » Quelques phrases après cette célèbre phrase [de William James] que nous avons citée ci-dessus, « l’interaction de l’attention avec un autre stimulus s’accomplit en effet, littéralement, dans le circuit d’approche du tectum rostral. Et bien que ces circuits simples de régulation du comportement interactif puissent sembler très éloignés de la cognition supérieure des humains, ils sont en effet les précurseurs des mécanismes qui contrôlent ce que l’on a appelé « l’attention sélective ». Dans le paradigme du prisme – la métaphore – la lumière de la spiritualité est comparable à la lumière qui pénètre dans un prisme et qui est séparée (filtrée) en différentes longueurs d’onde. Il existe toutes sortes de types de « longueurs d’onde » différentes – des points de vue sur la spiritualité dans la conscience. Une bonne illustration serait la spiritualité autiste – qui, comme le souligne le Dr Visuri, tend à s’exprimer par des expériences sensorielles inexplicables (toucher invisible, etc.). Ce type unique d’expérience spirituelle serait clairement le produit de leur physiologie unique – peut-être même compensatoire de leur faiblesse bien connue en matière de compétences sociales (et de traitement des signaux sociaux) comme un déficit dans le processus de la « théorie de l’esprit » – le « réseau en mode par défaut » qui traite l’intentionnalité. V. Perspectives sur la mort et le deuil et les expériences spirituelles comme mécanismes adaptatifs dans le deuil « La mort, surtout lorsqu’elle revêt le masque de l’absurdité et de l’insignifiance, semble être le défi ultime au « sens de la vie », comme le soulignent les auteurs Janoff-Bulman et McPherson (1997). Janoff-Bulman et McPherson se concentrent sur « l’expérience » subjective de la douleur qu’ils relient aux « hypothèses brisées » et à une « conscience accrue » de la fragilité de la vie et de la vulnérabilité humaine (Janoff-Bulman et McPherson, 1997, p. 103). Cependant, il semblerait que la douleur provienne de la perte de l’attachement, car les attachements sont des liens très émotionnels, et la douleur de la perte amène nécessairement le cerveau à se demander pourquoi il souffre et ce sont ces questions qui « brisent » les hypothèses et la vision du monde. Une question pourrait être de savoir si une recherche de sens est vraiment bonne si vous ne pouvez pas trouver les réponses. Les auteurs soulignent le fait que le deuil a deux côtés. « Certains avantages pour les personnes en deuil sont parfois une résilience améliorée, une plus grande indépendance, une plus grande confiance, une plus grande conscience de la fragilité de la vie, une plus grande empathie et compassion, et de meilleurs résultats interpersonnels. » (p. 37-38) Les auteurs concluent que « donner un sens à la vie est un moyen efficace de faire face uniquement dans les premiers mois de la perte, alors que la recherche d'avantages semble être un meilleur moyen de faire face de manière continue, qui renforce l'adaptation au fil du temps. » (p. 47) Dans leur article, Loss, Grief, And The Search For Significance: Toward A Model Of Meaning Reconstruction in Bereavement, J Gillies et R Neimeyer commencent l’article par : « Les théories constructivistes ont récemment commencé à éclairer la compréhension du deuil, en soulignant le rôle de la construction de sens dans l’adaptation au deuil. » (p. 31) Ce qui est encore plus intéressant, c’est que les auteurs divisent la construction de sens en trois catégories : la construction de sens, la recherche de bénéfices et le changement d’identité. Les relations avec les autres sont des questions centrales dans leur modèle – ce qui est parfaitement logique dans la mesure où l’appartenance et le besoin d’appartenance – comme le note Roy Baumeister – sont des forces très puissantes dans la conscience humaine ! Étant donné que les attachements émotionnels sont un facteur primordial dans la « reconstruction de sens » du deuil – repenser et restructurer votre vie en termes de relations ferait de la reconstruction de sens un excellent objectif pour comprendre et saisir les processus de deuil. J’ai – personnellement – été choqué d’apprendre que certaines personnes souffrent – ce qui peut être extrêmement douloureux pendant littéralement des années. Il semble que certaines personnes ne se remettent jamais de la perte de leur conjoint ou de leur partenaire. Les rêves et les visions des défunts comme mécanismes adaptatifs Préface : Le deuil peut être difficile, parfois très difficile et très douloureux. Je sais que ma mère a eu des difficultés après la mort de mon père. J’ai des relations universitaires qui m’ont dit que fonctionner est beaucoup plus difficile – et douloureux – depuis la mort de son mari. J’ai été assez choquée – pour être honnête – lorsque j’ai réalisé qu’un nombre relativement important de personnes mettent littéralement des années à se rétablir – et souffrent d’angoisse et d’épingle pendant de longues périodes. Et une étude que j’ai lue indiquait que certaines ne se rétablissent jamais du tout. Garder cela à l’esprit devrait rendre la vision de Viktor Frankl plus judicieuse. Comme l’a observé Viktor Frankl, des circonstances extraordinaires génèrent souvent des expériences extraordinaires – et des solutions. 1. Julie S. Parker, Expériences extraordinaires des personnes en deuil et conséquences adaptatives du deuil Julie Parker conclut que « les résultats de cette étude soutiennent le modèle émergent du deuil qui postule que le maintien de liens continus avec le défunt peut être adaptatif. Ils soutiennent également l'affirmation selon laquelle les systèmes de croyances spirituelles et/ou religieuses sont associés à des résultats adaptatifs du deuil. » L'étude de Parker était basée sur « une étude de cas multiples par questionnaire/entretien a été utilisée pour enquêter sur les expériences extraordinaires (EE) rapportées par des personnes en deuil. Son objectif était de décrire les processus de deuil de 12 personnes en deuil qui avaient rapporté des EE………. Parker poursuit en disant que cela s'appliquerait également aux deux conditions cliniquement pathologiques. Parker conclut que des changements cognitifs, émotionnels, spirituels, comportementaux et/ou existentiels positifs étaient liés aux EE de 11 participants. Parce que ces expériences se sont produites dans le contexte du deuil » (Julie S. Parker, Extraordinary Experiences Of The Bereaved And Adaptive Outcome Of Grief) 2. Larry W. Easterling et al Expérience spirituelle, fréquentation de l'église et deuil, Les auteurs (Easterling et al) observent que « l’expérience a montré aux accompagnateurs pastoraux que les individus semblent mieux s’en sortir s’ils peuvent « actualiser » leurs expériences spirituelles en temps de crise. Dans les cas de perte et de deuil, de telles expériences spirituelles peuvent offrir non seulement du réconfort, mais aussi un cadre contextuel de signification pour comprendre la mort selon un certain ensemble de constructions ou de croyances théologiques, informées par ces expériences spirituelles fondamentales . « Les personnes en deuil qui ont fait preuve de niveaux plus élevés d’expérience spirituelle ont montré des niveaux significativement plus faibles d’affects de deuil négatifs en réponse à leur perte. L’activité religieuse, mesurée par la fréquentation régulière de l’église, semble influencer l’adaptation au deuil uniquement dans la mesure où elle est positivement corrélée à l’ expérience spirituelle. » (Expérience spirituelle, fréquentation de l’église et deuil, par Larry W. Easterling, Th. D, Louis A. Gamino, Ph. D., Kenneth W. Sewell, Ph. D., Linda S. Stirman, BSN) 3. Les rêves de deuil des enfants et la théorie de l'intelligence spirituelle : Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University Les rêves des défunts et ceux qui sont liés à la mort d’une autre manière ne sont donc pas rares pendant l’enfance (voir Mallon, 2002 ; Punama¨ki, 1999 ; Siegel et Bulkeley, 1998), d’autant plus que ces rêves peuvent refléter étroitement les étapes du processus de deuil (Garfield, 1996). Des études qualitatives ont montré que certains enfants réfléchissent à leurs rêves et y trouvent un sens, certains de ces rêves ayant un impact spirituel (Adams, 2003 ; Coles, 1990 ; Siegel et Bulkeley, 1998). Si les rêves spirituels peuvent contenir une variété de thèmes, l’un d’entre eux est souvent lié à la mort (Bulkeley, 2000 ; Bulkeley et Bulkley, 2005). Le concept de la mort est celui auquel les enfants sont confrontés lorsqu’ils sont confrontés à des problèmes de mortalité sous une forme ou une autre, généralement par le biais du décès d’un grand-parent ou d’un animal de compagnie. Les rêves de personnes décédées et ceux qui sont liés à la mort d’une autre manière ne sont donc pas rares pendant l’enfance (voir Mallon, 2002). 4. Les rêves comme moyen de communication entre les vivants et les morts Étude de cas ethnographique de Slovaquie - Gabriella Kilianova Gabriela Kilianova présente son étude sur les rêves des défunts en Slovaquie en affirmant que « les rêves concernant des ancêtres décédés, des parents ou des amis disparus représentent une catégorie particulière d’expérience onirique dans les sociétés européennes et non européennes. Les résultats de la recherche ont démontré une fréquence assez élevée de leur apparition. » J'ai inclus une section assez importante sur les opinions d'un prêtre catholique en Slovaquie, en partie parce que le prêtre « supposait que de tels rêves aident les gens à faire face à la perte de leurs proches ». Mais aussi en raison des réflexions et des commentaires du prêtre sur l'au-delà et les liens avec les âmes des défunts. Le prêtre catholique qui a servi pendant mes recherches en 2007 et 2008 était un jeune homme instruit. Il enseignait à la Faculté de théologie de l'Université Comenius de Bratislava et se spécialisait, entre autres, en eschatologie. Il a utilisé ses connaissances scientifiques pendant son mandat. Au cours de la dernière période de recherche, à l'occasion d'un enterrement, il a prononcé un sermon remarquablement intéressant sur l'au-delà et les âmes des morts. Le prêtre tolérait les rêves des paroissiens et faisait référence à l'attitude ouverte actuelle de l'Église envers de tels phénomènes. Selon lui, les Saintes Écritures montrent que Dieu a annoncé sa volonté aux gens dans des rêves à de nombreuses reprises. Parmi plusieurs exemples de tels rêves prophétiques, il a mentionné le rêve de Joseph concernant un ange qui lui annonçait qu'il pouvait rentrer d'Égypte avec sa famille. Le prêtre a supposé que Dieu pouvait utiliser les rêves pour démontrer sa volonté. « Quand quelqu’un lui a raconté un rêve concernant des morts, il l’a considéré avant tout comme un phénomène psychologique naturel. Il a supposé que de tels rêves aident les gens à faire face à la perte de leurs proches. Cependant, lorsque les paroissiens lui ont dit qu’ils rêvaient de morts, il n’a pas automatiquement lié ces rêves à la croyance au purgatoire. Le prêtre n’a pas soutenu l’opinion selon laquelle les âmes des morts pouvaient visiter les vivants et établir un contact avec eux. En revanche, il a supposé qu’il existe un lien entre les vivants et les morts et qu’une communication entre eux est possible. » Enfin, j'ajouterais que l'auteur Gabriela Kilianova a également divisé les rêves des défunts en catégories distinctes. Rêves et visions des défunts – Aperçu Les rêves de personnes décédées existent depuis des milliers d’années, et il n’y a donc aucun doute là-dessus. Il y a donc une certaine « normalité » dans les rêves de personnes décédées. Le premier rêve de personnes décédées enregistré remonte à l’Égypte, avant 750 av. J.-C. Les plus anciens se trouvent dans des lettres aux morts. Dans l’une d’elles, une femme écrit à sa défunte parente, la suppliant d’expulser la douleur de son corps pendant qu’elle regarde le défunt se battre pour elle dans un rêve. Une autre lettre contient ce qui pourrait être le premier cas enregistré d’un rêve d’anxiété causé par une conscience coupable. Ici, un homme écrit à son père décédé pour le supplier d’empêcher un autre homme décédé de le regarder de manière malveillante dans un rêve . (Les visions de divinités étaient exceptionnelles. Rêves de l’Égypte ancienne ancienne par Kasia Szpakowska) Les rêves des défunts seraient une excellente illustration de la « normalité » des expériences spirituelles et psychiques. La mort est une réalité et une force très primitives – et instinctives – dans la conscience humaine et le symbolisme inconscient lié à la mort est sans aucun doute très répandu sous une forme ou une autre dans la conscience humaine. Marion Eggert : Rêver des morts dans la Corée prémoderne (XVIIe-XIXe siècle) À titre d'information, il est important de comprendre que les rêves des défunts se présentent sous différentes variétés et types, et qu'il n'existe pas de rêves monolithiques ou à l'emporte-pièce des défunts. Eggert résume son article et son étude en disant : « Sur cette base, elle utilise des récits de rêves – plus spécifiquement, l’utilisation du motif du rêve dans les textes sacrificiels pour les êtres chers décédés – comme voie pour décrire l’expérience subjective du chagrin et du deuil dans la culture aristocratique coréenne de la dynastie Chosŏn, dans l’espoir que cela puisse fonctionner comme une petite contribution à une meilleure compréhension de la construction de la subjectivité parmi les lettrés confucéens de la Corée Chosŏn... J’ai donc choisi pour cette étude des textes composés pour des rites funéraires et commémoratifs (chemun, chin. jiwen) qui parlent de rêves sur les morts. Dans la pensée occidentale contemporaine, le thème du deuil lui-même a été étroitement lié à l’expérience de soi en tant qu’individualité autonome, à tel point que nous trouvons même des affirmations d’un lien entre « la capacité d’accepter la perte » et « la capacité d’engagement civique ». Eggert a développé quatre catégories différentes pour les rêves. Des études – cachées dans les coulisses et les écoles de pensée décalées – montrent que les rêves et les visions des défunts – sont, sans surprise, fréquents. J’ai trouvé des études sur les rêves des défunts dans de nombreux pays différents, menées par de nombreux chercheurs différents : trois sont les États-Unis, ainsi que Hong Kong, la Slovaquie, les Amérindiens, la Suède, les Philippines, les Coréens, les Roumains-Serbes, et même l’enfance, etc. Un point très important est que j’ai dû rechercher sur Google Scholar non seulement les rêves des défunts, mais aussi par « nationalité » afin de trouver des études sur les rêves des défunts. J’ai trouvé l’étude sur les rêves des défunts à Hong Kong en recherchant sur Google Scholar les rêves chinois des défunts. Le Dr P. Wong a mentionné qu’il connaissait le chercheur de l’étude de Hong Kong. La mort peut être extrêmement effrayante, pour être franc, et terriblement douloureuse pour ceux qui pleurent la disparition d'un être cher. Personnellement, j'ai rencontré plusieurs personnes qui se sont trouvées bizarres ou anormales à cause de leurs rêves de personnes décédées. La plupart de ces rêves n'étaient pas bouleversants, à l'exception peut-être du rêve prémonitoire de Flynn, qui voyait sa mère mourir. Nunzi, Licia et Mirabai ont toutes eu des rêves relativement ordinaires ou « normaux », toutes choses étant données les circonstances étant normales. Comme l'a observé Viktor Frankl, les circonstances extraordinaires ont tendance à générer des expériences extraordinaires – et des solutions. De plus, J.E. Kennedy observe : « Dans une étude sur une technique visant à induire un sentiment de contact avec une personne décédée, 96 % des participants ayant des types de personnalité NF ont rapporté des expériences de contact après la mort, alors que 100 % des participants ayant des types de personnalité ST (sensation, pensée) n'ont pas eu ces expériences (Arcangel, 1997). Il est donc important de noter ici que les études sur la personnalité montrent que l'esprit de certaines personnes filtre les informations différemment - et dans ce cas, les personnalités NF semblent avoir une prédisposition à ressentir un contact avec le défunt. J’ai rencontré une femme, M…. Elle m’a dit qu’elle avait eu des expériences de « fantômes » quand elle était très jeune, mais qu’elle s’en était débarrassée. Elle a cependant ajouté que son frère avait également eu des expériences – et que son frère a encore des visions de fantômes à ce jour. Je lui ai parlé de cette étude et lui ai ajouté que chez certaines personnes, c’est simplement la façon dont leur cerveau est câblé – et que ce n’est pas nécessairement pathologique en soi. À titre d’information, j’ajouterais qu’une étude islandaise sur les expériences psychiques indique que « avoir eu une expérience d’une personne décédée est également courant, ce qui est rapporté par 45 % des femmes et 28 % des hommes (une différence notable entre les sexes). Environ la moitié de ces expériences étaient de nature visuelle, 60 % de ce groupe de répondants ayant rencontré un proche décédé, 39 % un étranger et 4 % leur conjoint décédé. Plus de la moitié ont vécu plus d’une rencontre avec une personne décédée. » AS Muzafer Sherif a souligné que les circonstances du monde réel et les situations de la vie réelle sont essentielles et que l’étude islandaise n’a pas expliqué si le deuil faisait partie de la situation ou de la détresse – ce qui, comme le soutient Jean MacPhail, est pertinent. ([islandais] Expériences psychiques – un tiers de siècle d’intervalle. Deux enquêtes représentatives en Islande. Journal de la Société pour la recherche psychique, 75, 903, 76-90. Janvier 2011 The Journal of the American Society for Psychical Research 75(9ö3):76-90 Erlendur Haraldsson University of Iceland) Lien vers le site Web : https://www.spirittruthandmeaning.com/ Addendum I : Spiritualité fructueuse et créative Contrepoint à la maxime matérialiste « Toute spiritualité est irréelle » Spiritualité avec « contexte du monde réel » (Muzafer Sherif) et pragmatisme de W. James contre « l'adhésion rigide à la quantification arbitraire » matérialiste (McGilChrist) a, Spiritualité de la compassion : « La compassion envers les autres et le soutien social ont une valeur de survie et des bienfaits pour la santé… » (The Oxford Handbook on Compassion : p. 171) b, « Nos résultats montrent que la spiritualité, au-delà de la religiosité, est associée de manière unique à une plus grande compassion et à un altruisme accru envers les étrangers. » (The Social Significance of Spirituality Laura R. Saslow et al), c, « la religiosité et la spiritualité étaient associées positivement à l'amour compatissant à la fois pour les proches (amis, famille) et pour l'humanité (étrangers). » (Amour compatissant......, S. Sprecher 2. Spiritualité musicale Shulkin et Raglan « Notre évolution est étroitement liée à la musique et au corps en tant qu'instrument (par exemple, les applaudissements). La musique, entre autres choses, aide à faciliter les comportements sociaux coopératifs et coordonnés. » « La musique est une partie fondamentale de notre évolution – et fonctionnelle car elle facilite le « contact humain » et notre « moi social » » « D'un point de vue interculturel, à première vue, les comportements « musicaux » impliquent non seulement des sons structurés, mais aussi une action manifeste ; la « musicalité » est une propriété des communautés plutôt que des individus ; et la musique est mutable dans ses significations ou significations spécifiques » (p.1) (Ian Cross) 3. La guérison spirituelle dans la guérison du deuil Easterling et al. observent : « À l’inverse, l’expérience a montré aux soignants pastoraux que les individus semblent mieux s’en sortir s’ils peuvent « actualiser » leurs expériences spirituelles en temps de crise. L’étude de J. Parker « soutient l’affirmation selon laquelle les systèmes de croyances spirituelles et/ou religieuses sont associés à des résultats adaptatifs du deuil. » 4. Normes/spiritualité pro-sociales Kapwa-loob Kapwa et spiritualité relationnelle : K Lagdameo-Santillan « Kapwa est une reconnaissance d'une identité partagée, d'un moi intérieur, partagé avec les autres (c'est-à-dire Reynaldo Ileto, Jeremiah Reyes, Mercado, etc.) + Ubuntu (African - Anglican Tutu) Anam Cara - âme amie (Celtique - âme amie, O'Donohue - théologien irlandais) 5. Spiritualité des enfants Donna Thomas : « Les expériences anormales peuvent catalyser l'auto-guérison chez les enfants et les jeunes. 6. Spiritualité artistique : Robert K. Johnston - 20 % des Américains se tournent vers « les médias, les arts et la culture » comme principaux moyens d'expérience et d'expression spirituelles... » 7. Spiritualité poétique et prophétie - Créativité et transcendance : « Le prophète est un poète. Son expérience est celle que connaissent les poètes. Ce que les poètes appellent inspiration poétique, les prophètes l'appellent révélation divine » - Heschel 8. Tissage de rêve/T'boli-T'nalak – Les rêves comme source d'inspiration divine et de grâce plongeante – l'artiste T'boli, « Be Lang Dulay, une artiste nationale, a popularisé le tissage T'nalak avec ses plus de 100 motifs T'nalak différents. » Tinalak/T'nalak Fiesta Street Parade et Street Dancing pris dans le sud de Cotabato SMRAA, ville de Koronadal pendant le festival T'nalak le 18 juillet 2009. Les couleurs de T'nalak par Louie D. Photography - 3763039917.jpg – Wikimédia 9. Les croyances des chasseurs-cueilleurs de l'Arctique dans les esprits animaux en tant que « relations humaines avec le monde naturel... » dans le contexte du principe d'utilisation pratique de William James 10. Dr. Ingela Visuri : La spiritualité et « Le cas de l'autisme de haut niveau » 11. Études médicales, recherches et méta-analyses - C'est important car, comme le souligne J. E. Kennedy, « très peu de recherches ont été effectuées » [sur les personnes]. Synthèse-Consensus de William James, Viktor Frankl et Carl Jung une question de vie ou de mort. 1) la spiritualité - en particulier les expériences spirituelles - façonnent le « sens de la réalité » des gens - la spiritualité aide [les gens à « donner un sens au monde » 2) des expériences différentes (+ culture, éducation) créent des visions du monde diverses - en particulier dans les expériences spirituelles Addendum II : Liste des études sur les rêves des défunts 1. Les rêves de deuil des enfants et la théorie de l'intelligence spirituelle Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University 2. L'expérience des personnes endeuillées chinoises : une étude préliminaire de la création de sens et du maintien des liens Cecilia LW Chan, Amy YM Chow, Samuel M., Y. Ho, Yenny KY Tsui, Agnes F. Tin, Brenda WK Koo et Elaine WK Koo Centre sur la santé comportementale et Département du travail social et de l'administration sociale, Université de Hong Kong, Hong Kong 3. LES RÊVES COMME MÉTHODE DE COMMUNICATION ENTRE LES VIVANTS ET LES MORTS ÉTUDE DE CAS ETHNOGRAPHIQUE DE SLOVAQUIE - GABRIELA KILIÁNOV Á 4. Santos, Narry F. « Exploration des concepts religieux indigènes philippins de Dieu, de l’âme et de la mort en relation avec le monde spirituel. » Phronesis : A Journal of Asian Theological Seminary 13, no. 2 (2008) : 31-55 5. Expérience spirituelle, fréquentation de l'église et deuil Larry W. Easterling, Th.D. Superviseur de l'ACPE/Conseiller pastoral Scott and White Memorial Hospital 2401 South 31st Street Temple, TX 76508 Kenneth W. Sewell, Ph.D. Directeur du programme de formation en psychologie clinique Université du nord du Texas Denton, TX Louis A. Gamino, Ph.D. Psychologue Scott and White Memorial Hospital 2401 South 31st Street Temple, TX 76508 Linda S. Stirman, BSN Coordinatrice de l'unité d'études cliniques Scott and White Memorial Hospital 2401 South 31st Street Temple, TX 7650 6. (Irlandais) Rêves et deuil Brenda Mallon Conseillère et psychothérapeute TOUT LE MONDE A DES RÊVES et, qu'ils soient agréables ou effrayants, ils peuvent être utilisés dans le cadre des soins de deuil comme point de départ pour aborder les aspects émotionnels de la perte. Les rêves peuvent aider la personne en deuil à accepter l' absence de la personne décédée ou à faire face à des sentiments refoulés ou évités dans la vie éveillée. Pour certains, ils offrent également un « réconfort spirituel ». Travailler avec les rêves est un processus profondément satisfaisant qui peut responsabiliser à la fois le client et le conseiller. Manchester, Royaume-Uni 7. LES RÊVES SUR LES DERNIERS COMME FORME DE COMMUNICATION AVEC L'AUTRE MONDE (Roumanie - Serbie) Résumé : Après l'examen sommatif des rêves sur les défunts comme forme de communication avec l'autre monde recherché jusqu'à présent, avec un accent particulier sur les rêves des défunts, l'auteur examine toute une série de sujets qui sont réalisés dans ce type de récit sur les rêves en se basant sur le matériel de terrain obtenu à différents endroits en Serbie et dans les communautés serbes en Roumanie. 8. Étude islandaise des expériences psychiques : Expériences psychiques – un tiers de siècle d'écart. Deux enquêtes représentatives en Islande. Journal of the Society for Psychical Research, 75, 903, 76-90. Janvier 2011 The Journal of the American Society for Psychical Research 75(9ö3):76-90 Erlendur Haraldsson Université d'Islande L'étude indique que « avoir eu une expérience avec une personne décédée est également courant, ce qui est rapporté par 45 % des femmes et 28 % des hommes (une différence notable entre les sexes). Environ la moitié de ces expériences étaient de nature visuelle, 60 % de ce groupe de répondants ayant rencontré un proche décédé, 39 % un étranger et 4 % leur conjoint décédé. Plus de la moitié ont vécu plus d'une rencontre avec une personne décédée. » J'ai mentionné dans cet essai que les circonstances de la vie des gens sont souvent négligées 9. La détresse spirituelle dans le deuil : évolution d'un programme de recherche Laurie A. Burke * et Robert A. Neimeyer Département de psychologie, Université de Memphis, Memphis, TN 38152, États-Unis ; 10. L'autre côté du suicide : une analyse postmatérialiste des mémoires de l'au-delà par HM Rimke, PhD Je mentionnerais que le suicide induirait probablement de la détresse – plus ! 11. Les esprits des morts dans la vie et la pensée des Saulteaux Auteur(s) : A. Irving Hallowell Source : The Journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, vol. 70, no 1 (1940), pp. 29-51 Publié par : Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland 12. Rêver des morts dans la Corée pré-moderne (XVIIe-XIXe siècle) Marion Eggert p. 43-72 https://doi.org/10.4000/extremeorient.1074 « L’étude culturelle, philologique et historique des rêves, en particulier celle des deux ou trois dernières décennies, a orienté ses efforts de plus en plus intensément vers l’historicisation de l’expérience du rêve. Alors que les études comparatives antérieures des cultures du rêve, souvent sous l’influence de la théorie psychanalytique du rêve, avaient plutôt tendance à rechercher des universaux dans le pouvoir, l’attrait et les fonctions du rêve, la tendance s’est orientée vers la compréhension du rêve comme un phénomène hautement spécifique à la culture, utile pour démêler les grammaires culturelles dans lesquelles se nourrissent les sémantiques divergentes du rêve et dont elles dérivent. Le présent essai s’inscrit dans la même démarche : comprendre la culture à travers la manière dont elle traite les rêves.2 Cependant, plutôt que de chercher à déchiffrer des codes culturels spécifiques exprimés par le discours onirique, il s’appuie sur une compréhension préalable des codes culturels siniques liés aux rêves. Sur cette base, il utilise les récits de rêves – plus précisément l’utilisation du motif du rêve dans les textes sacrificiels pour les êtres chers décédés – comme moyen de décrire l’expérience subjective du deuil et du chagrin dans la culture aristocratique coréenne de la dynastie Chosŏn, dans l’espoir que cela puisse servir de petite contribution à une meilleure compréhension de la construction de la subjectivité parmi les lettrés confucéens de la Corée Chosŏn. Les rêves : la causalité Les rêves : Contenu Rêves de retrouvailles Rêves d'état de mort Message de rêves Rêves d'adieu Processus de deuil et subjectivités du Chosŏn tardif 13. Constructions du deuil familial américano-mexicain après la mort d'un enfant ; une étude exploratoire GERRY DORAN NANCY DOWNING HANSEN Université Fielding 14. L'impact des rêves des personnes décédées sur le deuil : une enquête auprès des soignants en soins palliatifs Scott T. Wright, BA, Christopher W. Kerr, MD, PhD ckerr@palliativecare.org, […], et Debra L. Luczkiewicz, MD+3Voir tous les auteurs et affiliations Volume 31, numéro 2 La plupart des participants ont déclaré que leurs rêves étaient soit agréables, soit à la fois agréables et perturbants, et peu d'entre eux ont déclaré avoir fait des rêves purement perturbants. Les thèmes de rêve les plus fréquents comprenaient des souvenirs ou des expériences passées agréables, le défunt n'était pas malade, des souvenirs de la maladie du défunt ou de l'heure de son décès, le défunt dans l'au-delà semblant à l'aise et en paix, et le défunt communiquant un message. 15. Vers l'au-delà et retour : deuil et rêves des morts chez les Toraja Auteur(s) : Douglas Hollan, Ethos, vol. 23, n° 4, Coping with Bereavement (décembre 1995), pp. 424-436 Wiley au nom de l'American Anthropological Association Les Toraja sont des cultivateurs de riz humide qui vivent dans la région de Sulawesi du Sud, en Indonésie. Bien qu'une majorité de la population soit aujourd'hui chrétienne, certains villageois d'âge moyen et plus âgés adhèrent à la religion traditionnelle, Alukta, qui est une religion de vénération et de propitiation de divers esprits (deata) et d'une figure ancestrale (nene'). Quand on rêve de ce genre [de nos parents décédés], souvent ces rêves sont vrais. Si on rêve qu'il/elle vient avec des légumes pour les cochons, [cela signifie] que nos cochons vont prospérer... De plus, généralement, si nous sommes malades et que nous rêvons que le défunt vient nous apporter de l'eau, nous nous rétablissons rapidement ! Ou par exemple, s'il/elle vient nous apporter une lettre, nous recevrons de l'argent... Oui, j'ai fait plusieurs fois des rêves comme ceux-là. 16. Deuil normal et deuil compliqué chez les réfugiés cambodgiens traumatisés : contexte culturel et rôle central des rêves des morts Devon E. Hinton • Sonith Peou • Siddharth Joshi • Angela Nickerson • Naomi M. Simon
Nagkomento si Vilbert Vallance: «Mahusay , Napakahusay na Artikulo!» Pagdadalamhati: Mga Pangarap ng Namatay (mula 2100 BC), Mga Espirituwal na Karanasan bilang Mga Proseso ng Adaptive: LW Easterling, J Parker, K Adams, B Hyde, w/ V Frankl, Neimeyer + J MacPhail childhood foresight-epiphany + Synthesis-Consensus-spiritual-self: W James, V Frankl, C Jung, E Cayce: Life is what U make of it Ang unang naitalang panaginip ng namatay ay nagmula noong 2100 BC sa Egypt. “Mga 2100 BC, isang Egyptian na lalaki na nagngangalang Heni ang sumulat ng liham sa kanyang namatay na ama, na humihingi ng tulong sa kanyang mga bangungot. "Ang kamatayan, lalo na kapag tinatakpan ito ng kawalang-katuturan at kawalang-kabuluhan, ay tila ang pangwakas na hamon sa "kahulugan ng buhay" at napapansin ng mga may-akda kung paano nakatuon sina Janoff-Bulman at McPherson (1997) sa pansariling "karanasan" ng sakit na nauugnay sa mga "basag na pagpapalagay" at isang "tumaas na kamalayan" sa kahinaan ng buhay at kahinaan ng tao (Janoff-Bulman & McPherson, 1997, p.103) ” Kamatayan ni Dorothy, ang chimpanzee matriarch: Death a primal force "Noong Setyembre 23, 2008, si Dorothy, isang babaeng chimpanzee sa kanyang late 40s, ay namatay sa congestive heart failure. Isang ina at minamahal na pigura, si Dorothy ay gumugol ng walong taon sa Sanaga-Yong Chimpanzee Rescue Center ng Cameroon, kinapanayam ng manunulat ng National Geographic na si Jeremy Berlin ang photographer, si Monica Szczupider, na nagtatrabaho bilang isang boluntaryo sa rescue center nang kunin niya ang larawang ito, Behind the Lens : The Grieving Chimps NI MARILYN TERRELL National Geographic Oktubre 28, 2009 Na Mga Chimpanzee na nagtipon upang magpaalam sa kanilang matriarch ay nagsasabi sa iyo ng kalawakan at kapangyarihan sa ideya at mga damdaming kasangkot sa kamatayan Talaan ng mga Nilalaman I. Panimula A. The Life-Death Enigma: Sa kasaysayan, ang "Kamatayan" ay nagsilang ng "espiritu bilang puwersa ng buhay" - simbolo at archetype B. “Ang tao ay hindi nasisira sa pamamagitan ng pagdurusa; siya ay nawasak sa pamamagitan ng pagdurusa nang walang kahulugan" - Viktor Frankl" C. Mga panaginip at pangitain ng namatay at nagdadalamhati D. Balangkas: Pag-aaral ng mga Pangarap ng namatay at espirituwalidad sa pagdadalamhati II. Ispiritwalidad at Synthesis: Ang Natatanging Kuwento ni Jean MacPhail: Isang Pag-iintindi sa Pagkabata at Pagbibigay-kahulugan sa Mundo III. Synthesis-Consensus: Viktor Frankl, Carl Jung, William James + Saslow at Edgar Cayce IV. Ang Espirituwal na Katalinuhan ay sumasama sa Synthesis-Consensus V. Pananaw sa Kamatayan at pagdadalamhati at mga Espirituwal na Karanasan bilang Mga Mekanismong Adaptive 1. Easterling (et al): “Sa kabaligtaran, ipinakita ng karanasan sa mga pastoral na tagapag-alaga na ang mga indibidwal ay tila mas mahusay na makayanan kung maaari nilang "i-actual" ang kanilang mga espirituwal na karanasan sa mga oras ng krisis. 2. Julie Parker: "Ang mga natuklasan ng pag-aaral na ito ay sumusuporta sa umuusbong na modelo ng kalungkutan na naglalagay na ang pagpapanatili ng patuloy na mga bono sa namatay ay maaaring maging adaptive. Sinusuportahan din nila ang assertion na ang espirituwal at/o relihiyon na mga sistema ng paniniwala ay nauugnay sa mga adaptive na resulta ng kalungkutan ." 3. Itinatampok ni Gabriella Kilianova ang mga pananaw ng isang paring Katoliko sa Slovakia. Ipinapalagay ng pari na ang gayong mga panaginip ay nakakatulong sa mga tao na harapin ang pagkawala ng kanilang mga mahal sa buhay. Iyon ay tila bahagi ng pastoral folklore. Ngunit dahil na rin sa mga pagninilay at komento ng pari tungkol sa kabilang buhay at mga koneksyon sa mga kaluluwang lumisan. 4. Adams at Hyde: "Ang mga pag-aaral ng husay ay nagpakita na ang ilang mga bata ay nagmumuni-muni sa kanilang mga panaginip at nakahanap ng kahulugan sa kanila, na ang ilan sa mga panaginip na ito ay gumagawa ng espirituwal na epekto!" 5. Donna Thomas: “Maaaring 'positibo' o 'negatibo', ang mga maanomalyang karanasan ay maaaring maging sanhi ng pagpapagaling sa sarili para sa mga bata at kabataan. Sa pamamagitan ng mga bata na nakakamit ang higit na kamalayan sa sarili at isang pakiramdam ng intra-connectedness sa pagitan ng sarili, ng iba at ng mundo." 6. Pag-aaral sa hospisyo: “Karamihan sa mga kalahok [58% ng 278 kalahok] ay nag-ulat na ang kanilang mga panaginip ay alinman sa kaaya-aya o parehong kaaya-aya at nakakabagabag,… Laganap na mga tema ng panaginip… masasayang alaala ng nakaraan, ang namatay ay walang sakit, mga alaala ng sakit o oras ng namatay. ng kamatayan, ang namatay sa kabilang buhay ay nagmumukhang komportable at payapa, at ang namatay ay naghahatid ng mensahe.” Addendum I: Mabunga, Malikhaing Ispiritwalidad Addendum II: Listahan ng mga Pag-aaral ng Mga Pangarap ng Namatay I. Panimula A. The Life-Death Enigma: Sa kasaysayan, ipinanganak ng “Death” ang “espiritu bilang puwersa ng buhay” - simbolo at archetype Si Carl Gustav Jung (1875 - 1961) ay isang Swiss psychiatrist at psychoanalyst na kontemporaryo ni Freud, pati na rin ang kanyang confederate sa isang panahon. Si Jung ay, siyempre, ang lumikha ng kanyang sikat na konsepto ng kolektibong kamalayan at archetypes. Ang isang sentral na konsepto sa teorya ng Jungian ay ang indibidwalasyon—ang panghabambuhay na proseso ng pagkita ng kaibhan at pag-unlad ng sarili sa labas ng may kamalayan at walang malay na mga elemento. Si Carl Jung, na nag-explore sa aspeto ng "spirt" gaya ng naobserbahan ng puwersa ng buhay, "Ang koneksyon sa pagitan ng espiritu at buhay ay isa sa mga problemang kinasasangkutan ng mga salik ng napakasalimuot na bagay na dapat tayong mag-ingat na baka tayo mismo ay mahuli sa lambat. ng mga salita kung saan hinahangad nating mahuli ang mga dakilang enigma na ito……. Malamang na nagsimula ang problema sa madilim na bukang-liwayway ng panahon, nang may nakatuklas na ang buhay na hininga na umalis sa katawan ng naghihingalong tao sa huling kalansing ng kamatayan ay nangangahulugan ng higit pa sa hangin na gumagalaw ." Ang koneksyon ng mga unang tao - o hominid - na ginawa ay ang koneksyon sa pagitan ng kawalan ng hininga at ang kawalan ng isang misteryosong hindi alam at mahiwagang puwersa ng buhay. Isang mabilis na pangkalahatang-ideya sa pananaw ni Jung sa “espiritu” Sa Tomo 8 ng Mga Nakolektang Akda, parapo 648 (binagong 1968), sinabi ni Jung: “Ang buhay at espiritu ay dalawang kapangyarihan o mga pangangailangan kung saan inilalagay ang tao. Ang Espiritu ay nagbibigay ng kahulugan sa kanyang buhay, at ang posibilidad ng pinakamalaking pag-unlad nito. Ngunit ang buhay ay mahalaga sa espiritu, dahil ang katotohanan nito ay wala kung hindi ito mabubuhay.” Ang salitang Hebreo na "ruach" - ang salitang konektado sa ideya-simbulo ng "espiritu" ay isinalin bilang "hangin," "huminga," o "espiritu." Sa Arabic, mayroong dalawang salita para sa mga salita: espiritu, kaluluwa o sarili - ibig sabihin, ruH (espiritu, kaluluwa) at nafs (espiritu, kaluluwa, sarili). Ang parehong mga salitang Arabe na ito ay konektado din sa mga ideya ng hininga o hangin (hal. ruH ay konektado sa riH (hangin) at nafs sa nafas [hininga]). Sa modernong Ingles, ang salitang "espiritu" ay nagmula sa salitang Latin, spiritus, at nagbibigay ng kahulugan ng "espiritu, kaluluwa, katapangan, o sigla." Gayunpaman, ang Latin na "spiritus" ay nagmula sa Proto Indo European peis o speis, na nangangahulugang "pumutok." Habang umuunlad ang wika, bumaba ito sa Latin bilang pandiwang spirare, “to breathe.” Ang salitang Latin na anima, “soul,” na nagmula sa salitang-ugat ng Indo-European na nangangahulugang “huminga.” Sa kabilang panig ng mundo, ang salitang Hindu na prana sa Sanskrit, ay tumutukoy sa "hininga," "lakas ng buhay," o "mahalagang prinsipyo" at tinitingnan bilang isang kosmikong enerhiya. Naniniwala ang mga sinaunang Egyptian na ang kaluluwa ng tao ay binubuo ng limang bahagi kung saan ang "Ka" ay ang mahalagang kakanyahan ng Ka ay hiningahan sa isang tao sa sandali ng kapanganakan at ito ay "Ka" na talagang nagbigay buhay sa tao. Gayundin, sa mga wikang Scandinavian, Baltic, at Slavic, ang mga salita para sa "hininga" ay malapit na konektado sa mga konsepto ng "ang espiritu." Halimbawa, sa sinaunang gawaing pampanitikan ng Aleman, ang ond ay regalo ng malawak na iginagalang na diyos ng sinaunang mitolohiyang Aleman, si Odin, na madalas na inilalarawan bilang isang sibat na may isang mata at mahabang balbas na may hawak na diyos na tanyag sa kanyang magiting na mga gawa na nagsimula noong nakaraan. sa orihinal na paglikha ng Ond, na siyang metapora na kaloob ng espiritu, ay literal ding isinasalin bilang "hininga," na ang metapora na kahulugan, tulad ng sa napakaraming wika, ay "espiritu" o "kaluluwa" . huminto sa paghinga, may nangyaring misteryoso at makapangyarihan. B. “Ang tao ay hindi nasisira sa pamamagitan ng pagdurusa; siya ay nawasak sa pamamagitan ng pagdurusa nang walang kahulugan" - Viktor Frankl" Si Dr. Paul Wong, isang kilalang may-akda, mananaliksik, psychologist ay binibigyang-diin na si Viktor Frankl, "Habang nakakulong sa mga Nazi Concentration Camp... natuklasan ang kapangyarihan ng logotherapy, na nangangahulugang, "pagpapagaling sa pamamagitan ng kahulugan!" Sinabi pa ni Wong na "Nanindigan si Frankl na ang pagpapagaling ay kailangang mangyari sa espirituwal na antas at ang medikal na kasanayan ay dapat tumugon sa mga eksistensyal na katanungan ng pagdurusa at kamatayan. “Ang tao ay hindi nasisira sa pamamagitan ng pagdurusa; siya ay nawasak sa pamamagitan ng pagdurusa nang walang kahulugan” Frankl (1984)." Higit pa rito, sinabi ni Dr. Paul Wong na ang Holistic Medicine "ay binibigyang diin ang mga benepisyo ng pagsasama ng relihiyon/espiritwalidad sa buhay at pagsasanay ng isang tao sa parehong manggagamot at pasyente. Kapag ang manggagamot ay nakaranas ng espirituwal na pagbabago, kung gayon ang mahabagin at espirituwal na pangangalaga ay natural na dumadaloy mula sa panloob na pagkatao ng manggagamot; ang gayong pagpapalitan ng enerhiya sa buhay ay maaaring mapadali ang paggaling at pagiging buo sa pasyente." Itinatampok ni Roy Baumeister ang katotohanan na ang mga eksperimento ay aktwal na nagpapakita na ang kahulugan ay maaaring mabawasan ang sakit. C. Mga pangarap at pangitain ng namatay at nagdadalamhati Upang maunawaan ang isang bagay, alam man natin ito o hindi, ay nakasalalay sa pagpili ng isang modelo. Nauunawaan natin ang nakikita natin sa pamamagitan ng paghahambing nito sa ibang bagay, isang bagay na sa tingin natin ay mas naiintindihan natin. Ngunit kung ano ang paghahambing namin ito ay lumalabas na may malaking impluwensya sa kinalabasan. Iain McGilchrist Ang mga pag-aaral ay patuloy na nagpapakita na sa isang lugar sa pagitan ng 1/3 hanggang kalahati ng mga tao ay may espirituwal o espirituwal-psychic na mga karanasan. Walang anumang mahirap na numero sa mga uri o kategorya ng mga karanasan, ngunit pinaghihinalaan ko na ang mga panaginip at pangitain ng namatay ay malamang na kabilang sa mga pinakamadalas na uri ng mga karanasan. Una, ang kamatayan ay isang unibersal na katotohanan sa sangkatauhan. Pangalawa, ang kamatayan at ang mahal ng kamatayan ay nagsasangkot ng napakalakas at pangunahing emosyon. Ang mga panaginip ng namatay, at ang mga may kaugnayan sa kamatayan sa ibang mga paraan, ay hindi karaniwan sa panahon ng pagkabata (tingnan ang Mallon, 2002; Punama¨ki, 1999; Siegel & Bulkeley, 1998) partikular na ibinigay na ang gayong mga panaginip ay malapit na sumasalamin sa mga yugto ng ang proseso ng pagdadalamhati (Garfield, 1996). Ipinakita ng mga kwalitatibong pag-aaral na ang ilang mga bata ay nagmumuni-muni sa kanilang mga panaginip at nakakahanap ng kahulugan sa kanila, na ang ilan sa mga panaginip na ito ay nagdudulot ng espirituwal na epekto (Adams, 2003; Coles, 1990; Siegel & Bulkeley, 1998 (Children's Grief Dreams and the Theory of Spiritual Intelligence). : Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University) Natural na Indigenous dream model kumpara sa materialist model Ang unang naitalang panaginip ng namatay ay nagmula noong 2100 BC sa Egypt. “Mga 2100 BC, isang taga-Ehipto na nagngangalang Heni ang sumulat ng liham sa kanyang namatay na ama, na humihingi ng tulong sa kanyang mga bangungot. Inilarawan ni Heni kung paano sa kanyang mga panaginip si Seni, ang katulong ng kanyang namatay na ama, ay patuloy na nakatitig sa kanya. Marahil ay sinusubukang pawiin ang pagkakonsensiya, binanggit ni Heni kung paano niya minamaltrato si Seni ngunit sinabi niyang hindi siya ang unang nang-abuso sa kanya. Nakiusap si Heni sa kanyang ama: "Huwag mong hayaang saktan niya ako." Ang liham ni Heni ay isa sa pinakamaagang pagtukoy sa mga panaginip sa sinaunang Ehipto na matatagpuan sa 20 o higit pang mga hindi maharlikang Sulat sa mga Patay.” Sinabi ni Alessandro Casale: “Ang mga katutubong lipunan sa Hilaga at Timog Amerika ay may mga teorya at interpretasyon sa panaginip na naghahayag ng isang pilosopikal na kaayusan tungkol sa kalikasan ng uniberso. Ang konseptong ito ay kadalasang naiiba sa iba pang mga lipunang hindi katutubo, tulad ng mga Euro-American, na higit na binabalewala ang pangangarap bilang hindi mahalaga sa realidad ng pang-araw-araw na buhay.” (Indigenous New Hampshire Collaborative Collective Indigenous Dreams: Prophetic Nature, Spirituality, and Survivance Ni Alessandro Casale) Sa aking karanasan, masyadong totoo na ang mga Euro-American na lipunan ay "binalewala" ang mga pangarap bilang pinagmumulan ng "katalinuhan." Ang artikulo sa mga sinaunang panaginip ng namatay ay gumawa ng katulad na mga obserbasyon. "Ang pinakakaraniwang salitang ginagamit para sa "panaginip" sa buong kasaysayan ng Sinaunang Egyptian ay ang pangngalang "resut" na nangangahulugang literal na "paggising." Karaniwang isinusulat ang mga salitang Egyptian bilang kumbinasyon ng mga phonetic sign, kasama ang isang sign o classifier sa dulo, na nagpapahiwatig ng kategorya ng salita… . na nagmumula sa loob ng natutulog, o bilang isang sikolohikal na kababalaghan, o bilang isang aktibidad na ginagawa ng isang indibidwal. Sa halip, mayroon itong layunin na panlabas na pag-iral sa labas ng kalooban ng passive dreamer. Sa isang paraan, ang panaginip ay itinuturing bilang isang threshold space na ang mga hangganan ay nasa isang lugar sa pagitan ng mundo ng mga nabubuhay at ng mundo sa kabilang banda—isa na nagpapahintulot sa pakikipag-ugnayan sa pagitan ng nangangarap at ng mga naninirahan sa kabilang buhay: mga diyos, mga patay, mga demonyo, at ang sumpain.” Napakahalaga na binibigyang-diin ng modernong agham (ie John Bargh) ang makabuluhang papel ng koneksyon sa pagitan ng kapaligiran at ng walang malay: Ang karagdagang pagsuporta sa ideyang ito ng natural na kontekstwal na pag-tune ng pag-uugali ng isang tao sa kasalukuyang kapaligiran, ang pananaliksik na nagbibigay-malay ay nagpapahiwatig na ang mga bagay na nauugnay sa pagkilos. i-activate ang maramihang mga plano ng aksyon nang magkatulad at ang paggawa ng aksyon ay hinihimok ng ilang uri ng selective disinhibition. Halimbawa, iminumungkahi ng mga natuklasan na ang ambient stimuli (hal., mga martilyo) ay awtomatikong nagtatakda sa atin na pisikal na makipag-ugnayan sa mundo (hal., magsagawa ng power grip, Tucker & Ellis, 2001). (Bargh Unconscious Mind) Higit pa rito, marahil ang pagbibigay-diin sa "sarili" bilang independiyente at ganap na nagsasarili na nagpapakain sa sukdulang indibidwalismo tulad ng mga termino ni David Hay. Panghuli, ang labis at pinalaki na ideya ng sarili - malamang na gumaganap ng isang papel sa epidemya ng narcissism (Twenge). Sa anumang kaso, ipinakita ng modernong agham na sa katunayan, mayroong isang "layunin na panlabas na pag-iral sa labas ng kalooban ng passive dreamer" Talagang hindi dapat ikagulat na ang mga tao ay may mga pangarap tungkol sa kanilang mga ama at ina na pumanaw na, ngunit ang mga psychiatrist ay tila nagulat - hindi bababa sa dalawang pag-aaral na nakita ko. Natutuwa akong makipag-usap sa mga tao. Nakasalubong ko sina Nunzi at Licia - parehong Italyano. Pareho silang nagkuwento ng mga panaginip tungkol sa kanilang mga ama (parehong nanaginip tungkol sa kanilang mga ama kaysa sa kanilang mga ina). Sa mga panaginip na kanilang isinalaysay ay walang "ligaw" o kahit na malayuang supernatural - kahit na parehong nakipag-usap na naramdaman nilang ang mga espiritu-kaluluwa ng kanilang mga ama ay kumokonekta sa kanila. Ang pakiramdam ko ay ang ama ni Nunzi - sa kanyang panaginip - ay tinutulungan siyang makayanan ang ilang patuloy na sitwasyon sa kanyang buhay. Ang aking punto ay para sa maraming mga tao na nangangarap ng kanilang mga ina o ama ay napaka natural. Ang mga sinaunang lipunan ng tao ay madalas na naglalarawan sa hitsura ng mga ninuno sa mga panaginip bilang mga pagsisikap na tulungan ang nangangarap. Ang aking mga koneksyon sa estudyante sa Bla'an ay naniniwala na ito ay totoo – at kung hindi literal na totoo, sa konteksto ng paraan ng paggana ng isip na malamang na simbolikong totoo. Ang isang malaking halaga ng kamakailang interes sa mga espirituwal na karanasan ay lumilitaw na nagmula sa muling paglitaw ng interes sa mga panaginip ng namatay at espirituwalidad sa pagdadalamhati mula sa pastoral na paaralan ng pag-iisip sa sikolohiya. Sinabi nina Kate Adams at Brendan Hyde "Ang mga pangarap ng namatay, at ang mga nauugnay sa kamatayan sa ibang mga paraan, ay hindi karaniwan sa panahon ng pagkabata…. partikular na ibinigay na ang gayong mga panaginip ay malapit na sumasalamin sa mga yugto ng proseso ng pagdadalamhati. Sa aking pananaliksik, mayroong isang natatanging pagkakaiba sa pagitan ng mga pag-aaral ng "mga pangarap ng namatay" ng mga psychologist at psychiatrist. Sa 19 na pag-aaral ng mga panaginip ng namatay na sinuri ko ang dalawang psychiatric na pag-aaral sa mga panaginip ng namatay ay parehong may label na mga guni-guni at maling akala. Ang unang naitalang panaginip ng namatay ay nagmula sa Egypt noong 2100 BC. Sinabi ni Dr Neal (JHU) na siya (at psychiatry) ay walang edukasyon o pagsasanay sa mga taong may espirituwal na karanasan. Tulad ng naobserbahan ni JE Kennedy na "napakakaunting pananaliksik" ang ginawa sa mga taong may transendental na espirituwal na mga karanasan. Ang pangunahing APA na naglalarawan ng mga espirituwal-psychic na karanasan bilang mga anomalya ay parehong masama at kung minsan ay mas malala. Ang psychoanalytic na diskarte ay nagtataglay ng pananaw ng mga panaginip na ganap na salamin ng mga panloob na pagnanasa at instincts. "Maraming tradisyonal na Freudian na diskarte sa paggamot ay hindi na pabor, ngunit ang modernong psychoanalytic therapy ay patuloy na gumaganap ng isang mahalagang papel sa sikolohiya ngayon." "Si Eysenck (1952) ay naghatid ng pinaka nakakapinsalang akusasyon ng psychoanalysis nang suriin niya ang mga pag-aaral ng mga therapeutic na resulta para sa mga neurotic na pasyente. Nalaman niya na halos kalahati ang nakabawi sa loob ng dalawang taon. Ang napakasama para sa psychoanalysis ay para sa mga katulad na pasyente na hindi nakatanggap ng anumang paggamot (mga kontrol sa listahan ng paghihintay), ang bilang ay humigit-kumulang dalawang-katlo." (https://www.simplypsychology.org/psychoanalysis.html) Personal na Pananaw at Mga Natatanging Karanasan Sa personal, mayroon akong maraming mga pangarap na hinuhulaan ang hinaharap. Narito ang ilang mga highlight ng ilan sa aking mga pangarap - ang ilan ay nakadokumento sa pamamagitan ng mga email, lahat ay may pare-pareho at makatwirang interpretasyon: (1) Precognitive Dream tungkol sa 'Pakistan at 'Nuclear War' – mula sa email - 1-18-2019 – isang buwan mamaya inilunsad ang India isang pag-atake laban sa mga Islamic Jihadist sa (2) A Hybrid Dream- Perception: Precognitive "Tag" (isang sentral na aksyon na may isa o dalawang detalye) ng "incel" na terorista sa Canada noong huling bahagi ng Abril, 2018. (3) Mangarap tungkol sa Libya (2-26-2019), Makalipas ang isang buwan ay umalis ang mga puwersa ng US sa Libya (4) Pagkakasabay ng Muslim na nag-iisang pag-atake ng terorista sa Strasburg, France na pag-atake - panaginip (9-19) -20) (5) Dudayev (pinuno ng Chechen) Panaginip – may ilang detalye ang panaginip na tumutugma sa pagkamatay ni Dudayev na pinuno ng Chechen (6) Bomba ng Fredericksburg (sibilyan) Ilang detalye ng isang panaginip ang tumugma sa pagkamatay ng isang babae sa pamamagitan ng bomba. Point of order: May tatlong salik na dapat isaalang-alang. Ang una ay - tulad ng itinuro ng isang iskolar - na ang mga siyentipiko ay maaaring sabihin na ang telepathy at precognition ay hindi posible sa siyentipikong paraan. Sa mga bagong paghahayag ng quantum physics, ang pisika ng "billiard ball" ay hindi na isang praktikal na argumento. Gaya ng obserbasyon ni Niels Bohr, isang pioneer ng quantum physics: “Kung hindi ka pa nabigla ng quantum mechanics, hindi mo pa ito naiintindihan. Lahat ng tinatawag nating totoo ay gawa sa mga bagay na hindi maituturing na totoo." Pangalawa ang synthesis-consensus nina Viktor Frankl, Carl Jung, at William James na ang "mga espirituwal na karanasan" at espiritu ay lumilikha ng kahulugan at isang pakiramdam ng realidad (na nalalapat din sa mga hindi espirituwal na karanasan) ay sumasang-ayon din na ang iba't ibang mga karanasan ay lumikha ng iba't ibang pananaw sa mundo. Panghuli ang proseso ng pagkakategorya ay nauunawaan bilang isang mahalagang proseso sa kamalayan ng tao at ito ay magiging dahilan na ang mga hindi pangkaraniwang karanasan ay ikategorya bilang "hindi karaniwan". Point of order: Ang mga pangarap ko ay hindi ganoon kaiba sa t'boli-bla'an t'nalak dream weaving – imbes na t'nalak na disenyo meron ako – paminsan-minsan – insights sa political events. “Ang gawaing paghabi sa mga T'boli ay isang sagradong espirituwal na tradisyon. Ang mga disenyo ay pinaniniwalaang dumating [sa pamamagitan ng mga panaginip] mula sa Fu Dalu, ang diwa ng Abaca [materyal para sa tela] (p.214). Ang T'nalak, isang hinabing tela na gawa sa abaka o abaka ng Maynila, ay maraming tradisyonal na gamit para sa mga T'boli. Ang tela ay maaaring gamitin bilang isang dote, bilang isang instrumento ng sakripisyo upang gamutin ang isang karamdaman, bilang pera sa pakikipagpalitan ng mga hayop at higit sa lahat ang sagisag ng inspirasyon ng tribo. Ang buong proseso ng paghahabi ng T'nalak, mula sa pagtitina hanggang sa paghabi, ay nagmula sa henerasyon hanggang sa henerasyon ng mga kamag-anak ng ina na nangangailangan ng isang komunidad ng mga hinabing tela at tradisyonal na plant based-dying upang mapanatili ang tradisyon ng T'nalak weaving. Pinasikat ni Be Lang Dulay, isang pambansang artista, ang paghabi ng T'nalak sa kanyang mahigit 100 iba't ibang disenyo ng T'nalak. Gaya ng itinampok ni Amanda Everett, ang mga konsepto ng Filipino ng “bayanihan at damay [na] mga halimbawa ng matatag na pakikipagtulungan sa komunidad.” ay nauugnay at konektado sa tradisyunal na espirituwal na kasanayan ng t'nalak - pangarap na paghabi. Ang Bayanihan ay isang salitang Filipino na hango sa salitang bayan na nangangahulugang bayan, bansa, o pamayanan. Ang "Bayanihan" ay literal na nangangahulugang, "pagiging bayan," at sa gayon ay ginagamit upang tumukoy sa diwa ng pagkakaisa at pagtutulungan ng komunidad." Kahit na ang pinakamaikling sulyap sa pagdiriwang ng t'nalak sa ibaba ay nagpapakita na ang t'nalak ay hindi tungkol sa tela, pananamit o paghabi – ngunit tungkol sa pamayanan at espirituwal na pagkakakilanlan. Mula sa isang tiyak na pananaw, kung gayon, si Be Lang Dulay, ang t'boli t'nalak na artista na may 100 iba't ibang pananaw at disenyo ay may higit pa sa aking mga pananaw sa pulitika. Katulad nito, lahat ng aking mga insight ay nauugnay sa komunidad at sa grupo - lahat ay mga pananaw ng mga banta sa grupo. Punto ng pagkakasunud-sunod: Ang pananaw na ito ay isang counterbalance sa "crystal ball" na hindi makatotohanang stereotype o "magic" na mga stereotype - na ito ay realistikong naglalarawan ng mga espirituwal na karanasan bilang mga reaksyon sa stimuli at mga pangyayari. Sa kasaysayan, ang stereotype ng bolang kristal - na makikita ng mga tao ang isang bolang kristal at makita ang hinaharap ay walang bisa o katotohanan at ayon sa kasaysayan - ang mga sumusubok na gumawa ng mga hula para gumawa ng mga hula ay may napakataas na bilang ng mga pagkabigo (Nostradamus, Jean Dixon, at sa isang lawak Edgar Cayce) Point of order: mas marami ang mga propeta kapag nagbabanta ang pambansang kamatayan . ANG mga propeta ay makitungo sa tao, hindi bilang isang atom, kundi bilang isang bahagi ng isang sosyal na organismo, isang buhay na miyembro ng isang buhay na katawan. Ang pagalingin ang katawan na ito kapag may karamdaman (Isa. I:6), upang bigyan ito ng babala laban sa darating na pagkawasak, at ibalik ito sa mga landas na patungo sa pagiging perpekto sa Diyos, ang kanilang dakila at tanging misyon (Jer. 6:6). Kaya naman, palagi silang mas marami kapag nagbabanta ang pambansang kamatayan. Bago ang pagbagsak ng Samaria at ang pagbagsak ng Jerusalem nakita natin silang nagtatrabaho sa pinakamaraming bilang at may pinakamalaking lakas. (ANG MGA PROPETA NG LUMANG TIPAN BILANG MGA SOCIAL REFORMERS. Ni REV. GEO. STIBITZ,) Walong Pangunahing Anti-Social Behavior sa USA Lumitaw ang pitong Pangunahing Anti-Social Behavior mula noong (napaka) halos 2000: 1. Higit sa 400 pamamaril sa paaralan, 73 pamamaril sa paaralan sa loob ng tatlong magkakasunod na taon 2. Higit sa 610 mass shootings sa huling apat na magkakasunod na taon 3. kasuklam-suklam na pagtaas ng rate ng pagpapatiwakal na humigit-kumulang 36% sa pagitan ng 2000–2021 (CDC); 4. nakakagulat na pagtaas ng pisikal na pananakit sa mga guro; 5. malaking pagtaas ng mga pag-atake sa mga manggagawa sa pangangalagang pangkalusugan; 6. Ang post na artikulo ay nagsabi na ang ulat ng FBI ay nagpapakita ng lahat ng oras na mataas sa Hate Crimes sa USA - maraming mga Asian para sa ilang kadahilanan - na may 896 na Pilipino na nag-uulat bilang mga biktima ng mga krimen sa pagkapoot sa USA 7. Ang mga sinadyang pagpatay sa mga pulis ay tumaas nang husto sa USA; 8. Bagama't ang sanaysay na ito ay nakasentro sa America at kanlurang lipunan, ang pinakakapansin-pansing paglalarawan ng mga anti-sosyal na pag-uugali ay nagmula kay Chin - na may 90 na pagkamatay sa paulit-ulit na pag-atake sa kindergarten at elementarya na may mga pag-atake ng kutsilyo) sa 5-6 taong gulang na mga bata - isang malinaw na indikasyon ng isang panlipunang ideolohikal na impluwensya 9. Isang Epidemya sa narcissism sa mga bansa sa kanluran. Pagma-map sa sukat ng epidemya ng narcissism: Pagtaas ng narcissism 2002–2007 sa loob ng mga grupong etniko Jean M. Twenge, Joshua D. Foster Bagama't mahalaga ang mga salik sa sosyolohikal, si Trump at ang ilang kilalang pinuno ng pulitika at relihiyon ay nagmomodelo ng mga antisosyal na pag-uugali at si Trump ay lumitaw sa eksenang Pampulitika halos noong 2015 nang unang lumitaw ang pagtaas ng mga pamamaril sa paaralan. Mukhang madaling nakikita na ang aking sitwasyon ay umaayon sa modelo ng STIBITZ Mga pangarap - at buhay - ang ginagawa ng mga tao sa kanila Kalahati o higit pa sa fb friends ko ay makata. Gaya ng naobserbahan ni Abraham Heschel: “Ang propeta ay isang makata. Ang kanyang karanasan ay kilala ng mga makata. Ang alam ng mga makata bilang inspirasyong patula, tinatawag ng mga propeta na banal na paghahayag. (p. 482 – 483) mensahe mula kay Barbara isang makatang Italyano – "Touché my dear Poet friend Charlie! Talagang kawili-wili...Sa madaling sabi, I have a particular sensitivity through dreams. My poetry is born from this. In hospital my mother was dying I was dreaming of her in the early morning, greeting sa akin na may masaganang simbolismo ng mga palatandaan at mga salita Aalis siya kasama ang kanyang namatay na kapatid, masaya at nagliliwanag, nag-iiwan sa akin ng pantay na katahimikan Lumipad. Makalipas ang dalawang araw nagsimula akong magsulat, napuno ng tula ang aking kaluluwa At iba pang katotohanan sa panaginip ang nag-uugnay sa buhay ko sa kabilang buhay, namana ko ang regalong ito sa aking lola Kaya, sa ganoong kahulugan kung gayon, ang mga pagsisikap sa eskolastiko at akademiko upang matukoy ang "kung ano" at sukatin ang katotohanan ay tulad ng isang aso na hinahabol ang kanilang mga buntot dahil sa dulo mula sa isang pangunahing pananaw - buhay, pangarap, at espirituwalidad ang ginagawa ng mga tao sa kanila. D. Balangkas: Pag-aaral ng mga Pangarap ng namatay at espirituwalidad sa pagdadalamhati 1. Easterling (et al): “Sa kabaligtaran, ipinakita ng karanasan sa mga pastoral na tagapag-alaga na ang mga indibidwal ay tila mas mahusay na makayanan kung maaari nilang "i-actual" ang kanilang mga espirituwal na karanasan sa mga oras ng krisis. 2. Julie Parker: "Ang mga natuklasan ng pag-aaral na ito ay sumusuporta sa umuusbong na modelo ng kalungkutan na naglalagay na ang pagpapanatili ng patuloy na mga bono sa namatay ay maaaring maging adaptive. Sinusuportahan din nila ang assertion na ang espirituwal at/o relihiyon na mga sistema ng paniniwala ay nauugnay sa mga adaptive na resulta ng kalungkutan ." 3. Itinatampok ni Gabriella Kilianova ang mga pananaw ng isang paring Katoliko sa Slovakia. Ipinapalagay ng pari na ang gayong mga panaginip ay nakakatulong sa mga tao na harapin ang pagkawala ng kanilang mga mahal sa buhay. Iyon ay tila bahagi ng pastoral folklore. Ngunit dahil na rin sa mga pagninilay at komento ng pari tungkol sa kabilang buhay at mga koneksyon sa mga kaluluwang lumisan. 4. Adams at Hyde: "Ang mga pag-aaral ng husay ay nagpakita na ang ilang mga bata ay nagmumuni-muni sa kanilang mga panaginip at nakahanap ng kahulugan sa kanila, na ang ilan sa mga panaginip na ito ay gumagawa ng espirituwal na epekto!" 5. Donna Thomas: “Maaaring 'positibo' o 'negatibo', ang mga maanomalyang karanasan ay maaaring maging sanhi ng pagpapagaling sa sarili para sa mga bata at kabataan. Sa pamamagitan ng mga bata na nakakamit ang higit na kamalayan sa sarili at isang pakiramdam ng intra-connectedness sa pagitan ng sarili, ng iba at ng mundo." 6. Pag-aaral sa hospisyo: “Karamihan sa mga kalahok [58% ng 278 kalahok] ay nag-ulat na ang kanilang mga panaginip ay alinman sa kaaya-aya o parehong kaaya-aya at nakakabagabag,… Laganap na mga tema ng panaginip… masasayang alaala ng nakaraan, ang namatay ay walang sakit, mga alaala ng sakit o oras ng namatay. ng kamatayan, ang namatay sa kabilang buhay ay nagmumukhang komportable at payapa, at ang namatay ay naghahatid ng mensahe.” 7. Addendum I – Bagong Kategorya ng Malikhaing-produktibong uri ng Espirituwalidad 8. Addendum II mayroong isang pinaikling listahan ng 11 pag-aaral ng mga pangarap ng namatay at espirituwal na pagkabalisa. Kabilang ang Hong Kong, Romania-Serbia, Slovakia, Pilipinas, Korea (pre-modern), Irish, II. Ispiritwalidad at Synthesis: Ang Natatanging Kuwento ni Jean MacPhail: Isang Pag-iintindi sa Pagkabata at Pagbibigay-kahulugan sa Mundo Synthesis, Interconnectivity at ang Neuroscience of Moral Funk at Gazzanigna na: "Ang moralidad ay isang hanay ng mga kumplikadong emosyonal at nagbibigay-malay na proseso na makikita sa maraming mga domain ng utak. Ang ilan sa mga ito ay paulit-ulit na natagpuan na kailangang-kailangan upang maglabas ng moral na paghuhusga, ngunit wala sa mga ito ang natatanging nauugnay sa moralidad…………Ang ilan sa mga emosyong naproseso ay higit na nakasentro sa moralidad kaysa sa iba, ngunit lahat ng emosyon ay nakakatulong sa moral na paghuhusga. ibinigay na mga tiyak na kontekstwal na sitwasyon. Ang mga neural circuit ng mga rehiyon ng utak na sangkot sa moralidad ay nagsasapawan sa mga kumokontrol sa iba pang mga proseso ng pag-uugali ” Ang mga artikulo sa neuroscience ng musika ay gumagawa ng kapansin-pansing magkatulad na mga obserbasyon – na ang mga proseso ng musika ay magkakaugnay sa wika, pag-awit, pagsasayaw, atbp. at nagsasapawan ng iba't ibang proseso ng pag-uugali . Walang ganap na dahilan upang asahan ang anumang bagay na naiiba sa espirituwalidad at espirituwal na mga proseso. Ang mga pag-aaral ng mga taong may espirituwal o espirituwal-psychic na karanasan gaya ng naobserbahan nina Park at Paloutzian, ay nagpapakita na sa isang lugar sa pagitan ng 1/3 hanggang kalahati ng mga tao ay may espirituwal-psychic na karanasan - ng bawat uri at iba't ibang maiisip. Iyon ay sinabi, hindi marami ang nagsasalita tungkol sa kanila dahil sa takot sa paghihiganti - na isang makatwirang takot sa "sibilisadong" sibilisasyong ito. Binanggit ni Fraser Watts ang mga katulad na resulta sa kanyang aklat. Sinabi nina Park at Paloutzian na ang mga pag-aaral ay tiyak na "nagtatatag ng normalidad ng naturang mga ulat at na hanggang kamakailan lamang ay hindi pinansin ng mga social scientist ang isang karaniwang-phenomena." Totoong totoo ang huling komentong iyon. Tinutukoy ng ilang mananaliksik ang espiritwalidad bilang isang "umuusbong' na larangan ng pag-aaral - kahit na ang karamihan sa mga mag-aaral ay ipinapalagay na ang lahat ay sinabi at nagawa na ngayon. Tinukoy ng isang pag-aaral ang "relational spirituality" bilang isang bagong "school of thought" sa sikolohiya. Ang mga may-akda na sina Brendon Hyde at Kate Adams ay nagsabi: "Ang mga pangarap ng namatay, at ang mga nauugnay sa kamatayan sa ibang mga paraan, ay hindi karaniwan sa panahon ng pagkabata (tingnan ang Mallon, 2002; Punamaki, 1999; Siegel & Bulkeley, 1998) partikular na ibinigay na ang gayong mga panaginip ay malapit na sumasalamin sa mga yugto ng proseso ng pagdadalamhati (Garfield, 1996)…. Ang indibidwal ay maaaring ituring na "espirituwal," ay madalas na mahalaga sa kanila dahil sa epekto na ginawa sa kanilang buhay. Sinabi ni Dr Ingela Visuri sa kanyang artikulo tungkol sa autistic na espirituwalidad na ang "kabalisahan" ay maaaring isang pinagbabatayan na dahilan. . Si Jean MacPhail, ay isang dating fellow sa neuropathology sa Harvard University, may-akda ng A Spiral Life (magandang libro), pati na rin ang isang mapagnilay-nilay na Vedanta madre, nag-lecture din at nagsusulat ng mga artikulo ng sanaysay. Noong si Jean ay isang napakabata na bata na limang taong gulang lamang ang kanyang mundo ay nawasak ng isang traumatikong karanasan sa pagbabago ng buhay. Nag-walk out ang kanyang ina isang araw sa isang 'fey' mood na hindi na muling makitang buhay. Si Jean - nang maglaon - isang edad na 14, ay isinulat sa isang tula ang kanyang pangitain sa pagkamatay ng kanyang ina sa edad na 5 - na natuklasan niyang tumpak nang maglaon sa edad na 22 - ngunit nagpatuloy sa pag-synthesize ng kanyang mga damdamin at sirang buhay sa isang tunay na tula ng kahulugan paglikha o muling paglikha at sikolohikal-espirituwal na synthesis. Noong una kong nabasa ang kanyang tula, hindi ko lubos na napagtanto kung ano ang nangyayari at pinapansin ko ito. Ang tula ni Jean - sa tunay na murang edad na 14 taong gulang ay isang kapansin-pansing synthesis ng pangitain at "pag-aayos ng kanyang bahay." “Sa bundok, mga anino Dumaan at muling dumaan, sa ibabaw ng mga asul na bato At itim, Kung saan matatagpuan ang isang sirang templo Pinilak ng mahinang buwan. Isang korona ng mga curling lock At nakaunat ang isang braso, Malamig, malamig at mabigat, Basang-basa ng hamog ng gabi, Walang buhay at kalungkutan. Walang bahid ng kagalakan, oo, nariyan ito --- Tahimik, tahimik, tunay na kaligayahan at kaligayahan. Ang mabilis na mga pakpak ay nagdadala ng mga buntong-hininga Ng isang bata; Ang mga patak ng luha ay bumagsak bilang mga patak ng banayad na ulan Sa mga talukap ng mata na puti bilang marmol. Isang ilaw ng dim at dilaw Kumikinang sa bayan. Umiiyak ang mata ng pag-ibig at puso Sa tahimik, mainit na gabi." Si Jean, bilang isang labing-apat na taong gulang na batang babae, ay nagsimula sa kanyang tula sa isang pangitain ng isang "sirang templo na Pilak ng mahinang buwan" at isang paglalarawan ng kanyang pangitain sa pagkamatay ng kanyang ina: "Isang korona ng mga curling lock, at isang braso na nakaunat. labas…. Walang buhay at kalungkutan.”. Nang sa wakas ay nakausap ni Jean ang coroner sa edad na 23, sinabi ng kanto na namatay ang kanyang ina sa pagkakalantad sa isang creek bed. Sumunod naman ang “Fleeting wings bring the sighs Of a child Ang mga patak ng luha ay pumapatak gaya ng mga patak ng banayad na ulan” na isang damdaming pagkilala na bilang isang bata ay wala siyang kapangyarihang maimpluwensyahan ang sitwasyon gayundin ang katotohanan at katotohanan ng kanyang dalamhati at kalungkutan. Tinapos niya ang tula sa isang resolusyon: "Ang mata ng pag-ibig at ang puso ay umiiyak." Sa pagrepaso sa tula ni Jean, medyo maliwanag na "iniaayos niya ang kanyang bahay" - na naaayon sa pinagkasunduan ng Frankl-James-Jung Synthesis na ang mga espirituwal na karanasan ay lumilikha ng kahulugan at isang pakiramdam ng katotohanan. Mga Pagninilay at Komentaryo Sa liwanag ng diskarte ni Niemeyer sa pagdadalamhati bilang kahulugang muling pagtatayo gayundin sa Espirituwal na katalinuhan bilang paglutas ng problema gayundin sa synthesis consensus nina Frankl, Jung, at William James na may pangkalahatang kasunduan sa tungkulin ng proseso ng pagdadalamhati, dapat itong maging malinaw. na sa tula ni Jean ay “muling buuin” at muling inayos ang kanyang kahulugan. Kaya, mukhang mas maliwanag na si Jean ay gumawa ng isang bagong pananaw at pananaw sa mundo na may parehong biyaya at karunungan na kakaiba para sa isang labing-apat na taong gulang. Ito ay isang napaka-makabagbag-damdamin at mahabagin na resolusyon at synthesis - pati na rin ang makatotohanan III. Synthesis-Consensus: Viktor Frankl, Carl Jung, William James + Saslow (et al) at Edgar Cayce Ang isang "achievement" ko ay ang pagtukoy ng Synthesis-Consensus nina Viktor Frankl, Carl Jung, at William James. Kinilala ito ni Dr Paul Wong bilang isang "Bagong Integrative Approach!" Ito ay sa katunayan, "bago" - na napapansin ng pangunahing sikolohiya. Sa katunayan, hanggang sa mainstream na sikolohiya na tinatanaw ang synthesis consensus - sa lahat ng lima sa aking Psychology of Religion o sa alinman sa aking iba pang pananaliksik o pagbabasa ay nakilala ko pa ang konsepto ni William James ng "sense of reality" - na sa aking pananaw ay isang kritikal na konsepto sa pag-unawa sa ispiritwalidad. Sa madaling salita, ang synthesis consensus ay may tatlong katangian: 1. Ang mga espirituwal na karanasan at espirituwalidad ay lumilikha ng kahulugan at kahulugan ng realidad (mga modelo) 2. Ang iba't ibang mga karanasan ay lumilikha ng iba't ibang pananaw sa mundo (pagpapahintulot) 3. Ang mga emosyon ay nagpapasigla sa mga simbolo, abstraction, o mga modelo. Carl Jung: "Ang espiritu ay nagbibigay kahulugan sa kanyang [tao] na buhay" Si Carl Jung, isang psychoanalyst at kontemporaryo ni Sigmund Freud, ay hindi maaaring maging mas malinaw o mas maikli noong ginawa niya ang simple ngunit malalim na pahayag na iyon. (CW8:643) Naobserbahan ni Jung, sa Collected Works (CW8: 648 -1968 revised) na “Ang buhay at espiritu ay dalawang kapangyarihan o pangangailangan kung saan inilalagay ang tao. Ang Espiritu ay nagbibigay ng kahulugan sa kanyang buhay, at ang posibilidad ng pinakamalaking pag-unlad nito. Ngunit ang buhay ay mahalaga sa espiritu, dahil ang katotohanan nito ay wala kung hindi ito mabubuhay.” Ito ay naaayon sa malakas na ipinahayag na paniniwala ni Jung na ang mga karanasan ay isang pangunahing impluwensya sa mga paniniwala ng mga tao - walang alinlangan, ang mga karanasan ay may impluwensya rin sa mga hindi espirituwal na karanasan. Sinabi ni Jung na "Mula sa sikolohikal na pananaw ang kababalaghan ng espiritu, tulad ng bawat autonomous complex, ay lumilitaw bilang isang intensyon ng walang malay na nakahihigit sa, o hindi bababa sa isang par sa, ang mga intensyon ng ego. Kung bibigyan natin ng hustisya ang kakanyahan ng bagay na tinatawag nating espiritu, dapat talaga nating pag-usapan ang isang "mas mataas" na kamalayan sa halip na ang walang malay, dahil ang konsepto ng espiritu ay tulad na dapat nating iugnay ito sa ideya ng higit na mataas kaysa sa ego-consciousness." (sa CW8: 643) Sa pangkalahatan ay tiningnan ni Carl Jung ang "psyche" bilang "hiwalay na mga bahagi... konektado sa isa't isa... [ngunit] medyo independyente... "autonomous complexes," (CW8 582) Ang pananaw ni Jung sa hiwalay na mga autonomous na proseso ay naging medyo sa target sa liwanag ng neuroscience. Edgar Cayce: "Ang espirituwal na sarili ay buhay!" Si Edgar Cayce (1877-1945) ay isang dokumentadong espirituwal na pinuno at "psychic - healer" na aktibo mula humigit-kumulang 1925 hanggang 1945. Si Edgar Cayce ay kahanga-hanga. Siya ay nagpagaling ng walong tao sa epilepsy sa isang pagkakataon na walang mga gamot para sa epilepsy, pabayaan ang mga pagpapagaling. Ilang beses, nagsalita si Edgar Cayce sa mga wikang hindi niya nalalaman. Gaya ng itinuturo ng sikat na parapsychologist na si Stephan Schwartz, siya ay malayong tumitingin bago pa man nalaman ang malayuang pagtingin. Binigyang-diin din ni Edgar Cayce ang kahalagahan ng pag-iisip - koneksyon sa espirituwalidad. Sinabi ni Edgar Cayce: "Ang espirituwal na sarili ay buhay, ang aktibidad ng mental at pisikal ay ng kaluluwa - at samakatuwid ay isang kaluluwa-katawan" (Edgar Cayce pagbabasa 3590-2). Panatilihin ang mga puwersa ng pag-iisip na naaayon sa iyong mas mataas na sarili at lumampas sa mga kondisyon na bumabagabag sa isip, dahil kung ibibigay natin ang pinakamahusay sa ating sarili sa mga umaasa sa atin, dapat tayong magkaroon ng pisikal na katawan. anyo at espiritu sa itaas ng mas mababang antas. Kaya, gawin ito! (3991-1) Kaya, ang Guro - bilang isip - ay ang paraan, ay kung paano, kung saan ang isa ay nagiging kamalayan sa pamamagitan ng aplikasyon, sa pamamagitan ng pangangasiwa ng mga pag-asa, mga pagnanasa, ang pananampalataya ng kaluluwa mismo. Sapagkat ang pag-iisip ay kabilang sa katawan at kaluluwa, at kapag ito ay dinalisay sa Kristong Kamalayan, ito ay nabubuhay nang walang katiyakan. (3292-1) Saslow, et al: Ang espiritwalidad ay partikular na nauugnay sa isang espirituwal na pagkakakilanlan , Mula sa pananaliksik sa ugnayan sa pagitan ng espiritwalidad at pakikiramay, si Saslow et al ay nagmamasid: Ang espiritwalidad ay lalo na nauugnay sa pagkakaroon ng isang espirituwal na pagkakakilanlan, pagkakaroon ng mga transendente na karanasan, at pagkahilig sa pagdarasal. Ang pagiging relihiyoso ay partikular na nauugnay sa relihiyosong pundamentalismo, pagdalo sa mga serbisyong pangrelihiyon, pagbabasa ng banal na aklat, at pag-aalaga sa pagdarasal….. Gayundin, ang espirituwalidad ay nagpapadama sa kanila ng pagmamahal at paggalang sa iba…. higit pang "mahabagin na pag-ibig" para sa malapit na iba at estranghero (Sprecher & Fehr, 2005),...hawakan ang Universal values,...In summary,.... pinahahalagahan ng mga espiritwal na indibidwal ang prosociality [pagkonekta],…” Viktor Frankl: Ang kaloob-looban ng pagiging at kahulugan ay ang espirituwal na sarili! Binigyang-diin ni Dr. P. Wong ang prinsipyo ni Viktor Frankl: “Ang paniniwalang ang tao ay may espirituwal na ubod na may likas na pangangailangan para sa kahulugan. Sa madaling salita, ang kaloob-looban ng “sarili” ay espirituwal. Ito ang espirituwal na sukat ng mga tao, hindi lamang ang kanilang pangangailangan para sa impormasyon at pag-unawa, iyon ang pangunahing pinagmumulan ng paghahanap ng kahulugan. Ito ay ang espirituwal at motivational na diin sa paghahanap ng kahulugan na ginagawa tayong tunay na tao. Naghahanap tayo ng kahulugan dahil tayo ay mga espirituwal na nilalang. Ang kagustuhan sa kahulugan ay isa pang paraan ng pagsasabi na mayroon tayong espirituwal na pangangailangan na hanapin ang self-transcendence.” Ipinaliwanag ni Paul Wong ang mga pananaw ni Viktor Frankl tungkol sa kalikasan ng mga prosesong espiritwal o noetic (mula sa nous): Naniniwala si Frankl na ang mga positibong mapagkukunan ng sikolohiya ay nakaugat sa isang espirituwal na ubod....Sinabi ni Frankl na "Ang noetic [espirituwal] na dimensyon ay naglalaman ng mga katangiang gaya ng ating kalooban sa kahulugan. , ang aming oryentasyon sa layunin, mga ideya at mithiin, pagkamalikhain, imahinasyon, pananampalataya, pag-ibig na higit sa pisikal, isang konsensya na higit sa superego, pag-iiba sa sarili, mga pangako, pananagutan, pagkamapagpatawa, at kalayaan sa pagpili ." (Fabry 1994 pp.18-19)” William James : ang mga karanasang espirituwal-relihiyoso ay maaaring lumikha ng isang "karamdaman ng katotohanan" (p.48) “Ang mga ito [mga abstraction (mga simbolo) at espirituwal na emosyon-mga karanasan] ay tumutukoy sa ating mahahalagang saloobin na kasing-tiyak ng mahalagang saloobin ng mga magkasintahan ay natutukoy ng nakagawiang kahulugan, …… Nakakumbinsi sila sa mga nakakaranas nito gaya ng anumang direktang makatwirang karanasan, at ang mga ito, bilang panuntunan, ay higit na nakakumbinsi kaysa sa mga resultang itinatag ng lohika lamang… hindi makakatulong na ituring ang mga ito bilang tunay na mga pananaw sa katotohanan, bilang mga paghahayag ng isang uri ng katotohanan [aking salungguhit] na walang masamang argumento, gayunpaman hindi mo masasagot sa mga salita, ang makapagpapaalis sa iyong paniniwala" ang idiniin ni William James sa kanyang klasikong 1902 na gawain, Ang Mga Iba't-ibang Karanasan sa Relihiyoso Si William James ay nagpatuloy sa pagsasabi na ang mga espirituwal at relihiyosong karanasan ay maaaring lumikha at makabuo ng isang "sense of reality". Komentaryo: Kaya, sa liwanag ng katotohanan na ang mga espirituwal na karanasan ay kadalasang nagsasangkot ng mataas na sisingilin na mga emosyon at may posibilidad din na humubog ng isang pakiramdam ng katotohanan, gayundin ang katotohanan na ang kalungkutan ay pangunahin na tungkol sa kalakip at mga emosyon, makatuwiran na ang mga espirituwal na karanasan sa Ang mga proseso ng pagdadalamhati ay maaaring muling hubugin at mapadali ang muling pagtatayo ng kahulugan na mahalaga sa mga proseso ng pagdadalamhati gaya ng binibigyang-diin ni Neimeyer. Sense of Reality: Kinumpirma ng modernong pananaliksik si William James na "Sense of Reality" na argumento. Ipinakita ng "survey" ni David Hay na "Kahit na marami sa mga [espirituwal] na karanasang ito ay napakaikli, kadalasan ay may malaking epekto ang mga ito sa kalagayan ng mood at kagalingan, at naaalala sila ng mga tao sa buong buhay nila." Mula sa isang pag-aaral ng mga taong nagkaroon ng espirituwal o espirituwal-psychic na mga karanasan, nagtapos si J. E Kennedy na ang mga karanasan ay nagpapataas ng kanilang interes at paniniwala sa mga espirituwal na bagay at nagpapataas ng kanilang pakiramdam ng kagalingan. Higit na partikular, "ang karamihan ng mga sumasagot ay nagpahiwatig na ang mga karanasan ay nagresulta sa pagtaas ng paniniwala sa buhay pagkatapos ng kamatayan, paniniwala na ang kanilang buhay ay ginagabayan o binabantayan ng isang mas mataas na puwersa o nilalang, interes sa espirituwal o relihiyosong mga bagay, pakiramdam ng koneksyon sa iba, kaligayahan, kagalingan, kumpiyansa, optimismo tungkol sa hinaharap, at kahulugan sa buhay. Ipinahiwatig din nila ang pagbaba ng takot sa kamatayan, depresyon o pagkabalisa, paghihiwalay at kalungkutan, at pag-aalala at takot sa hinaharap!” Mula sa aking pagsasaliksik at karanasan, lumilitaw na ang klasikong gawa ni William James: "Ang Mga Iba't-ibang Karanasan sa Relihiyon" ay hindi kasama sa kurikulum sa mga kursong undergraduate na psychology sa unibersidad. Sinabi sa akin ng isang estudyante sa pagpapaunlad ng bata na hindi pa niya narinig ang klasikong gawa ni William James. Nabanggit ko iyon ay hindi patas dahil ang pagmamasid ni William James na ang iba't ibang mga karanasan ay lumilikha ng iba't ibang pananaw sa mundo - na nagpapakita ng isang mapagparaya na pag-unawa. Sumagot siya na napakasama - ganyan talaga! Sa aking pananaw, karamihan sa mga Amerikanong nagtapos sa kolehiyo - bukod sa walang pagsasanay o edukasyon sa mga espirituwal na karanasan (Siyempre sinabi ni Dr Stacey Neal (JHU) na wala rin siyang pagsasanay o edukasyon) ay masyadong mahilig sa materyalistang pananaw sa mundo - sa aking pananaw. Sa kasamaang-palad, maraming katotohanan ang sinasabi ng McGilChrist: “At nangangahulugan iyon na dapat tayong maging angkop na mag-alinlangan sa pananaw ng kaliwang hemisphere tungkol sa isang mekanistikong mundo, isang atomistikong lipunan, isang mundo kung saan ang kompetisyon ay mas mahalaga kaysa sa pakikipagtulungan; isang mundo kung saan ang kalikasan ay isang tambak ng mapagkukunan doon para sa ating pagsasamantala, kung saan ang mga tao lamang ang binibilang, at gayon pa man ang mga tao ay mga makina lamang - kahit na hindi napakahusay, sa gayon; isang mundong kakaibang hinubaran ng lalim, kulay at halaga. Ito ay hindi ang matalino, kung matigas ang ulo, ang pananaw na ang mga espouse nito ay umaaliw sa kanilang sarili sa pamamagitan ng paggawa nito na maging; isang sterile na pantasya lamang, ang produkto ng kakulangan ng imahinasyon, na nagpapadali para sa atin na manipulahin ang hindi na natin naiintindihan. Ngunit ito ay isang pantasya na pinapalitan at ginagawang hindi naa-access ang masigla, buhay, malalim na malikhaing mundo na aming kapalaran na magmana - hanggang sa sayangin namin ang aming mana." ― Iain McGilchrist, The Master and His Emissary: The Divided Brain and the Making of the Western World Para sa akin, ang sikolohiya at psychiatry - tulad nito - ay isang banta sa aking kagalingan - hindi lamang "walang pag-unawa" - ngunit pagalit at masyadong madalas na poot pagdating sa espirituwalidad. IV. Ang Espirituwal na Katalinuhan ay sumasama sa Synthesis-Consensus ESPIRITUWAL, ESPIRITUWAL NA KATALINUHAN, AT PANGARAP Ang ispiritwalidad ay isang likas na predisposisyon ng tao (hal., Hay & Nye, 2006; O'Murchu, 1997, 2000). Ito ay mas primal kaysa sa institusyonal na relihiyon (James, 1901/ 1977; Maslow, 1970; Tacey, 2000) at may kinalaman sa pakiramdam ng koneksyon ng isang tao sa sarili, sa iba, at sa mundo (o kosmos). Para sa ilang mga tao, ang pagiging konektado sa isang Transcendent na dimensyon ay isang bahagi ng espirituwalidad (Bosacki, 2001; Elton-Chalcraft, 2002; Fisher, 1999; Hyde, 2004; Tacey, 2003). Sina Hay at Nye (2006) ay nangangatuwiran na ang espiritwalidad ay nagsasangkot ng malalim na kamalayan sa relasyon ng isang tao sa sarili, at sa lahat ng bagay maliban sa sarili. Posibleng isipin ang espirituwalidad bilang isang uri ng katalinuhan (Emmons, 1999, 2000; Hyde, 2003, 2004; Kwilecti, 2000; Zohar & Marshall, 2000). Ang isang tampok na tampok ng katalinuhan ay may kinalaman sa kakayahang malutas ang mga problema (Ruzgis & Grigorenko, 1994; Walters & Gardner, 1986). Tinukoy ni Zohar at Marshall (2000) ang espirituwal na katalinuhan bilang ang kakayahan ng pag-iisip na ginagamit ng mga tao upang tugunan at makahanap ng mga solusyon sa mga problemang may kahulugan at halaga sa buhay. Sa pagguhit sa diskurso na nagmumula sa mga teorya ng pagganyak at personalidad, si Emmons (1999) ay nagmumungkahi pa na ang mga tao ay maaaring gumamit ng mga espirituwal na mapagkukunan upang malutas ang mga problema: Ang adaptive na pagproseso ng espirituwal na impormasyon ay isang bahagi ng katalinuhan, at mga indibidwal na pagkakaiba sa mga kasanayan kung saan ang ganitong pagproseso ay bumubuo ng mga pangunahing katangian ng pagkatao. Ang espiritwalidad ay maaaring magsilbi bilang isang mapagkukunan ng impormasyon sa mga indibidwal, at, bilang isang function ng mga interes at kakayahan, ang mga indibidwal ay nagiging higit o hindi gaanong bihasa sa pagproseso ng impormasyong ito (p. 163). (Mga Pangarap ng dalamhati ng mga Bata at ang Teorya ng Espirituwal na Katalinuhan: Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University) "Ito [espirituwalidad] ay mas primal kaysa sa institusyonal na relihiyon" KATOTOHANAN Ang ispiritwalidad ay isang likas na predisposisyon ng tao! Ito ay mas primal kaysa sa institusyonal na relihiyon at may kinalaman sa pakiramdam ng isang tao na konektado sa sarili, sa iba, at sa mundo!” - K. Bishop Grosseteste U, B Hyde Australian Catholic University Oo, ang espirituwalidad ay mas una, Anton Killin: "Ang pinakalumang kilalang mga instrumentong pangmusika [petsa] mula 40,000 taon na ang nakalilipas (40 Kya)" Ipinapangatuwiran ni Killin na malamang ang simula ng musika sa mga hominin nagmula noong 275,000 taon na ang nakalilipas Sa katunayan, kamakailan lamang ay nakatagpo ako ng impormasyon na magkaparehong sinaunang-panahong mga plauta 30 hanggang 40,000 taon na ang nakalilipas na natagpuan sa Tsina at Alemanya ay nagpapakita ng kapansin-pansing pagkakatulad sa kanilang paggawa. Bilang isang [medyo ligaw] na punto ng impormasyon, dapat kong idagdag na "Ang isang pinalaki na pagtingin sa pabilog na dingding ng isa sa mga butas ng daliri ng isang pitong butas na plauta mula sa Jia3hu2 [China] ay nagpapakita ng mga kapansin-pansing pagkakatulad sa beveling na matatagpuan sa mga butas ng ang Ulm [Germany] flute….[at] halos magkaparehong beveling sa paligid ng mga butas ng daliri na nagpapahiwatig na sila ay bahagi ng parehong maagang tradisyon ng paggawa ng instrumento.” (Prehistoric European And East Asian Flutes, Victor H. Mair) Sa halos lahat, ang distansya sa pagitan ng China at Germany ay magiging 7223.54 km. o 4488.5 milya. Kung gaano ang "halos magkaparehong beveling na nagpapahiwatig ng parehong "tradisyon" sa Flutes mula 30 hanggang 40,000 taon na ang nakakaraan na pinaghihiwalay ng malalaking distansya ay isang medyo ligaw na tanong. Prism Paradigm & Spirituality- Enerhiya na nagmula sa walang malay na espirituwal na simbolismo - ngunit sinala at pinoproseso ng magkakaugnay na mga rehiyon at proseso ng utak. Ang mga tao ay may iba't ibang pananaw dahil sila ay nag-filter, o nagpoproseso, ng data at impormasyon nang iba. Ang personalidad, pagpapalaki, kultura-kapaligiran- etnisidad, mga karanasan ay humuhubog sa mga salik. Selective Attention – isang evolutionary adaptive trait: Matagal nang itinuro ni William James na upang bigyang pansin ang isang bagay na kinakailangang "balewala" o ibukod ang impormasyon-stimuli na "nagpapahiwatig ng pag-alis mula sa ilang mga bagay upang epektibong makitungo sa iba." Ang mga neuroscientist na si Bernhard Hommel (et al): "Paano ito nauugnay sa atensyon? Ilang pangungusap pagkatapos ng tanyag na pariralang iyon [ni William James] na sinipi natin sa itaas, “ang atensyon ay nakikipag-ugnayan sa isa pang stimulus ay talagang nagagawa, sa literal, sa loob ng approach circuit ng rostral tectum. At habang ang mga simpleng circuit na ito para sa pamamahala ng interactive na pag-uugali ay maaaring mukhang malayo sa mas mataas na katalusan ng mga tao, sila talaga ang mga pasimula sa mga mekanismong kumokontrol sa tinatawag na "selective attention." Sa Prism Paradigm - Metaphor - ang liwanag ng espiritwalidad ay maihahambing sa liwanag na pumapasok sa isang prisma na nahahati (na-filter) sa iba't ibang mga wavelength. Mayroong lahat ng uri ng iba't ibang uri ng "haba ng daluyong"-mga pananaw ng espirituwalidad sa kamalayan. Ang isang magandang ilustrasyon ay ang autistic na espirituwalidad - na gaya ng itinuturo ni Dr Visuri ay malamang na ipahayag bilang hindi maipaliwanag na mga karanasan sa pandama (invisible touch atbp.). Ang kakaibang uri ng espirituwal na karanasan ay malinaw na produkto ng kanilang natatanging pisyolohiya - marahil ay kabayaran pa para sa kanilang kilalang kahinaan sa mga kasanayang panlipunan (at pagpoproseso ng mga social signal) tulad ng isang kakulangan sa "teorya ng proseso ng pag-iisip - "Default na Mode. Network na nagpoproseso ng intensyonalidad. V. Pananaw sa Kamatayan at pagdadalamhati at mga Espirituwal na Karanasan bilang Adaptive Mechanism sa pagdadalamhati "Ang kamatayan, lalo na kapag tinatakpan nito ang kawalang-saysay at kawalang-kabuluhan, ay tila ang pinakahuling hamon sa "kahulugan ng buhay" gaya ng binibigyang-diin ng mga may-akda na sina Janoff-Bulman at McPherson (1997). Nakatuon sina Janoff-Bulman at McPherson sa pansariling "karanasan" ng sakit na nauugnay sa mga "basag na pagpapalagay" at isang "tumaas na kamalayan" sa hina ng buhay at kahinaan ng tao (Janoff-Bulman & McPherson, 1997, p.103) Gayunpaman, tila ang sakit ay mula sa pagkawala ng kalakip dahil ang mga kalakip ay napaka-emosyonal na mga bono, at ang sakit mula sa pagkawala. kinakailangang magtanong sa utak kung bakit ito nagdurusa at ang mga tanong na iyon ang "nagwawasak" sa mga pagpapalagay at pananaw sa mundo. Ang isang tanong ay maaaring kung ang paghahanap ng kahulugan ay talagang mabuti kung hindi mo mahanap ang mga sagot." Binibigyang-diin ng mga may-akda ang katotohanan na mayroong dalawang panig sa nagdadalamhating barya." "Ang ilang mga 'pakinabang para sa mga taong nagdadalamhati ay kung minsan, pinabuting katatagan, pinabuting pagsasarili, pinabuting kumpiyansa, "higit na kamalayan sa kahinaan ng buhay, pinabuting empatiya at pakikiramay, at ' mas mahusay na interpersonal na mga resulta.' (p.37-38) Napagpasyahan ng mga may-akda na "ang pagkakaroon ng kahulugan ay isang mabisang paraan ng pagharap lamang sa mga unang buwan ng pagkawala, samantalang ang paghahanap ng benepisyo ay tila isang mas mahusay na patuloy na paraan ng pagharap na nagpapalakas ng pagsasaayos sa paglipas ng panahon." (p.47) Sa kanilang artikulo, Loss, Grief, And The Search For Significance: Toward A Model Of Meaning Reconstruction in Bereavement, sinimulan nina J Gillies at R Neimeyer ang artikulo sa, "Ang mga teorya ng konstruktivist ay nagsimula kamakailan upang ipaalam ang pag-unawa sa kalungkutan, na nagbibigay-diin sa papel ng kahulugan. paggawa sa pagbagay sa pangungulila." (p.31) Ang higit na kawili-wili ay hinati ng mga may-akda ang paggawa ng kahulugan sa tatlong kategorya: paggawa ng kahulugan, paghahanap ng benepisyo, at pagbabago ng pagkakakilanlan. Ang mga ugnayan sa iba ay mga mahahalagang isyu sa kanilang modelo - na may perpektong kahulugan sa pagiging kabilang at ang pangangailangang mapabilang - gaya ng sinabi ni Roy Baumeister - ay napakalakas na pwersa sa kamalayan ng tao ! Dahil ang emosyonal na attachment ay isang pangunahing salik sa pagdadalamhati sa "kahulugang muling pagtatayo" - ang refiguring at muling pagsasaayos ng iyong buhay sa mga tuntunin ng mga relasyon ay gagawing isang mahusay na pagtutok sa pag-unawa at pag-unawa sa mga proseso ng pagdadalamhati. Ako - personal - ay nabigla nang malaman na ang ilang mga tao ay nagdadalamhati - na maaaring maging lubhang masakit para sa literal na mga taon. Tila ang ilang mga tao ay hindi na nakabawi mula sa pagkawala ng kanilang asawa o kapareha. Mga Pangarap at Pangitain ng Namatay bilang Mga Mekanismong Adaptive Paunang Salita: Maaaring maging mahirap ang pagdadalamhati - kung minsan ay napakahirap, at napakasakit. Alam kong nahirapan ang nanay ko pagkatapos mamatay ang tatay ko. Mayroon akong akademikong koneksyon na nagpahiwatig na ang paggana ay mas mahirap - at masakit - mula noong namatay ang kanyang asawa. Medyo nabigla ako - sa totoo lang - nang napagtanto ko na ang isang medyo malaking bilang ng mga tao ay literal na tumatagal ng mga taon upang makabawi - at dumaranas ng dalamhati at pin sa mahabang panahon. At isang pag-aaral na nabasa ko ay nagpahiwatig na ang ilan ay talagang hindi na gumagaling. Ang pag-iingat diyan sa isip ay dapat na maging mas makatwiran ang pananaw ni Viktor Frankl. Tulad ng naobserbahan ni Viktor Frankl ang mga pambihirang pangyayari ay kadalasang nagdudulot ng mga hindi pangkaraniwang karanasan – at solusyon. 1. Julie S. Parker, Mga Pambihirang Karanasan Ng Naulila At Naaangkop na Bunga ng Kalungkutan Tinapos ni Julie Parker na "Ang mga natuklasan ng pag-aaral na ito ay sumusuporta sa umuusbong na modelo ng kalungkutan na naglalagay na ang pagpapanatili ng patuloy na mga bono sa namatay ay maaaring maging adaptive. Sinusuportahan din nila ang assertion na ang espirituwal at/o mga sistema ng paniniwala sa relihiyon ay nauugnay sa mga adaptive na resulta ng kalungkutan. " Ang pag-aaral ni Parker ay batay sa “Isang maramihang kaso questionnaire/pag-aaral sa panayam ang ginamit upang siyasatin ang Extra ordinary Experiences (EEs) na iniulat ng mga naulilang indibidwal. Ang layunin nito ay ilarawan ang mga proseso ng pagdadalamhati ng 12 naulilang indibidwal na nag-ulat ng mga EE………. Sinabi pa ni Parker na ilalapat din ito sa parehong mga klinikal na pathological na kondisyon. Napagpasyahan ni Parker na ang mga positibong pagbabagong nagbibigay-malay, emosyonal, espirituwal, asal at/o eksistensyal ay iniugnay sa 11 EE ng mga kalahok. Dahil ang mga karanasang ito ay nangyari sa loob ng konteksto ng pangungulila,” (Julie S. Parker, Extraordinary Experiences Of The Bereaved And Adaptive Outcome Of Grief) 2. Larry W. Easterling et al Espirituwal na Karanasan, Pagdalo sa Simbahan, at Pangungulila, Ang mga may-akda (Easterling et al) ay nagmamasid na "Sa kabaligtaran, ang karanasan ay nagpakita sa mga tagapag-alaga ng pastoral na ang mga indibidwal ay tila mas mahusay na makayanan kung maaari nilang "i-actual" ang kanilang mga espirituwal na karanasan sa mga oras ng krisis. Sa mga pagkakataon ng pagkawala at pangungulila, ang gayong mga espirituwal na karanasan ay maaaring mag-alok hindi lamang ng kaginhawaan kundi pati na rin ng isang kontekstwal na balangkas ng kahulugan para sa pag-unawa sa kamatayan ayon sa isang tiyak na hanay ng mga teolohikong konstruksyon o paniniwala, na alam ng mga pangunahing espirituwal na karanasang ito . "Ang mga nagdadalamhati na nagpakita ng mas mataas na antas ng espirituwal na karanasan ay nagpakita ng mas mababang antas ng negatibong kalungkutan na nakakaapekto bilang tugon sa kanilang pagkawala. Ang relihiyosong aktibidad, gaya ng sinusukat ng regular na pagdalo sa simbahan, ay lumilitaw na nakakaimpluwensya sa pagsasaayos ng kalungkutan hanggang sa ito ay positibong nauugnay sa espirituwal na karanasan.” (Espiritwal na Karanasan, Pagdalo sa Simbahan, at Pangungulila, ni Larry W. Easterling, Th. D, Louis A. Gamino, Ph.D., Kenneth W. Sewell, Ph.D., Linda S. Stirman, BSN) 3. Mga Pangarap ng Kapighatian ng mga Bata at ang Teorya ng Espirituwal na Katalinuhan: Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University Ang mga panaginip ng namatay, at ang mga may kaugnayan sa kamatayan sa ibang mga paraan, ay hindi karaniwan sa panahon ng pagkabata (tingnan ang Mallon, 2002; Punama¨ki, 1999; Siegel & Bulkeley, 1998) partikular na ibinigay na ang gayong mga panaginip ay malapit na sumasalamin sa mga yugto ng ang proseso ng pagdadalamhati (Garfield, 1996). Ipinakita ng mga kwalitatibong pag-aaral na ang ilang mga bata ay nagmumuni-muni sa kanilang mga panaginip at nakakahanap ng kahulugan sa kanila, na ang ilan sa mga panaginip na ito ay gumagawa ng espirituwal na epekto (Adams, 2003; Coles, 1990; Siegel & Bulkeley, 1998). Habang ang mga espirituwal na panaginip ay maaaring maglaman ng iba't ibang mga tema, ang karaniwan ay nauugnay sa kamatayan (Bulkeley, 2000; Bulkeley & Bulkley, 2005). Ang konsepto ng kamatayan ay isa na kinakaharap ng mga bata habang nakakaharap nila ang mga isyu ng mortalidad sa isang anyo o iba pa, kadalasan sa pamamagitan ng pagkamatay ng isang lolo't lola o isang alagang hayop. Ang mga panaginip ng namatay, at ang mga nauugnay sa kamatayan sa ibang mga paraan, ay hindi karaniwan sa panahon ng pagkabata (tingnan ang Mallon, 2002" 4. Mga Pangarap Bilang Paraan ng Komunikasyon sa Pagitan ng Buhay at Patay Ethnographic Case Study Mula sa Slovakia - Gabriella Kilianova Ipinakilala ni Gabriela Kilianova ang kanyang pag-aaral ng mga pangarap ng namatay sa Slovakia sa pagsasabing “ Ang mga panaginip tungkol sa mga namatay na ninuno at mga yumaong kamag-anak o kaibigan ay kumakatawan sa isang espesyal na kategorya ng karanasan sa panaginip sa European at non-European society. Ang mga natuklasan sa pananaliksik ay nagpakita ng medyo mataas na dalas ng kanilang paglitaw." Isinasama ko ang isang malaking seksyon tungkol sa mga pananaw ng paring Katoliko sa Slovakia sa isang bahagi dahil ang pari ay "nagpalagay na ang gayong mga panaginip ay nakakatulong sa mga tao na harapin ang pagkawala ng kanilang mga mahal sa buhay." Ngunit dahil na rin sa mga pagninilay at komento ng pari tungkol sa kabilang buhay at mga koneksyon sa mga kaluluwang lumisan. Ang paring Katoliko na naglilingkod sa aking pananaliksik noong 2007 at 2008 ay isang batang edukadong lalaki. Nagtuturo siya sa Faculty of Theology ng Comenius University sa Bratislava at nag-specialize sa eschatology, bukod sa iba pang mga paksa. Ginamit niya ang kanyang kaalaman sa pag-aaral sa panahon ng kanyang panunungkulan. Sa pinakahuling panahon ng pananaliksik sa okasyon ng isang libing siya ay naghatid ng isang kapansin-pansing kawili-wiling sermon sa kabilang buhay at sa mga kaluluwa ng mga patay. Pinahintulutan ng pari ang mga pangarap ng mga parokyano at tinukoy ang kasalukuyang bukas na saloobin ng simbahan sa mga ganitong pangyayari. Ayon sa kanya, ipinakikita ng Banal na Kasulatan na maraming beses na ipinahayag ng Diyos ang kanyang kalooban sa mga tao sa panaginip. Sa ilang halimbawa ng gayong makahulang mga panaginip, binanggit niya ang panaginip ni Jose tungkol sa isang anghel na nagpahayag na makakauwi na siya mula sa Ehipto kasama ang kaniyang pamilya. Ipinagpalagay ng pari na maaaring gamitin ng Diyos ang mga panaginip bilang isang paraan upang ipakita ang Kanyang kalooban. Kapag ang isang tao ay nagsabi sa pari ng isang panaginip tungkol sa mga patay, sinuri niya ito lalo na bilang isang natural na sikolohikal na kababalaghan. Ipinapalagay niya na ang gayong mga panaginip ay nakakatulong sa mga tao na harapin ang pagkawala ng kanilang mga mahal sa buhay. Gayunpaman, nang sabihin ng mga parokyano na nanaginip sila tungkol sa mga patay, hindi niya awtomatikong iniugnay ang mga panaginip na iyon sa paniniwala sa purgatoryo. Ang pari ay hindi suportado ang opinyon na ang mga kaluluwa ng mga patay ay maaaring bisitahin ang buhay at makipag-ugnayan sa kanila. Sa kabilang banda, ipinalagay niya na may kaugnayan sa pagitan ng mga buhay at mga patay at posible ang komunikasyon sa pagitan nila” Panghuli, idaragdag ko na hinati rin ng may-akda na si Gabriela Kilianova ang mga pangarap ng namatay sa magkakahiwalay na kategorya. Mga Pangarap at Pangitain ng Namatay - Pangkalahatang-ideya Ang mga panaginip ng namatay na walang tanong ay nagaganap sa loob ng libu-libong taon kaya walang tanong – at dahil dito mayroong "normalcy" sa mga panaginip ng namatay. Ang pinakamaagang naitalang panaginip ng namatay ay mula sa kasaysayan ng Egypt bago ang 750 BCE. Ang pinakauna ay matatagpuan sa mga liham sa mga patay. Sa isa, isang babae ang sumulat sa kanyang namatay na babaeng kamag-anak, na nagmamakaawa sa kanya na paalisin ang sakit ng kanyang katawan habang pinapanood niya ang namatay na nakikipaglaban para sa kanya sa isang panaginip. Ang isa pang liham ay naglalaman ng kung ano ang maaaring ang unang naitala na kaso ng isang panaginip ng pagkabalisa na dulot ng isang nagkasalang budhi. Dito, isang lalaki ang sumulat sa kanyang namatay na ama na nagsusumamo sa kanya na pigilan ang isa pang patay na lalaki na pagmamasdan siya sa isang panaginip . (Ang mga pangitain ng mga diyos ay katangi-tangi. Mga Pangarap ng Sinaunang Ehipto ni Kasia Szpakowska) Ang mga panaginip ng namatay ay magiging isang mahusay na paglalarawan ng "normalcy" sa espirituwal-psychic na mga karanasan. Ang kamatayan ay isang napaka-primal - at instinctual - katotohanan at puwersa sa kamalayan ng tao at walang malay na simbolismo na may kaugnayan sa kamatayan ay walang tanong na laganap sa isang anyo o iba pa sa kamalayan ng tao. Marion Eggert: Dreaming about the Dead in Premodern Korea (17th-19th Century) Bilang isang punto ng impormasyon, mahalagang maunawaan na ang mga pangarap ng namatay ay may iba't ibang uri at uri, at walang monolitik o cookie cutter na pangarap ng mga namatay. Ibinubuod ni Eggert ang kanyang artikulo at pag-aaral sa pagsasabing, "Batay dito, ginagamit nito ang mga salaysay ng mga panaginip—mas partikular, ang paggamit ng motif ng panaginip sa mga tekstong sakripisyo para sa mga namatay na mahal sa buhay—bilang isang landas para sa paglalarawan ng pansariling karanasan ng kalungkutan at pagluluksa sa Korean aristokratikong kultura ng Chosŏn dynasty, sa pag-asang ito ay maaaring gumana bilang isang maliit na kontribusyon tungo sa isang mas mahusay na pag-unawa sa konstruksiyon ng subjectivity sa mga Confucian literati sa Chosŏn Korea..... Kaya pinili ko para sa pag-aaral na ito ang mga tekstong binubuo para sa libing at mga seremonyang pang-alaala (chemun, chin. jiwen) na nagsasalita ng mga panaginip tungkol sa mga patay Sa kontemporaryong kaisipang Kanluranin, ang tema ng Ang pagluluksa mismo ay malapit na nauugnay sa karanasan ng sarili bilang autonomous individuality, kaya't nakahanap pa kami ng mga claim para sa isang link sa pagitan ng " kakayahang tumanggap ng pagkawala" at "ang kapasidad para sa civic. pakikipag-ugnayan.” Gumawa si Eggert ng apat na magkakaibang kategorya para sa mga pangarap. Ipinapakita ng mga pag-aaral – nakatago sa mga backroom at kakaibang paaralan ng pag-iisip na ang mga panaginip at pangitain ng namatay – hindi lahat ng nakakagulat ay karaniwan. Nakahanap ako ng mga pag-aaral ng mga pangarap ng namatay sa maraming iba't ibang bansa ng maraming iba't ibang mga mananaliksik: tatlo ang US, gayundin ang Hong Kong, Slovakia, Native American, Sweden, Filipino, Korean Romanian-Serbian, at kahit pagkabata atbp. Ang mahalagang punto ay kailangan kong mag-google ng scholar hindi lamang ang mga pangarap ng namatay, ngunit kailangan kong mag-google sa pamamagitan ng "nasyonalidad" pati na rin upang matatagpuan ang mga pag-aaral ng mga pangarap ng namatay. Natagpuan ko ang pag-aaral ng Hong Kong dreams of the deceased by google scholaring Chinese dreams of the deceased. Binanggit ni Dr. P. Wong na kilala niya ang mananaliksik ng pag-aaral sa Hong Kong. Ang kamatayan ay maaaring maging lubhang nakakatakot, maging mapurol - pati na rin ang pagiging lubhang masakit para sa marami na nagdadalamhati sa pagpanaw ng isang mahal sa buhay. Sa personal, nakatagpo ako ng ilang mga tao na nag-iisip sa kanilang sarili na kakaiba o abnormal dahil sa kanilang mga panaginip ng namatay. Karamihan sa mga panaginip ay hindi nakakaganyak - maliban marahil sa pag-iintindi ni Flynn-pangarap ng kanyang ina na namamatay) Sina Nunzi, Licia, at Mirabai ay lahat ay medyo ordinaryo o "normal" na mga panaginip lahat ng bagay na isinasaalang-alang ang mga pangyayari ay magiging normal. Gaya ng naobserbahan ni Viktor Frankl, ang mga pambihirang pangyayari ay may posibilidad na makabuo ng mga hindi pangkaraniwang karanasan – at mga solusyon. Higit pa rito, sinabi ni JE Kennedy, "Sa isang pag-aaral ng isang pamamaraan na nagtatangkang magdulot ng pakiramdam ng pakikipag-ugnayan sa isang taong namatay, 96% ng mga kalahok na may mga uri ng personalidad ng NF ay nag-ulat ng mga karanasan sa pakikipag-ugnay pagkatapos ng kamatayan, samantalang 100% ng mga Ang mga kalahok na may ST (sensing, thinking) na mga uri ng personalidad ay walang ganitong mga karanasan (Arcangel, 1997). Kaya, ang isang mahalagang punto dito ay na habang ang mga pag-aaral sa personalidad ay nagpapakita ng pag-filter ng impormasyon ng ilang mga tao sa ibang paraan - at sa kasong ito, ang mga personalidad ng NF ay lumilitaw na may predisposisyon para sa pakiramdam na makipag-ugnayan sa namatay. May nakasalubong akong babae, M... Sino ang nagsabi sa akin noong bata pa siya na mayroon siyang mga "multo" na karanasan ngunit lumaki mula sa mga ito. Gayunpaman, idinagdag niya na ang kanyang kapatid ay mayroon ding mga karanasan - at ang kanyang kapatid na lalaki ay may mga pangitain pa rin ng mga multo hanggang ngayon. Binanggit ko ang pag-aaral na ito sa kanya at idinagdag ko na sa ilang mga tao ay ganoon lang ang paraan ng kanilang mga utak - at iyon ay hindi kinakailangang pathological sa at ng kanyang sarili. Bilang isang punto ng impormasyon, idaragdag ko na ang isang Icelandic na pag-aaral ng mga karanasan sa saykiko na nag-uulat na "Ang pagkakaroon ng ilang karanasan ng isang namatay na tao ay karaniwan din, na iniulat ng 45% ng mga kababaihan at 28% ng mga lalaki (isang kilalang kasarian Ang halos kalahati ng mga karanasang ito ay likas na nakikita, na may 60% ng pangkat ng mga respondent na ito ay nakatagpo ng isang namatay na malapit na kamag-anak, 39% isang estranghero, at 4% ng kanilang namatay. asawa. Mahigit sa kalahati ay nakaranas ng higit sa isang pakikipagtagpo sa isang namatay na tao." AS Muzafer Sherif point out real world circumstance and real-life situations are pivotal and the Icelandic study didn't explain if ang pagdadalamhati ay bahagi ng sitwasyon o pagkabalisa – na ayon kay Jean MacPhail ay may kaugnayan. ([Icelandic] Psychic experiences – third of a century apart. Dalawang kinatawan na survey sa Iceland. Journal of the Society for Psychical Research, 75, 903, 76-90. Enero 2011 The Journal of the American Society for Psychical Research 75(9ö3) :76-90 Erlendur Haraldsson University of Iceland) Link sa website: https://www.spirittruthandmeaning.com/ Addendum I: Mabunga, Malikhaing Ispiritwalidad Salungat sa materyalistang kasabihan "Lahat ng espirituwalidad ay hindi totoo" Espirituwalidad na may "tunay na konteksto ng mundo" (Muzafer Sherif) at W. James Pragmatism laban sa materyalistang "matibay na pagsunod sa di-makatwirang dami" (McGilChrist) a, Spirituality of Compassion: “Ang pakikiramay sa iba at panlipunang suporta ay may halaga ng kaligtasan at benepisyo sa kalusugan…. “ (The Oxford Handbook on Compassion: p. 171) b, "Ang aming mga natuklasan ay nangangatwiran na ang espirituwalidad-sa itaas at higit pa sa pagiging relihiyoso-ay natatanging nauugnay sa higit na pakikiramay at pinahusay na altruismo sa mga estranghero." (The Social Significance of Spirituality Laura R. Saslow et al), c, "ang pagiging relihiyoso at espiritwalidad ay positibong nauugnay sa mahabagin na pag-ibig kapwa para sa malapit na iba (kaibigan, pamilya) at para sa sangkatauhan (mga estranghero)." (Mahabag na pag-ibig......, S. Sprecher 2. Musical Spirituality Shulkin at Raglan "Ang aming ebolusyon ay mahigpit na nakatali sa musika at sa katawan bilang isang instrumento (hal., pagpalakpak). Ang musika, bukod sa iba pang mga bagay, ay nakakatulong upang mapadali ang panlipunang kooperatiba at magkakaugnay na pag-uugali." "Ang musika ay isang pangunahing bahagi ng ating ebolusyon – at gumagana dahil pinapadali nito ang "kontak ng tao" at ang "panlipunan na sarili" " "Cross-culturally, sa unang pagtataya, ang mga 'musika' na pag-uugali ay hindi lamang may pattern na tunog, kundi pati na rin ang hayagang pagkilos ; Ang 'musicality' ay isang pag-aari ng mga komunidad sa halip na ng mga indibidwal; at ang musika ay nababago sa mga tiyak na kahulugan o kahulugan nito ” (p.1) (Ian Cross) 3. Espirituwal na Pagpapagaling sa Nagdadalamhati na Pagpapagaling Ang Easterling, et al ay nagmamasid “Sa kabaligtaran, ipinakita ng karanasan sa mga pastoral na tagapag-alaga na ang mga indibidwal ay tila mas makakayanan kung maaari nilang "i-aktuwal" ang kanilang mga espirituwal na karanasan sa mga oras ng krisis. Ang pag-aaral ni J Parker ay "sinusuportahan ang paggigiit na ang espirituwal at/o mga sistema ng paniniwala sa relihiyon ay nauugnay sa mga adaptive na resulta ng kalungkutan." 4. Kapwa-loob pro-social norms/spirituality Kapwa & Relational Spirituality: K Lagdameo-Santillan “Ang Kapwa ay isang pagkilala sa isang nakabahaging pagkakakilanlan, isang panloob na sarili, na ibinahagi sa iba (ie Reynaldo Ileto, Jeremiah Reyes, Mercado, atbp.) + Ubuntu (African - Anglican Tutu) Anam Cara - soul friend (Celtic - soul friend, O'Donohue - Irish teologo) 5. Espiritwalidad ng mga Bata Donna Thomas: “ang mga maanomalyang karanasan ay maaaring magpasigla sa pagpapagaling sa sarili para sa mga bata at kabataan.” 6. Artistic Spirituality: Robert K. Johnston - 20 porsiyento ng mga Amerikano ay bumaling sa "media, sining at kultura" bilang kanilang pangunahing paraan ng espirituwal na karanasan at pagpapahayag...." 7. Poetic Spirituality & Prophecy-Creativity & Transcendence: "Ang propeta ay isang makata. Ang kanyang karanasan ay kilala ng mga makata. Ang alam ng mga makata bilang patula na inspirasyon; tinawag ng mga propeta ang banal na paghahayag" - Heschel 8. Dream Weaving/ T'boli-T'nalak – Mga pangarap bilang pinagmumulan ng banal na inspirasyon at biyaya sa pagsisid – ang T'boli artist, "Si Be Lang Dulay, isang pambansang artista, ay nagpasikat ng T'nalak weaving kasama niya ang mahigit 100 iba't ibang T. 'nalak designs." Tinalak/T'nalak Fiesta Street Parade at Street Dancing na kinunan sa South Cotabato SMRAA, Koronadal City noong T'nalak Festival noong Hulyo 18, 2009.The Colors of T'nalak by Louie D. Photography - 3763039917.jpg – Wikimedia 9. Ang Arctic Hunter Gatherer ay naniniwala sa mga espiritu ng hayop bilang "Human relationships with the natural world..." sa konteksto ng William James Practical Use Principle 10. Dr. Ingela Visuri: Espirituwalidad at "Ang Kaso ng Mataas na gumaganang Autism" 11. Mga medikal na pag-aaral-pananaliksik at meta-analyses - Iyan ay mahalaga dahil gaya ng itinuro ni J. E Kennedy - "napakakaunting pananaliksik ang nagawa" [tungkol sa mga tao] Synthesis-Consensus nina William James, Viktor Frankl, at Carl Jung isang tanong sa buhay at kamatayan. 1), espiritwalidad - partikular na ang mga espirituwal na karanasan - humuhubog sa "pagkadama ng katotohanan" ng mga tao - na ang espiritwalidad ay nakakatulong sa [mga tao na "maunawaan ang mundo" 2) ang iba't ibang karanasan (+ kultura, pagpapalaki) ay lumikha ng magkakaibang pananaw sa mundo - lalo na sa mga espirituwal na karanasan Addendum II: Listahan ng mga Pag-aaral ng Mga Pangarap ng Namatay 1. Mga Pangarap ng Kapighatian ng mga Bata at ang Teorya ng Espirituwal na Katalinuhan Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln Brendan Hyde Australian Catholic University 2. Ang Karanasan ng mga Intsik na Naulila: Isang Paunang Pag-aaral ng Paggawa ng Kahulugan at Pagpapatuloy ng mga Bono Cecilia LW Chan, Amy YM Chow, Samuel M., Y. Ho, Yenny KY Tsui, Agnes F. Tin, Brenda WK Koo & Elaine WK Koo Center on Behavioral Health at Department of Social Work & Social Administration, The University of Hong Kong, Hong Kong 3. MGA PANGARAP BILANG PARAAN NG KOMUNIKASYON SA PAGITAN NG BUHAY AT MGA PATAY ETHNOGRAPHIC CASE STUDY MULA SA SLOVAKIA - GABRIELA KILIÁNOV Á 4. Santos, Narry F. “Paggalugad sa mga Katutubong Filipino na Relihiyosong Konsepto ng Diyos, Kaluluwa at Kamatayan na Kaugnay ng Mundo ng Espiritu.” Phronesis: A Journal of Asian Theological Seminary 13, blg. 2 (2008): 31-55 5. Espirituwal na Karanasan, Pagdalo sa Simbahan, at Pangungulila Larry W. Easterling, Th.D. ACPE Supervisor/Pastoral Counselor Scott at White Memorial Hospital 2401 South 31st Street Temple, TX 76508 Kenneth W. Sewell, Ph.D. Direktor ng Clinical Psychology Training Program University of North Texas Denton, TX Louis A. Gamino, Ph.D. Psychologist Scott at White Memorial Hospital 2401 South 31st Street Temple, TX 76508 Linda S. Stirman, BSN Coordinator ng Clinical Studies Unit Scott at White Memorial Hospital 2401 South 31st Street Templo, TX 7650 6. (Irish) Panaginip at pangungulila Brenda Mallon Tagapayo at Psychotherapist LAHAT AY MAY PANGARAP at, kaaya-aya o nakakatakot, magagamit ang mga ito sa pangangalaga sa pangungulila bilang panimulang punto upang matugunan ang mga emosyonal na aspeto ng pagkawala. Ang mga panaginip ay makakatulong sa mga naulila na tanggapin ang kawalan, ng taong namatay, o harapin ang mga damdaming pinipigilan ~ o iniiwasan sa paggising sa buhay. Para sa ilan, nag-aalok din sila ng ' espirituwal na kaaliwan. Ang pagtatrabaho sa mga pangarap ay isang malalim na kasiya-siyang proseso na maaaring magbigay ng kapangyarihan sa kliyente at tagapayo. Manchester, UK 7. ANG MGA PANGARAP TUNGKOL SA NAMATAY BILANG ANYO NG KOMUNIKASYON SA IBANG MUNDO (Romania - Serbia) Abstract: Pagkatapos ng summative review ng mga panaginip tungkol sa namatay bilang isang paraan ng komunikasyon sa ibang mundo na pananaliksik sa ngayon, na may espesyal na diin sa mga pangarap ng namatay, pinag-isipan ng may-akda ang isang buong hanay ng mga paksa na natanto sa ganitong uri ng pagsasalaysay tungkol sa mga pangarap batay sa materyal sa fieldwork na nakuha sa iba't ibang lugar sa Serbia at sa mga komunidad ng Serbian sa Romania. 8. Icelandic na pag-aaral ng mga karanasang saykiko: Mga karanasang saykiko – ikatlo ng isang siglo ang pagitan. Dalawang kinatawan na survey sa Iceland. Journal of the Society for Psychical Research, 75, 903, 76-90. Enero 2011 Ang Journal ng American Society para sa Psychical Research 75(9ö3):76-90 Erlendur Haraldsson University of Iceland Sinasabi ng pag-aaral na "Ang pagkakaroon ng ilang karanasan ng isang namatay na tao ay karaniwan din, na iniulat ng 45% ng mga kababaihan at 28% ng mga lalaki (isang kapansin-pansing pagkakaiba sa kasarian). Halos kalahati ng mga karanasang ito ay nakikita sa kalikasan, na may 60% ng grupong ito ng mga respondent na nakatagpo ng namatay na malapit na kamag-anak, 39% ng isang estranghero, at 4% ng kanilang namatay na asawa Mahigit sa kalahati ang nakaranas ng higit sa isang pakikipagtagpo sa isang namatay tao." Nabanggit ko nga sa sanaysay na ito na ang mga pangyayari sa mga sitwasyon sa buhay ng mga tao ay madalas na hindi pinapansin 9. Espirituwal na Kabagabagan sa Pangungulila: Ebolusyon ng isang Programang Pananaliksik Laurie A. Burke * at Robert A. Neimeyer Department of Psychology, University of Memphis, Memphis, TN 38152, USA; 10. The Other Side of Suicide: A Postmaterial Analysis of Afterlife Memoir ni HM Rimke, PhD Gusto kong banggitin na ang pagpapakamatay ay malamang na magdulot ng pagkabalisa - plus! 11. The Spirits of the Dead in Saulteaux Life and Thought (Mga) Author: A. Irving Hallowell Source: The Journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Vol. 70, No. 1 (1940), pp. 29-51 Inilathala ni: Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland 12. Pangarap tungkol sa mga Patay sa Premodern Korea (17th-19th Century) Marion Eggert p. 43-72 https://doi.org/10.4000/extremeorient.1074 "Ang kultural, pilolohikal at historikal na pag-aaral ng mga panaginip, lalo na ang huling dalawa o tatlong dekada, ay nagtuon ng mas matinding pagsisikap sa pagsasasaysay ng karanasan sa panaginip. Habang ang mga naunang paghahambing na pag-aaral ng mga kultura ng panaginip, kadalasan sa ilalim ng impresyon ng psychoanalytical na teorya ng panaginip, ay higit na nakatuon sa paghahanap ng mga unibersal sa kapangyarihan, apela at mga pag-andar ng panaginip, ang tubig ay bumaling patungo sa pag-unawa sa panaginip bilang isang partikular na kultural na kababalaghan, kapaki-pakinabang. para sa pag-unraveling ng mga kultural na grammar kung saan ang mga diverging semantics ng pangarap feed, at kung saan sila nagmula. Ang kasalukuyang sanaysay ay matatag na nakaugat sa parehong pagpupunyagi—ang pag-unawa sa kultura sa pamamagitan ng mga paraan ng pakikitungo nito sa mga pangarap.2 Gayunpaman, sa halip na maghangad na tukuyin ang mga partikular na kultural na code na ipinahayag sa pamamagitan ng panaginip na diskurso, kailangan ang paunang pag-unawa sa mga kultural na code ng Sinic na may kaugnayan sa mga pangarap bilang background. Batay dito, ginagamit nito ang mga salaysay ng mga panaginip—mas partikular, ang paggamit ng motif ng panaginip sa mga tekstong sakripisyo para sa mga yumaong mahal sa buhay—bilang isang landas para sa paglalarawan ng pansariling karanasan ng kalungkutan at pagdadalamhati sa kulturang aristokratikong Korean ng dinastiyang Chosŏn, sa pag-asa na ito ay maaaring gumana bilang isang maliit na kontribusyon tungo sa isang mas mahusay na pag-unawa sa pagbuo ng subjectivity sa mga Confucian literati sa Chosŏn Korea. The Dreams: Causation Ang Mga Pangarap: Mga Nilalaman Mga pangarap sa muling pagsasama State-of-the-dead na mga pangarap Mensahe ng mga pangarap Mga pangarap sa paghihiwalay Proseso ng Pagluluksa at Mga Late Chosŏn Subjectivity 13. Mga Konstruksyon ng Kapighatian ng Pamilyang Mexican American Pagkatapos ng Kamatayan ng Isang Bata; Isang Exploratory Study GERRY DORAN NANCY DOWNING HANSEN Fielding Graduate University 14. Ang Epekto ng Mga Pangarap ng Namatay sa Pangungulila: Isang Survey ng mga Tagapangalaga ng Hospice Scott T. Wright, BA, Christopher W. Kerr, MD, PhD ckerr@palliativecare.org, [...], at Debra L. Luczkiewicz, MD+3Tingnan ang lahat ng mga may-akda at kaakibat Volume 31, Isyu 2 Karamihan sa mga kalahok ay nag-ulat na ang kanilang mga panaginip ay alinman sa kaaya-aya o parehong kaaya-aya at nakakagambala, at kakaunti ang nag-ulat na puro nakakagambalang mga panaginip. Ang mga pangunahing tema ng panaginip ay kinabibilangan ng mga masasayang alaala o karanasan sa nakaraan, walang karamdaman ang namatay, mga alaala ng pagkakasakit ng namatay o oras ng kamatayan, ang yumao sa kabilang buhay ay nagmumukhang komportable at payapa, at ang yumao ay naghahatid ng mensahe. 15. To the Afterworld and Back: Pagluluksa at Panaginip ng mga Patay sa mga Toraja (Mga) May-akda: Douglas Hollan, Ethos, Vol. 23, No. 4, Coping with Bereavement (Dis., 1995), pp. 424-436 Wiley sa ngalan ng American Anthropological Association Ang Toraja ay mga magsasaka ng basang bigas na nakatira sa mou South Sulawesi, Indonesia. Bagama't ang karamihan sa mga p ay Kristiyano na ngayon, ang ilang nasa katanghaliang-gulang at mas matatandang taganayon ay sumusunod sa tradisyunal na relihiyon, ang Alukta, na kung saan ay ang pagsamba at pagpapalubag sa iba't ibang espiritu (deata) isang pigura ng ninuno (nene'). Kapag nanaginip tayo ng ganyan [ng namatay na magulang], madalas totoo.... Kung nanaginip tayo, darating siya na may dalang gulay para sa mga baboy, [ibig sabihin] uunlad ang ating mga baboy ... At kadalasan kung tayo may sakit tayo, at pagkatapos ay nanaginip tayo na dumating ang patay na may dalang tubig, mabilis tayong gumaling! O halimbawa, kung dumating siya, na may dalang sulat, tatanggap kami ng pera ... Oo, ilang beses na akong nanaginip ng tulad ng mga halimbawang iyon. 16. Normal na Kalungkutan at Masalimuot na Pangungulila sa mga Traumatized na Cambodian Refugees: Konteksto ng Kultural at ang Pangunahing Papel ng Mga Pangarap ng Patay Devon E. Hinton • Sonith Peou • Siddharth Joshi • Angela Nickerson • Naomi M. Simon
Profil de Charles E Peck Jr academia.edu https://independentscholar.academia.edu/CharlesPeckJr Abonnés 1 900 ; Lecteurs engagés 3 771 ; Nombre total de vues 391 000+ Les mythes comme cartes symboliques de la conscience sociale : les dieux du tonnerre, Zeus, Héraclès, Thor, Indra ; les mythes germaniques et vikings antiques comme cartes symboliques de la conscience sociale La bataille de Thor contre le Jötnar (1872) de Mårten Eskil Winge.jpg Dans la mythologie nordique, Thor est le dieu de la foudre, du tonnerre, des tempêtes, des bosquets et des arbres sacrés, de la force et de la protection de l'humanité. Yggdrasill, l'arbre du monde, un frêne géant soutenant l'univers. Il est étroitement lié à l'arbre de vie (semblable au jardin d'Eden dans le judaïsme et l'islam... De même, dans la mythologie grecque, Zeus était le roi des dieux, le souverain du ciel et le dieu du tonnerre et de la foudre. Zeus était également le « dieu » des serments et les origines de « nous » - la sagesse. Rappels au Règlement Définition du mythe : « mythe, récit symbolique, généralement d’origine inconnue et au moins en partie traditionnel, qui relate ostensiblement des événements réels et qui est particulièrement associé à la croyance religieuse. Il se distingue du comportement symbolique (culte, rituel) et des lieux ou objets symboliques (temples, icônes). Comme pour tout symbolisme religieux, il n’y a aucune tentative de justifier les récits mythiques ou même de les rendre plausibles. Chaque mythe se présente comme un récit factuel faisant autorité, peu importe à quel point les événements relatés sont en contradiction avec la loi naturelle ou l’expérience ordinaire. » Mon argument est que les mythes en tant que cartes symboliques de la conscience sociale les rendent plausibles. 1. Iain McGilChrist, Muzafer Sherif, Kant affirment que le contexte du monde réel est vital. Les gens sont la seule source d'un véritable contexte du monde réel pour les croyances spirituelles et religieuses. 2. K Gergen : « Une bonne connaissance cartographie ou reflète les réalités du monde réel ! » - « Pour comprendre quelque chose, que nous en soyons conscients ou non, il faut choisir un modèle ! » Iain McGilChrist La science ne peut pas résoudre le mystère ultime de la nature. Et cela parce que, en dernière analyse, nous faisons nous-mêmes partie du mystère que nous essayons de résoudre. - Max Planck La vie ne consiste pas à se trouver soi-même. La vie consiste à se créer soi-même ! - George Bernard Shaw Peut-être qu'une évaluation plus ciblée pourrait être la suivante : « Se trouver soi-même » - se débattre avec « ce qui est » - est un acte de création. De plus, « ce qui est » est une cible mouvante. « Ce qui est aujourd'hui » changera très souvent d'ici demain. Même pour l'humanité, la conscience humaine change et évolue. Nous ne pouvons pas vivre dans un monde qui n’est pas le nôtre, dans un monde qui est interprété pour nous par d’autres. Un monde interprété n’est pas un foyer. Une partie de la terreur consiste à reprendre notre propre écoute, à utiliser notre propre voix, à voir notre propre lumière ! - Hildegarde de Bingen Hildegarde de Bingen (1098 – 1179) était une écrivaine, compositrice, philosophe, mystique, visionnaire, abbesse bénédictine allemande et une personne spirituelle historiquement connue sous le nom de Sibylle du Rhin – elle comprenait donc la spiritualité dans un sens de l'intérieur. Hildegarde de Bingen identifie à juste titre un facteur important dans la « volonté de comprendre ». En effet, pour créer nos propres interprétations et compréhensions, notre esprit analyse et absorbe « ce qui est » de différentes manières et le fait ainsi nôtre . Au cours de mes recherches, j'ai découvert un cas dans l'histoire de la Grèce antique où les Grecs ont colonisé la Sicile et après cela, des mythes sont apparus sur les exploits du héros grec Hercule. Hildegard avait donc raison dans son évaluation J’ai pensé qu’il fallait ajouter une observation astucieuse de Tina : j’ai appris qu’il y a « trois façons d’apprendre la sagesse : premièrement, par la réflexion, qui est la plus noble ; deuxièmement, par l’imitation, qui est la plus simple ; troisièmement, par l’expérience, qui est la plus douloureuse. » Les neurosciences modernes ont démontré – dans le domaine de la morale et de la musique par exemple – qu’un certain nombre de processus interconnectés et superposés sont impliqués dans ces « fonctions ». Dans ce contexte, le neuroscientifique Joshua Greene et ses collègues ont réalisé des expériences fascinantes qui se concentraient sur la façon dont le cerveau traite les dilemmes et les situations morales. Pendant que les sujets étaient interrogés sur des dilemmes moraux, ils subissaient une IRM pour voir quelles parties du cerveau étaient actives. Les dilemmes présentés étaient ceux du tramway et de la passerelle. Ils ont découvert que le dilemme de la passerelle (situation de proximité et personnelle) activait des régions différentes du cerveau que le dilemme du tramway plus impersonnel. Autrement dit, les situations déclenchaient l'action de différentes régions du cerveau et différentes régions du cerveau travaillaient en tandem. Conclusion : Les premières sociétés humaines ne définissaient ni ne déterminaient la réalité du monde, elles la créaient – elles lui donnaient un sens et se l’appropriaient. Préparation du terrain : Contexte I. Inconscient : perception sociale automatisée, catégories mentales, symbolisme A. Inconscient : la part du lion intimement liée à l'environnement Les recherches modernes sur l’inconscient démontrent que « l’inconscient » traite 11 millions de bits de données par seconde contre 40 bits de données par seconde traités par les processus cognitifs « Notre capacité de traitement conscient n'est pas insignifiante, mais il est clair qu'il s'agit simplement d'un bassin de rétention comparé à l'océan de l'inconscient. » (Extrait de : Forbes : Votre cerveau voit même lorsque vous ne voyez pas, 24 juin 2013) B. La part du lion : Trois grandes formes d’autorégulation automatique : John Bargh observe trois formes principales : « un effet automatique de la perception sur l’action, la poursuite automatique d’un objectif et une évaluation automatique continue de son expérience. À partir des preuves accumulées, les auteurs concluent que ces divers systèmes mentaux non conscients effectuent la part du lion du fardeau de l’autorégulation, en gardant l’individu bien ancré dans son environnement actuel. » (p. 462) C. la perception sociale implique des processus inconscients largement automatisés John Bargh observe : « L’idée selon laquelle la perception sociale est un phénomène psychologique largement automatisé est désormais largement acceptée. » La perception sociale est l’essence même de la conscience sociale. « Nos identités sont multiples : mère, musicienne, enseignante, passionnée de yoga, fan de NASCAR. Dans chacune de ces [identités] se trouvent des connaissances implicites et enracinées sur les valeurs et les comportements appropriés, les goûts et les dégoûts, les manières d’être. » Commentaire : Si vous pensez aux quantités massives d’informations impliquées dans les interactions sociales, cela met en perspective la nécessité d’un traitement inconscient. Même dans les échanges de base entre deux personnes, de nombreuses informations telles que le ton de la voix, le langage corporel, les gestes des mains et les traits du visage sont nécessaires, et des études montrent qu’ils véhiculent beaucoup d’informations. Il faut également tenir compte du contexte social et des circonstances. De plus, il existe des processus de théorie de l’esprit qui traitent les informations sur les intentions d’une autre personne. D. Catégories mentales et perception sociale « Les catégories mentales sont absolument essentielles pour simplifier et comprendre l'environnement riche en informations, le lien explicite entre la perception [de l'environnement] et l'action existe probablement pour une bonne raison adaptative, comme la création de préparations comportementales appropriées en l'absence de conseils et de surveillance conscients. Au sein d'un groupe social, on a plus de chances de s'entendre harmonieusement avec les autres membres du groupe si l'on se comporte de la même manière que si l'on est « désynchronisé » et se comporte différemment. Il est donc logique que la tendance comportementale par défaut dans une interaction soit basée sur la perception de ce que fait l'autre personne (avant que vous ne le sachiez). Les recherches de Bargh mettent l'accent sur les stéréotypes et les normes qui créent ces « catégories mentales » E. Symboles, drapeaux et la connaissance symbolique de Kant : Kant, Nietzsche, Ortega Gasset, Heschel, Heidegger et la plupart des philosophes occidentaux affirment catégoriquement que les symboles sont essentiels à la compréhension et à la connaissance. Cependant, la plupart des philosophes affirment également que le symbolisme reste, dans une très large mesure, en dehors du domaine des processus cognitifs et de l'analyse rationnelle. En effet, le symbolisme et la quantification sont des principes qui s'excluent mutuellement. Emmanuel Kant, philosophe allemand des Lumières (1724-1804), a créé la théorie de la « connaissance symbolique ». Abraham Heschel a observé : « Kant a démontré qu’il est absolument impossible d’atteindre la connaissance du monde tel qu’il est, car la connaissance est toujours sous forme de catégories et celles-ci, en dernière analyse, ne sont que des constructions représentatives destinées à percevoir ce qui est donné. » John Glenn souligne que « les concepts de base (les catégories et les idées de la raison) que l’esprit humain utilise ne peuvent être conçus que parce qu’ils sont susceptibles d’être d’abord présentés sous une forme symbolique concrète ! » Abraham Heschel souligne le fait que les « drapeaux » sont l’illustration la plus évidente, la plus répandue et la plus efficace des « symboles ». Bien entendu, les chrétiens reconnaissent Jésus-Christ sur la croix comme un « symbole » – un symbole ayant des significations diverses pour différentes personnes. Kant souligne que Dieu ne peut être compris que symboliquement – ce qui est conforme à la déclaration de saint Grégoire de Nysse : « La divinité illimitée et incompréhensible reste au-delà de toute compréhension. » II. Génétique, symbolisme spirituel et énergie A. La génétique de la spiritualité Tim Spector, dans l'article, Ce que les jumeaux révèlent sur la science de la foi (Popular Science, 8 août 2013) déclare : « Ils [les chercheurs] ont estimé que l'hérédité de la spiritualité était d'environ 40 à 50 pour cent, ce qui est assez élevé... Ces études démontrent notre sens variable mais inné de la spiritualité, qui affecte la façon dont nous percevons le monde, nous-mêmes et l'univers. B. Preuves sociologiques du symbolisme spirituel inconscient – Fandom Star Wars et Harry Potter Rhiannon Grant, dans The Sacred in Fantastic Fandom, observe qu’en 2001, le gouvernement britannique a organisé un recensement régulier, mais il a inclus une nouvelle question sur la religion. En réponse, près de 0,8 pour cent de la population totale a déclaré être un « Jedi » ou un chevalier Jedi ! (p. 38). Ces résultats ont été répétés en Australie et en Nouvelle-Zélande. » La popularité sociale contemporaine-moderne de Star Wars et Harry Potter, et des nombreux autres fandoms imaginatifs, fournit des données massives et des preuves de l’existence d’un symbolisme spirituel inconscient. C. Symbolisme inconscient énergisé À la lumière de la « réalité sociologique » des fandoms de Star Wars et d'Harry Potter, les symboles spirituels pourraient être mieux compris en termes de l'argument de Nancy Furlotti qui déclare : « L'affect émerge des archétypes, qui sont les principes d'ordre a priori de la nature, du monde et de la psyché. Lorsqu'un archétype est activé, une énergie est mise en mouvement qui n'adhère pas aux lois de la causalité, du temps et de l'espace. » (Tracing a Red Thread: Synchronicity and Jung's Red Book:(2010), Psychological Perspectives, 53:4, 455-478) Les croyances et les idées sont très réelles et incroyablement puissantes. De ce point de vue, l'idée de « l'esprit » en tant qu'énergie et force est très réelle, en particulier à la lumière des forces sociales et de la conscience sociale et collective de Durkheim. D. Paradigme du prisme : le modèle du filtre énergétique L’énergie « provenant » du symbolisme inconscient est traitée et filtrée – comme une métaphore de la lumière (énergie) entrant dans un prisme et de différentes couleurs émergeant de l’autre côté du prisme. – Comme une expression de la spiritualité personnelle-individuelle. Comme le soulignent William James et les neurosciences modernes, les individus ont des points de vue différents parce qu’ils filtrent ou traitent différemment les données et les informations. La personnalité, l’éducation, la culture, l’environnement, l’ethnicité et les expériences sont des facteurs déterminants. E. L'attention sélective comme trait adaptatif évolutif Bernhard Hommel et al. observent : « Quel est le rapport avec l’attention ? Quelques phrases après cette célèbre phrase que nous avons citée plus haut, James écrit que l’attention « implique un retrait de certaines choses afin de traiter efficacement d’autres ». … Et bien que ces circuits simples de régulation du comportement interactif puissent sembler très éloignés de la cognition supérieure des humains, ils sont en effet les précurseurs [circuit d’approche du tectum rostral] des mécanismes qui contrôlent ce que l’on a appelé « l’attention sélective ». On soutient que la sélectivité dans le traitement est apparue au cours de l’évolution comme une caractéristique de conception d’un système sensorimoteur multicanal complexe, qui génère des phénomènes sélectifs d’« attention » comme l’un des nombreux sous-produits. (Personne ne sait ce qu’est l’attention » Bernhard Hommel & Craig S. Chapman & Paul Cisek & Heather F. Neyedli & Joo-Hyun Song & Timothy N. Welsh) L’histoire de John Bargh illustre le pouvoir et l’influence de l’attention. John Bargh, chercheur et psychologue de l’inconscient, observe : « Quand j’avais environ douze ans, nous avons eu une grande réunion de famille et j’ai décidé d’apporter un magnétophone pour que nous ayons un enregistrement de nos grands-parents, oncles, tantes et cousins pour la postérité. Je viens d’une grande famille élargie, donc c’était une pièce très bruyante. Pendant la réunion, notre grand-mère s’est assise sur le canapé et a raconté de belles histoires au milieu de toutes les autres conversations. Nous les avons écoutées et appréciées, et quelques jours après la réunion, nous sommes retournés les écouter à nouveau. Quelle déception ! Que du bruit, du bruit, du bruit, un million de personnes qui parlaient en même temps et aucun moyen de distinguer sa voix de celles des autres personnes qui parlaient, même si nous l’entendions très clairement à ce moment-là. Nous avons rapidement compris que nous n’avions pas remarqué le bruit de fond parce que nous avions été tellement captivés par les histoires de notre grand-mère. Nous avions filtré ce que les autres disaient. (p. 111 Avant que vous ne vous en rendiez compte) Mythe, cartes symboliques et conscience sociale 1. Iain McGilChrist, Muzafer Sherif, Kant affirment que le contexte du monde réel est vital. Les gens sont la seule source d'un véritable contexte du monde réel pour les croyances spirituelles et religieuses. 2. K Gergen : « Une bonne connaissance cartographie ou reflète les réalités du monde réel ! » - « Pour comprendre quelque chose, que nous en soyons conscients ou non, il faut choisir un modèle ! » Iain McGilChrist 3. « Les forces devant lesquelles le croyant s’incline ne sont pas de simples énergies physiques, telles qu’elles se présentent aux sens et à l’imagination ; ce sont des forces sociales », Émile Durkheim Contexte des modèles symboliques comme thérapie clinique Cartes symboliques et modèles - Contexte : Lorsque j'ai cherché sur Google des cartes symboliques et des modèles symboliques, je n'ai pas trouvé grand-chose. Sous la catégorie des cartes symboliques, les symboles dans les cartes géographiques étaient la principale catégorie qui apparaissait. Sous la catégorie des modèles symboliques, la thérapie en psychologie clinique a été une réponse de taille. « La pratique de la modélisation symbolique repose sur deux théories complémentaires : les métaphores par lesquelles nous vivons et les modèles par lesquels nous créons. Elle considère l'individu comme un système auto-organisé qui encode une grande partie de la signification des sentiments, des pensées, des croyances, des expériences, etc. dans l'esprit incarné sous forme de métaphores. La modélisation symbolique vise à accroître la conscience du « domaine symbolique d'expérience » personnel des clients, en les aidant à développer un « paysage métaphorique » unique et à explorer leurs métaphores internes, qui, dans la théorie de la métaphore conceptuelle, sont considérées comme régissant le comportement. » (Wikipedia - Modélisation symbolique) Ainsi, les mythes en tant que modèles-cartes symboliques sont une nouvelle approche - semble-t-il Mythes : les mythes mésopotamiens, zeusiens et germaniques-nordiques comme cartes symboliques et modèles de conscience sociale I. Même un aperçu précurseur des dieux mésopotamiens révèle de nombreux exemples de cartes symboliques de – pour la conscience sociale. Geertz a observé que les symboles spirituels et religieux étaient à la fois des cartes « de » et des cartes « pour ». Vous trouverez ci-dessous quelques dieux mésopotamiens associés à la sagesse, à la justice et à d’autres aspects de la vie : • Shamash : Divinité solaire et juge des dieux et des hommes, Shamash était connu comme le dieu de la justice et de l'équité. Il était membre des Anunnaki , une classe spéciale de dieux mésopotamiens. • Marduk : Dieu babylonien de la justice, de la compassion, de la guérison et de la magie, Marduk était également le dieu patron de Babylone et était parfois considéré comme le dieu de la création. • Enki : Dieu babylonien de la sagesse et des eaux douces, Enki était aussi le dieu de la magie et le patron des artisans, des artisans et des exorcistes. • Nabu : Dieu de la sagesse et de l'apprentissage, Nabu était le scribe de Marduk et avait la capacité de réaliser les prophéties en les écrivant. • Inanna : Également connue sous le nom d'Ishtar ou d'Astarté, Inanna était la déesse du sexe, de la guerre et de la justice. Elle était également connue sous le nom de Reine du Ciel et on lui prêtait la capacité de changer le sexe d'une personne. • Enlil : Divinité centrale dans la vision du monde mésopotamienne, Enlil était à la fois créateur et destructeur, avec une autorité et un contrôle inaltérables sur le destin. • Anu : Dieu mésopotamien du ciel, Anu était aussi le roi des dieux. On lui attribue parfois la création des humains avec l'aide de ses fils Enlil et/ou Enki. II. Le mythe de Zeus comme modèle symbolique de la conscience sociale Zeus, le père et le souverain des cieux et de la terre, était rempli de symboles et de symbolisme abondants. Les éclairs de Zeus symbolisaient la puissance brute et le contrôle de la nature. Zeus, bien sûr, avait un sceptre royal et un trône qui symbolisaient « l'autorité » et le pouvoir social. L'aigle et le taureau étaient les « animaux sacrés » de Zeus. Zeus enleva Ganymède sous la forme d'un aigle et Europe sous la forme d'un taureau. Dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs, la capacité de se transformer en animaux était souvent supposée. Bien qu'il soit généralement représenté avec une longue robe (chiton) et un manteau (himation), il était parfois représenté nu. « Comme il convenait à son rôle de roi des dieux, Zeus était accompagné d'un grand nombre de divinités mineures. Son trône était gardé par quatre esprits ailés, deux hommes et deux femmes , nommés Kratos (Force), Zelos (Rivalité), Nike (Victoire) et Bia (Force). Kratos et Bia fonctionnaient comme des exécuteurs musclés et étaient chargés de tâches telles que l'arrestation et l'emprisonnement du Titan Prométhée. Nike conduisait le char de Zeus et l'accompagnait souvent sous une forme miniature comme une sorte de familier divin. Le dieu Hermès était le héraut personnel de Zeus qui agissait comme diplomate, envoyé et agent général de la volonté du dieu. Son messager était Iris, la déesse ailée de l'arc-en-ciel, qui se contentait de relayer les messages mot pour mot et de délivrer des ordres aux autres dieux. La grande conseillère de Zeus , Thémis, déesse de la loi et de l'ordre, était assise à côté de son trône. Elle était accompagnée de leurs six filles les Moirai (Destins) et les Horai (Saisons). Ces déesses étaient collectivement responsables du bon fonctionnement du cosmos. Thémis était également chargée de convoquer tous les dieux pour les rassembler dans la cour de Zeus. Métis, déesse de la sagesse, était peut-être sa servante la plus inhabituelle. Zeus l'avala tout entière pour éviter une prophétie et elle s'installa dans son ventre. Les Grecs de l'Antiquité croyaient que le ventre plutôt que le cerveau était le siège de la pensée et des émotions, et donc en la subsumant, il implanta effectivement de sages conseils dans son esprit. Elle continua d'exister sous une forme ou une autre au sein du dieu, allant même jusqu'à y donner naissance à Athéna et à l'équiper d'armures et d'armes avant sa seconde naissance dans la tête de Zeus. Fondateur du pouvoir royal, de la loi et de l'ordre, Dice, Thémis et Némésis lui sont adjoints. C'est pour cette même raison qu'il protège l'assemblée du peuple ( agoraios ), les réunions du conseil ( boulaios ), et comme il préside à tout l'État, il préside aussi à chaque maison et à chaque famille. Il veille aussi à la sainteté du serment ( horkios ), à la loi de l'hospitalité ( xénios ), et protège les suppliants. Il venge ceux qui ont été lésés et punit ceux qui ont commis un crime, car il surveille les actions et les souffrances de tous les hommes. "Il était aussi la source originelle de tout pouvoir prophétique, de qui provenaient tous les signes et tous les sons prophétiques. Tout ce qui est bon ou mauvais vient de Zeus, et selon son propre choix, il assigne leur sort bon ou mauvais aux mortels et le destin lui-même lui était subordonné." (https://www.theoi.com/Olympios/Zeus.html) III. La mythologie nordique : un autre type de conscience sociale « La structure sociale viking était un système hiérarchique, fondamentalement divisé en trois classes principales : les Jarls, les Karls et les Thralls, reflétant les valeurs de la société en matière de pouvoir, de richesse et de liberté. Les Jarls étaient l'élite dirigeante avec richesse et terres, les Karls étaient des paysans libres et des artisans qualifiés, et les Thralls étaient des esclaves sans droits, capturés lors de raids ou nés en servitude. Cette stratification a joué un rôle crucial dans la société viking, influençant leurs pratiques de raid, de commerce et de gouvernance, et reste un aspect clé de notre compréhension de la culture nordique. » (Study Smarter Viking Social Structure) Carole Cusack, dans son essai sur Durkheim et la culture germanique antique, observe : « La relation entre les classes sociales et leurs dieux particuliers est élaborée dans le poème eddaique Rigsthula , qui raconte comment le dieu Heimdell est devenu l'ancêtre des trois classes sociales.7 Déguisé en Rig, Heimdell se présente dans une maison très pauvre et est accueilli par son arrière-grand-mère et son arrière-grand-père. Il dort trois nuits avec eux et s'en va. Elle a plus tard un fils, appelé Thrall. Il est basané et accomplit les tâches subalternes de la vie. Il épouse Drudge, et ils ont une couvée d'enfants laids, tous avec des noms péjoratifs. Rig continue son voyage et reste trois nuits avec sa grand-mère et son grand-père, qui donnent naissance à un fils, Karl, propriétaire foncier. Ses descendants ont des titres plus flatteurs, notamment ceux d'artisans et d'artisans. Finalement, Rig reste avec son père et sa mère, qui l'accueillent somptueusement dans leur luxueuse demeure. Sa mère aura plus tard un fils, Jarl. Contrairement à ses autres enfants, Jarl est élevé par Rig et par l'un de ses descendants, Konr. Ungr devient le premier roi. Chacun de ces descendants de Rig est typique de la classe à laquelle il appartient. Thrall est noir, laid et privé de toute participation aux aspects les plus raffinés de la vie ; les esclaves de l'ancienne Scandinavie n'avaient que peu ou pas de droits et n'avaient aucune existence légale. Leurs mariages n'étaient pas reconnus et ils n'avaient aucune autorité sur leurs enfants.8 Karl est décrit comme un homme vermeil et fort, qui aime la terre. Il est travailleur et un membre précieux de la société. Il n'est pas différent de son dieu protecteur, Thor, également un paysan fort et vermeil.9 Le yeoman était en fait la base de la société à l'époque viking. La classe guerrière pouvait faire des raids et du commerce, mais quelqu'un devait rester dans le pays d'origine et travailler la terre pour assurer une nourriture adéquate à tous les membres de la société. Les esclaves et les jarlars dépendaient en quelque sorte de la yeomanry pour leur bien-être.10 Jarl, le représentant de la classe aristocratique, est décrit comme un guerrier : le Rigsthula dit de lui : « Il brandissait des boucliers et enroulait des cordes d'arc, Il tirait des arcs et façonnait des flèches, Il décochait des flèches et brandissait des lances, Il montait des chevaux et lâchait des chiens, Il maniait des épées et il nageait dans les eaux troubles. »11 C'est précisément le rôle joué par l'aristocratie scandinave, qui était avant tout une classe de guerriers, et qui acquérait sa richesse en pillant les pays voisins . Jarl est associé à la couleur blanche, comme l'étaient plusieurs des dieux nordiques. Il fait également référence à la blancheur du teint des Scandinaves. La différence entre Konr ungr et les autres descendants de Jarl sont assez clairement exprimés : Konr Ungr devient roi et jouit de la domination sur sa famille parce qu'il est un magicien, possédant le pouvoir des runes. Il est ainsi décrit dans le Rigsthula : « Mais Kon le Jeune apprit à utiliser les runes éternelles, les runes de vie ; bientôt il put bien utiliser le bouclier du guerrier, émousser la lame de l'épée et calmer les mers. Il apprit le bavardage des oiseaux, il put atténuer les flammes, calmer les esprits et apaiser les chagrins. »12 Odin est le dieu des runes, celui qui jouit de la domination en raison de ses connaissances magiques ; en tant que tel, il est un dieu approprié pour Konr La classe aristocratique de la Scandinavie préchrétienne assurait à la fois l'autorité temporelle et spirituelle. Les deux fonctions étaient généralement réunies dans le godar ( godi au singulier ). Il était à la fois le seigneur temporel d'une région spécifique et l'autorité sacerdotale de cette région. (Emile Durkheim en perspective - Mise en contexte de la religion germanique antique Essai par : Carole Cusack CONFÉRENCIER : Professeur Eric J. Sharpe - SUJET : Études religieuses III ( avec distinction ) « Les forces devant lesquelles le croyant s'incline ne sont pas de simples énergies physiques, telles qu'elles se présentent aux sens et à l'imagination ; ce sont des forces sociales », Emile Durkheim .) Conscience sociale historique, forces sociales et ordre social et moral Les mythes comme forces sociales : cartes symboliques et modèles de la conscience sociale « Les forces devant lesquelles le croyant s’incline ne sont pas de simples énergies physiques, telles qu’elles se présentent aux sens et à l’imagination ; ce sont des forces sociales. » La perception sociale et la conscience sont l’ordre social : Ramon Reyes souligne l’aspect unificateur de la spiritualité dans les sociétés philippines préhistoriques et dans les premières sociétés humaines : « En résumé, l’ordre social et moral englobe les vivants, les morts, les divinités et les esprits. » C’est-à-dire que les croyances spirituelles et religieuses des premières sociétés humaines ont créé et maintenu une conscience sociale – un ordre social et moral. On peut voir dans la mythologie de Zeus que le même principe s’applique. Zeus incarnait la loi et l’ordre, la sagesse, l’hospitalité et les serments – toutes des valeurs prosociales. Les recherches de Ramon Reyes soutiennent l’argument de Durkheim : « En effet, l’ordre social des Ifugao dans son ensemble, y compris les modes de vie pratiques, les institutions et les règles sociales, la moralité et tout le reste, constitue un système unitaire ; et il est considéré comme un phénomène religieux d’origine surnaturelle. » Décrivant un exemple de cette vision du monde préhistorique des Philippins, un anthropologue dit : « En traitant l’ environnement comme un élément social, les gens reçoivent une explication ordonnée des phénomènes « naturels ». En résumé, un ordre social et moral englobe les vivants, les morts, les divinités et les esprits, ainsi que l’environnement dans son ensemble. » Zeus : les mythes comme cartes symboliques de la conscience sociale Les croyances spirituelles de la Grèce antique – et notamment Zeus – étaient considérées comme une conscience sociale et un ordre socio-moral. Zeus, en tant que symbole, était « le fondateur du pouvoir royal, de la loi et de l’ordre, d’où le fait que Dé, Thémis et Némésis sont ses assistants. Pour la même raison, il protège l’assemblée du peuple ( agoraios ), les réunions du conseil ( boulaios ), et comme il préside à l’ensemble de l’État, il préside également à chaque maison et famille. Il veillait également à la sainteté du serment ( horkios ), à la loi de l’hospitalité ( xenios ) et protégeait les suppliants. Il vengeait ceux qui avaient été lésés et punissait ceux qui avaient commis un crime, car il observait les actions et les souffrances de tous les hommes. » Dans Les Formes élémentaires de la vie religieuse, publié pour la première fois en 1912, Émile Durkheim, l'un des pères fondateurs de la sociologie, affirmait qu'« une religion est un système unifié de croyances et de pratiques relatives aux choses sacrées, c'est-à-dire aux choses mises à part et interdites, croyances et pratiques qui unissent en une seule communauté morale appelée Église, tous ceux qui y adhèrent ». Carole Cusack a observé dans un essai il y a 40 ans : « La théorie d'Émile Durkheim concernant la nature et les origines du phénomène religieux, articulée dans Les Formes élémentaires de la vie religieuse1, soutenait essentiellement que la religion n'avait rien à voir avec un monde et des êtres surnaturels existants ou imaginaires ; mais était plutôt un reflet et une amplification de la société et des valeurs et attitudes qui lui sont chères... La religion est donc l'homme qui vénère sa propre race et sa propre politique. organisation , et offrant des prières et des propitiations afin de maintenir le statu quo. Paloutzian et Park (p. 12) soutiennent que « la religion et la spiritualité sont des systèmes de significations plus ou moins cohérents, élaborés culturellement, intégrés et acquis par le biais de relations sociales et d’institutions situées dans des environnements naturels et bâtis complexes ». Ce que les mythes révèlent sur les processus de l’esprit humain : les dieux du tonnerre, Zeus, Héraclès, Thor, Indra – comme modèles de conscience + Le défi de mise en scène des singes de Jane Goodall montre un orage violent et éclatant ! Einstein a observé : « Essayez de pénétrer avec nos moyens limités les secrets de la nature et vous découvrirez que, derrière toutes les lois et connexions discernables, il reste quelque chose de subtil, d’intangible et d’inexplicable. La vénération de cette force au-delà de tout ce que nous pouvons comprendre est ma religion. Dans cette mesure, je suis, en fait, religieux. Dieux du tonnerre ! Le grondement assourdissant du tonnerre m’avait fait reprendre conscience. À l’âge de six ans, la tempête m’avait tiré de mon sommeil profond. Les grondements tonitruants du tonnerre avaient également réveillé mon père. Sa tête se trouvait derrière la porte. Me trouvant éveillé, nous sommes allés sur le porche de notre chalet d’été, perché sur une dune de sable surplombant le lac Michigan. De là, nous avions une vue panoramique de la tempête furieuse. Des éclairs fendaient le vide noir de la nuit. De brefs éclairs brûlants d’une lumière blanche brillante éclairaient les eaux bouillantes du lac. De sombres nuages se dressaient de manière menaçante au-dessus des eaux enragées. Les vagues, fouettées par le vent violent, rugissaient sur le sable de la plage en contrebas et pouvaient être entendues par-dessus le vacarme de la tempête. Le vent gémissait et gémissait dans les fragiles écrans du petit porche. Nous regardions dans un silence respectueux la tempête se frayer un chemin à travers les vagues fouettées. Lorsque l'orage a atteint notre chalet, les coups de tonnerre assourdissants et perçants ont amplifié les éclairs presque simultanés. Enfant, j'étais stupéfait par la puissance de l'orage. À l'âge de six ans, si mon père m'avait dit que les « dieux » lançaient des éclairs du ciel, je l'aurais cru sans hésiter. Il y a quelque chose de brut et de primitif dans les violentes manifestations des orages. Jane Goodall, éthologue et primatologue, a eu l’occasion d’observer la réaction d’un groupe de chimpanzés face à un violent orage. Elle a observé les chimpanzés en train de se nourrir sur une pente, de l’autre côté d’un ravin, d’où elle se trouvait. Vers midi, la pluie s’est mise à tomber. Les chimpanzés ont grimpé la colline jusqu’à un ravin. Puis, avec une violence inouïe, l’orage a frappé. Goodall raconte : « La pluie était torrentielle et le coup de tonnerre soudain, juste au-dessus de ma tête, m’a fait sursauter. Comme si c’était un signal, l’un des grands mâles s’est redressé et tandis qu’il se balançait et se pavanait rythmiquement d’un pied sur l’autre, je pouvais entendre le crescendo de ses cris de pantalon par-dessus le battement de la pluie. Puis il a foncé à plat ventre sur la pente… » (p. 52 Dans L’ ombre de l’homme) Les autres mâles ont suivi le grand mâle, arrachant des branches aux arbres, puis grimpant aux arbres en bas de la pente. Le grand mâle remonta la colline et les autres mâles le suivirent à nouveau. Puis ils répétèrent le même numéro, en redescendant à nouveau la colline. « Tandis que les mâles descendaient et remontaient péniblement, la pluie tombait plus fort, des fourches déchiquetées ou des éclairs brillants éclairaient le ciel de plomb, et le grondement du tonnerre semblait secouer les montagnes elles-mêmes. » (p. 53) Les démonstrations de défi ont duré une vingtaine de minutes. Les chimpanzés ont réagi comme si la tempête, avec ses grondements tonitruants et ses éclairs grésillants, était une entité vivante et respirante qu’ils pouvaient intimider en se lançant dans des démonstrations de défi – en dévalant la colline et en cassant des branches comme pour frapper la tempête. Les démonstrations des chimpanzés étaient dirigées vers les forces qui les avaient menacés et ils ont traité la tempête comme s’il s’agissait d’une force ou d’un être animé vivant et respirant. Jane Goodall conclut : « Avec une telle démonstration de force et de vigueur, l’homme primitif lui-même aurait pu défier les éléments. » Commentant la façon dont les peuples anciens pouvaient percevoir la foudre, Burkert observe que « face à une telle manifestation d’énergie divine, l’homme se tient impuissant, terrifié et pourtant émerveillé. » (p. 126) « l’aveu de l’impuissance humaine en certaines matières… Comme le remarque l’anthropologue Bronislaw Malinowski, la religion est « la confession de l’impuissance humaine dans certains domaines… » (p. 19). L’humanité antique a pris les caractéristiques les plus marquantes du monde et a développé une vision du monde – une idéologie – à partir de phénomènes naturels redoutables comme les orages et la foudre. Une fois créé, l’homme pouvait implorer ces dieux de la force d’intercéder en sa faveur. Ainsi, les dieux et les déesses étaient une voie vers une sorte de pouvoir. Il y avait les dieux du soleil, les dieux du ciel et de l’orage, les dieux des saisons, les dieux du monde souterrain et de l’au-delà, les dieux des moissons, les dieux de la pluie, ainsi que les bosquets, les sources et les grottes sacrés. Robert Blust , un linguiste, fait une remarque similaire à propos du concept polynésien répandu – archétype du « mana ». « Selon le linguiste Robert Blust , « mana » signifie « tonnerre, tempête ou vent » dans certaines langues. Blust a émis l'hypothèse que le terme signifiait à l'origine « de puissantes forces de la nature telles que le tonnerre et les vents de tempête qui étaient conçus comme l'expression d'une agence surnaturelle invisible. Au fur et à mesure que les peuples de langue océanique se sont répandus vers l'est, la notion d'une agence surnaturelle invisible s'est détachée des forces physiques de la nature qui l'avaient inspirée et a pris vie d'elle-même. » (Wikipedia) Comme le montrent systématiquement les études en neurosciences, les différents processus du cerveau sont très interconnectés. Les processus « musicaux » de l'esprit sont intimement liés à la parole, au chant, à la danse et à la spiritualité (ainsi qu'à un certain nombre d'autres processus cérébraux) par exemple. Les mythes et mythologies des civilisations antiques et préhistoriques regorgent de dieux de la tempête. Il existe près de cinquante dieux de la tempête dans différentes cultures. Souvent, le dieu du tonnerre, comme Zeus, est le chef parmi les autres dieux. Le féroce Thor, qui manie le marteau, était le dieu des tempêtes, du tonnerre, de la foudre ainsi que de la fertilité et de la force dans la mythologie nordique. Thor livre une série de batailles contre le serpent de mer Jormung et accomplit de nombreux exploits de force. Dans l'hindouisme, Indra, le dieu de la pluie et des orages, chevauche un éléphant blanc et manie un éclair nommé vajra. Indra est le roi des dieux et le chef des Devas. Il est le dieu de la guerre, représentant la force et le courage. Indra, le tueur du dragon-serpent vrtra, mène une guerre sans fin contre les démons Asuras. Comme le dieu grec Zeus, dont la maison était le mont Olympe, la maison d'Indra est au sommet d'une montagne, le mont Meru dans le ciel. Zeus, après avoir renversé le dieu Cronos, est devenu le souverain des dieux. L'art grec représente fréquemment Zeus tenant un foudre. Les origines des Grecs sont entourées de mystère. Les spécialistes pensent que les Indo-Européens ont migré de la steppe pontique (à peu près en Ukraine), où le cheval a été domestiqué, vers la Grèce vers la fin du troisième millénaire avant J.-C. ou le début du deuxième millénaire avant J.-C. Gaïa (la Terre mère) est à l'origine de la mythologie grecque. Gaïa a donné naissance à Uranus (le Père Ciel). L'union de Gaïa et d'Uranus a d'abord donné naissance à six fils et six filles appelés les Titans. Gaïa a ensuite donné naissance aux trois Hécatonkheires et aux trois Cyclopes. Il s'agissait de géants primordiaux, les Hécatonkheires étant des géants à cent mains et les Cyclopes n'ayant qu'un œil. Uranus considérait les Hécatonkheires et les Cyclopes comme absolument hideux, il les a donc emprisonnés dans le Tartare, un abîme au plus profond des entrailles de la terre. Dans l'Iliade d'Homère, Zeus déclare que le Tartare est « aussi loin sous l'Hadès que le ciel est haut au-dessus de la terre ». Gaïa était en colère parce qu'Uranus avait emprisonné ses plus jeunes enfants, alors elle a demandé à ses fils Titans de renverser Uranus. Le plus jeune des Titans, Cronos, prit une faucille à lame de silex fournie par Gaïa et castra Uranus. Cronos jeta les parties génitales dans la mer, ce qui donna naissance à Aphrodite, la déesse de l'amour. Après que Cronos ait réemprisonné les Hécatonkires et les Cyclopes, Uranus et Gaïa prophétisèrent que Cronos serait renversé par ses enfants. Crus prit sa sœur Titan, Rhéa, comme reine. Leur règne est considéré comme l'âge d'or, lorsque l'immoralité n'existait pas et que les gens faisaient toujours ce qu'il fallait. Les Athéniens organisaient chaque année une fête en l'honneur de Cronos, considéré comme le dieu de la moisson. Le thème de la castration d'un dieu est un peu étrange. Dans le monde réel, le taureau est apprivoisé par la castration. Peut-être, par analogie, le vieux dieu, Cronos, a-t-il été apprivoisé par la castration. En Anatolie, la mythologie hittite et hourrite contient également le thème de la castration. Les Hittites étaient des Indo-Européens qui ont migré en Anatolie (à peu près là où se trouve la Turquie actuelle) à peu près à la même époque que la migration indo-européenne en Grèce, vers 2000 av. J.-C. Les Hittites ont enregistré le mythe hourrite de Kumarbi dans Le Chant de Kumarbi ou Le Royaume des cieux. Alalu (étymologie sémitique), le dieu originel, a été renversé par Anu (dieu des cieux, étymologie sumérienne). Kumarbi a ensuite combattu Anu et lui a mordu les parties génitales lorsqu'il a essayé de s'échapper. Kumarbi a donné naissance à Teshub, le dieu de la tempête. Teshub et Anu renversèrent alors Kumarbi. Teshub, comme Indra, Zeus et Thor, combattit un serpent-dragon, Illuyankas. En raison de la prophétie selon laquelle ses enfants le renverseraient, Cronos avala ses enfants tout entiers juste après leur naissance. Avec l'aide de Gaïa, Rhéa donna secrètement naissance à Zeus en Crète. Rhéa donna à Cronos une pierre emmaillotée dans un tissu après la naissance. Croyant qu'il s'agissait d'un bébé, Cronos avala la pierre. Une fois adulte, Zeus força Cronos à recracher les enfants qu'il avait avalés. Zeus tua ensuite le monstre Campe, un dragon à queue de scorpion et à tête de belle femme, qui gardait le Tartare, libérant ainsi les Hécatonkheires et les Cyclopes. Les Cyclopes forgèrent la foudre et la donnèrent à Zeus en signe de gratitude. La guerre des Titans, ou Titanomachie, s'ensuivit. Zeus, avec ses frères et sœurs, Hestia, Déméter, Héra, Hadès et Poséidon, ainsi que les Hécatonkheires et les Cyclopes combattirent les Titans. On raconte que les Hécatonkheires aux cent bras lançaient des rochers aussi gros que des montagnes. Après la défaite de Cronos et des Titans, Zeus et ses frères, Hadès et Poséidon, tirèrent au sort pour savoir qui gouvernerait quoi. Zeus dessina le ciel. Poséidon dessina les eaux. Et Hadès dessina les enfers. Plus tard, Zeus dut combattre Typhon, le monstre grec le plus redoutable qui avait cent têtes de serpent, puis plus tard sa compagne Échidna, mi-femme mi-serpent. Zeus, père des dieux et des hommes, est le chef des dieux et des déesses. Zeus règne comme un père règne sur sa famille. Tous les dieux et déesses l'appelaient père, même ses frères et sœurs. Zeus a conservé sa position de souverain des dieux en grande partie parce qu'il est le plus fort des dieux. Lorsque sa sœur et épouse, Héra, a tenté de noyer son fils Héraclès (né d'Alcmène, une mortelle) dans une tempête, un Zeus enragé a pendu Héra la tête en bas dans le ciel. Pourtant, Zeus avait de nombreuses caractéristiques différentes. Zeus semblait toujours avoir un plan bien qu'il le divulguait rarement. Le mot grec, nous, était fréquemment utilisé dans les descriptions de Zeus. Nous indique le « bon sens » ou l'intellect. Zeus n'est pas un despote. Le plus souvent, Zeus joue à la politique familiale : réconfortant, cajolant ou menaçant selon la situation. Et comme toute famille humaine, Héra (la sœur et l'épouse de Zeus), ainsi que les enfants et les frères et sœurs de Zeus, se querellent et complotent. Dans l’Iliade, un classique grec sur la guerre de Troie, Homère décrit la lutte « héroïque » entre les Grecs mycéniens, menés par le roi Agamemnon et Ménélas, et les anciens Troyens, menés par le roi Priam et le prince Hector. Dans l’Iliade, les dieux et les déesses prennent tous parti soit pour les Grecs, soit pour les Troyens, intervenant fréquemment pour tenter d’influencer l’issue de la guerre. Pour comprendre la façon dont les Grecs anciens considéraient leurs dieux et leurs déesses, il est important de comprendre que ces derniers employaient des moyens indirects pour intervenir dans les affaires des hommes : « un dieu envoie ou jette le courage et le désespoir, la ruse et l’illusion dans l’homme. » (p. 122) En général, Zeus voyait d’un mauvais œil l’ingérence des dieux et des déesses. À un moment donné dans l'Iliade, Zeus menace sa femme Héra et sa fille Athéna de foudres pour les empêcher d'intervenir en faveur des Grecs dans une bataille en cours. Zeus avait de nombreuses épithètes différentes, désignant parfois une localité spécifique et parfois un de ses nombreux aspects. Zeus Horkios était le dieu des serments. Il faut souligner que s’il y avait une chose que la religion grecque antique n’était pas, ce n’était pas une religion de statuts ou de lois, bien que « les hommes qui administrent la justice reçoivent leurs ordonnances de Zeus » (p. 130). Pourtant, en vérité, il n’y avait que trois principes d’or incarnés dans la religion grecque : la sainteté des serments et de l’hospitalité, et le principe d’excellence incarné par Achille. Les serments étaient très importants dans la culture grecque. Ainsi, Zeus Horkios était le gardien des serments. Ceux qui ne respectaient pas leurs serments étaient obligés de dédier des statues votives à Zeus à Olympie. De même, Zeus Agoraeus était le patron de la place du marché (agora) et était invoqué pour éviter les commerçants malhonnêtes et les personnes qui prêtaient de faux serments. Zeus Hospites était le dieu de l'hospitalité et des invités, protégeant les gens des étrangers. Dans l'Antiquité, l'hospitalité était un code de comportement presque comme un code d'honneur. Il y avait beaucoup d'autres épithètes. Zeus Olympios était Zeus gouvernant les dieux et les déesses du mont Olympe et patron des « Jeux olympiques », qui étaient les Jeux panhelléniques organisés tous les quatre ans sur le mont Olympe à partir du VIIIe siècle avant J.-C. Zeus Georgos était vénéré à Athènes comme le dieu des récoltes et de la moisson. Un autre était Zeus Plousios, le dieu qui apportait la richesse. Il existe même une version chtonienne de Zeus qui était « facile ». À Athènes en particulier, un autel pour Zeus Herkeios (de herkos, clôture) se trouvait dans la cour. Des libations et des sacrifices étaient faits pour protéger la maison, le ménage et la cour. Zeus Ctésios (l'acquéreur) protégeait les biens du ménage. Zeus était extrêmement volage. Les mythographes comptent cent dix-huit femmes avec lesquelles il a eu des liaisons. Pour tromper les femmes, Zeus apparaissait parfois sous la forme d'un animal. Zeus se métamorphosa en taureau, en vache ou en ours afin de s'accoupler avec des femmes. Zeus apparut à la reine spartiate Léda sous les traits d'un cygne. De cette union naquirent deux œufs dont Hélène de Troie (épouse du roi spartiate Ménélas dans l'Iliade), Clytemnestre (épouse d'Agamemnon dans l'Iliade) et Castor et Pollux. La religion grecque antique est la seule religion antique dans laquelle le souverain des dieux a eu autant de relations extraconjugales. Cela est peut-être dû à la nature localisée de la mythologie grecque dans laquelle de nombreuses localités avaient chacune leur propre légende et histoire d'origine (divine). Certains des descendants de Zeus étaient des dieux ou des déesses puissants : Apollon, Hermès, Artémis, Dionysos, Athéna, Arès, Perséphone. D'autres enfants de Zeus étaient des héroïnes, comme Hélène de Troie, ou des héros, comme Héraclès. Zeus est défini dans une large mesure en opposition à sa sœur et épouse Héra. Héra est la déesse du mariage, du mariage et des femmes. Burkert souligne que « dans l’Iliade, Héra est l’épouse querelleuse et jalouse qui, au grand dam de son mari, voit à travers ses petits secrets de sorte qu’il ne peut maintenir son autorité qu’en recourant à des menaces de violence » (p. 134). Cela peut être dû à la représentation artistique d’Héra par Homère. Au mont Olympe, le premier temple était dédié à la figure assise d’Héra. Héra est représentée comme une figure majestueuse et formelle couronnée du polos (couronne cérémonielle). Une statue guerrière de Zeus n’a été ajoutée que plus tard. Le culte d’Héra a prospéré à Samos où un temple ultérieur a été construit qui est resté l’un des plus grands temples du monde grec. Héra était sans aucun doute une femme très jalouse des nombreuses liaisons de son mari. La nymphe Écho fut chargée par Zeus de distraire Héra pendant que ce dernier avait des relations extraconjugales. Écho détournait l'attention d'Héra par des flatteries constantes. Lorsque Héra s'en rendit compte, elle condamna Écho à répéter ce que les autres disaient. Mais les épreuves qu'Héra imposa à Héraclès étaient vindicatives et cruelles. Héraclès est né de Zeus et d'Alcmène, une femme mortelle qui était une descendante de Persée. Héra envoya deux gros serpents pour tuer Héraclès alors qu'il était enfant. Héraclès saisit les serpents, un dans chaque main et les étrangla. Lorsqu'il atteignit l'âge adulte, Héraclès épousa la fille du roi de Thèbes, Mégara. Héra envoya la folie sur Héraclès, le poussant à tuer ses enfants. Après avoir été guéri, Héraclès se rendit auprès de l'oracle de Delphes pour lui demander comment il pouvait faire l'expiation. Sur les instructions d'Héra, l'oracle de Delphes ordonna à Héraclès d'accomplir dix travaux pour son ennemi juré, le roi Eurysthée, qui avait remplacé Héraclès. Eurysthée le trompa plus tard et ajouta deux travaux supplémentaires. Héra fit tout ce qu'elle pouvait pour gêner, harceler Héraclès et l'empêcher d'accomplir ses travaux. La dixième tâche d'Héraclès fut de voler le magnifique bétail rouge du géant à trois corps Géryon dans le pays d'Érythée, dans l'ouest de la Méditerranée. En traversant le désert de Libye, la chaleur rendit Héraclès furieux et il tira une flèche sur Hélios (dieu du soleil). Hélios admira Héraclès pour son courage et lui prêta son char. En arrivant à Érythée, le chien à deux têtes, Orthrus, l'attaqua et il le tua d'un coup de massue en bois d'olivier. Héraclès affronta Géryon qui avait trois boucliers, trois lances et trois casques. Héraclès le tua d'une flèche empoisonnée avec le sang de l'hydre de Léré. En rassemblant le bétail à son retour, Héraclès trouva son bétail assailli par un taon envoyé par Héra pour irriter et disperser le bétail. Il fallut un an à Héraclès pour les rassembler à nouveau. Alors Héra fit déborder un fleuve pour empêcher les bêtes d'Héraclès de traverser le fleuve. Héraclès prit des pierres et combla le fleuve pour que les bêtes puissent traverser. Quand Héraclès revint, les bêtes furent sacrifiées à Héra. Pour saisir véritablement la signification complète de la religion grecque antique, il faut comprendre le contexte historique et culturel, je vais donc faire un (très) bref résumé de la culture et de l’histoire de la Grèce antique. Les Grecs indo-européens étaient des élites guerrières qui arrivaient avec des chevaux et des chars. Le wanax (roi), avec les Eqeta (« compagnons » ou « disciples ») dirigeait les cités-États qui se trouvaient dans toute la Grèce centrale, l’Argolide, la Thessalie et le Péloponnèse. « Tout le pouvoir politique était concentré entre les mains du roi. Il était le convocateur et le chef du Conseil et de l’ Assemblée… » (p. 67, Hammond) Les conseillers avaient eux aussi leurs droits. Ils bénéficiaient du titre d’« anciens » ou de « rois donneurs de conseils »… leurs opinions étaient respectées et ils se joignaient au roi pour recevoir des ambassades et s’adresser à l’Assemblée. » (p. 68) Le peuple (demos) n’avait aucun droit. Dans l'Iliade, le roi Nestor de la cité-État mycénienne de Pylos demande que les hommes soient convoqués en assemblée par phratrie et par tribu. Plus tard, Athènes fut organisée en quatre tribus, chacune composée de trois phratries, chacune divisée en trente groupes familiaux (gènes). La cité-État avait également une administration civile et était divisée en districts avec des gouverneurs, des députés et des chefs de communauté. Le nombre de boutiques d'artisanat et d'entrepôts dans les palais ainsi que les tablettes en linéaire B nous montrent que la production d'objets artisanaux et de marchandises était dans une large mesure centralisée. Les textiles, la métallurgie, l'huile et dans une certaine mesure la céramique faisaient tous partie d'une économie de palais. Il y avait aussi une direction séparée des fonctions religieuses. Le centre du palais était le mégaron, une salle rectangulaire avec un foyer circulaire et un porche ouvert à colonnes, qui dominait le complexe du palais. Un oculus dans le toit soutenu par quatre colonnes ventilait le foyer. Dans la salle, les murs étaient peints de fresques dont les thèmes comprenaient souvent des chars en bataille ou des chevaux, et bien sûr des femmes. Heinrich Schliemann (1822-1890), l'archéologue allemand qui a découvert Troie, a également mis au jour des tombes à puits (1600 av. J.-C. à 1450 av. J.-C.) à Mycènes. Le somptueux mobilier des tombes raconte l'histoire d'une élite riche et puissante qui dépendait d'un commerce maritime florissant. Les hommes étaient étendus en armure de combat avec des épées (certaines avaient des manches en ivoire ou en or) et des casques à défenses de sanglier, souvent avec des masques mortuaires en or. Des poignards ornés représentaient des scènes de chasse ou de combat. Les femmes portaient souvent des couronnes en or et des vêtements incrustés d'ornements en or. Des bâtons ornés, des bagues et des bracelets en or ont été laissés dans les tombes à puits, ainsi que des coupes en or et en argent. Parmi les coupes se trouvaient le magnifique Rhyton de siège en argent et la Coupe de Nestor, qui sont des œuvres d'un artisanat exquis. Les têtes de taureau et les doubles haches dans les tombes signifiaient la puissante influence minoenne. On pense que la plupart des fresques des mégarons ont été peintes par des artisans minoens importés. Comparé aux tombes égyptiennes et minoennes, l'utilisation de l'or était si extravagante et somptueuse que certains chercheurs pensent que les Mycéniens avaient une source d'or dans les Balkans pour laquelle la Grèce aurait ensuite servi de route commerciale. L'influence de la civilisation minoenne fut si répandue que certains chercheurs parlent de civilisation minoenne-mycénienne. La civilisation minoenne est apparue bien plus tôt que la civilisation mycénienne. La civilisation minoenne a prospéré pour la première fois entre 2000 et 1750 av. J.-C., lorsque des palais, une production de bronze, des poteries d'inspiration égyptienne et des routes sont apparus, ainsi que des sanctuaires de sommets et de grottes. Les Minoens sont passés de l'écriture hiéroglyphique à une écriture linéaire A encore non déchiffrée. Les dieux et déesses grecs sont mentionnés sur des tablettes d’argile préservées de l’ancienne civilisation mycénienne grecque de l’âge du bronze, qui apparaît vers 1600 av. J.-C. et a perduré jusqu’en 1100 av. J.-C. Les tablettes ont été découvertes à Pylos, Thèbes, Mycènes et d’autres villes mycéniennes. Les tablettes de Mycènes, écrites dans un proto-grec appelé linéaire B, contiennent le premier témoignage écrit des dieux et déesses grecs. Zeus, fils de Cronos, est dérivé d’une forme grecque du mot indo-européen deiwos, et est mentionné dans les tablettes sous les noms de di-we et di-wo. Bien qu’il y ait eu une salle de culte ou un sanctuaire religieux dans les palais, il y avait peu de sanctuaires et aucun temple dans le monde mycénien. Walter Burkert, un érudit allemand et auteur de Homo necans and Greek Religion entre autres, pense que les Grecs indo-européens « ont découvert et repris des cultes pleinement développés » (p. 2 Greek Religion). NGL Hammond, un spécialiste britannique de la Grèce antique, observe que les immigrants grecs « bien que dominants, étaient très minoritaires et que la population dans laquelle ils arrivaient était déjà très mélangée » (p. 41). L’étymologie d’Hélios (dieu du soleil) et d’Eos-Aurora (déesse de l’aube) est clairement indo-européenne et on trouve des racines indo-européennes dans les noms de la déesse Héra (sœur et épouse de Zeus), Poséidon (dieu des eaux) et Arès (dieu de la guerre). Dans les tablettes en linéaire B, des noms familiers comme Zeus, Poséidon, Héra, Athéna, ainsi que d’autres sont facilement compris. Cependant, « Drimios le fils de Zeus » et « Manasa » sont inconnus. Lorsque les Grecs sortirent enfin du Moyen-Âge en 800 av. J.-C., la moitié des dieux et déesses mycéniens auraient disparu. Un aspect de la religion grecque antique qui la différencie de toutes les autres est celui des bardes et des poètes – par opposition aux prêtres – qui diffusaient, exposaient et élaboraient des mythes et des récits sur les dieux et les déesses dans une idéologie complexe et compliquée du cosmos et du comportement humain. Parmi les mythologies antiques, la mythologie grecque semble être l’une des plus créatives. Les dieux sont des caractérisations ingénieuses de tous les attributs humains possibles, souvent associés à des phénomènes naturels. Les dieux grecs sont espiègles, belliqueux, déterminés, héroïques, audacieux, joueurs, fringants, loyaux, constants, traîtres, intrigants et bien trop humains. Chaque dieu grec a sa propre histoire et sa propre généalogie, généralement complexes et souvent alambiquées. Et chaque bosquet, vallée, prairie, rivière, mer, montagne, source et forêt locale possède un esprit divin ou une nymphe avec son histoire et sa personnalité uniques. Par exemple, Castalie était une nymphe qu'Apollon aimait. Elle s'enfuit et plongea dans la source de Delphes, au pied du mont Parnasse, qui fut alors baptisée de son nom. L'eau de cette source était sacrée ; elle servait à purifier les temples de Delphes et à inspirer les prêtresses. Le dernier oracle de Delphes note avec tristesse que « l'eau qui pouvait parler » a été perdue à jamais. La source de Castalie, dans le ravin entre les Phédriades de Delphes, est l'endroit où tous les visiteurs de Delphes — les concurrents des Jeux Pythiques, et surtout les suppliants qui venaient consulter l'oracle de Delphes — s'arrêtaient pour se laver les cheveux ; et où les poètes romains venaient recevoir l'inspiration poétique. C'est aussi là qu'Apollon tua le monstre Python, et c'est pourquoi elle était considérée comme sacrée. La mythologie grecque regorge de récits, de mythes, de divinités et d'esprits très créatifs et imaginatifs : les Achéloïdes (du fleuve Achéloos), les Alséides (bosquets), les Dryades (forêts), les Hamadryades (arbres), les Hydriades (eau), les Léimoniades (prairies), les Méliades (frênes), les Naïades (sources et rivières), les Napées (vallées), les Néréides (la Méditerranée), les Océanides (la mer), les Oréades (montagnes) Contrairement aux déesses, les nymphes sont généralement considérées comme des esprits divins qui animent la nature. Elles sont généralement représentées comme de belles jeunes filles nubiles qui aiment danser et chanter. Leur liberté amoureuse les distingue des épouses et des filles chastes et restreintes de la polis grecque. On pense qu'elles habitent dans les montagnes et les bosquets, près des sources et des rivières, ainsi que dans les arbres, les vallées et les grottes fraîches. Les nymphes sont des personnifications des activités créatrices et nourricières de la nature, le plus souvent identifiées à l'écoulement vivifiant des sources : comme le remarque Walter Burkert (Burkert 1985 : III.3.3), « l'idée que les rivières sont des dieux et les sources des nymphes divines est profondément enracinée non seulement dans la poésie mais aussi dans la croyance et le rituel ; le culte de ces divinités n'est limité que par le fait qu'elles sont inséparablement identifiées à une localité spécifique. » L'une des caractéristiques distinctives de la religion/mythologie grecque est que dans les croyances religieuses grecques anciennes, il n'y avait pas de dogme. En fait, les prêtres et prêtresses des temples grecs antiques travaillaient à temps partiel. De plus, dans la théologie-mythologie grecque, il y avait une myriade de versions diverses et variées. Dans la mythologie grecque, il existe sept ou huit variantes différentes de qui et comment Zeus a été élevé. Lorsque Zeus a atteint l'âge adulte, il a conçu un plan et a forcé Cronos à rendre gorge, d'abord la pierre, puis ses frères et sœurs qui en sont sortis entièrement blindés et prêts à se battre. Selon le mythe, la pierre, l'Omphalos, était placée au pied du mont Parnasse à Delphes. Zeus s'est ensuite rendu au Tartare et a libéré les frères de Cronos, les Cyclopes, les Géants et les Hécatonchires. En guise de gratitude, les Cyclopes ont donné à Zeus des foudres qui avaient été cachées par Gaïa. Ces dieux, qui représentent peut-être les forces primordiales de la terre, ont combattu Cronos et ses Titans avec Zeus et ses frères et sœurs. Zeus, avec ses frères et ses alliés, vainquit Cronos et les Titans. Zeus, « celui qui conduit les nuages », condamna Cronos et les Titans au sombre monde souterrain du Tartare. Atlas fut condamné à la peine éternelle de devoir soutenir la terre. Zeus et ses frères, Poséidon et Hadès, tirèrent au sort pour déterminer qui gouvernerait quelle partie de l'univers. Zeus dessina le ciel. Poséidon dessina les océans et Hadès dessina le monde souterrain des morts. La vérité comme impératif territorial Premièrement, je voudrais souligner que la Vérité Absolue dépasse la compréhension – comme le soulignent saint Augustin, saint Grégoire de Nysse et de nombreux autres dirigeants chrétiens. Deuxièmement, les neurosciences ont conclu qu’en matière de morale (et dans la plupart des autres domaines de recherche), le cerveau humain est incroyablement interconnecté et que la morale est le produit de diverses régions et processus cérébraux. Funk et Gazzanigna observent que : « La moralité est un ensemble de processus émotionnels et cognitifs complexes qui se reflète dans de nombreux domaines du cerveau. Certains d’entre eux se révèlent indispensables pour émettre un jugement moral, mais aucun d’entre eux n’est uniquement lié à la moralité… Certaines des émotions traitées sont plus centrales à la moralité que d’autres, mais toutes les émotions contribuent au jugement moral dans des situations contextuelles spécifiques. Architecture cérébrale de la moralité humaine, Funk et Gazzanigna Current opinion in Neurobiology 2009 19:678-681) Bien sûr, la même chose est vraie pour la spiritualité - surtout chez les personnes religieuses - il y aurait la spiritualité de la compassion ("aimez-vous les uns les autres"), la spiritualité de la droiture et de la morale (qui est distincte de la droiture à mon avis), la spiritualité artistique. la spiritualité de la fidélité conjugale, la spiritualité des rituels religieux, la spiritualité du sacré, de la musique, de la danse, etc. L’imagination est l’un des aspects essentiels des croyances spirituelles et religieuses. L’un des fondements de ces croyances est que, en raison de la manière dont fonctionne le cerveau, il doit « saisir » le monde et la réalité sous une forme ou une autre. Bien sûr, face à une ou plusieurs inconnues, le cerveau va sans aucun doute déclencher les processus d’imagination, sans faute. Que peut faire d’autre le cerveau ? De plus, comme l’ observent Klinger et Jung, les émotions sont la motivation principale et elles dirigent clairement l’attention, de sorte que les émotions interviennent pour pousser le cerveau à gérer la réalité et le monde comme il le doit. Une question intéressante sur les « fonctions » des mythes est celle-ci : lorsque les Grecs ont colonisé la Sicile, il n’existait pas de mythes d’Hercule ou de ses exploits avant la colonisation. Après la colonisation de la Sicile par les Grecs, de nouveaux mythes sur les actes d’Hercule accomplis en Sicile ont émergé. Les colons grecs « saisissaient » – colonisaient – leur nouvelle terre – un impératif territorial – parallèle à l’impératif territorial décrit par Robert Ardrey. Historiquement, la « Vérité » est quelque chose pour laquelle les êtres humains ont démontré leur volonté de se battre et de mourir. L’idée que les croyances spirituelles et religieuses permettent aux gens de marquer leur territoire n’est pas une idée si folle. Pour commencer, les religions antiques étaient très territoriales. Les dieux étaient généralement considérés comme étant limités à des régions ou à des territoires spécifiques. De plus, dans la mythologie grecque, les nymphes, par exemple, avaient des lieux ou des régions spécifiques. J’ai cherché des nymphes et il y a une très longue liste de nymphes spécifiques liées à des territoires spécifiques. Mon argument est que ces symboles spirituels étaient un moyen pour les gens de marquer – et de saisir leur monde – pour faire du monde – « leur » monde. Sur une liste de nymphes liées à des territoires spécifiques dans la mythologie grecque – il y avait près de 80 nymphes spécifiques liées à des régions ou des points de repère spécifiques juste dans la catégorie des noms commençant par la lettre « A ». Le marquage – ou la revendication d’un territoire – est très répandu dans le monde animal, loups, chats, singes, lémuriens, etc., etc. Pour les besoins de l’argumentation, j’ajouterai qu’on pourrait « éventuellement » comparer cet impératif territorial à un instinct de « nidification » à grande échelle. D’une certaine manière, cet aspect pourrait être considéré comme un effort de l’humanité pour conquérir le monde et l’univers. Cela s’inscrit dans la lignée de la théorie selon laquelle l’anxiété et le besoin de certitude sont les moteurs sous-jacents de la spiritualité et des croyances religieuses. Je crois que c’est Malinowski qui a observé qu’une tribu insulaire des Polynésiens avait des rituels et des cérémonies pour les expéditions de pêche en haute mer – alors qu’il n’y en avait pas pour la pêche dans le lagon (plus sûre). Le besoin de certitude est une réalité et joue également dans les situations politiques et sociales. De nombreux besoins différents entrent en jeu dans les croyances spirituelles – 1. Le besoin d’appartenance (qui comprendrait la compassion ainsi que les relations familiales) 2. Le besoin de sens – qui impliquerait une pléthore de régions cérébrales différentes, 3. le besoin d’idéologie et 4. la motivation ou l’impulsion. Addendum I : Un carrefour – Une perspective historique contemporaine Expériences spirituelles et psychiques – hier et aujourd’hui – Complètement en noir et blanc J'ai étudié en profondeur la littérature prophétique et psychique. J'ai étudié l'oracle de Delphes, l'Ancien Testament ainsi que Nostradamus. La plupart des prophéties et prédictions de l'oracle de Delphes et de Nostradamus sont ambiguës, ce qui les rend sujettes à des interprétations variées. Le nombre de « prédictions » directes est extrêmement limité et peut atteindre une douzaine. J'ai parcouru plus de 900 quatrains de Nostradamus et, en utilisant quelques « règles » de bon sens, je n'en ai trouvé qu'une poignée qui prédisaient réellement une action spécifique accompagnée d'un ou deux détails précis. Or, bien qu'il existe un certain nombre de prophéties quelque peu étonnantes dans l'Ancien Testament, telles que les interprétations des rêves de Joseph, une grande partie des prophéties de l'Ancien Testament manquent, en un sens, de détails spécifiques. Tim Callahan souligne que la prophétie d'Ézéchiel sur la chute et la destruction totale de Tyr par les Babyloniens ne s'est pas produite dans l'histoire exactement comme elle est écrite dans la prophétie d'Ézéchiel. Les Babyloniens n'ont pas réellement capturé Tyr et elle n'est pas réellement tombée avant l'arrivée d'Alexandre le Grand. En fin de compte, lorsque l’on compare toutes les prédictions-prophéties des deux derniers millénaires avant la Première Guerre mondiale avec ce qui s’est passé depuis la Première Guerre mondiale, la comparaison est de jour comme de nuit. Premièrement, bien que Jeane Dixon soit en réalité une médium non documentée, elle a fait « vérifier » les deux prédictions par son biographe, ce qui est, à mon avis, statistiquement significatif parce qu’elles sont inhabituelles. Edgar Cayce a démontré la première « perception non locale » ou vision à distance documentée, comme le souligne Stephen Schwartz. En toute chose, il faut séparer le bon grain de l’ivraie. Cela est particulièrement vrai pour Edgar Cayce. Quand Edgar Cayce faisait des prédictions pour faire des prédictions, il avait un taux d’échec élevé – comme Jeane Dixon et Nostradamus. Quand Cayce donnait des lectures pour le personnel des forces armées américaines – il s’en sortait plutôt bien sur les questions de la date de fin de la guerre (la Seconde Guerre mondiale). Edgar Cayce a également documenté huit guérisons (sur environ 100 cas) d'épileptiques, ce qui était du jamais vu à cette époque où il n'y avait pas de médicaments. Il y a aussi Theresa Caputo, la médium de Long Island, une médium-psychologue contemporaine à la télévision qui entre en contact avec les esprits des êtres chers disparus et qui, ce faisant, aide ses sujets à tourner la page et à trouver du réconfort. Le plus souvent, les sujets de ses démonstrations la remercient abondamment et profondément en raison du sentiment de clôture et de soulagement qu'ils ont ressenti. Si vous attribuez à 1 sur 10 la probabilité d'occurrence de chacune des verbalisations de Theresa Caputo d'informations transcendantales qu'elle a « reçues » - qui ne pourraient, selon toutes apparences, provenir que de l'être cher disparu du sujet -, alors seulement dix informations provenant de l'être cher disparu donneraient lieu à une probabilité globale d'occurrence d'une sur dix milliards. Les gens se laissent prendre par les abstractions. Une amie de ma sœur est allée à l'une des démonstrations de Caputo et a fini par penser qu'elle était totalement une imposture parce qu'elle avait fait des erreurs. Je rencontre assez souvent le stéréotype mal adapté selon lequel les médiums doivent être « absolument parfaits ». Les gens font des erreurs, c’est ce que les gens font. En plus de cela, il y a la vision à distance. Wikipedia déclare : « La vision à distance (RV) est la pratique de la recherche d’impressions sur un sujet distant ou invisible, en soi-disant en le ressentant avec l’esprit. [1] En général, un observateur à distance est censé donner des informations sur un objet, un événement, une personne ou un lieu qui est caché de la vue physique et séparé à une certaine distance. [2] » Des expériences ont été menées par les physiciens Russell Targ, Harold Puthoff, ainsi que Stephen Schwartz. Aux États-Unis, il existe des centaines de milliers d’adeptes de la vision à distance – dont beaucoup déclarent avoir eux-mêmes vécu des expériences de vision à distance. Il existe également diverses expériences documentées, comme celle d’un artiste qui a dessiné trois images clairvoyantes sur le Dr Phil. Des pommes aux pommes Dans cette analyse, la condition préalable est de comparer des pommes avec des pommes (indépendamment de la question de savoir si le psi existe ou non) – rien de plus. Lorsque l’on compare les expériences spirituelles-psychiques documentées réussies aujourd’hui et au cours des cent dernières années – en comparaison avec les deux mille ans d’expériences spirituelles-psychiques documentées précédentes, il n’y a aucune comparaison – c’est une image très austère d’un noir très foncé sur un blanc très blanc . En ce qui concerne les prophéties, l’Ancien Testament est plutôt fiable. De plus, à l’Oracle de Delphes – et au centre intellectuel – il y avait de nombreux historiens, donc leurs archives peuvent également être considérées comme assez fiables. Le monde a été bouleversé et retourné à l'envers - Les scientifiques s'accordent à dire que l'espèce humaine est en constante évolution et s'adapte. Au cours des 300 dernières années, des révolutions scientifiques, technologiques, socioéconomiques, sociales et politiques radicales et spectaculaires ont eu lieu. L'environnement a changé : le psychologue social Gergen a écrit un livre intitulé « Le moi saturé » qui expose tous les changements. Dans les années 1900, l'automobile a révolutionné la mobilité. La radio et la télévision ont augmenté la communication et le contenu de la communication. Il y a aussi les Blackberry , Facebook, les téléphones intelligents, les tablettes, les ordinateurs portables, les ordinateurs de bureau ... YouTube, Twitter, Internet, les e-mails, les SMS, etc. ont récemment augmenté le nombre de personnes avec lesquelles nous communiquons et le type de communication (plus anonyme, la plupart du temps sans interaction de personne à personne). Tout ce qui touche à la communication avec les autres a radicalement changé. Je pense qu'il serait raisonnable de penser que l'augmentation considérable des interactions interhumaines modifiera considérablement les modèles de comportement des gens - et probablement pas pour le mieux. Un scientifique affirme que le nombre de personnes que le cerveau humain est capable de gérer est d'environ 40 ou 50. Il y a trop de choix, trop de modèles - la société est devenue, en un sens, tout simplement trop pour l'esprit humain, c'est pourquoi Gergen intitule son livre, "Le moi saturé". Si la société est trop, on pourrait s'attendre à un comportement plus erratique. Addendum II : Extrait de Mannheim et le matérialisme comme idéologie contre la conscience sociale Depuis près d’un siècle, les matérialistes soutiennent que 1) « il n’existe pas de psychologie des groupes » (Allport’s Taboo – 1927) ou 2) la conscience humaine se limite à l’activation des neurones dans le cerveau et qu’il ne peut donc pas y avoir de conscience sociale. Le fait que des neurones s’activent dans le cerveau ne signifie pas qu’il n’y a pas de conscience sociale ! Une image vaut mille mots et les images contrastent clairement avec la maxime de la psychologie : « Il n’existe pas de psychologie des groupes ! » Comparez les images ci-dessus – des foules rassemblées pour des concerts de rock, des manifestations et des danses folkloriques – avec la norme et l’abstraction académiques prédominantes selon lesquelles « il n’existe pas de psychologie du groupe » (c’est-à-dire le tabou d’Allport en 1927). Même un coup d’œil préliminaire à ces images traduit clairement et de manière vivante la réalité – en fait – oui, il existe des psychologies de groupe (plus d’une probablement. Dans la définition en cinq parties de la religion de Geertz – qui, comme le souligne Chernus, est universellement acceptée dans les sciences sociales – il n’existe pas de concept de communauté ou de conscience sociale. Comme le soulignent David Hay et Virgilio Enriquez (de la psychologie philippine Kapwa (identité partagée)), les universitaires occidentaux ont favorisé une forme d’individualisme extrême dans la culture occidentale. Les maximes – « Ce que vous voyez est ce que vous obtenez ! » – et – Loin des yeux, loin du cœur sont des principes très vrais en psychologie. Addendum III Erreurs et fausses prémisses - La mort est le fruit de votre imagination Il semble que ma critique (2018) approuvée du « matérialisme académique » qui se concentrait sur l'erreur défininiste et le stéréotype maladapté répandu « Toute spiritualité est irréelle » qu'elle crée - soit une offre unique. (approuvé par le Dr Harold Koenig, le Dr Paul Wong, le Dr Stephen Farra et Stefan Schindler. Le stéréotype maladapté (répandu) selon lequel « la spiritualité est irréelle » - généré par l'erreur défininiste - est mieux illustré par la déclaration La mort est le fruit de l'imagination Si vous suivez l'argument matérialiste principal. Miller et al - dans un article publié sur NIH - ont expliqué que l'argument matérialiste est que, comme vous ne pouvez pas mesurer ou quantifier la spiritualité, alors la spiritualité est irréelle. Donc, si vous appliquez cela à la mort qui n'est pas quantifiable, alors la mort ainsi que la spiritualité sont le fruit de votre imagination et des « absurdités superstitieuses ! » Autres lacunes graves 1. fausse prémisse - « Il n'y a pas de psychologie de groupe » (Allport) - la définition de la religion de Geertz n'a aucun concept de communauté ou d'esprit 2. Le Dr Neal a déclaré qu'elle n'avait aucune formation ni éducation sur les personnes qui ont des expériences. Le DSM ne parle pas de spiritualité. J. E. Kennedy déclare que « très peu de recherches » ont été faites sur les personnes. Mon analyse du Manuel de Park et Paloutzian confirme que, entièrement axé sur les abstractions et les analyses d'expériences, aucune personne n'a été interrogée sur les expériences. J'ai déposé plainte auprès du ministère de la Justice contre Kaiser Permanente. Le ministère de la Justice des États-Unis a accepté mes plaintes n° 83404-WLP, 83404 ; 95500, 91650, 91569, 90778. Une grande partie du litige portait sur l'erreur définiste et ma critique approuvée du matérialisme. Fondamentalement, ils ont accepté et cautionné une erreur et un stéréotype virulemment anti-spirituels. Le conseil des médecins de KP, le Dr Davis, le Dr Neal et les services aux membres ont balayé l'affaire. Le Dr De Paulo et mon ex luthérien ont qualifié mes croyances (et toute spiritualité transcendantale [ c'est-à-dire autiste, rêves de défunts - deuil]) de psychose (le trouble de l'humeur est mon diagnostic depuis 2000 - Neal et De Paulo de JHU) En vérité, le matérialisme académique est une secte : le système est fondé dans une large mesure sur des erreurs et des prémisses fausses. Lien vers le mini-essai : https://independentscholar.academia.edu/CharlesPeckJr Post-scriptum – Je dois avouer que je suis un peu cynique à l’égard des dirigeants chrétiens, surtout à la lumière des chrétiens de Trump et de la folie du désir de mort chrétien sans masque qui, de l’avis général, a provoqué une augmentation inutile du nombre d’Américains morts du coronavirus – selon un rapport, cent mille Américains sont morts alors qu’ils n’auraient pas dû l’être, comparés aux décès au Canada. Et la folie du sans masque est absolument insensée – aucune rime ni aucune raison pour leurs actions ignorantes. Les dirigeants chrétiens de Trump étaient bien trop occupés à faire de la politique pour s’occuper des besoins spirituels triviaux de leur troupeau. Lorsqu’un très grand nombre de chrétiens violent le commandement fondamental du Christ de « s’aimer les uns les autres » (Jean 13:34-35) qui exige un minimum de soin et d’attention aux autres – même aux étrangers – et qu’il n’y a aucune rime ni rien qui ressemble à un motif raisonnable pour ce comportement de mise en danger d’eux-mêmes et des autres – alors le christianisme – et la société – ont un énorme problème. Les dirigeants chrétiens ne transmettent clairement pas correctement les enseignements du Christ. Etant un peu cynique – et surtout à la lumière de la politisation actuelle (essentiellement américaine) du Christ – il semble évident que certains dirigeants chrétiens tentent de « conquérir Dieu » dans leur idéologie religieuse. Je veux dire, quand un dirigeant chrétien évangélique déclare publiquement que Dieu a mis Trump – qui est en fait un raciste (bien connu de tous en dehors de Fox News) et a amené l’Amérique au bord de la guerre civile avec l’attaque du 6 janvier contre la capitale des États-Unis – a mis Trump sur terre pour exorciser les démons de l’Amérique, cela revient à dire à Dieu ce qu’il doit croire – au lieu de demander à Dieu ce qu’il doit faire. La députée Green a publiquement préconisé la dissolution de l’union (des États-Unis) https://independentscholar.academia.edu/CharlesPeckJr
“The construction of a new idea of reality!”, Spirit as Life-Force, Creativity, Connectivity, Guidance, and Purpose - with Spirit and Truth! Spirituality and life are what you make of them, “The construction of a new idea of reality!”, and a Synopsis of forty years of personal spiritual experiences 1. “The layman always means, when he says "reality" that he is speaking of something self-evidently known; whereas to me it seems the most important and exceedingly difficult task of our time is to work on the construction of a new idea of reality.” Wolfgang Pauli 2. There is a force in the Universe, which produce miraculous results- Mahatma Gandhi 3. “What we have called matter is energy, whose vibration has been so lowered as to be perceptible to the senses.” - Albert Einstein 4. “All matter originates and exists only by virtue of a force...” - Max Planck: 5. "The unbounded, incomprehensible divinity remains beyond all comprehension." St. Gregory of Nyssa (335 – 395), "How can I show you Zen unless you first empty your cup." A university professor went to visit a famous Zen master. While the master quietly served tea, the professor talked about Zen. The master poured the visitor's cup to the brim, and then kept pouring. The professor watched the overflowing cup until he could no longer restrain himself. "It's full! No more will go in!" the professor blurted. "This is you," the master replied, "How can I show you Zen unless you first empty your cup." “Emptying your cup” would be especially important when it comes to spiritual-psychic experiences and transcendental spirituality. Tomlinson makes two observations – 1. that there is a consensus among spirituality investigators and scholars that spirituality is an “emerging” field of study, and 2. that spirituality involves very intricately complicated interconnections of processes and regions in the brain. Preamble – Scientific Perspective There are three scientific aspects which should be considered. The first is that while it used to acceptable with the outmoded "billiard ball physics that spiritual-psychic experiences were automatically rejected. Niels Bohr was a Nobel prize-winning Danish physicist, who pioneered the development of the quantum physics and theory stated “If quantum mechanics hasn’t profoundly shocked you, you haven’t understood it yet. Everything we call real is made of things that cannot be regarded as real.” Secondly, the synthesis-consensus of Viktor Frankl, William James, and Carl Jung that spiritual experiences can create meaning and a sense of reality as well as the fact that different experiences create different understandings. Third - in light of the well-proven and well-known psychological process of categorization, it would stand to reason that unusual experiences would be categorized as "unusual." What Spirituality is NOT About! It is easier to say what spirituality is NOT about. Spirituality is not about powers, magic, crystal ball predictions, or perfection. But those are very common and prevalent maladaptive stereotypes in today’s society. So yes, for most people, it is necessary to “empty your cup” of stereotypes and misperceptions about spirituality. These misconceptions and maladaptive stereotypes originate in a fallacy derived from the artificial and deceptive materialist argument that “spirituality is intangible” and thus unreal. The Materialist Fallacy = “Death” is a figment of your imagination. 1. W R Miller C E Thoresen “A philosophical basis for this perspective is materialism, the belief that there is nothing to study because spirituality is intangible and beyond the senses.” 2. 2018 Peer Reviewed Critique of Materialist Methodology Endorsed by Four Very Prominent Psychologists and Medical Researchers. The critique – dating from 2017-2018 has had well over 10,000 views and zero criticisms (between academia.edu, LinkedIn and FB science groups has been peer reviewed - and then some. The critique refutes that materialist maxim as the Definist Fallacy (loaded term). Refutation: If you take the concept of "death" which is "intangible and beyond the senses” then "Death must be a figment of your imagination" – which, of course is absurd – but so is the argument that “All spirituality is unreal. Here are the endorsements 1. Dr. Paul Wong, Professor Emeritus of Trent University edited two large volumes of The Human Quest for Meaning 2. Dr. Harold Koenig, a medical doctor-psychiatrist, a well published and very well-known author and researcher stated about this article: "Charlie – makes perfect sense to me, 3. Dr. Stephen Farra: Columbia International University Emeritus "Definist Fallacy (leading to a closed Materialism) is spiritual poison, and has hurt us all 4. Stefan Schindler, an award-winning author, and retired psychology-philosophy professor Spirituality is entangled in abstractions: So, yes,…spirituality is entangled in abstractions: powers, supernatural-unreal, magic, crystal ball. Dr S. Farra commented “Good short paper: A lack of belief in "free will" routinely leads to a sense of meaninglessness. despair, and unethical personal behavior. Our paradigms are our way of addressing Reality, but they are Not Reality. As C Peck, Jr. suggests, we are getting lost in our own abstractions!” Point of Order: Life isn't about finding yourself. Life is about creating yourself. - George Bernard Shaw George Bernard Shaw (1856 - 1950) Irish comic dramatist, literary critic, Nobel Prize 1925 I believe that is true: What is important isn’t “what it is” - it is what you do with it Historically - that is what early spiritual and religious beliefs accomplished – the creation of a human reality. Now modern society strives to force people to conform to an artificial abstract reality based on the materialist fixation on quantification which excludes some very important and necessary characteristics of humanity. Materialist-quantification ideology is unnatural and unhealthy to be blunt – and very suppressive of spirituality. Wolfgang Pauli proclaimed: “To us ... the only acceptable point of view appears to be the one that recognizes both sides of reality-the quantitative and the qualitative, the physical and the psychical-as compatible with each other, and can embrace them simultaneously ... It would be most satisfactory of all if physis and psyche (ie, matter and mind) could be seen as complementary aspects of the same reality” . In that line of thought, Gary Alan (et al) observe “While both sociologists and organizational theorists have incorporated qualitative data into theory building, contemporary social psychologists have resisted this trend. This resistance may be the product of long-standing perceptions of the discipline of social psychology that equal it with controlled experimentation” . Unfortunately, that is true. Kay Deaux, a prominent social psychologist, highlights the significance and importance of emotions especially in understanding many social, political or group related behaviors. However, Kay Deaux, highlights the fact that social psychology has historically had an “emphasis on experimenter-created social groups” which “precluded most affective displays.” Kay Deaux, in her critical analysis of studies and theories in social psychology of group dynamics and group related behavior, boldly states, “In contrast (to experimental cognitive reactions), natural groups, whether family, fraternity, or nation, are often the arena for intense displays of emotion and strong affective ties.” (p. 794 Handbook) As a result of excluding widespread historical evidence of genocides and atrocities (200+ since WWI) the factor of very powerful and extreme forms of emotions in conflicts with out groups was not recognized. A proper assessment would have indicated police would need additional training to help cope with powerful instinctual emotions. Alan goes on to say, “Yet, this was not always the case. Many respected social psychologists, including Muzafer Sherif, Edgar Schein, and Leon Festinger, relied on qualitative data from real-world contexts to ground theory building. Instead of being limited to a set of narrow topics, often highly cognitive and individualistic, social psychologists who use qualitative data in their theory building can explain naturalistic behavior” . As Glaser and Strauss (1967, p. 238) assert, A grounded theory that is faithful to the everyday realities of a substantive area is one that has been carefully induced from diverse data. . . . Only in this way will the theory be closely related to the daily realities (what is actually going on) of substantive areas, and so be highly applicable to dealing with them. In addition, qualitative data allow researchers to study social domains that may not be easily accessible to laboratory researchers” . (Ethnography and Experiment in Social Psychological Theory Building: Tactics for Integrating Qualitative Field Data with Quantitative Lab Data Gary Alan, Fine Kimberly, D. Elsbach)” As a point of information I would add that when it comes to spiritual-psychic experiences, mainstream “psychology” is even worse: Baruss and Mossbridge state that “As a result of studying anomalous phenomena or challenging materialism, scientists have been ridiculed for doing their work, been prohibited from supervising student theses, been unable to obtain funding from traditional funding sources, been unable to get papers published in mainstream journals, had their teaching censored, been barred from promotions and been threatened with removal from tenured positions. Students have reported being afraid to be associated with research into anomalous phenomena for fear of jeopardizing their careers. Other students have reported explicit reprisals for questioning materialism and so on” . (Baruss, 2014b, P.L. Berger, 1970; H. L. Friedman & Krippner, 2010; Hess, 1992; Rossman & Utts, 2014; Sommer, 2014; cf. Chargaff, 1977; Jahn, 2001) Siler, Lee, & Bero, 2015) (Baruss and Mossbridge Transcendent Mind p.25) Jeremiah Lasquety-Reyes, author & widely quoted expert on Filipino ethics - in an email reply to me, “Hi Charles, I completely agree with you that this extreme adherence to materialism is too restrictive and limiting, and frankly fails to capture so many richer aspects of human experience and psychology. It leaves the field of psychology all the poorer. I am myself looking for a framework that helps me confront it. Partly, I think an alternative metaphysics is needed, one that respects the reality and meaning of things like love, relationships, and the profound reality of other people as people and not just as a compound of atoms, chemicals, and neurons firing. Glad that we're on the same page!” The materialist approach of measuring and quantifying reality – as McGilChrist emphasizes leads to “limited and restricted analyses.” Furthermore, materialist reductionism often excludes and eliminates motivations as well as right and wrong. Viewing people completely in terms of quantifiable data has an inherently dehumanizing effect. Is that the kind of reality we really want? “An increasingly mechanistic, fragmented, decontextualized world, marked by unwarranted optimism mixed with paranoia and a feeling of emptiness, has come about, reflecting, I believe, the unopposed action of a dysfunctional left hemisphere.” I should highlight what Pauli observed: " Whereas to me it seems the most important and exceedingly difficult task of our time is to work on the construction of a new idea of reality." Wolfgang Pauli - I would add that - looking around the world today - the "reality" we have doesn't seem to be working all that well to be honest Preamble: FBI agent Michelle McElwee and Cyber-gaslighting in intelligence I have had serious and consistent academic censorship and cyber bullying problems since roughly 2018 – 2019 – which has caused a lot of stress and anguish and is important to me. At the time I had contact with FBI agent Michelle McElwee. After some time of contact, she observed that some of the things that happen to me are similar to the cyber – hacking gaslighting techniques used by intelligence. Setting the Stage: Background As Jean MacPhail, author of Spiral Life and scholar, as well as a former fellow at Harvard Neuropathology, observed: My personal spiritual-psychic experiences are "unique" - in part because the precognitive experiences relate to political events outside myself, as well as the fact that a number of them (over a dozen) are documented (mostly via emails). On top of that, the interpretations of my experiences are very consistent - as well as all are very reasonable interpretations. The consistency is due to almost all being "perceptions of threats to the group" parallel to animal alarm calls. I would highlight the fact that one aspect of old testament prophecy is perceptions of foreign (and internal) threats tot he group. Briefly I would mention I have gotten some direct support from Dr. P. Wong as well as support from Dr. S Farra [both Christian psychologists]. Scientific Laboratory Experiments (Successful) of Precognition The psychologists, Dean Radin and Daryl Bem, both agree that instinctual processes are involved with many spiritual-psychic experiences. Daryl Bem's precognition experiments have been performed a large number of times resulting in repeated successful precognition experiments, even though the experiments had different designs. Of the various designs, Daryl Bem's experimental design which focused on precognition of sexual stimuli, by far, outperformed all other experimental designs. An article summarizing a Meta-analysis of Bem's widely reproduced experiments stated that "The complete database comprises 90 experiments conducted between 2001 and 2013. These originated in 33 different laboratories located in 14 countries and involved 12,406 participants." (1.) And went on to say, that by far Daryl Bem's best performing design was 'the precognitive detection of erotic stimuli' (1.) Afterburner Metaphor I would add, from forty years of (limited) experiences, it would appear readily apparent that a good analogy for my experiences would be to the engine of a jet fighter - in which the “psychic” aspect only “turns on” occasionally, depending on circumstances, and that most of my “perceptions” result from a synthesis of senses - a good historical-political situation sense seems very salient. For me, the best asset of my personal spiritual-psychic experiences have been invaluable in my writing and research – since I knew what I was looking for. Highlights of dreams, many documented by emails, all with consistent and reasonable interpretations: 1, Precognitive Dream about 'Pakistan and 'Nuclear War' – from email - 1-18-2019 – a month later India launched an attack against Islamic Jihadists in Pakistan - I came across this update “Former US Secretary of State Mike Pompeo has claimed that he was awakened to speak to his then Indian counterpart Sushma Swaraj who told him that Pakistan was preparing for a nuclear attack in the wake of the Balakot surgical strike in February 2019 and India is preparing its own escalatory response. "I do not think the world properly knows just how close the India-Pakistan rivalry came to spilling over into a nuclear conflagration in February 2019. The truth is, I don't know precisely the answer either; I just know it was too close," Pompeo writes. (2) A Hybrid Dream-Perception: Precognitive "Tag" (a central action with one or two details) of the "incel" terrorist in Canada in late April, 2018. (3) Dream about Libya (2-26-2019), A month later the U.S. forces left Libya (4) Synchronicity with Muslim lone terrorist attack in Strasburg, France attack - dream (9-19-20) (5) Dudayev (Chechen leader) Dream – dream had several details matching the death of Dudayev the Chechen leader (6) Fredericksburg bomb (civilian) Several details of a dream matched the death of a woman by a bomb B. Highlights from forty years of conscious perceptions (1) my recent 10-30-20 email to FBI agent McElwee warned of a "domestic terrorist" threat referring to a "bomb" as the weapon. which is related - of course - to the Nashville bombing on Christmas day 2020 (2) My very detailed, specific, and notarized warning to the FBI on October 18, 1981 of an impending attack by the then active Weathermen terrorist group. Some [accurate] details are: group, fabricating bombs, money, women, 22 put together, New York, death, as well as the terrorist weathermen's manifesto. (3) A very brief (phoned in) warning to the FBI before the assassination attempt on president Reagan (4) I called – warned the CIA before 9/11. Point of order: “spirit and truth” (John 4: 23-24) and the Holy Spirit are my guiding lights. Actually, it is for that reason – like many other Americans - I vigorously oppose the politicization of Christ in America which has produced an abomination – a racist American president that has destabilized America. Studies (O Hodwitz & K Massingale; J A. Piazza; B L. Nacos, R Y. Shapiro, Y Bloch-Elkon) show Trump's hate speech incites/increases anti-social violence in the USA - 73+ school shootings for 4 consecutive years & 610+ "mass shootings" for four years Brief Overview of Genetic and Psychological Research on Spiritual and Religious Beliefs Tim Spector, in the article, What Twins Reveal About the Science of Faith (Popular Science, August 8, 2013) states, “They [the researchers] estimated the heritability of spirituality to be around 40 to 50 percent, which is quite high considering how tricky it is to measure. Other U.S. studies using even more detailed questions in larger numbers have found similar or even stronger genetic influences. These studies demonstrate our variable but innate inherited sense of spirituality, which affects how we perceive the world, ourselves and the universe. This is independent of our formal religious beliefs and practices and, strangely, largely independent of family influence.” Gilbert Todd Vance, in an article, Genetics of Religiosity, states that, “While it may at first appear that religiosity would not be influenced by genes, studies have shown that genetic effects contribute to individual differences in a wide array of traits and behaviors, including social attitudes, personality, vocational interests, IQ, and religiosity.” Furthermore, genetic studies of the hereditability of personality traits, including twin studies, including a large cross-cultural twin study completed in North America, Europe, and Asia by Yamagata S, Suzuki A, Ando J, Ono Y, Kijima N, Yoshimura K, Ostendorf F, Angleitner A, Riemann R, Spinath FM, Livesley WJ, et al. (2006), do strongly suggest that both heritability as well as environmental factors influence personality traits using the five-factor model of personality. My preface: J E Kennedy: Although 45% of the respondents indicated that a paranormal experience had made them very afraid, this fear appeared to be temporary or mixed with positive feeling because only 9% indicated that their experiences have been scary with no positive value. A lot of "spiritual" people that I speak with confirm that - including myself. I would also add that I get that reaction from people who read about spiritual experiences as well. Jenelyn, my partner reacted that way. She said, “yes its scary!” I have yet to meet any college undergraduates who have any education or training in spirituality – especially transcendental spiritual experiences. Very few are aware of research into people who have spiritual experiences. J.E. Kennedy and H. Kanthamani observe, “Data from a convenience sample of 120 people actively interested in parapsychology who reported having had at least one paranormal and/or transcendent experience showed that these experiences increased their interest and beliefs in spiritual matters and increased their sense of well-being. More specifically, the majority of respondents indicated that the experiences resulted in increased belief in life after death, belief that their lives are guided or watched over by a higher force or being, interest in spiritual or religious matters, sense of connection to others, happiness, well-being, confidence, optimism about the future, and meaning in life. They also indicated decreases in fear of death, depression or anxiety, isolation and loneliness, and worry and fears about the future” . A large majority of respondents indicated that these effects resulted from a combination of more than one paranormal and/or transcendent experience. The magnitude of changes in well-being and spirituality were positively associated with the number of anomalous experiences. Measures of current well-being and current importance of spirituality were positively associated with reported changes in well-being and spirituality resulting from anomalous experiences.” Jenelyn agreed with that as well – that few have awareness of research on people who have spiritual experiences. A Narrative Story of Events: Atheists and Angels! Perspective I would highlight the fact that the pivotal October 18, 1981 notarized warning (with a FOIPA stamp) to the FBI about the impending attack by the weathermen terrorist group is very detailed with some unique characteristics. Some [accurate] details are: group, fabricating bombs, money, woman, 22 were assembled, New York, death, as well as the weathermen terrorist manifesto. of being the only one about terrorism (until 9/11), with a definite "place" as well as "timing" (verbally). I have done my due diligence and I can safely say that comparatively speaking - historically, it is literally unprecedented in accuracy and number of details compared to other "historically documented illustrations." Perspective: Historically Documented Predictions and Warnings of Assassinations (threats to the group) While, "psychic" warnings or predictions of assassinations are the only truly consistent type of Historically documented illustrations - across the centuries there are only a limited number of documented illustrations of predictions of deaths of leaders or assassinations: 1. The assassination of President John Kennedy: Jeane Dixon tried to warn JFK through a DC socialite who had been on his inauguration committee. This is documented only because one of her biographers interviewed the socialite. 2. The assassination of Julius Caesar, whose assassination was predicted by a seer-high priest as well as in his wife's bloody nightmare the night before his assassination, which is historically documented. 3. The assassination of Abraham Lincoln who had a nightmare about his own assassination in which he had dreamed that he saw his casket lying in state in the White House. It is historically documented because he told his cabinet about it a short time before he was assassinated. 4. Catholic Saint Liguori, who went into a coma as his leader, the pope was on his death bed. 5. The assassination of Assyrian King Sennacharib documented as a prophecy in the Old Testament 6. My own notarized, precognitive “What a nightmare” warning to the FBI about the terrorist group the Weathermen (now actually the Weather Underground) as well as my verbal warning to the FBI of the impending assassination attempt of President Reagan). 7. Nostradamus' famous quatrain 35 that purportedly related to the death of a French king at a jousting tournament, while talked about in letters of ambassadors to France, is now argued by scholars to have been first published after the event of the French King's death, so I can't really use it as a "documented" illustration. The Events of fall 1980 through October 1981: What a nightmare Human reason has this peculiar fate that in one species of its knowledge it is burdened by questions which, as prescribed by the very nature of reason itself, it is not able to ignore, but which, as transcending all its powers, it is also not able to answer. - Kant How I found The French Quarter in the Holiday Inn in Perrysburg, Ohio is something of a mystery. The French Quarter is a mini-bar tucked back into the interior of the hotel beside the swimming pool. In the fall of 1980, I was in the middle of a divorce and needed to think some things through. At the bar there were, perhaps, room enough for five or six chairs. The chairs were really in truth just high standing stools since the bar top was raised. There were steel rungs that were there for customers feet. Otherwise, their feet would be dangling in mid-air being unable to reach the ground. I was thirty in 1981 and I was going through a divorce at the time with my first wife. I took a liking to the bartender, TJ, and being a bit lonely, I was a frequent customer at the French Quarter. TJ stood about 5’6” with brunette hair that came down to her shoulder. TJ was pretty and had an attractive quirky kind of smile. The one corner of her mouth would tip slightly down while she looked at you quizzically with furrowed brows. She was a nice mid-west Ohio girl - with no secrets or hidden agenda. She was about 18 at the time and planned to attend Bowling Green University - a short drive from Perrysburg - that coming fall. I’m sure she thought I was hitting on her, but the truth was I didn’t know what I was doing. I had no idea. I had quit my job and left my wife. I didn’t have any ulterior designs on her. I just wanted someone to talk to, perhaps as if to reassure myself that, in reality, I do really exist after all. We did end up going out on a couple of dates – a movie and a dinner. She had her feet on the ground and she had set in her mind what she was going to do. Most of the time she was busy serving customers, but we did talk from time to time – mostly a lot about nothing in particular. I’ve always had a somewhat cynical political awareness, and we talked about politics a bit. Of course, Reagan was discussed, though I must say, TJ didn’t seem to have any views one way or the other. Then one day it happened. I’m not sure what I was thinking, but out of the blue, I impulsively TJ that I thought Reagan would get shot. It is strange, my memories about that are like the shards left over from a shattered glass. Yet, I was strangely deeply upset about that conversation. At that particular moment in time I definitely did not believe in psychic. In fact, I had very strong feelings and beliefs that psychic, spirituality, and religion were superstitious nonsense and really, in truth, ignorant. But, it was something that bothered me. So, I ended up calling the FBI office in Toledo, Ohio. The FBI agent who answered the phone, of course, immediately informed me, in a rather condescending tone, that I should call the Secret Service. That idea didn’t seem very attractive to me. The FBI agent asked my name and address. Then he took me by complete surprise. He asked me when I thought this would happen. That’s a very natural question, but I simply hadn’t thought things through at all. I believe I said that this would take place in a couple of weeks. I didn’t write anything down or take notes. After all, at the time, I definitely consciously did not believe in spirituality-psychic, so there was no real reason to write any of that down. The bottom line is that I have no idea if the timing was correct or not. In psychology, global-meaning-shattering events – or in plain talk, really hard-hitting traumatic events - are more often associated with cancer or some other dreadful disease. While foretelling President Reagan would get shot didn’t utterly destroy my understanding of the world and the universe, it certainly put some cracks in the foundation, and it shook me to the core. At first, it was like seeing something through a thick fog. There were ‘things’ that were there. You could see the outlines and shapes yet you were left asking whether “it” was really real. Did I really talk to TJ? Did I really talk to the FBI? I tell you though, that the thing about calling the FBI is that you don’t forget the call no matter how hard the mind tries to repress it. To this day I clearly recall the FBI agent telling me that I should have called the Secret Service. In those days it was the doubts – with a capital “D” that were my problem. The doubts were like mental bee stings which made me wince when the thoughts popped into my mind. And I am a bit OCD, so once I started thinking about it, I wasn’t going to let go. That’s just the way it was. There was a lot of fear. First I think there was fear of the unknown. “It” was an unknown and if the mind has a rule that would be to make sense out of experiences. So, fear of the unknown was a very real fear to my mind. Then, the experience was totally alien to me so that there was a substantial fear that I had lost my mind. That was a very real fear to me, at that time. Then there was the fear of what other people would think. The experience was what I would call a supercharged experience. Besides doubts and fears there were feelings of guilt and other various and sundry emotions for instance about how to relate to others. It wasn’t until much later that I realized that group-related instincts would seem to make it likely one would have a predisposition to perceive and verbalize threats to the group. But at the time it occurred to me that there might be something wrong with me since it was about violence. The Doubts, Fears, and emotions grew and snowballed - until the experience became a gigantic fireball of emotional torment and turmoil. Then there was the government. I believe people have an innate fear of the government from which I am not immune. The fears and emotions seemed to bleed over into the government aspect and the government became like an Entity which was all-knowing and all-seeing. It was a definite thing in my mind. I didn’t say much to TJ though I finally did screw up enough courage to ask her if she remembered me talking to her. To my surprise she said she did remember, but failed to say exactly what she remembered. From my experience I concluded that when an experience which doesn’t ordinarily fit into the world as one understands it, the brain simply has to do something with the experience. The experience of warning about the Reagan assassination created a problem – and it was a problem the brain was going to resolve one way or another. Kant remarked about that very process: “Human reason has this peculiar fate that in one species of its knowledge it is burdened by questions which, as prescribed by the very nature of reason itself, it is not able to ignore, but which, as transcending all its powers, it is also not able to answer. I have therefore found it necessary to deny knowledge in order to make room for faith. (my italics) For me, trying to understand was a peculiar fate, indeed. It took thirty years to fully sort things out. I did go to a psychologist because I was having a hard time making sense out of everything that was happening to me. I spoke a little bit about my experience. She didn’t comment on anything except to say I should write predictions down. So, I started to do just that. I wrote down a couple of Nostradamus style quatrain-like poems. One that I wrote down was titled “Riddle.” It was about assassination. I wrote down Reagan’s “Ball” but I recall pretty clearly that I debated between putting down “Ball” and writing down “Parade.” It had a lynch pin in it. A few days later, on October 6, 1981, Sadat was assassinated at a victory parade celebrating Egypt’s crossing of the Suez. Islamic radicals had been infuriated when Sadat made peace with Israel in the Sinai treaty, particularly the radical Egyptian Islamic Jihad. Discontent had been fomenting and caused Sadat to round up 1,500 Islamic radicals. A Jihad cell in the military led by Lieutenant Khalid Islambouli was overlooked. During the parade, the assassins jumped out of a truck and opened fire on the grandstand in which Sadat sat. Islambouli succeeded in emptying his assault rifle into Sadat's body. A grenade was also used. Of course the Riddle of the Sphinx is without question the most famous riddle from antiquity and ancient myth. The Sphinx which terrorized Thebes and killed all who answered her riddle incorrectly asked this riddle: "Which creature has one voice and yet becomes four-footed and two-footed and three-footed?" Oedipus correctly answered the riddle and freed Thebes: Man—who crawls on all fours as a baby, then walks on two feet as an adult, and then uses a walking stick in old age. The sphinx is, of course, an iconic symbol of Egypt. As far as foretelling events the metaphorical meaning of the riddle falls right into the tradition of the Oracle of Delphi and Nostradamus in the use of symbols and allegory, so, in that sense it is fair game. What makes it doubly symbolic is that the Riddle of the Sphinx centers on Oedipus (in the Greek classic Oedipus Rex). And the story of Oedipus is a story about a prophecy – a prophecy/prediction that Oedipus would murder his father and got to bed with his mother. So, The Riddle of the Sphinx had a double meaning in predicting an assassination. I count “parade” because I clearly remember thinking about “parade” and debating whether I should use it. The lynch pin would represent the grenade since grenades have lynch pins. While the “Riddle” is interesting, I, personally, don’t truly count the “Riddle” as a prediction. To me, it’ like a “tag.” I had the action – the act of assassination - but I really didn’t have much of anything else. I had a memory of “parade” and lynch pin but that was it. After Sadat was assassinated, I asked my self: “Why am I making predictions. Making predictions to make predictions simply did not make sense to me. For every action a person does there must be some kind of motivation for that action. The motivation to make predictions to prove foresight just did not seem an adequate reason to me. For me, there had to be a purpose to make a prediction – like to issue a “warning.” Then, one day. out of the blue, I got a "feeling" that something bad was going to happen – a premonition. So, that night I sat down at a big oak desk that overlooked the Maumee River and wrote out a stream of consciousness. I wrote down anything and everything that came to mind – no matter how stupid it sounded. The doubts and guilts involved in trying to reach a decision as to whether “it” “is” or “is not” had taken a serious toll. The emotional carnage had been pretty acute and I had reached the point at which I just didn’t care one way or the other – just so long as the debate and the agonizing would end. I resolved, since I felt people would be hurt to try to warn the FBI. I recall looking at the “What a nightmare” stream of consciousness and realizing it looked like the rantings of a lunatic. I wasn’t consciously religious in any way, but there were angels, a prophet, exorcism, a nun, Jesus Christ as well as the “mustard seed.” And there were lines about snakes, a jungle, and monkey screams. It had ALL the appearances of being insanity incarnate. Even though the “What a nightmare” warning looked insane and most anyone who read it would think I was off my rocker, that didn’t faze me – at all. I just didn’t care. I had reached the point where the only thing that mattered was to end the Doubts and the torment. It is strange, but in a way, part of me hoped that “What a nightmare” would be wrong. Then it would be over and I wouldn’t have to fool with it anymore – I would realize that I had gone off the deep end and figure out some way to deal with it. It may seem odd, but in retrospect the question of whether it was right or wrong didn’t figure in any way into my thinking or reasoning. For some truly bizarre reason, I simply did not ask that question. FBI Office, Toledo, Ohio October 18, 1981 That was late at night. The next morning I got my “What a nightmare” stream of consciousness notarized, and decided to go into the Toledo FBI office to go over it with an agent. The FBI office was in a newly renovated older brick building that stood above the muddy waters of the Maumee River. You have to understand that one of the most notable characteristics of Toledo, Ohio is that nothing notable ever seems to happen in Toledo. So, for the FBI agents in Toledo I wouldn’t think it would be a pressure cooker situation. The building had high ceilings and as I walked down the seeming endless hallway to the FBI office my footsteps echoed hollowly in the empty passageway. As I walked past my mother’s office I noticed her office was closed at that moment. I opened the outer door to the FBI office and stepped into an inner foyer type room. I went to the half glass door and pushed the door-bell button. A minute or two passed and a FBI agent came to the window beside the door. He asked what I wanted and without hesitation I answered, “I have information about a terrorist attack. The agent raised his left eyebrow just enough to let me know I had gotten his attention. He came out and led me to one of the doors bordering the foyer. The agent was tall. His blue suit was impeccably buttoned by one button and his shoes were polished. Besides being a FBI agent which carried its own reputation, the man was built like a football fullback. He appeared quite intimidating. The door the agent opened was to a small cubicle. He sat in a chair to a small table with his back to the wall, and I sat in a chair with my back to the door. I told him I had had a dream about terrorism, and I placed my “What a nightmare” stream of consciousness on the tiny table facing the agent. He looked at it intently for what seemed an eternity, though it probably was only a minute, and then the agent looked at me with a very intense but somewhat quizzical look. Even though it was upside down I pointed out the line “A group with money fabricates a terrible bomb.” Then I moved down the stream of consciousness to the line that said, “Security bonds – money – a woman – keys to the whole thing.” Those two lines are the only two lines that could actually be said to be straightforward. I’m not sure how I found those lines so easily when the document was upside down to me. Then I pointed out the line that said, “New York or Miami” and asked him which place he thought it would be. The agent’s head came up and he gave me a sharp glance but paused a moment before speaking. I saw his rather thick neck turn a pretty shade of pink. Then the agent angrily snapped in a loud voice, “How the hell should I know? It’s your dream!” I cringed but said in an even voice, “I believe it will be New York!” We left the cubicle and the agent paused at the door leading to the office and asked, “What do you think I should do about it?” Had I been on my toes I would have analyzed the puzzle. “Money” is mentioned twice, as well as “security bonds” so one could have reasoned that banks or armored trucks were the target. Had I explained that the agent could perhaps have figured it must be armored trucks. One of the New York Times articles said there had been at least one other Brink’s armored truck robbery. Of course, I possibly could have gone psychic and said “Brink’s” or “armored truck.” In that case the FBI could have warned Brink’s armored truck in New York. They say, “Forewarned is forearmed!” One guard and two policemen were killed and a timely warning could possibly have saved lives. But the agent’s question was a very intelligent question. In others words he actually toyed with the idea and wondered whether or not it might be true. Personally I suspect he may have been the same agent I talked to when I warned about the Reagan assassination attempt. The reason I think that is because even though the stream of consciousness was totally uninhibited and appeared to be the raving of a madman – after all it said “Satan was there, I spit in that face. (don’t try this at home) – and the agent didn’t blink an eye. The agent didn’t say one single disparaging word or give me a disgusting look – or anything. I was in a mental fog for several weeks. I saw nothing on the news but I believe it was after three weeks I went to the Toledo Public Library and looked through the New York Times – and I found articles about an event which perfectly matched the “What a nightmare” warning. Two days after I talked to the FBI agent, Katherine Boudin, a former leader of the notorious Weathermen terrorist group (now called Weather Underground), was arrested after a shootout with the Nyack, New York police force which had 22 officers. The shootout resulted after a chase which started with the botched robbery of a Brink’s armored truck. Bomb making materials and plans were found in the terrorists’ apartment. “Fabricating bombs” was an incredibly precise description since none had been made but it looked like they were working on them. The New York Times quoted the Weathermen manifesto: “We are the incubation of your mothers’ worst nightmares.” The “What a nightmare” warning stated “Time is at hand! Time is at hand, and Angels said. “Fight Hard, Die Well! A prophet spoke.” It could be argued that the “Time is at hand” stated twice symbolizes the two policeman who were killed, while the prophet’s statement symbolizes the one Brink’s guard who was killed. October 18,1981 In retrospect, if someone had told me what I was going to do before I did it, I would have thought that person would be out of his mind. I would have told them Charlie Peck simply is not capable of that. Comparatively speaking the amount of detail is incredible. I honestly haven’t found anything like. So, the question, again, is: How can a person who doesn’t believe in spirituality-psychic and actually thinks it is superstition and insanity, write down a stream of consciousness with all that detail, and even though it looks like the ranting and ravings of a lunatic, walk into a FBI office and calmly go over it with a FBI agent? A Different Perspective from an independent writer (Jhay R content writer) – I thought the “chilling” comment interesting – because for many it is an unknown they find it frightening. When National Crisis Loomed: A 1981 Prophetic "What a Nightmare" Warning to the FBI - The Mustard Seed Epiphany The chilling events of October 18, 1981, may never have made history if it weren’t for one ordinary individual who entered an FBI office with what seemed like a bizarre, irrational warning. What they carried, however, was an unexpected and specific premonition—one that foretold an impending act of terror with uncanny precision. The person’s recollection, known today as the "What a Nightmare" prophecy, details a vision connected to the Weathermen, a radical offshoot of the Students for a Democratic Society (SDS), who were infamous for bombings and extreme tactics during the Vietnam era. Without training, evidence, or any rational way to validate their claims, this individual’s experience remains a curious and rare instance of a seemingly prophetic event rooted in nothing but intuition and a sense of impending violence. The premonition was a tapestry of stark imagery and unsettling phrases, unfiltered and raw. Phrases like "monkey screams," "snake hiss," and "Fight Hard, Die Well" painted an atmosphere that even they admitted resembled "the ravings of a madman." Yet, within this erratic stream of consciousness were precise elements—the mention of New York, an allusion to Miami, and a timing tied to the speaker’s birthday—that, though cryptic, would prove strikingly relevant just days later. A Chilling Prophetic Encounter with the FBI The premonition led the speaker to walk into an FBI office in Toledo, Ohio, where they faced a skeptical agent in a small, unassuming cubicle. The individual recalled the meeting in vivid detail, recalling that the agent listened with a blend of disbelief and duty, responding bluntly, "How the hell would I know? It’s your dream!" Nonetheless, the agent entertained their warning. The person even asked the agent’s opinion on whether the events would unfold in New York or Miami, emphasizing the disturbing clarity of what they were sharing despite it coming across as fantastical or even delusional. Two days later, in a violent clash with police in Nyack, New York, Katherine Boudin, a former leader of the Weathermen, was arrested after a failed Brink’s truck heist and ensuing shootout. The prophecy had eerily come to life. During the shootout, 22 officers from Nyack’s police force—an exact match to the number the speaker had perceived—were present, and the words "Fight Hard, Die Well" mirrored the tragic reality of two policemen and one Brink’s guard who lost their lives. Equally remarkable was the fact that bomb-making materials were discovered in the group’s hideout, aligning with the prophecy's foretelling of a group “fabricating bombs.” Synchronicity and Symbolism: The "Mustard Seed" Epiphany Beyond the factual accuracy of the premonition, the warning contained symbolic elements that echoed prophetic language and Christian spiritual themes. The individual referenced the biblical "Mustard Seed" parable from the Gospel of Matthew, which tells of small beginnings leading to significant impact—a theme resonating with the message’s powerful yet unassuming origins. "Time is at hand! Angels said. Fight Hard, Die Well!” Not only did these phrases foreshadow the literal deaths, but they also hinted at the struggle between good and evil, symbolized by “angels” and “prophets.” In hindsight, the prophecy’s layers of meaning seem almost purposefully veiled, as though delivered by an unseen force using symbols that would only be recognized in their fullness once the event had passed. For the speaker, the experience was transformative. In their words, they had encountered a brush with the divine, an experience that “connected them to evil” yet provided a glimpse of a profound and mysterious knowledge. It wasn’t only the accuracy that unnerved them but the sense that the prophecy carried a deeper spiritual message, an idea reinforced by the biblical parable of the Mustard Seed, which grew into a tree sheltering the birds of the air. To this day, the individual struggles to fully understand the spiritual meaning behind the prophecy but believes it speaks to a universal truth that even small acts or warnings can have monumental implications. The Aftermath: Psychiatric Struggles and a Clash of Perceptions Three years later, in 1984, the individual faced a profound and tragic consequence of their prophecy experience when they were involuntarily committed to a psychiatric institution. Labeled schizophrenic, they were subjected to what they describe as traumatizing treatments that ignored the spiritual dimensions of their experiences. Diagnosed with PTSD by two doctors and deeply affected by the "treatment" they endured, they feel these encounters with psychiatry underscore society’s difficulty with understanding spiritual or prophetic phenomena. For the next 40 years, they encountered what they describe as “conditioning by ignoring,” a pattern of dismissiveness from psychologists and psychiatrists who refused to acknowledge, let alone explore, the psychic or spiritual aspects of their experience. This period of isolation and misunderstanding deepened their reflections on the nature of prophecy and mental health. Despite the traumatic aftereffects, they are now convinced that prophetic knowledge is real, if enigmatic, and that society needs a more nuanced understanding of such experiences—especially in clinical settings. The individual ultimately believes they were wrongly labeled and that their visions represent a legitimate intersection between spiritual insight and real-world events. Reflections on the Role of Prophecy: Beyond Personal Recognition In the years since, this person has come to see prophecy not as a performance or self-gratifying act but as an intense, often painful, process. They believe genuine prophecy is not simply “making predictions,” as they note from their research into figures like Nostradamus, Edgar Cayce, and Jeanne Dixon, who often struggled with accuracy when forecasting for fame. Rather, they argue that prophecy, when authentic, arises unexpectedly and serves a larger purpose, grounded not in ego but in duty. This philosophy has led them to view their own experience as part of a greater mystery, a "mustard seed" of truth that grows and reveals its significance over time. Today, this story of the "What a Nightmare" prophecy, viewed as historically unique for its level of detail and accuracy, continues to invite curiosity and analysis. The narrative, blending the surreal with real-world impact, highlights the delicate interplay between madness and miracle, between foresight and happenstance. It raises questions about the role of prophecy in a skeptical world and about the ways society responds to those who claim insights that defy logic. Whether viewed as divine, psychic, or purely coincidental, the "Mustard Seed" prophecy stands as a compelling example of forewarning that demands we rethink the boundaries of human perception and spiritual insight. For those who have examined the case, it serves as a humbling reminder that the line between mystery and reality can be razor-thin, and that some truths may only be fully understood after they’ve come to pass. Reflections Post script The fact of the matter is that when I walked into the FBI office on October 18, 1981 with a notarized, written, very detailed precognitive-spiritual warning-prediction, consciously my views were actually very antagonistic to spiritual-psychic experiences. If you think about it - the miracle of the "What a nightmare-Mustard Seed" warning is that I walked into the FBI office and walked out without a net being thrown over me and being hauled off to the looney-bin. Some relatively recent documented emails sent to FBI agent McElwee - not that long ago (2020) 1. an email I sent to FBI agent McElwee [who I first connected with back in December 2018] on 10-30-20 foreseeing the Nashville bombing which happened on Christmas Day 2020. Stream of consciousness Email Warning to FBI agent McElwee on 10-30-20 - in a mini -stream of consciousness: "My senses are tingling as it were and red lights are flashing and I feel that there is something up that may turn out to be important...........Of course What a nightmare symbolizes terrorism - domestic - and specifically bombs" ( To: "mvmcelwee@fbi.gov" Date: 10/30/2020 3:30 PM) 2. email to Agent McElwee 4-10-2020 "To me much of humanity looks like an uncontrolled pack of lemmings on a suicide run.” All analyses of American deaths due to covid show a disproportionate number of Americans died (un-necessarily) due to covid compared to other European countries – estimates of unnecessary American deaths vary from 50,000 to 100,000 The Christian No Mask Madness without question produced a very large number of disproportionately high number of Americans who died of Corona Virus than most other European countries – by all accounts. A recent article stated that one hundred thousand Americans died of the corona virus that shouldn’t have compared to the Canadian death toll from corona virus. America's excess mortality rate from COVID-19 is significantly worse than Europe’s Janine Aron, John Muellbauer September 29, 2020 The United States has 4% of the world's population, but 21% of global infections and deaths attributed to COVID-19. This column shows that when comparing excess mortality rates, a more robust way to report deaths from a pandemic, the cumulative excess mortality rate in Europe from March to July is 28% lower than the US rate…The northeastern United States - the region most comparable to individual European countries - has experienced much worse excess mortality than the worst-affected European countries. If the United States had kept its excess mortality rate at European level, approximately 57,800 American lives would have been saved. https://voxeu.org/article/us-excess-mortality-rate-covid-19-substantially-worse-europe-s Might Makes Right 2017 Letters to the allies: Prophecy and When National Death threatens Historical Prophecy: When National Death Threatens The prophets dealt with man, not as an atom, but as a part of a social organism, a living member of a living body. To heal this body when diseased (Isa. I:6), to warn it against coming dissolution, and to bring it back to the paths which lead to perfection in God, was their great and only mission (Jer. 6: 6). Hence, they were always the more numerous when national death threatened. Just before the fall of Samaria and the fall of Jerusalem we find them working in the greatest number and with the greatest energy. (The Old Testament Prophets As Social Reformers, Rev. Geo. Stibitz) America The Might Makes Right Historical Cycle: February-March 2017 Letters to Embassies of Allies (English, French, German, and Canadian) with Revelation of Trump’s Abuse of Allies’ Leaders – July 2022 Perception of threats – When National death threatens The tragic events of 9/11 brought a flurry of cases Richard S. Broughton observes, “The tragic events of 9/11 brought a flurry of cases to the attention of parapsychology labs. The cases ranged from dramatic dreams of airplanes crashing or exploding to the more frequent examples of unusual departures from normal routines that ended up saving someone’s life. Just a few days after the event one of the participants in an experiment I was running related to me her sister’s experience. Her sister worked in an office on one of the upper floors and was exceptionally scrupulous about not missing work—reportedly had never missed a day. On the morning of the 11th her alarm woke her, but she could see it was going to be a lovely sunny day and she was taken with a feeling of being a bit naughty and skipping work that day. She would think up a reason later. So she turned off the alarm and went back to sleep. It was only when she emerged from the shower a few hours later and turned on the TV did she realize what she had missed being a tragic part of. Is this also precognition? Obviously, there is no way of telling, but these instances are sufficiently common—far more common than the dramatic examples—that we run the risk of missing some important clues if we ignore them. If precognition is part of an evolutionarily determined, survival-oriented system that is integrated with our memory and emotional subsystems, these could be seen as the “normal” operation information from the future on behaviour in the present. In the experimental literature of parapsychology this notion has been formalized as Decision Augmentation Theory where decisions in the present are augmented by information from the future” .8 (p 331. P. 332 Encounters at the Frontiers of Time: Questions Raised by Anomalous Human Experiences Richard S. Broughton Marechal’s Tears Marechal’s Tears: The Vision of a Child One might not ordinarily think of Trappist monks as writers. The Trappist monks, originating in La Trappe, France in 1664, are a vegetarian splinter group of the Roman Catholic Cistercian Order. The monks are cloistered contemplative monastics who follow the Rule of St. Benedict. St. Benedict's Rule centers on the three vows of stability, fidelity to monastic life, and obedience. While not directly embracing a vow of silence, the Trappists monks respect St Benedict’s insistence that the spoken word be kept to a bare minimum. Elias Marechal begins his book, Tears Of An Innocent God , with an incredible and, it would seem, a somewhat unbelievable story. The very brief but poignant story revolves around a very young and innocent seven-year old child on the eve of 9/11. “Colette, a deeply intuitive woman, wandered into the recreation room holding a swallowtail butterfly. Her daughter was leaning forward, staring at a collection of building blocks. “Katie, look at what I found!” No response. Her stare was locked inside the building blocks. “You don’t want to see it?” Katie continued to stare. Intensity pushed to a high level. You could feel it. Colette went to the garden to release the butterfly. When she returned, Katie was stacking one block on top of another. Colette’s palms started to sweat. The child shaped a second set of blocks. It stood next to the first. Then she went to a desk and returned with a paper plane. Moments later she ran it through the first tower. It collapsed. Katie stared at the scattered blocks for several minutes. Then she raised her hand slowly, gripping the paper plane between thumb and finger, and ran it through the second tower. Collette swallowed hard. It took while for the barely audible question to break through the silence, “Honey…. why did you do that?” The answer came solemn and slow. “That’s just the way it is, Mama. That’s just the way it is.” What seems telling for me is that Katie had specifically gotten up and fetched a ‘paper plane’ so it was not like it was random play. This dovetails with my experience that spiritual-psychic experiences are perception – not crystal ball predictions- or magic. From my micro-study of acquaintances it appears that women often perceive threats to their groups–families. Might Makes Right February-March 2017 Letters to allies’ embassies In letters that I mailed to the embassies of our allies in Mid-March 2017, I stated: "I read an article which said that Trump’s envoy to the United Nations was going to “take names” and dictate terms to the nations of the world. That is an utter disgrace. When it comes down to it, at times, Americans can be downright arrogant. Some Americans think they have all the power and all the answers. The truth of it is Americans don’t even have the right question. History repeats itself and has definite cycles. I believe America is in the cycle of might-makes-right. After the Athenians defeated the Persians they rose to the undisputed and unchallenged leadership of the Greek world. They used their power to bully and dictate terms to their allies. The Athenians ended up massacring all the inhabitants of Lesbos on the argument that might-makes-right. Their policies ended up backfiring." “Trump accused of 'near-sadistic' bullying of German Chancellor Angela Merkel…. Intelligence Revelation in 2020 Intelligence Leaks July 30, 2020: The title of an article in the Indy 100, Independent, stated that “Trump accused of 'near-sadistic' bullying of Angela Merkel for 'vicious attacks' in private phone call” The article went on to say How Bernstein of CNN observed that Although Trump "regularly bullied and disparaged" other leaders like Emmanuel Macron (France), Justin Trudeau (Canada) and Scott Morrison (Australia). However, his most "vicious attacks" were reserved for women, the report claims. Bernstein quoted one of his sources as calling Trump's phone calls with Merkel and May "near-sadistic". Some of the things he said to Angela Merkel are just unbelievable: he called her 'stupid,' and accused her of being in the pocket of the Russians. He's toughest with those he looks at as weaklings and weakest with the ones he ought to be tough with. The intelligence leak from foreign intelligence sources led to further revelations such as how Trump called May a “fool” on a phone call which was later verified by former National Security advisor Bolton in his book. Bolton went on to say how he, former Secretary of State Tillerson, former Defense Secretary General Mattis, as well as another former top national security advisor all agreed that Trump is “delusional” – off his rocker in common parlance. So, it turned out I was dead-on target and incredibly accurate in my warning and assessment - and then some in my letters to allies. A critical point – in my view – is that in my letters – to the best of my recollection – I hardly referred to Trump. “Justice is nothing but the advantage of the stronger” – Thrasymachus “I’m not an impartial juror. This is a political process,” Majority Leader Mitch McConnell: Trump’s First Impeachment Trial: Wikipedia: “The first impeachment of President Donald Trump occurred on December 18, 2019. On that date, the House of Representatives adopted two articles of impeachment against Trump: abuse of power and obstruction of Congress. On February 5, 2020, the Senate voted to acquit Trump on both articles of impeachment. Trump's first impeachment took place after a formal House inquiry found that he had solicited foreign interference in the 2020 U.S. presidential election to help his re-election bid, and had then obstructed the inquiry itself by telling his administration officials to ignore subpoenas for documents and testimony. The inquiry reported that Trump withheld military aid[a] and an invitation to the White House from Ukrainian president Volodymyr Zelenskyy in order to influence Ukraine to announce an investigation into Trump's political opponent Joe Biden, and to promote a discredited conspiracy theory that Ukraine–not Russia–was behind interference in the 2016 presidential election” Senator McConnell at the impeachment trial actually made no bones about it. Before the Impeachment Trial even began, he made it perfectly clear he was going to ram an acquittal verdict down the throats of the Democrats - regardless of right or wrong, justice, truth - or anything decency in politics for that matter. Senate Majority Leader Mitch McConnell (R-Ky.) stated outright that no one should "expect him to handle President Trump’s impeachment trial as an impartial juror: “I’m not an impartial juror. This is a political process,” McConnell told reporters Tuesday while fielding questions about the upcoming trial. I tell you my letter to the Canadian embassy in mid-march 2017 hit the nail on the head. As a postscript I would add this excerpt from a recent article on Trump by Politico: “The prospect of a second Trump presidency has the intelligence community on edge Trump sought major changes at the intel agencies in his first term; former officials say he could be more radical in a second.” Excerpt: “Former top officials from Donald Trump’s administration are warning he is likely to use a second term to overhaul the nation’s spy agencies in a way that could lead to an unprecedented level of politicization of intelligence. Trump, who already tried to revamp intelligence agencies during his first term, is likely to re-up those plans — and push even harder to replace people perceived as hostile to his political agenda with inexperienced loyalists, according to interviews with more than a dozen people who worked in his administration.” As a point of information, during Trump’s presidency, two ministers of Defense – from France and from Japan – publicly stated that American intelligence was flawed – wrong. That has never happened in U.S. history before – public statements too. In the last election 300 former Republican intelligence officials publicly endorsed Biden over Trump. Republican Vice President Cheney stated publicly in the last few weeks he will NOT vote for Trump because he is UNFIT to serve as president. Post-script I have had problems ever since I sent the allies letters saying America is in a “might makes right” historical cycle similar to Athens, when after defeating the Persians, they bullied, Intimidated, and threatened their allies in the Delian League. In letters that I mailed to the embassies of our allies in Mid-March 2017, I stated: "I read an article which said that Trump’s envoy to the United Nations was going to “take names” and dictate terms to the nations of the world. That is an utter disgrace. When it comes down to it, at times, Americans can be downright arrogant. Some Americans think they have all the power and all the answers. Perspective on Psychiatric Views Recap of scientific overview There are three scientific aspects which should be considered. The first is that while it used to acceptable with the outmoded "billiard ball physics that spiritual-psychic experiences were automatically rejected. Niels Bohr was a Nobel prize-winning Danish physicist, who pioneered the development of the quantum physics and theory stated “If quantum mechanics hasn’t profoundly shocked you, you haven’t understood it yet. Everything we call real is made of things that cannot be regarded as real.” Secondly, the synthesis-consensus of Viktor Frankl, William James, and Carl Jung that spiritual experiences can create meaning and a sense of reality as well as the fact that different experiences create different understandings. Third - in light of the well-proven and well-known process of categorization, it would stand to reason that unusual experiences would be categorized as "unusual." Psychiatric Prejudices Preface: Dr S Neal (JHU) said She [psychiatry] had no training in people who have spiritual experiences.' From Park & Paloutzian chapter "Mystical, Spiritual, and Religious Experiences ”- synopsis as short list of APA “anomalous experiences, hallucinations, near death, past life, mystical, and paranormal experiences!" (w/ nothing on “people” who have experiences. J E Kennedy: “Very little research has been aimed at investigating the overall effects” on people Dr Visuri: “There is a difference between analyzing experiences and researching people.” In spite of this I have had three psychiatrists - Dr Ray De Paulo, Dr Philip Perez and Dr Joseph Schwartz convey to me that all transcendental spiritual experiences are psychotic/schizophrenia. I also have a number of PhD's recommend my essays. My critique of the Materialist maladaptive stereotype and the psychology of religion has endorsed by 4 prominent psychologists including world famous Dr Paul Wong and Dr. Harold Koenig. The end result for me was my two older children have not sent me a Father’s Day card or Christmas card for the last three years. I tried to talk to my daughter but she said she refused to discuss my essays because she knows I am "psychotic". For the record my diagnosis from 5 doctors since 2000 has been "mood disorder" Why is this happening - because – in my view - American psychiatrists convey that all spiritual-psychic experiences are psychotic - which has NO basis in fact. Addendum: New Approach (reality): Practical-Creative Spirituality vs "Spirituality is Unreal! Wolfgang Pauli "to me it seems the most important and exceedingly difficult task of our time is to work on the construction of a new idea of reality." Studies (Hodwitz & Massingale; Piazza; Nacos, Shapiro, Bloch-Elkon) show Trump's hate speech incites/increases anti-social violence in the USA - 73+ school shootings 610+ "mass shootings" for 4 years. It would seem "our reality" isn't working all that well Spirit & Life are what people make of them New Approach (reality): Practical-Creative Spirituality vs "Spirituality is Unreal! 1. W R Miller C E Thoresen “A philosophical basis for this perspective is materialism, the belief that there is nothing to study because spirituality is intangible and beyond the senses.” 2. 2018 critique, endorsed by 4 scholars - refutes materialist maxim as the Definist Fallacy (loaded term). ie: If you take the concept of "death" which is "intangible and beyond the senses” then "Death must be a figment of your imagination" 3.Allport's Fallacy (soc psych 1927) "There is no psychology of groups" - "patriotism" is an obvious refutation + rock concerts, etc “Concepts create idols; only wonder comprehends anything. People kill one another over idols. Wonder makes us fall to our knees!" St Gregory of Nyssa Spirituality is entangled in abstractions: powers, supernatural-unreal, magic, crystal ball. Dr S. Farra “Good short paper: A lack of belief in "free will" routinely leads to a sense of meaninglessness. despair, and unethical personal behavior. Our paradigms are our way of addressing Reality, but they are Not Reality. As C Peck, Jr. suggests, we are getting lost in our own abstractions!” Basic 1. McGilChrist, M Sherif, Kant: "real world context" is vital- People are the only source of real world context for spiritual-religious beliefs. 2. K Gergen: "Proper knowledge maps the real world!!" - “To understand something, depends on choosing a model!" I McGilChrist Aristotelian Scientific Method 1. Gather Facts 2. Categorize Data 3. Analyze Information 4. Draw Conclusions New pragmatic creative approach “Spirituality is a natural human predisposition! It is more primal than institutional religion and concerns a person’s sense of connectedness with self, others, and world!” K. Bishop, B Hyde - A Killin:"The oldest known musical instruments [date] from 40,000 years ago….” 1. Musical Spiritual - Social Self: "Music is a fundamental part of our evolution – and functional because it facilitates “human contact” and out “social self!” - J Schulkin, G Raglan ; 'musicality' is a property of communities rather than of individuals” I Cross 2. Saslow "link between spirituality and higher compassion…Spirituality was especially associated with having a spiritual identity, having had transcendent experiences, and tending to pray…….spiritual participants… tend to feel compassion” Sprecher + Fehr: correlation between spirituality and compassion + V Frankl’s principle: “human beings have a spiritual core with an innate need for meaning…." 3. Spirituality & Grieving: Easterling: “individuals do seem to cope better if they can "actualize" their spiritual experiences in times of crisis" + J Parker 4. Relational spirituality - spiritual self: “Hay and Nye: spirituality involves a deep-down awareness of one’s relationship with one’s self, and with everything that is other than one’s self.” a. Filipino Kapwa-loob & pro-social norms: “Kapwa is a recognition of a shared identity, an inner self, shared with others – belongingness-social consciousness: J D Espiritu, M Zosa, R Ileto, J Reyes, Mercado, Jose De Mesa... b. Dream Weaving: T'boli-Bla’an Dreams as a source of divine inspiration – T'boli Be Lang Dulay, created over 100 different T’nalak designs. c. "Human relationships with the natural world" as arctic hunter gatherer spiritual beliefs in animal spirits” (Erica Hill) 5. Children’s Spirituality “experiences can catalyze self- healing for children and young people.” Donna Thomas +D. Scott 6. Artistic Spirituality: 20 percent of Americans turn to “media, arts and culture” as their primary means of spiritual experience and expression...." 7. Poetry & Prophecy: "The prophet is a poet. What poets know as poetic inspiration; the prophets call divine revelation" - Heschel 8. Dr. Ingela Visuri: Spirituality and "The Case of High functioning Autism" - "unexplainable sensory experiences" Dr S Neal (JHU): She [psychiatry] had no training in people w/ spiritual experiences.' Park & Paloutzian: "Mystical, Spiritual, and Religious Experiences”- short list of APA “anomalous experiences, hallucinations, near death, past life, mystical, and paranormal experiences!" (w/ no “people”). J E Kennedy: “Very little research has been aimed at investigating the overall effects” on people" I Visuri: “There is a difference between analyzing experiences and researching people.”
II Théorie des quatre besoins qui expliquent la religion : besoin de sens, d’appartenance, idéologie, pulsion spirituelle + forces sociales de Durkheim, Résumé : Mon argument est que les croyances religieuses sont principalement créées et générées par quatre « besoins » ou « pulsions » très basiques et fondamentaux. D’un point de vue plutôt pratique et pragmatique, on pourrait dire que les religions impliquent en général un sens ou un but, les autres et les relations, ainsi que des structures et des principes pour le sens, les relations et la cohérence et l’intégrité du groupe. Une compréhension générale des croyances religieuses semble pertinente et significative pour comprendre la spiritualité et les processus spirituels – qui sont distincts de certains des processus impliqués dans les processus idéologiques liés au groupe qui dominent trop souvent les croyances spirituelles et religieuses avec des tendances agressives manifestes – mais qui y sont néanmoins associées. 1. Besoin de sens : « Le sens de la vie, c'est de donner un sens à la vie ! » – est une illustration par excellence de la théorie de l'esprit humain du psychanalyste emblématique, Viktor Frankl ! (p. 22 Will) Le principe premier de Frankl est que les êtres humains ont une volonté de sens ! 2. Le besoin d’appartenance est profondément enraciné dans la conscience humaine. Comme l’a observé le célèbre psychologue social Roy Baumeister : « Il est évident que les gens ont un besoin profondément enraciné d’avoir des contacts avec d’autres personnes. » (p. 14 Significations) Baumeister et Leary soutiennent avec force : « Nous [Baumeister et Leary] suggérons que l’appartenance peut être un besoin presque aussi impérieux que la nourriture et que la culture humaine est fortement conditionnée par la pression de fournir un besoin d’appartenance. » (p. 498 besoin) 3. a. Nécessité d'une idéologie : les religions, comme chacun le sait, sont des idéologies, au même titre que les idéologies politiques telles que le communisme ou le capitalisme. Dans son ouvrage sur la politique des pays émergents, Clifford Geertz, une icône de l'anthropologie, soutient que les idéologies religieuses, ethniques et nationalistes sont des « forces primordiales » à l'œuvre dans l'histoire et la société politique. b. Les êtres humains ont besoin d’ordre et de structure. Les psychologues sociaux Michael Hogg et Dominic Abrams observent que sans les processus mentaux qui mettent de l’ordre et organisent la multitude de stimuli et d’expériences, « nous serions submergés et paralysés par la surstimulation ». Dans leur livre sur l’identité sociale, ils soulignent que toute « théorie » psychologique, sous une forme ou une autre, « suppose » que l’esprit « impose un ordre » et une structure aux processus qui opèrent dans l’esprit. (p.17 soc id) 4. Les expériences et croyances spirituelles comme fonction de compréhension du monde et de synthèse-consensus : toute vision objective des croyances spirituelles et religieuses – des mythes, des récits, des paraboles et des enseignements – montre que ces croyances « donnent un sens au monde ». À cela s’ajoute la synthèse-consensus de Frankl, James et Jung selon laquelle les expériences spirituelles [l’esprit] créent du sens, construisent un sens de la réalité et donnent un sens au monde. Préambule : Processus inconscients, forces sociales de Durkheim, filtres et attention sélective I. Inconscient : perception sociale automatisée, catégories mentales, symbolisme A. Inconscient : la part du lion intimement liée à l'environnement Les recherches modernes sur l’inconscient démontrent que « l’inconscient » traite 11 millions de bits de données par seconde contre 40 bits de données par seconde traités par les processus cognitifs « Notre capacité de traitement conscient n'est pas insignifiante, mais il est clair qu'il s'agit simplement d'un bassin de rétention comparé à l'océan de l'inconscient. » (Extrait de : Forbes : Votre cerveau voit même lorsque vous ne voyez pas, 24 juin 2013) B. La part du lion : Trois grandes formes d’autorégulation automatique : John Bargh observe trois formes principales : « un effet automatique de la perception sur l'action, la poursuite automatique d'un objectif et une évaluation automatique continue de son expérience. À partir des preuves accumulées, les auteurs concluent que ces divers systèmes mentaux non conscients assument la part du lion du fardeau de l'autorégulation, en gardant l'individu bien ancré dans son environnement actuel. » (p. 462) C. la perception sociale implique des processus inconscients largement automatisés John Bargh observe : « L’idée selon laquelle la perception sociale est un phénomène psychologique largement automatisé est désormais largement acceptée. » La perception sociale est l’essence même de la conscience sociale. « Nos identités sont multiples : mère, musicienne, enseignante, passionnée de yoga, fan de NASCAR. Dans chacune de ces [identités] se trouvent des connaissances implicites et enracinées sur les valeurs et les comportements appropriés, les goûts et les dégoûts, les manières d’être. » Commentaire : Si vous pensez aux quantités massives d’informations impliquées dans les interactions sociales, cela met en perspective la nécessité d’un traitement inconscient. Même dans les échanges de base entre deux personnes, de nombreuses informations telles que le ton de la voix, le langage corporel, les gestes des mains et les traits du visage sont nécessaires, et des études montrent qu’ils véhiculent beaucoup d’informations. Il faut également tenir compte du contexte social et des circonstances. De plus, il existe des processus de théorie de l’esprit qui traitent les informations sur les intentions d’une autre personne. D. Catégories mentales et perception sociale « Les catégories mentales sont absolument essentielles pour simplifier et comprendre l'environnement riche en informations, le lien explicite entre la perception [de l'environnement] et l'action existe probablement pour une bonne raison adaptative, comme la création de préparations comportementales appropriées en l'absence de conseils et de surveillance conscients. Au sein d'un groupe social, on a plus de chances de s'entendre harmonieusement avec les autres membres du groupe si l'on se comporte de la même manière que si l'on est « désynchronisé » et se comporte différemment. Il est donc logique que la tendance comportementale par défaut dans une interaction soit basée sur la perception de ce que fait l'autre personne (avant que vous ne le sachiez). Les recherches de Bargh mettent l'accent sur les stéréotypes et les normes qui créent ces « catégories mentales » E. Symboles, drapeaux et la connaissance symbolique de Kant : Kant, Nietzsche, Ortega Gasset, Heschel, Heidegger et la plupart des philosophes occidentaux affirment catégoriquement que les symboles sont essentiels à la compréhension et à la connaissance. Cependant, la plupart des philosophes affirment également que le symbolisme reste, dans une très large mesure, en dehors du domaine des processus cognitifs et de l'analyse rationnelle. En effet, le symbolisme et la quantification sont des principes qui s'excluent mutuellement. Emmanuel Kant, philosophe allemand des Lumières (1724-1804), a créé la théorie de la « connaissance symbolique ». Abraham Heschel a observé : « Kant a démontré qu’il est absolument impossible d’atteindre la connaissance du monde tel qu’il est, car la connaissance est toujours sous forme de catégories et celles-ci, en dernière analyse, ne sont que des constructions représentatives destinées à percevoir ce qui est donné. » John Glenn souligne que « les concepts de base (les catégories et les idées de la raison) que l’esprit humain utilise ne peuvent être conçus que parce qu’ils sont susceptibles d’être d’abord présentés sous une forme symbolique concrète ! » Abraham Heschel souligne le fait que les « drapeaux » sont l’illustration la plus évidente, la plus répandue et la plus efficace des « symboles ». Bien entendu, les chrétiens reconnaissent Jésus-Christ sur la croix comme un « symbole » – un symbole ayant des significations diverses pour différentes personnes. Kant souligne que Dieu ne peut être compris que symboliquement – ce qui est conforme à la déclaration de saint Grégoire de Nysse : « La divinité illimitée et incompréhensible reste au-delà de toute compréhension. » II. Génétique, symbolisme spirituel et énergie A. La génétique de la spiritualité Tim Spector, dans l'article, Ce que les jumeaux révèlent sur la science de la foi (Popular Science, 8 août 2013) déclare : « Ils [les chercheurs] ont estimé que l'hérédité de la spiritualité était d'environ 40 à 50 pour cent, ce qui est assez élevé... Ces études démontrent notre sens variable mais inné de la spiritualité, qui affecte la façon dont nous percevons le monde, nous-mêmes et l'univers. B. Preuves sociologiques du symbolisme spirituel inconscient – Fandom Star Wars et Harry Potter Rhiannon Grant, dans The Sacred in Fantastic Fandom, observe qu’en 2001, le gouvernement britannique a organisé un recensement régulier, mais il a inclus une nouvelle question sur la religion. En réponse, près de 0,8 pour cent de la population totale a déclaré être un « Jedi » ou un chevalier Jedi ! (p. 38). Ces résultats ont été répétés en Australie et en Nouvelle-Zélande. » La popularité sociale contemporaine-moderne de Star Wars et Harry Potter, et des nombreux autres fandoms imaginatifs, fournit des données massives et des preuves de l’existence d’un symbolisme spirituel inconscient. C. Symbolisme inconscient énergisé À la lumière de la « réalité sociologique » des fandoms de Star Wars et d’Harry Potter, les symboles spirituels pourraient être mieux compris en termes de l’argument de Nancy Furlotti qui déclare : « L’affect émerge des archétypes, qui sont les principes d’ordre a priori de la nature, du monde et de la psyché. Lorsqu’un archétype est activé, une énergie est mise en mouvement qui n’adhère pas aux lois de la causalité, du temps et de l’espace. » (Tracing a Red Thread: Synchronicity and Jung’s Red Book:(2010), Psychological Perspectives, 53:4, 455-478) Les croyances et les idées sont très réelles et incroyablement puissantes. De ce point de vue, l’idée de « l’esprit » en tant qu’énergie et force est très réelle, surtout à la lumière d’une conscience sociale et collective. D. Paradigme du prisme : le modèle du filtre énergétique L’énergie « provenant » du symbolisme inconscient est traitée et filtrée – comme une métaphore de la lumière (énergie) entrant dans un prisme et de différentes couleurs émergeant de l’autre côté du prisme. – Comme une expression de la spiritualité personnelle-individuelle. Comme le soulignent William James et les neurosciences modernes, les individus ont des points de vue différents parce qu’ils filtrent ou traitent différemment les données et les informations. La personnalité, l’éducation, la culture, l’environnement, l’ethnicité et les expériences sont des facteurs déterminants. E. L'attention sélective comme trait adaptatif évolutif Bernhard Hommel et al. observent : « Quel est le rapport avec l’attention ? Quelques phrases après cette célèbre phrase que nous avons citée plus haut, James écrit que l’attention « implique un retrait de certaines choses afin de traiter efficacement d’autres ». … Et bien que ces circuits simples de régulation du comportement interactif puissent sembler très éloignés de la cognition supérieure des humains, ils sont en effet les précurseurs [circuit d’approche du tectum rostral] des mécanismes qui contrôlent ce que l’on a appelé « l’attention sélective ». On soutient que la sélectivité dans le traitement est apparue au cours de l’évolution comme une caractéristique de conception d’un système sensorimoteur multicanal complexe, qui génère des phénomènes sélectifs d’« attention » comme l’un des nombreux sous-produits. (Personne ne sait ce qu’est l’attention » Bernhard Hommel & Craig S. Chapman & Paul Cisek & Heather F. Neyedli & Joo-Hyun Song & Timothy N. Welsh) L’histoire de John Bargh illustre le pouvoir et l’influence de l’attention. John Bargh, chercheur et psychologue de l’inconscient, observe : « Quand j’avais environ douze ans, nous avons eu une grande réunion de famille et j’ai décidé d’apporter un magnétophone pour que nous ayons un enregistrement de nos grands-parents, oncles, tantes et cousins pour la postérité. Je viens d’une grande famille élargie, donc c’était une pièce très bruyante. Pendant la réunion, notre grand-mère s’est assise sur le canapé et a raconté de belles histoires au milieu de toutes les autres conversations. Nous les avons écoutées et appréciées, et quelques jours après la réunion, nous sommes retournés les écouter à nouveau. Quelle déception ! Que du bruit, du bruit, du bruit, un million de personnes qui parlaient en même temps et aucun moyen de distinguer sa voix de celles des autres personnes qui parlaient, même si nous l’entendions très clairement à ce moment-là. Nous avons rapidement compris que nous n’avions pas remarqué le bruit de fond parce que nous avions été tellement captivés par les histoires de notre grand-mère. Nous avions filtré ce que les autres disaient. (p. 111 Avant que vous ne vous en rendiez compte) F. Interconnectivité complexe du cerveau humain Neuroscience morale : Funk et Gazzanigna observent que « la moralité est un ensemble de processus émotionnels et cognitifs complexes qui se reflète dans de nombreux domaines du cerveau. Certains d’entre eux sont régulièrement jugés indispensables pour émettre un jugement moral, mais aucun d’entre eux n’est uniquement lié à la moralité… Certaines des émotions traitées sont plus centrales à la moralité que d’autres, mais toutes les émotions contribuent au jugement moral dans des situations contextuelles spécifiques… Les circuits neuronaux des régions cérébrales impliquées dans la moralité se chevauchent avec ceux qui régulent d’autres processus comportementaux,….. » ) Architecture cérébrale de la moralité humaine, Funk et Gazzanigna Current opinion in Neurobiology 2009 19:678-681) La neuroscience musicale indique des processus étroitement interconnectés : La musique touche à diverses capacités et ressources cognitives, notamment le calcul, le langage et la perception de l’espace. De la même manière, la musique recoupe les frontières culturelles, facilitant notre « moi social » en reliant nos expériences et nos intentions communes. » « L’évolution de la musique et des capacités sociales humaines Jay Schulkin, Greta B. Raglan Front Neurosci. 2014 ; 8 : 292. Publié en ligne le 17 septembre 2014. doi : 10.3389/fnins.2014.00292 » G. Une nouvelle conscience et une nouvelle spiritualité émergentes « La spiritualité est une prédisposition humaine naturelle. Elle est plus fondamentale que la religion institutionnelle et concerne le sentiment de connexion d'une personne avec soi-même, les autres et le monde (ou le cosmos). Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln & Brendan Hyde Australian Catholic University La façon dont vous regardez les choses est la force la plus puissante pour façonner votre vie . Le poète théologien irlandais John O'Donohue La spiritualité est une prédisposition humaine naturelle ! Elle est plus primitive que la religion institutionnelle et concerne le sentiment de connexion d'une personne avec soi-même, les autres et le monde ! » (K. Bishop Grosseteste U, B Hyde Australian Catholic University) La spiritualité est plus primitive, Anton Killin : « Les plus anciens instruments de musique connus [datent] d'il y a 40 000 ans (40 Kya)… » Killin soutient que la musique est probablement apparue chez les hominidés il y a 275 000 ans. H. La musique : une illustration par excellence de la spiritualité et du trait adaptatif évolutif 1. « Il semble probable que les capacités proto-musicales et leurs particularisations culturelles en tant que musiques ont été des facteurs cruciaux dans la précipitation et le maintien de la polyvalence sociale et cognitive qui caractérise les humains modernes. (p. 5 – 6 Musique et évolution Ian Cross) 2. La musique est une expérience humaine fondamentale et un processus génératif Les capacités cognitives sont souvent mises en évidence. La musique est souvent fonctionnelle car elle peut favoriser le bien-être humain en facilitant le contact humain, la signification humaine et l’imagination humaine des possibilités, en la liant à nos instincts sociaux. La musique est un élément fondamental de notre évolution – et fonctionnelle car elle facilite le « contact humain » et notre « moi social » (The evolution of music and human social ability Jay Schulkin, Greta B. Raglan Front Neurosci. 2014 ; 8 : 292. Publié en ligne le 17 septembre 2014. doi : 10.3389/fnins.2014.00292) Théorie des quatre besoins qui expliquent et décrivent [adéquatement] la religion : le besoin de sens, le besoin d'appartenance, le besoin d'idéologie et la pulsion spirituelle Signification et symbolisme L’un des arguments les plus importants de Geertz est que le symbolisme et le sens sont essentiels et cruciaux, tant pour la culture que pour la religion : « La vision de l’homme comme animal symbolisant, conceptualisant et en quête de sens, qui est devenue de plus en plus populaire dans les sciences sociales et en philosophie au cours des dernières années, ouvre une toute nouvelle approche non seulement de l’analyse de la religion en tant que telle, mais aussi de la compréhension des relations entre religion et valeurs. Le besoin de donner un sens à l’expérience, de lui donner forme et ordre, est évidemment aussi réel et pressant que les besoins biologiques plus familiers. Et, dans ces conditions, il semble inutile de continuer à interpréter les activités symboliques – religion, art, idéologie – comme rien d’autre que des expressions à peine déguisées de quelque chose d’autre que ce qu’elles semblent être : des tentatives de fournir une orientation à un organisme qui ne peut vivre dans un monde qu’il est incapable de comprendre. » (p. 140) Il ne fait aucun doute que les hommes, tout au long de l'histoire, ont tiré un sens de la religion et de Dieu. Comme je le dirai plus tard, depuis l'époque d'Aristote, qui affirmait « Tous les hommes désirent la connaissance », jusqu'à la psychologie moderne, il est clair que les gens ont un puissant besoin de sens. Paradigme de Baumeister-Funk et Gazzanigna et la complexité des croyances religieuses Baumeister soutient qu’il n’existe pas de « sens ultime de la vie » – mais plutôt une synthèse et une intégration holistique de significations diverses – famille, religion, éducation, jeu, police, philosophie, etc. Les neuroscientifiques observent que : « La neuroscience morale est un domaine complexe et en pleine expansion. Cette revue résume les principales découvertes scientifiques obtenues à ce jour. La moralité est un ensemble de processus émotionnels et cognitifs complexes qui se reflète dans de nombreux domaines du cerveau. Certains d’entre eux se révèlent indispensables pour émettre un jugement moral, mais aucun d’entre eux n’est uniquement lié à la moralité… Certaines des émotions traitées sont plus centrales à la moralité que d’autres, mais toutes les émotions contribuent au jugement moral dans des situations contextuelles spécifiques. (Architecture cérébrale de la moralité humaine, Funk et Gazzaniga) ……. Les circuits neuronaux des régions cérébrales impliquées dans la moralité se chevauchent avec ceux qui régulent d’autres processus comportementaux, ce qui suggère qu’il n’existe probablement aucun substrat neuronal non découvert qui soutienne de manière unique la cognition morale. » Architecture cérébrale de la moralité humaine, Funk et Gazzanigna (Opinion actuelle dans Neurobiology 2009 19:678-681) L'auteur et chercheur, Stefan Schindler, esquisse brièvement les grandes lignes de la religion : « La racine du mot religion est « lige », qui signifie « connecter » (comme un ligament relie l'os au muscle). Res-ligio = « la chose qui relie ». [est] généralement [ce par quoi je commence] a commencé par cela lorsque j'enseigne la philosophie de la religion... La religion, en reliant les humains à une matrice de sens plus large, donne le sentiment d'être chez soi dans l'univers, surmontant ainsi les sentiments d'aliénation (et les rencontres avec ce que Camus appelle l'absurde). Il y a deux approches à ce sujet. Deux interprétations de la fonction de la religion. L'approche athée consiste à la considérer comme un vœu pieux. (Nietzsche, Freud, Sartre, Bertrand Russell, etc.) L'approche spirituelle (à la Platon, Jésus, Bouddha, etc.) consiste à considérer la religion authentique comme un souvenir de notre connexion à quelque chose de divin. L'une des définitions du Dharma (il a de multiples significations) est connexion, lien, joug (qui est, bien sûr, le sens fondamental du mot) (Yoga). Les croyances religieuses et spirituelles sont très complexes et impliquent une variété de pulsions, de besoins, d’émotions et d’espoirs. En tant que telle, la religion remplit très probablement une variété de fonctions différentes pour les êtres humains et la société humaine. Il existe une pléthore de théories sur les raisons pour lesquelles les gens croient en Dieu : la peur de la mort ; les vœux pieux ; l’animisme, le naturalisme, la peur de l’inconnu ; l’explication du monde et de ses origines ; la croyance au surnaturel ; le fonctionnalisme social (moralité ; cohésion sociale) ; l’explication de la souffrance ; l’anthropomorphisme ; le confort ; l’adaptation ; le naturalisme ; ainsi que la superstition. Aucune de ces théories ne répond directement et complètement à la question. Chacune peut représenter une pièce du puzzle, mais aucune ne semble saisir l’essence des croyances religieuses. Comme l’a souligné l’éminent psychologue social Roy Baumeister, le « sens » en tant que tel est en fait un conglomérat et une collection de significations diverses et variées, d’une manière ou d’une autre interconnectées en un « tout » ou une unité fonctionnelle. La peur de la mort La peur de la mort exerce une influence considérable sur la conscience humaine. De nombreux chercheurs et scientifiques ont souligné que l’être humain est unique dans le monde animal en raison de sa conscience de la mort. Le sociobiologiste EO Wilson, ainsi que Carl Jung et d’autres scientifiques, ont tous avancé que la conscience et la peur de la mort avaient une influence majeure sur le surnaturel. Les premières sociétés humaines ont placé des objets significatifs dans les tombes des humains enterrés il y a 100 000 ans. Les objets funéraires sont considérés comme une indication significative d’une conscience consciente de la mort. Carl Jung souligne que les premiers êtres humains ont sans doute réalisé que la « vie », bien qu'intangible et imperceptible, « disparaissait à la mort, lorsque les gens arrêtaient de respirer » - et ont ainsi relié la « vie » au surnaturel (pour les humains, à l'époque, très probablement « tout » était probablement surnaturel puisqu'à l'époque il n'y avait pas de concept de « naturel ». Presque toutes les langues, de l'hébreu ancien sémitique, à l'arabe, au latin, au grec, etc., ont la racine linguistique de « esprit » dans le mot « souffle ». La peur de l'inconnu David Hume et plusieurs autres érudits modernes, comme Roy Baumeister, relient les croyances au surnaturel à la peur de l'inconnu et à l'anxiété. David Hume (1711-1776), dans son ouvrage Histoire naturelle de la religion, a fait des observations très astucieuses concernant la condition des hommes de l'Antiquité : « Nous sommes placés dans ce monde comme dans un grand théâtre, où les véritables ressorts et les causes de chaque événement nous sont entièrement cachés ; nous n'avons ni assez de sagesse pour prévoir, ni assez de pouvoir pour prévenir les maux dont nous sommes continuellement menacés. Nous sommes suspendus dans un suspens perpétuel entre la vie et la mort, la santé et la maladie, l'abondance et le besoin, qui sont distribués parmi l'espèce humaine par des causes secrètes et inconnues dont l'action est souvent inattendue et toujours inexplicable. Ces causes inconnues deviennent alors l'objet constant de notre espoir et de notre crainte ; et tandis que les passions sont maintenues dans un état d'alarme perpétuelle par une attente anxieuse des événements, l'imagination est également employée à se faire des idées sur ces pouvoirs dont nous avons une si entière dépendance. » Hume soutient que le caractère inconnu et largement imprévisible des forces qui affectent directement nos vies et notre bien-être constitue une influence majeure qui incite les gens à adopter et à accepter les croyances religieuses et plus particulièrement les croyances dans le surnaturel. Le célèbre psychologue social moderne Roy Baumeister avance un argument similaire lorsqu'il affirme que les gens ont besoin de contrôle. Il souligne que certaines études démontrent que même « l'illusion » du contrôle peut réduire l'anxiété et augmenter la résistance à la douleur. Je dirais donc que c'est un peu ironique, mais qu'au final, avoir des illusions n'est peut-être pas une si mauvaise chose après tout ? Logiciel d'animisme anthropomorphique inné dans le cerveau humain Xénophane, Aristote, Hume et saint Augustin Il est dans la nature des gens de penser en termes de traits et de caractéristiques humaines, non seulement d'autres, mais aussi de concepts intangibles en termes d'intentions et d'objectifs humains. Le philosophe grec antique Xénophane (vers 570-475 av. J.-C.) fut le premier « érudit » à faire l'observation que l'anthropomorphisme était un facteur très puissant dans la représentation des dieux et des déesses. Un peu sarcastiquement, Xénophane observa que « Mais si les bovins, les chevaux et les lions avaient des mains ou pouvaient peindre avec leurs mains et créer des œuvres comme le font les hommes, les chevaux comme les chevaux et les bovins comme les bovins représenteraient également les formes des dieux et feraient en sorte que leurs corps soient semblables à la forme qu'ils ont eux-mêmes. » Aristote a fait exactement la même observation. Saint Augustin (vers 354-vers 430 après J.-C.) a également fait la même observation des centaines d'années plus tard, en observant que les gens ont la faiblesse d'envisager Dieu en termes d'être (humain) car il leur est difficile d'imaginer quoi que ce soit en dehors de leur propre « humanité ». Saint Augustin, comme saint Grégoire de Nysse, croyait que Dieu est au-delà des mots et de la compréhension. Le célèbre philosophe David Hume (1711-1776) a exprimé exactement la même pensée selon laquelle les êtres humains ne peuvent généralement penser et envisager les choses qu'en termes humains et dans un cadre de référence humain. Je ne peux pas m’empêcher d’ajouter que Nietzsche et Mannheim ont tous deux observé que les influences « sociales » produisaient des « modes de pensée ou des mentalités » – ce qui serait pertinent pour voir Dieu comme humain. Processus inconscients Jean Piaget (1896-1980), célèbre psychologue suisse du développement, a mené des études approfondies sur les enfants et leurs tendances à l’animisme et à l’anthropomorphisme. Les enfants, lorsqu’ils sont très jeunes, semblent avoir moins de distinctions entre eux-mêmes et le monde, ainsi qu’entre eux-mêmes et les autres. Ils semblent avoir une tendance innée à percevoir les êtres, les objets et les choses comme étant vivants et comme des entités ou des êtres vivants. Dans une étude, il a essayé de découvrir comment les enfants pensaient à la vie. Dans le cadre de ses recherches, on a demandé aux enfants si telle ou telle chose était vivante. Il a découvert que les jeunes enfants, lorsqu’ils étaient très jeunes, avaient une vision de la vie comme étant universelle. Peut-être est-ce parce que leur conscience d’eux-mêmes était avant tout celle d’être vivants – ils pouvaient donc « supposer » que toutes les autres choses avaient également cette « vie ». Les psychologues modernes reconnaissent aujourd'hui que, dans l'esprit humain, il existe sans aucun doute un processus défini dans le cerveau humain qui a la capacité d'attribuer des états mentaux et de projeter sur les autres ses perceptions des croyances, intentions, désirs, émotions, connaissances et motivations des autres (qui peuvent être très différentes de ses propres opinions actuelles). Ce processus est appelé « théorie de l'esprit » (les neuroscientifiques ont tendance à le décrire comme le « réseau en mode par défaut » en termes de processus cérébraux). Il est entendu que le processus de la « théorie de l'esprit » est très important pour que les gens puissent comprendre et gérer les interactions sociales humaines dans la vie quotidienne. La théorie de l'esprit est essentielle pour analyser et juger les comportements des autres, et pour déduire les intentions, les motivations et les actions des autres . Il est bien connu que la plupart des autistes, dont on sait qu’ils ont un déficit dans les fonctions de « théorie de l’esprit », ont tendance à ne pas croire en « Dieu », probablement en raison du déficit de ces fonctions. En fin de compte, l’esprit humain a une capacité définie à envisager les autres et les choses en termes de personne ou d’entité et à leur attribuer des intentions et une conscience intentionnelle. Dans Faces in the Clouds, l’anthropologue Stewart Guthrie défend l’anthropomorphisme comme une influence majeure dans les croyances religieuses. Guthrie utilise quelques histoires de pompiers luttant contre les incendies de forêt qui parlaient parfois des incendies comme étant vivants et dotés de leur propre esprit. De mon point de vue, dans ce cas particulier, utiliser un logiciel d’animisme pour envisager et imaginer les possibilités d’incendies de forêt qui sont connus pour être erratiques et imprévisibles semble très pratique dans ces circonstances. L'inconscient collectif de Jung serait dans une catégorie à part. Jung soutenait que l'évolution a doté l'esprit de l'homme, et plus particulièrement l'inconscient collectif, de traits et de capacités spirituelles et religieuses, ainsi que d'une structure intégrée qui a informé et façonné la religion et les croyances religieuses. Jung a déclaré (Vol 8 [342]) : « L’inconscient collectif contient tout l’héritage spirituel de l’évolution de l’humanité, né de nouveau dans la structure cérébrale de chaque individu. Son esprit conscient est un phénomène éphémère qui accomplit toutes les adaptations et orientations provisoires, raison pour laquelle on peut comparer au mieux sa fonction à l’orientation dans l’espace. L’inconscient, d’autre part, est la source des forces instinctives de la psyché et des formes ou catégories qui les régulent, à savoir les archétypes. Toutes les idées les plus puissantes de l’histoire remontent aux archétypes. C’est particulièrement vrai des idées religieuses, mais les concepts centraux de la science, de la philosophie et de l’éthique ne font pas exception à cette règle. Dans leur forme actuelle, ce sont des variantes d’idées archétypiques, créées en appliquant et en adaptant consciemment ces idées à la réalité. Car c’est la fonction de la conscience non seulement de reconnaître et d’assimiler le monde extérieur par la porte des sens, mais de traduire en réalité visible le monde qui est en nous. » Le parapluie de sens et la matrice de sens J'ai commencé cet essai avec le concept de « sens » et le « besoin de sens » parce que beaucoup d'autres raisons et fonctions de la religion et des croyances religieuses, et la plupart de ces autres raisons et facteurs, pourraient facilement tomber sous le parapluie du sens. C'est-à-dire que les gens obtiennent du sens de Dieu en raison de leur peur de l'inconnu, de leur peur de la mort, etc. Il existe sans aucun doute des centaines d'autres facteurs, du besoin d'espoir à l'obtention de sens à partir d'autres sources terrestres lorsque la souffrance dans l'environnement mondial est primordiale, en passant par le besoin de transcendance, etc. Bien sûr, l'idée de Jung de l'inconscient collectif dans lequel est intégré « l'héritage spirituel de l'évolution de l'humanité » devrait tomber sous les multiples catégories du besoin de sens, du besoin d'appartenance, du besoin d'idéologie, ainsi que de la pulsion spirituelle. Une hypothèse non formulée mais une caractéristique incroyablement importante de la conscience humaine dans le concept d'inconscient collectif de Jung est la réalité évidente qu'il existe une pulsion spirituelle très forte inhérente à la nature humaine. Comme le souligne le physicien Josephson, de nombreux sociologues et scientifiques sont obsédés par l'aspect « surnaturel » de la religion et ignorent des idées aussi terrestres mais pourtant très importantes que la réalité d'une pulsion spirituelle. Même un regard précurseur sur l'histoire humaine révèle une pulsion spirituelle et religieuse incroyablement évidente dans la société et la culture ! Les quatre pulsions principales : le besoin de sens, le besoin d'appartenance, le besoin d'idéologie et la pulsion spirituelle Mon argument est que les croyances religieuses sont essentiellement créées et générées par quatre « besoins » ou « pulsions » très basiques et fondamentaux. D’un point de vue plutôt pratique et pragmatique, on pourrait dire que les religions impliquent en général un sens ou un but, les autres et les relations, ainsi que des structures et des principes pour le sens, les relations et la cohérence et l’intégrité du groupe. Une compréhension générale des croyances religieuses semble pertinente et significative pour comprendre la spiritualité et les processus spirituels qui sont distincts de certains des processus impliqués dans les processus idéologiques liés au groupe – mais qui sont néanmoins associés. Besoin de sens : « Le sens de la vie est de donner un sens à la vie ! » – est une illustration par excellence de la théorie de l’esprit humain du psychanalyste emblématique, Viktor Frankl ! (p. 22 Will) Le principe fondamental de Frankl est que les êtres humains ont une volonté de sens ! » De nombreux « grands penseurs » célèbres et emblématiques de l’histoire reflètent cette idée et ce sentiment. D’Aristote à Carl Jung, Viktor Frankl, Clifford Geertz, Nietzsche, Roy Baumeister, Paul Wong, ainsi que la plupart des psychologues existentiels et positifs, la pulsion humaine et le besoin de sens ainsi que le concept fondamental des êtres humains en tant qu’« animaux en quête de sens » ont été constamment soulignés, soulignant souvent que le sens est absolument vital pour faire face à la vie. La « volonté de sens » est le concept central de la théorie de Viktor Frankl. Le concept pivot de la définition presque universellement acceptée de la religion de Clifford Geertz est la religion en tant que « système de symboles ! » Les symboles, bien sûr, incarnent le « sens » ! Comme l’observe le célèbre psychologue Paul Wong, « les croyances et pratiques religieuses et spirituelles sont considérées comme un élément central du système d’orientation d’un individu, qui l’aide à comprendre, évaluer et tirer un sens des événements stressants de la vie et l’aide finalement à décider comment réagir. » (p. xl Quest – mes italiques) Voici un lien vers un essai sur le besoin de sens : https://www.spirittruthandmeaning.com/the-need-for-meaning-frankl-jung-geertz-baumeister-and-paul-wo... Besoin d'appartenir : Les êtres humains ont formé des groupes – et plus tard des sociétés – depuis que l’Homo sapiens est apparu sur terre. Le besoin d’appartenance est profondément enraciné dans la conscience humaine. Comme l’a observé le célèbre psychologue social Roy Baumeister : « Il est évident que les gens ont un besoin profondément enraciné d’avoir des contacts avec d’autres personnes. » (p. 14 Significations) Baumeister et Leary soutiennent avec force : « Nous [Baumeister et Leary] suggérons que l’appartenance peut être un besoin presque aussi impérieux que la nourriture et que la culture humaine est fortement conditionnée par la pression de fournir un besoin d’appartenance. » (p. 498 besoin) Baumeister cite des statistiques médicales qui montrent que les personnes « seules » ont un taux de mortalité beaucoup plus élevé, mais conclut que « le fait que l’appartenance prédise le bonheur plus fortement – beaucoup plus fortement, en Amérique – que toute autre circonstance extérieure est un autre signe que le besoin d’appartenance est exceptionnellement puissant. Satisfaire le besoin d’appartenance est plus crucial et décisif que satisfaire tout autre besoin. » (p. 109) Le besoin d'appartenance de Baumeister est largement accepté en psychologie sociale et est fréquemment cité par les psychologues sociaux. Voici un lien vers un essai sur le besoin d' appartenance : https://www.spirittruthandmeaning.com/need-to-belong-society-baumeister Besoin d'idéologie : Les religions, comme chacun sait, sont des idéologies, au même titre que les idéologies politiques telles que le communisme ou le capitalisme. Dans ses écrits sur la politique des pays émergents, Clifford Geertz, une icône de l'anthropologie, soutient que les idéologies religieuses, ethniques et nationalistes sont des « forces primordiales » à l'œuvre dans l'histoire et la société politique. Depuis l'aube de la civilisation, les hommes (et les femmes) se sont battus et sont morts pour leurs convictions idéologiques. Au cours de la Première Guerre mondiale, environ neuf à dix millions d'hommes se sont battus et sont morts pour leur pays. Les émotions impliquées dans les idéologies et le patriotisme sont extrêmement fortes. Les conflits entre groupes génèrent les actes les plus sauvages et les plus brutalement violents de l'humanité. De plus, l'histoire semble être une preuve suffisante que les religions sont des groupes et que, tout au long de l'histoire, les religions et les croyances religieuses forment des groupes. Il semblerait donc inévitable de conclure qu'une fonction des croyances religieuses - des idéologies - serait de « former » des groupes, et il s'ensuivrait alors qu'un des objectifs des rituels - qui, selon Geertz, étaient, en substance et au fond, des « arguments » (vraisemblablement en faveur de cette religion particulière - Dieu), serait nécessairement, dans cette optique, la soumission « rituelle » de l'individu au groupe. C'est-à-dire qu'en participant aux rituels, l'individu accepte non seulement l'« autorité » du groupe, mais aussi, comme de nombreux rituels incluent la domination hiérarchique, engendre l'acceptation de la hiérarchie de domination. Il y a eu plus d'une douzaine de génocides depuis la Première Guerre mondiale. Voici un lien vers un essai sur les instincts et l'identité de groupe : Instincts, groupes et génocides - https://www.spirittruthandmeaning.com/post-title80df2bb9 Les êtres humains ont besoin d’ordre et de structure. Français François Jacob a observé que l'homme « ne peut supporter le vide ! » Susanne Langer, la philosophe, fait écho à Jacob lorsqu'elle dit que l'homme « peut s'adapter d'une manière ou d'une autre à tout ce que son imagination peut supporter ; mais il ne peut pas faire face au chaos. » (p. 287 nouvelle clé) Les psychologues sociaux Michael Hogg et Dominic Abrams, observent que sans les processus dans l'esprit qui mettent de l'ordre et organisent la multitude de stimuli et d'expériences, « nous serions submergés et paralysés par la surstimulation. » Dans leur livre sur l'identité sociale, ils soulignent que toute « théorie » psychologique, sous une forme ou une autre, « suppose » que l' esprit « impose un ordre » et une structure aux processus qui opèrent dans l'esprit. (p. 17 soc id.) Clifford Geertz a observé que, compte tenu de la nature floue des besoins, des désirs, des pulsions et des instincts humains, sans la structure que fournit la culture, l’être humain « serait fonctionnellement incomplet, pas seulement un singe talentueux qui, comme un enfant défavorisé, aurait malheureusement été empêché de réaliser son plein potentiel, mais une sorte de monstre informe sans sens de l’orientation ni pouvoir de maîtrise de soi, un chaos d’impulsions spasmodiques et d’émotions vagues. » (p. 99 interp.) Processus séparés et distincts dans le cerveau : En ce qui concerne les idéologies, il semble y avoir, à première vue, deux niveaux distincts. Le premier niveau, qui a déjà été évoqué, est que les idéologies fournissent une « structure de sens » ou un « système de symboles », comme le souligne Geertz à propos de la religion. Cependant, les idéologies organisent également les gens – à travers des rôles, un statut, un sens et un but. C’est-à-dire que la structure émotionnelle des gens est particulièrement structurée par les idéologies et, malheureusement, les instincts liés au groupe, comme le patriotisme lié aux idéologies nationalistes, sont liés ou associés aux idéologies de groupe. Voici un lien vers un bref essai sur les instincts liés au groupe : https://www.spirittruthandmeaning.com/post-title80df2bb9 Les neurosciences ont identifié 360 régions cérébrales distinctes et séparées. Des tests IRM réalisés par des neuroscientifiques ont montré que différentes situations sollicitent fréquemment différents processus cérébraux et que ces différents processus fonctionnent en général en tandem avec d'autres processus cérébraux distincts. En fin de compte, les processus spirituels impliqués dans la créativité et les idéaux tels que la compassion seront complètement différents et distincts des régions cérébrales engagées dans la « défense » de la survie et de l'intégrité d'un groupe ou d'une idéologie, par exemple. La pulsion spirituelle : une pulsion – Donner un sens au monde Une synthèse-consensus de Viktor Frankl, Carl Jung, Emile Durkheim et William James Motivation : un point d'ordre Je pense que la question de la motivation est une question cruciale, donc je pense qu’elle doit être « abordée » pour avoir une perspective avant de continuer. Partie 1 : Les croyances spirituelles comme motivation. Lorsque vous parlez à des « personnes spirituelles », les croyances spirituelles ne sont pas seulement une motivation, mais une source d’inspiration très profonde et une motivation puissante. En revanche, la spiritualité en tant que motivation est visiblement absente du monde universitaire. À partir de 2017, j’ai fait des recherches approfondies à ce sujet et même un spécialiste des religions n’en avait pas entendu parler, comme S. Schindler, le Dr Wong, le Dr Emmons, le Dr Park, etc. Dans les cinq manuels de psychologie de la religion que je possède, il n’y avait aucune mention des croyances spirituelles ou religieuses comme motivation ou motivation. J’ai envoyé un message à cinq professeurs d’anthropologie « officiels » engagés à l’époque dans une discussion sur cette question et je n’ai reçu aucune réponse. J’ai cherché sur Google « spiritual drive » et j’ai posté dans des discussions sur le monde universitaire. Le fait est que la science n’a actuellement aucune explication sur la façon dont des millions et des millions d’églises et de temples ont été construits. C’est ahurissant. « Notre » société possède des sondes sur Mars et peut mesurer le spin réciproque de deux particules subatomiques séparées par de grandes distances, mais « nous » n’avons aucune théorie ni idée actuelle sur la façon dont toutes ces églises et ces temples ont vu le jour. Le Dr Visuri, qui a mené une étude incroyablement équilibrée sur les autistes « de haut niveau » et qui est spécialiste des croyances religieuses, a répondu à ma question sur les croyances spirituelles et religieuses en tant que motivation et pulsion en disant que la motivation et la pulsion sont des questions importantes et cruciales. Je lui ai demandé comment elle envisageait les motivations. Sa réponse a été : « Spontanément, voici quelques catégories auxquelles je pense : - Motivation sociale : partager les traditions et les croyances de sa famille et de sa communauté. - Motivation psychologique : la religion et la spiritualité utilisées comme stratégies d'adaptation. - Motivation expérientielle : donner un sens à des choses qui ne peuvent pas être expliquées par le raisonnement logique. - Le pouvoir comme motivation : avoir une position dans un groupe religieux que l'on ne veut pas perdre. - Motivation existentielle : la religion et/ou la spiritualité étant au cœur de la construction du sens. Dans la mesure où les « études religieuses » sont sa spécialité, il semblerait plutôt évident que la question de la motivation n'est pas fixée de manière concrète dans les sciences sociales. Partie II Une illustration de la question de la motivation chez les personnes spirituelles L'histoire de Nora ! extrait d'un article sur la spiritualité des enfants. Tout d’abord, Nora raconte comment elle avait pu voir les auras lorsqu’elle était plus jeune : « Quand j’avais quatre ou cinq ans, je jouais à la poupée avec deux amies. L’une d’elles m’a demandé quelle était ma couleur préférée. J’ai répondu « rose ». Elle m’a demandé quelle était la nuance de rose. J’ai répondu la nuance de rose de la lumière autour de ta tête. Les deux petites filles ont répondu « quelle lumière autour de ta tête ? » Une peur semblable à un couteau m’a traversé le cœur, car je savais qu’elles disaient la vérité : elles ne voyaient pas la lumière. Je voyais quelque chose qu’elles ne pouvaient pas voir. Je n’ai plus jamais vu de lumière autour des gens avant la trentaine. Nora considérait qu’il était normal de voir des auras jusqu’à ce qu’elle réalise que ses amies ne le pouvaient pas. Nora a observé que « l’importance que cela a eu dans ma vie après que je me sois souvenue de cette expérience a fait de moi une chercheuse de conscience supérieure. Je crois que ma fonction sur cette planète est importante pour chaque personne sur terre. » L’observation de Nora selon laquelle « l’importance que cela a eu dans ma vie après que je me sois souvenue de cette expérience m’a fait rechercher une conscience supérieure » illustre la question de la motivation. D’après mes conversations souvent informelles avec des personnes qui ont vécu des expériences spirituelles, il semble y avoir une compréhension universelle que leurs expériences ont été une motivation profonde pour elles. À titre d’information, je voudrais observer qu’en plus de Nora, une autre femme nommée Nunzi a la même capacité de visualiser les auras. Bien sûr, Edgar Cayce, le guérisseur-psychique documenté (actif environ de 1923 à 1945) est célèbre pour voir les auras. Addendum : Expériences spirituelles-croyances : synthèse - Comprendre le monde Toute vision objective des croyances spirituelles et religieuses – des mythes, des récits, des paraboles et des enseignements – serait évidente : ces croyances « donnent un sens au monde ». À cela s’ajoute la synthèse-consensus de Frankl, James et Jung selon laquelle les expériences spirituelles [l’esprit] créent du sens, construisent un sens de la réalité et donnent un sens au monde. Paul Wong est un psychologue et auteur très réputé et reconnu. Lorsque je lui ai présenté un bref résumé de ma « Nouvelle approche », il a eu la gentillesse de me faire remarquer que « votre approche est nouvelle dans le sens d’une approche intégrative à large portée, brisant la division traditionnelle artificielle entre science et religion, ou psychologie scientifique et psychologie humaniste ou psychanalytique ». Il a ensuite suggéré qu’un titre « Une nouvelle approche intégrative » serait approprié. Il existe un consensus assez remarquable parmi les psychologues William James, Carl Jung et Viktor Frankl sur le fait que « l'esprit » et les processus spirituels créent un sens et un sens de la réalité. Carl Jung, psychanalyste et contemporain de Sigmund Freud, a observé que « l'esprit donne un sens à sa vie [celle de l'homme] » (CW8:643). William James souligne dans son ouvrage classique, publié à l'origine en 1902, The Varieties of Religious Experiences que « Elles [les expériences spirituelles] déterminent notre attitude vitale de manière aussi décisive que l'attitude vitale des amoureux est déterminée par le sens habituel,… (p. 47) William James poursuit en disant que les expériences religieuses et spirituelles créent et génèrent un « sens de la réalité » (p. 48). Dans l’anthologie Meaning in Positive and Existential Psychology (2014), éditée par Batthyany et Russo-Netzer, Paul Wong, l’éminent psychologue existentiel positif, observe : « Frankl considère que la recherche de sens découle de la nature spirituelle de chacun. » (p. 156) L’argument selon lequel l’« esprit » ou les processus spirituels créent du sens rejoint bien sûr l’argument de Durkheim selon lequel les croyances religieuses et spirituelles créent des normes et des idéaux sociaux, et, en fait, la société également. Le consensus selon lequel les processus spirituels [l’esprit] créent du sens, un sens de la réalité et, en fin de compte, créent réellement la Réalité et la Vérité, signifie sans aucun doute que les processus spirituels sont intimement liés au besoin de sens et à la structure du sens. Pourtant, je suggérerais que les processus spirituels accentuent la fonction d’intégration et de synthèse du sens, et mettent parfois en jeu la transcendance. De plus, en particulier dans le contexte de concepts tels que le Saint-Esprit, il semble clair que les processus spirituels jouent également un rôle important dans la connectivité avec les autres et le groupe et sont donc également liés au besoin d’appartenance. Jung et Frankl pensaient tous deux que la « conscience » joue un rôle important dans les processus spirituels [l’esprit] et qu’elle exerce donc un effet modérateur sur les processus impliqués dans le besoin d’appartenance et sur certains des processus impliqués dans les processus idéologiques. Comme l’a déclaré sans équivoque Émile Durkheim, l’un des pères fondateurs de la sociologie : « Aujourd’hui, nous comprenons que le droit, la morale et la pensée scientifique elle-même sont nés de la religion, ont longtemps été confondus avec elle et restent imprégnés de son esprit. » (p. 62 el) Plus pertinent pour cette discussion. Comme l’a observé, les croyances religieuses et spirituelles ont non seulement créé la morale, les valeurs et les normes, mais aussi, et c’est peut-être plus important encore, les idéaux sociaux, tels que la compassion, la vérité, la justice, l’égalité, ainsi que la moralité et la droiture. Ces idéaux sociaux sont des principes et des doctrines essentiels, non seulement de toutes les grandes religions, mais sont également devenus des valeurs et des normes ancrées dans la société et la structure sociale. Enfin, il est essentiel de comprendre que les croyances spirituelles et religieuses sont des pulsions – probablement interconnectées avec d’autres besoins et motivations. Conclusions : Le besoin de sens, le besoin d’appartenance et le besoin d’idéologie sont sans aucun doute intimement liés et entrelacés. Comme l’observe Roy Baumeister, « le sens lui-même s’acquiert socialement, auprès d’autres personnes et de la culture en général. La nature dote l’être humain d’appétits mais pas de sens » (p. 6 Meanings) – une affirmation reprise par de nombreux autres psychologues qui soutiennent que les gens obtiennent un sens principalement d’autres personnes – des proches, des modèles, la religion, le gouvernement, les établissements d’enseignement, etc. Ce seul fait relie le sens et le besoin de sens aux autres, aux personnes et au besoin d’appartenance, qui serait également directement lié à la structure, à l’organisation et au besoin d’idéologie. Enfin, je voudrais brièvement souligner le fait que, si ces trois « besoins » fondamentaux couvrent les bases et décrivent suffisamment la religion et les croyances religieuses en général, la complexité de l’être humain suggère clairement qu’il existe nécessairement d’autres influences significatives – par exemple, le « besoin de contrôle » et la question de l’« esprit » en tant que catégorie distincte, en plus d’être intimement et directement liés au sens, comme le reconnaissent tous Carl Jung, Viktor Frankl, William James et Emile Durkheim. Cela étant dit, mon argument est que les trois besoins fondamentaux – le besoin de sens, le besoin d’appartenance et le besoin d’idéologie – fournissent une cause suffisante et nécessaire à la formation de la religion et des croyances religieuses – comme aurait pu le dire Piaget. Addendum : La mort est le fruit de votre imagination Extrait d'une mini critique du matérialisme académique qui a eu des milliers de vues et aucune critique A. La mort est le fruit de votre imagination Extrait de la critique de 2018 du matérialisme académique approuvée par le Dr H Koenig, le Dr P Wong, le Dr S Farra et S Schindler - qui se concentrait sur le sophisme/stéréotype inadapté « Toute spiritualité est irréelle ! » WR Miller et CE Thoresen, déclarent que « Une base philosophique pour cette perspective est le matérialisme, la croyance qu'il n'y a rien à étudier parce que la spiritualité est intangible et au-delà des sens. » Cette erreur produit le stéréotype inadapté répandu - d'après mes recherches - selon lequel « Toute spiritualité est irréelle ». Appliquer cet argument à la mort qui n'est pas non plus « quantifiable » fait de « la mort un produit de votre imagination ! » La mort n'est évidemment pas le fruit de l'imagination et montre exactement à quel point le matérialisme académique est obsolète, dysfonctionnel et non scientifique Ma critique du matérialisme académique a été vue plus de 5 000 fois sur academia.edu sans aucune critique. B. Autres défauts et problèmes méthodologiques 1. Il ne résulte pas de l'argument matérialiste selon lequel les neurones s'activent dans le cerveau qu'il n'y a pas de conscience sociale (Baruss, Mossbridge) a) « Il n'y a pas de psychologie de groupe » (Allport) b) La définition en cinq parties de la religion de Geertz n'a aucun concept de communauté ou de conscience sociale. Virgilio Enriquez et David Hay affirment tous deux que l'individualisme extrême inhérent au monde universitaire occidental est destructeur (antisocial) En contraste avec « la religion et la spiritualité sont plus ou moins cohérentes… ce qui signifie que les systèmes sont intégrés… acquis à travers les relations sociales. » Paloutzian & Park (p. 12) 2, Dr Neal déclare qu'elle n'a aucune formation sur les personnes qui ont des expériences spirituelles. Le DSM n'a RIEN sur la spiritualité. J. E. Kennedy déclare que « très peu de recherches » ont été faites sur les personnes. Le chapitre sur les expériences dans le Manuel de Park et Paloutzian révèle des expériences mais rien sur les personnes Le matérialisme académique est un système fondé sur un certain nombre de prémisses fausses, d'idées fausses et de stéréotypes inadaptés, ce qui en fait une secte. L'état d'esprit matérialiste (Mannheim) crée un biais chez le chercheur, comme le montrent les défauts et les erreurs. C. Quand la logique et la proportion sont tombées mortes Les paroles de la chanson White Rabbit de Jefferson Airplane sont terriblement prophétiques Quand la logique et la proportion Sont tombés morts Et le chevalier blanc parle à l'envers Et la Reine Rouge perd la tête Rappelez-vous ce que le loir a dit Nourrissez votre tête Véritablement prophétique – probablement une lecture de la signification dans le monde matérialiste académique dans lequel nous vivons – bien avant Sheldrake qui a observé que « l’idéologie athée a trouvé un puissant allié dans la science matérialiste, qui à la fin du XIXe siècle, a décrit un univers mécanique, sans but, inconscient, où les humains, comme toute vie, avaient évolué sans but ni direction. Dans ce monde sans Dieu [dépourvu de spiritualité], l’humanité prendrait en charge sa propre évolution, apportant le développement économique, la fraternité, la santé et la prospérité à toute l’humanité grâce au progrès. » (p. 157) Sheldrake poursuit en disant : « L’influence croissante de la science mécaniste a accéléré ce processus à partir du XVIIe siècle. Dieu a été retiré du fonctionnement de la nature, désormais considérée comme inanimée, inconsciente et mécanique, fonctionnant automatiquement. » (p. 155) – sans but est le concept central. Je devrais ajouter que je pense qu’il est révélateur qu’ils aient eu une conclusion erronée – au lieu de nourrir votre tête, il aurait fallu nourrir votre cœur (esprit) D. Kaiser Permanente a été violent. Le ministère de la Justice des États-Unis a accepté mes plaintes n° 83404-WLP, 83404 ; 95500, 91650, 91569, 90778 – axées sur la réponse dégradante et irrespectueuse à l’erreur definiste – stéréotype inadapté selon lequel « toute spiritualité est irréelle » qui, selon mes recherches, constitue un problème dans le milieu universitaire et la culture américaine. Les directives médicales exigent le respect de la spiritualité. Le conseil des médecins du KP, le Dr Davis, le Dr Neal et les services aux membres m’ont dit d’aller me faire foutre (efficacement). + Le Dr De Paulo et le Dr P Perez (efficacement) ont fait savoir que « toute spiritualité transcendantale est une psychose ! » – y compris la spiritualité autistique, les rêves de personnes décédées (« pas rares ») et le deuil. Privé de Medicare : mon adresse à la sécurité sociale est Port St Easton, MD et je suis titulaire d'un visa touristique à Phils dans le 5-23 KP a refusé le service pour mes prestations Medicare - parce que je n'ai pas d'adresse dans le Maryland. - À mon avis, KP a fait cela en représailles aux plaintes que j'ai déposées. En réponse, j'ai reçu le DOJ 293169-VXT : La Section des litiges spéciaux est en train de « réviser ! https://independentscholar.academia.edu/CharlesPeckJr
Theory of Four Needs that [adequately] Explain and Describe Religion: The Four Primary Drives: The Need for Meaning, the Need to Belong, the Need for Ideology, and the Spiritual Drive + Unconscious Processes, Durkheim’s Social Forces, Filters and Selective Attention Abstract: My argument is that religious beliefs are primarily created and generated by four very basic and fundamental “Needs” or “Drives.” From a rather practical and pragmatic approach, in general, religions could be said to involve meaning or purpose, others and relationships, as well as structures and principles for both meaning, relationships, and group coherence and integrity. A general understanding of religious beliefs would seem relevant and significant in understanding spirituality and spiritual processes - which are separate from some of the processes involved in group-related ideological processes which too often dominate spiritual-religious beliefs with overt aggressive tendencies - yet still associated. Unsplash: Symbols are reflections of reality – not the real reality 1. Need for Meaning: “The meaning of life is to give life a meaning!” – is a quintessential illustration the of the iconic psychoanalyst, Viktor Frankl’s, theory of the human mind! (p. 22 Will) Frankl’s primary principle is that human beings have a Will to Meaning!” 2. The Need to Belong is deeply rooted in human consciousness. As the prominent social psychologist, Roy Baumeister, observed that “It is apparent that people have a deeply rooted need to have contact with other people.” (p.14 Meanings) Baumeister and Leary forcefully argue: “We [Baumeister and Leary] suggest that belongingness can be almost as compelling a need as food and that human culture is significantly conditioned by the pressure to provide belongingness.” (p 498 need) 3. a. Need for Ideology: Religions, as everybody knows are ideologies, the same as political ideologies such as communism or capitalism. In his writing about the politics of emerging countries, Clifford Geertz, an icon of anthropology, argues that religious, ethnic, and nationalistic ideologies are "primordial forces" at work in history and political society. b. Human beings need order and structure. The social psychologists Michael Hogg and Dominic Abrams, observe that without processes in the mind that put order and organize the multitude of stimuli and experiences, "We would be overwhelmed and paralyzed by overstimulation.” In their book on social identity they emphasize that every psychological ‘theory’, in one form or another, ‘assumes’ that the mind “imposes order” and structure for the processes operating in the mind. (p.17 soc id) 4. Spiritual Experiences and Beliefs as Making sense of the World and Synthesis-Consensus Function: Any objective view of spiritual and religious beliefs – of the myths, the narratives, the parables and the teachings – it would be self-evident that these beliefs “made sense of the world. On top of that there is the Synthesis-Consensus of Frankl, James, and Jung that spiritual experiences [spirit] creates meaning and constructs a sense of reality and makes sense of the world Preamble: Unconscious Processes, Durkheim’s Social Forces, Filters and Selective Attention I. Unconscious: Automated Social Perception, Mental Categories, Symbolism A. Unconscious: Lion’s Share Intimately Connected to the environment Modern unconscious research demonstrates that the “Unconscious” processes 11 million bits of data per second vs 40 bits of data per second processed by cognitive processes “Our conscious processing capacity isn’t insignificant, but clearly, it’s just a retention pond compared to the ocean of the unconscious.” (From: Forbes: Your Brain Sees Even When You Don’t June 24, 2013) B. The Lion’s Share: Three major forms of automatic self-regulation: John Bargh observes the three major forms: “an automatic effect of perception on action, automatic goal pursuit, and a continual automatic evaluation of one’s experience. From the accumulating evidence, the authors conclude that these various nonconscious mental systems perform the lion’s share of the self-regulatory burden, beneficially keeping the individual grounded in his or her current environment.” (P.462) C. social perception involves largely automated unconscious processes John Bargh observes, “The idea that social perception is a largely automated psychological phenomenon is now widely accepted.” Social Perception is the essence of social Consciousness “Our identities are multifaceted – mother, musician, teacher, yoga enthusiast, NASCAR fan. In each of these [identities] there is stored implicit and ingrained knowledge about appropriate values and behaviors, likes and dislikes, ways of being.” Commentary: If you think about the massive amounts of information involved in social interactions that puts perspective on the necessity for unconscious processing. Even in basic exchanges between two people involve a lot of information such as tone of voice, body language, hand gestures, and facial features which studies show convey a lot of information. Then there is social context and circumstances. Plus, there are theory of mind processes which process information about the intentions of another person. D. Mental categories and social perception “Mental categories are absolutely essential for simplifying and understanding the information-rich environment, the express link between perception [of the environment] and action probably exists for a good adaptive reason, such as creation of appropriate behavioral preparations in the absence of conscious guidance and monitoring. Within a social group, one is more likely to get along harmoniously with other group members if one behaves the same way than when one is "out of sync" and behaves differently. So, it makes sense that the default behavioral tendency in an interaction is based on one's perception of what the other person is doing (Before you know it. Bargh’s research emphasizes stereotypes and norms that create these "mental categories" E. Symbols, Flags, and Kant’s Symbolic Knowledge: Kant, Nietzsche, Ortega Gasset, Heschel, Heidegger and most of western philosophy state categorically that symbols are vital for both understanding and knowledge. However, most philosophers also state that symbolism - to a very large extent – remains outside the realm of cognitive processes and rational analysis. In effect, symbolism and quantification are mutually exclusive principles. Immanuel Kant, an Enlightenment German philosopher (1724–1804), created the theory of “symbolic knowledge.” Abraham Heschel observed, “Kant has demonstrated that it is utterly impossible to attain knowledge of the world as it is because knowledge is always in the form of categories and these, in the last analysis, are only representational constructions for the purpose of apperceiving what is given.” John Glenn stresses “basic concepts (the categories and the ideas of reason) which the human mind employs can only come to be conceived because they are capable of being first presented in concrete symbolic form!” human culture.” Abraham Heschel highlights the fact that the most obvious, prevalent, and best illustrations of “symbols” are “flags.” Of course, Christian recognize Jesus Christ on the cross as a “symbol” – a symbol with diverse meanings for different people. Kant emphasizes that God can only be understood symbolically – which is in line with St Gregory of Nyssa who states: "The unbounded, incomprehensible divinity remains beyond all comprehension." II. Genetics, Spiritual Symbolism and Energy A. The Genetics of Spirituality Tim Spector, in the article, What Twins Reveal About The Science Of Faith (Popular Science, August 8, 2013) states, “They [the researchers] estimated the heritability of spirituality to be around 40 to 50 percent, which is quite high………..These studies demonstrate our variable but innate inherited sense of spirituality, which affects how we perceive the world, ourselves and the universe. B. Sociological Evidence of Unconscious Spiritual Symbolism – Star Wars & Harry Potter Fandom Rhiannon Grant in The Sacred in Fantastic Fandom, Grant observes in 2001, the British government ran a regular census, but they included a new question about religion. In response, almost 0.8 percent of the total population said they were a “Jedi” or Jedi knight!” (p. 38) Those results were repeated in Australia and New Zealand.” The contemporary-modern social popularity of Star Wars and Harry Potter, and the numerous other imaginative fandoms, that provides massive data and evidence of the existence of unconscious spiritual symbolism. C. Energized unconscious symbolism In light of the " sociological reality” of Star Wats and Harry Potter Fandoms, spiritual symbols might best be understood in terms of Nancy Furlotti’ s argument which states, " Affect emerges from archetypes, which are the a priori ordering principles of nature, the world, and the psyche. When an archetype is activated, energy is put in motion that does not adhere to the laws of causality, or time and space." (Tracing a Red Thread: Synchronicity and Jung’s Red Book:(2010), Psychological Perspectives, 53:4, 455-478) Beliefs and ideas are very real and incredibly powerful. From that perspective, the idea of "spirit" as energy and force is very real, especially in light of a social-collective consciousness. D. Prism Paradigm: The Energy-Filter Model Energy “originating” from unconscious symbolism is processed and filtered – as a metaphor of light (energy) entering a prism and different colors emerging on the other- side of the prism. – As an expression of personal-individual spirituality. As William James and modern neuroscience points out, people have different views because they filter or process – data and information differently. Personality, upbringing, culture-environment- ethnicity, experiences are shaping factors. E. Selective Attention as an Evolutionary Adaptive Trait Bernhard Hommel et al observe: “How is this related to attention? A few sentences after that famous phrase we quoted above, James wrote that attention “implies a withdrawal from some things in order to deal effectively with others.” …. And while these simple circuits for governing interactive behavior may seem far removed from the higher cognition of humans, they are indeed the precursors [approach circuit of the rostral tectum] to the mechanisms that control what has been called “selective attention.” It is argued that selectivity in processing has emerged through evolution as a design feature of a complex multi-channel sensorimotor system, which generates selective phenomena of “attention” as one of many by-products. (No one knows what attention is” Bernhard Hommel & Craig S. Chapman & Paul Cisek & Heather F. Neyedli & Joo-Hyun Song & Timothy N. Welsh) John Bargh’s story illustrates the power and influence of attention. John Bargh, a researcher and psychologist of the unconscious, observes, “When I was about twelve years old, we had a big family reunion and I decided to bring a tape recorder so we’d have a recording of our grandparents and uncles and aunts and cousins for posterity. I come from a large extended family so it was a really noisy room. During the gathering, our grandma sat on the couch and told some great stories in the middle of all other conversations. We listened and enjoyed all of them, and a few days after the reunion, we went back to listen to it again. What a disappointment! Just noise, noise, noise, a million people talking at once and no way to pick out her voice from the other people talking, even though we heard her so clearly at the time. We quickly figured out that we hadn’t noticed the background noise because we had been so captivated by our grandmother’s stories. We’d filtered out what everyone else was saying. (p. 111 Before you know it) F. Complex interconnectivity of the human brain Moral Neuroscience: Funk and Gazzanigna observe that “Morality is a set of complex emotional and cognitive processes that is reflected across many brain domains. Some of them are recurrently found to be indispensable in order to emit a moral judgment, but none of them is uniquely related to morality………… Some of the emotions processed are more central to morality than others, but all emotions contribute to moral judgment given specific contextual situations.…….The neural circuits of brain regions implicated in morality overlap with those that regulate other behavioral processes,…..” ) Brain Architecture of human morality, Funk and Gazzanigna Current opinion in Neurobiology 2009 19:678-681) Musical neuroscience indicates intricately interconnected processes: Music cuts across diverse cognitive capabilities and resources, including numeracy, language, and space perception. In the same way, music intersects with cultural boundaries, facilitating our “social self” by linking our shared experiences and intentions.” “The evolution of music and human social capability Jay Schulkin, Greta B. Raglan Front Neurosci. 2014; 8: 292. Published online 2014 Sep 17. doi: 10.3389/fnins.2014.00292” G. A New Emerging Awareness & Spirituality “Spirituality is a natural human predisposition. It is more primal than institutional religion and concerns a person’s sense of connectedness with self, others, and the world (or cosmos). Kate Adams Bishop Grosseteste University College Lincoln & Brendan Hyde Australian Catholic University The way you look at things is the most powerful force in shaping your life . Irish poet theologian John O’Donohue Spirituality is a natural human predisposition! It is more primal than institutional religion and concerns a person’s sense of connectedness with self, others, and world!” (K. Bishop Grosseteste U, B Hyde Australian Catholic University) Spirituality is more primal, Anton Killin: "The oldest known musical instruments [date] from 40,000 years ago (40 Kya) ….” Killin argues that music likely originated in hominins as long as 275,000 years ago. H. Music: A quintessential illustration of Spirituality and Evolutionary Adaptive trait 1. “It seems likely that proto-musical capacities and their cultural particularizations as musics were crucial factors in precipitating and sustaining the social and cognitive versatility that mark modern humans. (p. 5 – 6 Music and evolution Ian Cross) 2. Music is a core human experience and generative processes reflect cognitive capabilities. Music is often functional because it is something that can promote human well-being by facilitating human contact, human meaning, and human imagination of possibilities, tying it to our social instincts. Music is a fundamental part of our evolution – and functional because it facilitates “human contact” and out “social self” (The evolution of music and human social capability Jay Schulkin, Greta B. Raglan Front Neurosci. 2014; 8: 292. Published online 2014 Sep 17. doi: 10.3389/fnins.2014.00292) Theory of Four Needs that [adequately] Explain and Describe Religion: The Need for Meaning, the Need to Belong, the Need for Ideology, and the Spiritual Drive Meaning and Symbolism One of Geertz's most significant arguments is that symbolism and meaning are essential and critical, for both culture and religion: “The view of man as a symbolizing, conceptualizing, meaning-seeking animal, which has become increasingly popular both in the social sciences and in philosophy over the past several years, opens up a whole new approach not only to the analysis of religion as such, but to the understanding of the relations between religion and values. The drive to make sense out of experience, to give it form and order, is evidently as real and pressing as the more familiar biological needs. And, this being so, it seems unnecessary to continue to interpret symbolic activities --- religion, art, ideology – as nothing but thinly disguised expressions of something other than what they seem to be: attempts to provide orientation to an organism which cannot live in a world it is unable to understand. ” (p.140) Without question, people, throughout history have derived and gotten meaning from religion and God. As I will discuss later, from the time of Aristotle, who stated "All men desire knowledge, to modern psychology it is clear people have a powerful need for meaning. Baumeister-Funk & Gazzanigna Paradigm and The Complexity of Religious Beliefs Baumeister argues that there is no such thing as an “Ultimate Meaning of Life” – rather a synthesis and holistic integration of diverse meanings – family, religion, education, play, police, philosophy, and so on. The neuroscientists observe that: “Moral neuroscience is an intricate and expanding field. This review summarizes the main scientific findings obtained to date. Morality is a set of complex emotional and cognitive processes that is reflected across many brain domains. Some of them are recurrently found to be indispensable in order to emit a moral judgment, but none of them is uniquely related to morality…………Some of the emotions processed are more central to morality than others, but all emotions contribute to moral judgment given specific contextual situations. (Brain Architecture of human morality, Funk and Gazzaniga) ……. The neural circuits of brain regions implicated in morality overlap with those that regulate other behavioral processes, suggesting that there is probably no undiscovered neural substrate that uniquely supports moral cognition.” Brain Architecture of human morality, Funk and Gazzanigna Current opinion in Neurobiology 2009 19:678-681) The author and scholar, Stefan Schindler briefly sketches the broad outlines of religion: "The Root of the word religion is "ligio", meaning "to connect" (as a ligament connects bone to muscle). Res-ligio = "the linking thing." [is] usually [what I start with] started with that when teaching Philosophy of Religion.... Religion, by linking humans to a larger Meaning-Matrix, provides a sense of being at home in the universe, thereby overcoming feelings of alienation (and encounters with what Camus calls The Absurd). There are two approaches to this. Two interpretations of religion's function. The atheistic approach is to see it as wishful thinking. (Nietzsche, Freud, Sartre, Bertrand Russell, etc.) The spiritual approach (a la Plato, Jesus, Buddha, etc.) is to see Authentic religion as a Recollection of our connection to something divine. One of the definitions of Dharma (it has multiple meanings) is connection, link, yoke (which is, of course, the root meaning of the word Yoga). Religious beliefs and spiritual beliefs are very complex, and involvement of a variety of drives, needs, emotions and hopes. As such, religion most likely performs a variety of different functions for human beings and human society. There are a plethora of theories about why people believe in God: fear of death; wishful thinking; animism, naturalism, fear of the unknown; explanation of the world and its origins; belief in the supernatural; social functionalism (morality; social cohesion); explanation of suffering; anthropomorphism; comfort; coping; naturalism; as well as superstition. None of these theories directly answer the question completely. Each may represent a piece of the puzzle, but none seem to capture the essence of religious beliefs. As the prominent social psychologist Roy Baumeister pointed out "Meaning" as such is actually a conglomeration and collection of various diverse meanings somehow interconnected into a functioning 'whole' or unit. Fear of Death Fear of death is a significant influence in human consciousness, and it has been noted by many scholars and scientists that the human being is unique in the animal world because of human awareness of death. Both the sociobiologist E.O. Wilson, as well as Carl Jung and other scientists all advance the awareness and fear of death as a major influence in the supernatural. Early human societies placed significant objects in the graves of humans buried as far back as 100,000 years ago. Grave goods are seen as a significant indication of a conscious awareness of death. Carl Jung emphasizes that early human beings doubtless realized that "life," although intangible and imperceptible, 'disappeared at death, when people stopped breathing - and thus connected "life" with the supernatural (for humans, back then, most likely 'everything' was probably supernatural since at the time there was no concept of "natural." Almost all languages, from Semitic ancient Hebrew, Arabic, Latin, Greek, and so on, do have the linguistic root for "spirit" in the word "breath." Fear of the Unknown David Hume and several other modern scholars, such as Roy Baumeister, connect the beliefs in the supernatural with fear of the unknown and anxiety. David Hume (1711 to 1776), in his work, The Natural History of Religion, made very astute observations relevant to the condition of ancient humans: "We are placed in this world, as in a great theatre, where the true springs and causes of every event are entirely concealed from us; nor have we either sufficient wisdom to foresee, or power to prevent those ills, with which we are continually threatened. We hang in perpetual suspense between life and death, health and sickness, plenty and want, which are distributed amongst the human species by secret and unknown causes whose operation is oft unexpected, and always unaccountable. These unknown causes, then, become the constant object of our hope and fear; and while the passions are kept in perpetual alarm by an anxious expectation of the events, the imagination is equally employed in forming ideas of those powers, on which we have so entire a dependence." Hume argues that the unknown and largely unpredictable characteristic of forces that directly affect our lives and well-being is a major influence that induces people to adopt and accept religious beliefs and specifically beliefs in the supernatural. The modern prominent social psychologist Roy Baumeister makes a similar argument when he argues that people have a need for control. He emphasizes that some studies demonstrate that even the "illusion" of control can reduce anxiety and increase resistance to pain. So, I would say only partly tongue in cheek, it would seem the bottom line having some illusions may not be such a bad thing after all?? Innate Anthropomorphic-Animism Software in the Human brain Xenophanes, Aristotle, Hume and St Augustine It is second nature for people to think in terms of human traits and characteristics, not only others, but also intangible concepts in terms of human intentions and human goals. The ancient Greek philosopher, Xenophanes (c.570–c.475 BC), was the first 'scholar' to make the observation that anthropomorphism was a very powerful factor in envisioning gods and goddesses. A bit sarcastically, Xenophanes observed that "But if cattle and horses and lions had hands or could paint with their hands and create works such as men do, horses like horses and cattle like cattle also would depict the gods' shapes and make their bodies of such a sort as the form they themselves have. Aristotle made the same exact observation. St Augustine (c.354-c.430 AD) also made the same observation hundreds of years later – observing that people have the weakness of envisioning God in terms of a (human) being since it is difficult for them to imagine anything outside their own 'humanness.' St. Augustine, like St. Gregory of Nyssa believed that God is beyond words and beyond comprehension. David Hume the famous philosopher (1711 – 1776) stated the same exact thought that human beings can only ordinarily think and envision things except in human terms and a human frame of reference. I can’t resist adding that both Nietzsche and Mannheim observed that “social” influences produced “modes of thought or mindsets” – which would be relevant to seeing God as human. Unconscious processes Jean Piaget (1896 to 1980), a famous Swiss developmental psychologist, who did extensive studies of children and their tendencies for animism and anthropomorphism. Children, when they are very young appear to have fewer distinctions between self and world, as well as between self and others. They seem to have an innate tendency to perceive beings, objects, and things as being alive and as living entities or beings. In one study he tried to discover how children thought of life. In his research children were asked questions as to if one thing or another were alive. He found that young children, when very young, had a view of life as being universal. Perhaps this is because their primary self-awareness was that of being alive – so they might ‘assume’ all other things have this “aliveness” as well. Modern psychologists now recognize that, in the human mind, there is without question a definite process in the human brain which has the capability to attribute mental states and project unto others their perceptions of others’ beliefs, intents, desires, emotions, knowledge, and motivations (which can be quite different from one’s own current views) to others. This process is termed “Theory of mind” (neuroscientists tend to describe it as the “default mode network” in terms of brain processes) It is understood that the “Theory of mind” [process is very important for people to grasp and cope with the human social interactions in day to day living. The Theory of mind and is pivotal in analyzing and judging others’ behaviors, and inferring others' intentions, motivations, and actions. It is a well-known fact that [most – not all] autistics, who are known to have a deficit in their minds' 'theory of mind' functions tend not to believe in 'God,' most likely due to the deficit in 'theory of mind' functions. The bottom line is that the human mind has a definite capacity to envision others and things in terms of a person or entity and attributes intentions and intentional consciousness to them. In Faces in the Clouds, anthropologist Stewart Guthrie advocates anthropomorphism as a major influence in religious beliefs. Guthrie uses a few stories from firefighters fighting forest fires who at times would speak of fires as being alive with minds of their own. From my view, in that particular circumstance employing animism software to envision and imagine the possibilities of forest fires which are known to be erratic and unpredictable would seem very practical in those circumstances. Jung's Collective unconscious would be in a category of its own. Jung argued that evolution endowed the mind of man, and specifically the Collective Unconscious with a spiritual and religious traits and abilities, and built-in structure that informed and shaped religion and religious beliefs. Jung stated, (Vol 8 [342]) "The collective unconscious contains the whole spiritual heritage of mankind’s evolution, born anew in the brain structure of every individual. His conscious mind is an ephemeral phenomenon that accomplishes all provisional adaptations and orientations, for which reason one can best compare its function to orientation in space. The unconscious, on the other hand, is the source of the instinctual forces of the psyche and of the forms or categories that regulate them, namely the archetypes. All the most powerful ideas in history go back to archetypes. This is particularly true of religious ideas, but the central concepts of science, philosophy, and ethics are no exception to this rule. In their present form they are variants of archetypal ideas, created by consciously applying and adapting these ideas to reality. For it is the function of consciousness not only to recognize and assimilate the external world through the gateway of the senses, but to translate into visible reality the world within us." The Meaning Umbrella & The Meaning Matrix I started this essay with the concept of "meaning" and the "Need for Meaning" because many of the other reasons and functions of religion and religious beliefs, and most all of these other reasons and factors, could easily fall under the Meaning Umbrella. That is people get meaning from God as a product of their fear of the unknown, or fear of death and so on. There are doubtless hundreds of other factors from needing hope, to getting meaning from other worldly sources when the suffering in the world environment is paramount, to needing transcendence, and so forth. Of course, Jung's idea of the Collective Unconscious in which the "spiritual heritage of mankind’s evolution" is embedded would need to fall under the multiple categories of The Need for Meaning, The Need to Belong, the Need for Ideology, as well as including The Spiritual Drive. An unstated assumption but incredibly important characteristic of human consciousness in Jung's Collective Unconscious concept is that the evident reality that inherent in human nature there is a very strong Spiritual Drive. As the physicist Josephson points out many social scientists and scientists obsess over the 'supernatural' aspect of religion and ignore such worldly yet very important ideas such as the reality of a Spiritual Drive. Even a precursory glance at human history reveals an incredibly evident spiritual and religious drive in society and culture! The Four Primary Drives: The Need for Meaning, the Need to Belong, the Need for Ideology, and the Spiritual Drive My argument is that religious beliefs are primarily created and generated by four very basic and fundamental “Needs” or “Drives.” From a rather practical and pragmatic approach, in general, religions could be said to involve meaning or purpose, others and relationships, as well as structures and principles for both meaning, relationships, and group coherence and integrity. A general understanding of religious beliefs would seem relevant and significant in understanding spirituality and spiritual processes which are separate from some of the processes involved in group-related ideological processes - yet still associated. Need for Meaning: “The meaning of life is to give life a meaning!” – is a quintessential illustration the of the iconic psychoanalyst, Viktor Frankl’s, theory of the human mind! (p. 22 Will) Frankl’s primary principle is that human beings have a Will to Meaning!” Many of famous and iconic ‘Great Thinkers’ in history mirror that very idea and sentiment. From Aristotle, to Carl Jung, Viktor Frankl, Clifford Geertz, Nietzsche, Roy Baumeister, Paul Wong, as well as most existential and positive psychologists, the human drive and need for meaning as well as the core concept of human beings as "meaning-seeking animals" has been consistently emphasized, often highlighting that meaning is absolutely vital for coping with life. The "Will to Meaning" is Viktor Frankl's central concept of his theory. The pivotal concept of Clifford Geertz's almost universally accepted definition of Religion is Religion as a "System of Symbols!" Symbols, of course, embody "meaning!" As, the prominent psychologist, Paul Wong, observes, “religious and spiritual beliefs and practice are thought to serve as a central component of an individual’s orienting system, which helps the individual understand, appraise, and derive meaning from stressful life events and ultimately helps that individual decide how to react.” (p. xl Quest – my italics) Here is a link to an essay about The Need for Meaning: https://www.spirittruthandmeaning.com/the-need-for-meaning-frankl-jung-geertz-baumeister-and-paul-wo... Need to Belong: Human beings have formed groups – and, later, societies – since Homo sapiens emerged on earth. The Need to Belong is deeply rooted in human consciousness. As the prominent social psychologist, Roy Baumeister, observed that “It is apparent that people have a deeply rooted need to have contact with other people.” (p.14 Meanings) Baumeister and Leary forcefully argue: “We [Baumeister and Leary] suggest that belongingness can be almost as compelling a need as food and that human culture is significantly conditioned by the pressure to provide belongingness.” (p 498 need) Baumeister cites medical statistics that show that ‘lonely’ people have a much higher mortality rate, but concludes that “The fact that belongingness predicts happiness more strongly—far more strongly, in America—than any other external circumstances is another sign that the need to belong is exceptionally powerful. Satisfying the need to belong is more crucial and decisive than satisfying any other need.” (p. 109) Baumeister’s Need to Belong is widely accepted in social psychology, and quoted and cited frequently by social psychologists. Here is a link to an essay about the Need to Belong: https://www.spirittruthandmeaning.com/need-to-belong-society-baumeister Need for Ideology: Religions, as everybody knows are ideologies, the same as political ideologies such as communism or capitalism. In his writing about the politics of emerging countries, Clifford Geertz, an icon of anthropology, argues that religious, ethnic, and nationalistic ideologies are "primordial forces" at work in history and political society. From the dawn of civilization men (and women) have fought and died for their ideological beliefs. In World War I, roughly nine to ten million men fought and died for their country. The emotions involved in ideologies and patriotism are tremendously strong. Inter-group conflicts generate the most savage and brutally violent acts in humanity. Furthermore, history would seem to be sufficient proof that religions are groups and that throughout history, religions-religious beliefs form groups. It would, therefore, seem an inevitable conclusion that "a" function of religious beliefs - ideologies would be to 'form" groups, and it would then follow that one purpose of rituals - which Geertz argued were, in essence and at the core, "arguments" (presumably for that particular religion-God), would necessarily be, in that light 'ritual' submission of the individual to the group. That is, in partaking of the rituals, the individual not only accepts the "authority" of the group, but also as many rituals include hierarchal dominance, asl engender acceptance of the hierarchy of dominance. There are over a dozen genocides since WWI. Here is a link to an essay about Instincts and group identity: Instincts, Groups, and Genocides - https://www.spirittruthandmeaning.com/post-title80df2bb9 Human beings need order and structure. Francois Jacob observed that man “cannot bear the void!” Susanne Langer, the philosopher, echoes Jacob when she said that man “can adapt himself somehow to anything his imagination can cope with; but he cannot deal with Chaos.” (p. 287 new key) The social psychologists Michael Hogg and Dominic Abrams, observe that without processes in the mind that put order and organize the multitude of stimuli and experiences, "We would be overwhelmed and paralyzed by overstimulation.” In their book on social identity they emphasize that every psychological ‘theory’, in one form or another, ‘assumes’ that the mind “imposes order” and structure for the processes operating in the mind. (p.17 soc id). Clifford Geertz observed that given the unfocused nature of human needs, desires, drives and instincts, without the structure that culture provides, the human being “would be functionally incomplete, not merely a talented ape who had, like some underprivileged child, unfortunately been prevented from realizing his full potentialities, but a kind of formless monster with neither sense of direction nor power of self-control, a chaos of spasmodic impulses and vague emotions.” (p.99 interp) Separate and Distinct Processes in the Brain: When it comes to ideologies, there would appear to be, on the face of it, two distinct levels. The first level, which has already been brought up is that ideologies provide a “Meaning Structure” or a “system of symbols” as Geertz points out when it comes to religion. However, ideologies also organize people as well – through roles, status, meaning, and purpose. That is, especially the emotional structure of people is structured by ideologies, and, unfortunately, group-related instincts, such as patriotism connected with nationalist ideologies, are connected or associated with group ideologies. Here is a link to a brief essay about group-related instincts: https://www.spirittruthandmeaning.com/post-title80df2bb9 Neuroscience has Identified 360 distinct and separate regions of the brain. MRI tests performed by neuroscientists have shown that different situations frequently engage different brain processes as well as that those different processes, in general, working in tandem with other separate brain processes. The bottom line is that the spiritual processes involved in creativity and ideals such as compassion will be completely different and separate than the brain regions engaged in "defending" the survival and integrity of a group or ideology, for instance. Spiritual Drive: A Drive – Making Sense of the World A Synthesis-Consensus of Viktor Frankl, Carl Jung, Emile Durkheim, and William James Motivation: A Point of Order I feel the motivation question is a critical question, so I feel this needs to be “addressed” for perspective before proceeding. Part 1: Spiritual beliefs as a Drive or Motivation. When you talk to "spiritual people" - spiritual beliefs are not just a motivation but a very profound source of inspiration and a powerful drive. In contrast spirituality as a motivation is conspicuously absent from academia. Beginning in 2017, I researched it Extensively and even a scholar of religious had not heard of any as well S. Schindler, Dr. Wong, Dr Emmons, Dr. Park, etc. In the five psychology of religion textbooks I have, there was no mention of spiritual or religious beliefs as a motivation or drive. I messaged five ‘official’ anthropology professors engaged at the time in a discussion that question and got no response. I google-scholared spiritual drive, and I posted in discussions on academia. The bottom line is that science has no explanation at the moment how millions and millions of churches and temples got built. That is mindboggling. “Our” society has probes on Mars, and can measure the reciprocal spin of two subatomic particles separated by large distances but “we” have no current theory or idea as to how all these churches and temples came into being. Dr. Visuri, who did a really incredibly balanced study of “high functioning” autistics and who is a scholar of religious beliefs, replied to my question about spiritual and religious beliefs as motivation and drive by saying that motivation and drive are important and pivotal questions. I asked her how she might envision motivations. Her response was “Spontaneously, these are some categories I'm coming to think of: - Social motivation: sharing the traditions and beliefs of one's family and community. - Psychological motivation: religion and spirituality used as coping strategies - Experiential motivation: making sense of things that cannot be explained through logical reasoning - Power as motivation: having a position in a religious group that one does not want to lose - Existential motivation: religion and/or spirituality being the core of meaning making. In that “religious studies” are her specialty, it would seem rather evident that the motivation question is not set in concrete in social sciences. Part II An illustration of the motivation question in spiritual people Nora’s story! from an article on children's spirituality. First is Nora’s account of her ability to see auras as a younger child: When I was four or five years old, I was playing dolls with two friends. One of them asked what my favorite color was. I replied ‘Pink.’ She asked what shade of pink? I said the shade of pink of the light around your head. Both little girls said ‘What light around the head?’ A fear like a knife went through my heart as I knew they were telling the truth; they didn’t see the light. I was seeing something they could not see. I never saw lights around people again until I was in my 30s. Nora considered seeing auras normal until she realized her friends could not. Nora observed that “The significance this had on my life after I remembered this experience has made me a seeker of higher consciousness. A believer that my function on this planet is significant to every person on the earth.” Nora’s observation that “The significance this had on my life after I remembered this experience has made me a seeker of higher consciousness.” Illustrates the motivation question. From my often-informal conversations with people who have spiritual experiences, there appears to be a universal understanding that their experiences have been a profound motivation for them. As a point of information, I would observe that, besides Nora, another woman named Nunzi has that same capability of envisioning auras. Of course, Edgar Cayce, the documented healer-psychic (active roughly from 1923 to 1945) is famous for seeing auras. Addendum: Spiritual Experiences-Beliefs: Synthesis - Making sense of the World Any objective view of spiritual and religious beliefs – of the myths, the narratives, the parables and the teachings – it would be self-evident that these beliefs “made sense of the world. On top of that there is the Synthesis-Consensus of Frankl, James, and Jung that spiritual experiences [spirit] creates meaning and constructs a sense of reality and makes sense of the world Paul Wong is an extremely reputable and well-known psychologist and author. When I approached him with a brief summary of my “New Approach,” he was kind enough to observe that “Your approach is new in the sense of a broad-minded integrative approach, breaking down the artificial traditional divide between science and religious, or scientific psychology versus humanistic or psychoanalytic psychology.” He went on to suggest that a title of “A New Integrative Approach" would be appropriate." There is a rather remarkable consensus among the psychologists, William James, Carl Jung, and Viktor Frankl that "spirit" and spiritual processes create meaning and a sense of reality. Carl Jung, a psychoanalyst and contemporary of Sigmund Freud, observed that "Spirit gives meaning to his [man's] life" (CW8:643) William James emphasizes in his classic work, originally published in 1902, The Varieties of Religious Experiences that "They [spiritual experiences] determine our vital attitude as decisively as the vital attitude of lovers is determined by the habitual sense,..… (P.47) William James goes on to say that religious experiences and spiritual experiences create and generate a “sense of reality” (p.48) In the anthology, Meaning in Positive and Existential Psychology (2014), edited by Batthyany and Russo-Netzer, Paul Wong, the prominent positive-existential psychologist, observes: “Frankl considers meaning seeking as stemming from one’s spiritual nature.” (p.156) The argument that “Spirit” or spiritual processes create meaning, of course, dovetails into Durkheim's argument that religious and spiritual beliefs create norms and social ideals, and, in fact, society as well. The consensus that Spiritual Processes [Spirit] create meaning, a sense of reality and, in the end, actually create Reality and Truth, without question would mean that spiritual processes are intimately connected to the Need for Meaning and Meaning Structure. Yet I would suggest that the spiritual processes accentuate the integrative and synthesis function of meaning, and at times bring transcendence into play. Furthermore, especially in context of concepts such as the Holy spirit, it would seem clear that spiritual processes also play a significant role in the connectivity with others and the group and so also connect to the Need to Belong. Both Jung and Frankl believed that the "conscience" plays an important role in the spiritual processes [spirit] and so as such exercise a moderating effect on the processes involved in the Need to Belong and some of the processes involved in ideological directed processes. As Emile Durkheim, a founding father of sociology, stated unequivocally: “Today we understand that law, morality, and scientific thought itself are born from religion, have long been confused with it, and remain imbued with its spirit.” (p62 el) More relevant to this discussion. observed, religious and spiritual beliefs not only created morality, values and norms, but perhaps more importantly created social ideals, such as Compassion, Truth, Justice, Equality, as well as Morality and Righteousness. These social ideals are pivotal principles and tenets, not only of every major religion, but also became values and norms embedded in society and social structure. Lastly it is vital to understand that spiritual and religious beliefs are drives – likely interconnected with other needs and rives. Conclusions: The Need for Meaning, the Need to Belong, and the Need for Ideology are without question intimately inter-connected and intertwined. As Roy Baumeister observes, “Meaning itself is acquired socially, from other people and from the culture at large. Nature equips the human being with appetites but not meanings” (p.6 Meanings) - something echoed by many other psychologists who argue that people get meaning primarily from and through other people – significant others, role models, religion, government, educational institution, and so on. That alone, links meaning, and the Need for Meaning, to others, people, and the Need to Belong, which would also be directly connected to structure, organization, and the Need for Ideology. Lastly, I would briefly would highlight the fact that, while those three basic “needs” cover the bases and sufficiently describe religion and religious beliefs in general, the complexity of the human being would clearly suggest there necessarily exist other significant influences – for instance, the 'Need to Control' and the question of 'Spirit' as a separate category, besides being intimately and directly connected to meaning, as Carl Jung, Viktor Frankl, William James, and Emile Durkheim all agree. That being said, my argument is that the three basic needs - the Need for Meaning, the Need to Belong, and the Need for Ideology - provide a sufficient and necessary cause for the formation of religion and religious beliefs - as Piaget might have said. Addendum: Death IS A Figment of Your Imagination Excerpt from mini critique of academic materialism which has had thousands of views and zero criticisms A. Death IS A Figment of Your Imagination Excerpt of 2018 critique of academic materialism endorsed by Dr H Koenig, Dr. P Wong, Dr S Farra, & S Schindler - which focused on the fallacy/maladaptive stereotype 'All spirituality is unreal!' W R Miller and C E Thoresen, state that “A philosophical basis for this perspective is materialism, the belief that there is nothing to study because spirituality is intangible and beyond the senses.” That fallacy produces the – from my research – widespread maladaptive stereotype that “All spirituality is unreal” Applying that argument to death which is also not “quantifiable” makes ‘Death a figment of your imagination!" Death obviously is not a figment of the imagination and shows exactly how defunct, dysfunctional and unscientific academic materialism My critique of academic materialism has had over 5,000 views on academia.edu with zero criticisms. B. Other methodology flaws and problems 1, It does not follow from the materialist argument that neurons fire in the brain that there is no social consciousness (Baruss, Mossbridge) a) "There is no psychology of groups” (Allport) b) Geertz’s five-part definition of religion has no concept of community or social consciousness. Both Virgilio Enriquez and David Hay state the extreme individualism inherent in western academia is destructive (anti-social) Contrasted with “religion and spirituality are more or less coherent… meaning systems embedded… acquired through social relationships.” Paloutzian & Park (p. 12) 2, Dr Neal states she has no training in People who have spiritual experiences. DSM has NOTHING on spirituality J. E Kennedy states "very little research" has been done about people. The chapter on experiences in Park and Paloutzian's Handbook reveals experiences but nothing on people Academic materialism is a system is founded on a number of false premises, fallacies, & maladaptive stereotypes - which makes it a cult. The Materialist Mindset (Mannheim) creates a researcher bias – as shown by flaws and errors. C. When logic and proportion Have fallen sloppy dead The lyrics from the Jefferson Airplane White Rabbit song are hauntingly prophetic When logic and proportion Have fallen sloppy dead And the White Knight is talking backwards And the Red Queen's off with her head Remember what the dormouse said Feed your head Truly prophetic – likely a read of meaning in the academic materialist world that we live in – long before Sheldrake who observed “The atheist ideology found a powerful ally in materialist science, which by the end of the nineteenth century, portrayed a purposeless, unconscious, mechanical universe where humans, like all life, had evolved without purpose or guidance. In this godless world [devoid of spirituality], humanity would take charge of its own evolution, bringing economic development, brotherhood, health, and prosperity to all mankind through progress.” (p.157) Sheldrake goes on to say, “The rising influence of mechanistic science accelerated this process from the seventeenth century onward. God was removed from the workings of nature, now seen as inanimate, unconscious, and mechanical, functioning automatically.” (p.155) -purposeless is the pivotal concept. I should add that I think it is telling that they got the conclusion wrong – instead of feed your head, it should have been feed your heart (spirit) D. Kaiser Permanente has been abusive. The U.S. Department of Justice accepted my complaints # 83404-WLP, 83404; 95500, 91650, 91569, 90778 – focused on the degrading-disrespectful response on the Definist fallacy - maladaptive stereotype that "All spirituality is unreal" which my research shows are a problem in academia and American culture. Medical guidelines require respect for spirituality. The KP board of doctors, Dr Davis, Dr Neal & member services told me to go screw myself (effectively). + Dr De Paulo & Dr. P Perez (effectively) conveyed that 'All transcendental spirituality is psychosis!' - including autistic spirituality, dreams of deceased ("not uncommon") & grieving. Deprived of Medicare: my address in social security is Port St Easton, MD & I am on a tourist visa in Phils in 5-23 KP refused service for my Medicare benefits - because I don't have a Maryland address. - In my view, KP did this in retaliation for complaints I filed. In reply I got DOJ 293169-VXT: Special Litigation Section is “reviewing!” https://independentscholar.academia.edu/CharlesPeckJr
Preamble: "Walang ibang larangan ng kultura ng tao na hindi kasama sa nakikiramay na pagsasaalang-alang sa akademiko sa sarili nitong mga termino sa kadahilanang ang naturang pag-aaral ay nagsapanganib sa agham, katwiran, lohika, at ang buong pamana ng Enlightenment" (p.133). (p.36) Robert Bellah (1970b), [kilalang sosyologo] Ang empirikal at lohikal na katwiran na ngayon ay tumutuklas at nagtitiyak lamang ng mga katotohanan ngunit tumutukoy sa kaalaman bilang kaalaman sa katotohanan ay hindi mapagpatuloy sa awtoridad ng alinman sa kabanalan o halaga. Ang mga tunay na sagradong postulate ay hindi na binibilang bilang kaalaman ngunit paniniwala lamang, kung hindi pamahiin. Ang mga halaga ay tinukoy sa pamamagitan ng kagustuhan at dahil dito ay hindi hihigit sa mga usapin ng panlasa o ng aritmetika ng pagtitipid. ……………Ito ay katwiran na walang puwang para sa mga pananaw ng sining, relihiyon, pantasya, o pangarap. Ang mga kakayahan sa pagsusuri ng gayong walang pag-asa ngunit mahinang dahilan ay limitado, kung hindi man, at halos hindi mapagkakatiwalaan. Rappaport p. 130 Ekolohiya, Kahulugan, at Relihiyon Garden of Eden Myth: Simbolikong mapa, mito, kahulugan at paraan ng pag-iisip Hindi tayo maaaring mabuhay sa isang mundo na hindi sa atin, sa isang mundo na binibigyang kahulugan para sa atin ng iba. Ang isang binibigyang kahulugan na mundo ay hindi isang tahanan. Bahagi ng takot ay ang pagbawi ng ating sariling pakikinig, ang paggamit ng ating sariling boses, upang makita ang ating sariling liwanag. Hildegard ng Bingen Mga Talinghaga, Metapora, Simbolismo at Katotohanan - Ang Kaalaman na walang Pang-unawa ay Panlilinlang. Ang aklat ng Mga Taga-Corinto sa Bibliya tungkol sa mga kaloob ay nagpapakilala sa pagitan ng kaalaman at karunungan. Ang modernong akademya ay madalas na nagpapalabo sa pagkakaiba - na nagreresulta sa maraming pagkakamali ng kaalaman sa katotohanan. "Ang isang lalong mekanikal, pira-piraso, decontextualized na mundo, na minarkahan ng hindi nararapat na optimismo na may halong paranoya at isang pakiramdam ng kawalan ng laman, ay dumating, na sumasalamin, naniniwala ako, ang walang kalaban-laban na pagkilos ng isang dysfunctional na kaliwang hemisphere." — Iain McGilchrist Isang Mas Malalim na Kaalaman Si Jesucristo at Buddha ay nagsalita sa mga talinghaga. Ang propetang Islam na si Mohammed ay nagsalita tungkol sa mga paghahayag. Sinabi ni Karen Armstrong, isang mahusay na nai-publish na iskolar ng relihiyon, "isang magandang mito ang magsasabi sa atin ng isang bagay na mahalaga tungkol sa kalagayan ng tao. Ang mga alamat, sa pangkalahatan, ay mga alegorikal na kwento na iniaalok bilang tunay na pagmuni-muni, sa ilang diwa, ng katotohanan at ng mundo.” Tinukoy ni Heschel ang isang "mas malalim na kaalaman" at sinabi niya na "kung ano ang hindi natin masasabi." Heschel states about the ineffable aspect of consciousness which is beyond conscious expression: “Essential to human thought is not only the technique of symbolization but also the awareness of the ineffable. Sa bawat isipan ay may napakalaking tindahan ng hindi alam, ng pagiging tuliro, ng kababalaghan ng radikal na pagkamangha.” (Quest p.139) Naniniwala si Albert Einstein na ang intuwisyon at imahinasyon ay higit na mahalaga sa pag-unawa kaysa sa rational analysis at logical deduction. Ang iconic na neuroscientist na si Damasio ay naniniwala na ang mga tao ay may walang malay na pakiramdam ng pagiging. Ang argumento ng Rappaport na "Ang mga kahulugan ng mas mataas na pagkakasunud-sunod... ang mga kahulugan ng metapora, simbolo, at halaga, ay hindi direktang nakabatay sa mga obserbasyon sa kalikasan at sa gayon ay medyo malaya mula sa mga hadlang upang sumunod dito." (p. 84 Ecology) Ang Rappaport ay hindi lamang ang siyentipiko na gumawa ng pagkakaiba sa pagitan ng mga kahulugan na konektado sa pisikal na katotohanan at mga kahulugan ng mas mataas na pagkakasunud-sunod ng pagiging kumplikado. Si Roy Baumeister, isang kilalang social psychologist, ay gumagawa ng pagkakaiba sa pagitan ng mga kahulugan na nagmula sa pisikal na kapaligiran at iba pang mga kahulugan, pati na rin. Bilang isang mahalagang punto ng pagkakasunud-sunod, binigyang-diin ni Baumeister na - sa katunayan - mayroong "Walang Kahulugan sa Buhay" - na "Ang kahulugan ng Buhay sa katotohanan ay isang synthesis ng magkakaibang "kahulugan" ng buhay - na nagmula sa pamilya, mga kaibigan, edukasyon, paniniwala sa relihiyon, etnisidad, gayundin ang pagpapalaki at kultura. Siyempre - ang ganitong kumplikadong synthesis at holistic na nilalang ay lampas sa makatwirang pagsusuri at nangangailangan ng "mas malalim Gaya ng sinabi ni William James, “Ang katotohanan ay na sa metapisiko at relihiyong globo, ang mga articulate na dahilan ay matibay lamang para sa atin kapag ang ating hindi maipaliwanag na damdamin ng realidad ay napahanga na pabor sa parehong konklusyon…..Ang hindi makatwiran at agarang katiyakan ay ang malalim na bagay sa amin, ang reasoned argument ay ngunit isang ibabaw na eksibisyon. Instinct leads, intelligence does but follow.” (p. 48 na mga uri) Ang mahalagang ideya na inilalahad ni James ay tila, lalo na sa mga paniniwala sa relihiyon kung saan ang mga tao ay nakikipagbuno sa masalimuot at masalimuot na simbolismo at magkakaugnay na mga kahulugan na tila umaasa ang mga tao sa mga oras sa "hindi malinaw na damdamin ng katotohanan." Carl Jung na nagpahayag na "Ang isang simbolo ay nananatiling isang panghabang-buhay na hamon sa ating mga iniisip at nararamdaman. Iyon ay malamang na nagpapaliwanag kung bakit ang isang simbolikong gawa ay nakakasigla, kung bakit ito ay mahigpit na nakakahawak sa atin, ngunit kung bakit ito ay bihirang nagbibigay sa atin ng isang puro aesthetic na kasiyahan. Ang isang gawa na halatang hindi simbolikong nakakaakit ng higit sa ating aesthetic sensibility dahil kumpleto ito sa sarili nito at natutupad ang layunin nito." CV 588 119 Higit pa rito, sinabi ni Nancy Furlotti, na malawakang nag-aral kay Jung, na, " Ang epekto ay lumilitaw mula sa mga archetype, na kung saan ay ang a priori na mga prinsipyo ng pag-order ng kalikasan, mundo, at pag-iisip. Kapag ang isang archetype ay isinaaktibo, ang enerhiya ay inilalagay sa paggalaw na ginagawa. hindi sumunod sa mga batas ng causality, o oras at espasyo." (Tracing a Red Thread: Synchronicity and Jung's Red Book:(2010), Psychological Perspectives, 53:4, 455-478) Ang Synthesis Consensus nina Carl Jung, William James, at Viktor Frankl ay nagmamasid na ang mga espirituwal na karanasan ay lumilikha ng isang pakiramdam ng katotohanan" na ang mga tao ay nagkaroon bilang resulta ng kanilang mga karanasan sa relihiyon. Ito ay tila madaling maliwanag na ang paghahatid ng isang pakiramdam ng katotohanan ay isang pangunahing tungkulin ng espirituwal at relihiyosong mga paniniwala ay upang lumikha ng isang pakiramdam ng katotohanan. Sikolohiyang salaysay Malinaw na ang mga alamat, sa mukha nito, ay mga salaysay o kwento. Naniniwala ang mga psychologist na ang mga bata sa edad na tatlo ay nagsisimula nang magsabi ng mga salaysay. Ang mga salaysay ay pang-araw-araw na bagay dahil, kung iisipin mo, lumilikha ka ng isang kuwento sa araw, bawat araw habang ginagawa at sinasabi natin ang mga bagay na hinahabi natin ang isang kuwento sa ating mga ulo - isang kuwento kung saan pupunta ang isa, kung ano ang ginagawa ng isa. , kung sino ang nakakakita, bakit nangyayari ang mga bagay at iba pa. Napakaliit ng ginagawa ng isang tao ay rational analysis. Nang matuklasan ng mga tao ang apoy at lumikha ng mga apoy sa kampo at ang mga tribong tao ay nagtipon sa paligid ng apoy, sigurado akong laganap ang udyok na magkuwento sa mga taong iyon. Kaya, malamang na ang mga salaysay ay nagmula sa pagkatuklas ng apoy milyun-milyong taon na ang nakalilipas. Tulad ng itinuturo ni Dan McAdams, "natutugunan ng mga kuwento ang isang pangunahing pangangailangan ng tao para sa pagiging kabilang... Dinadala nila tayo sa ibang panlipunang mundo... Bukod dito kapag nagbabahagi tayo ng mga kwento ng mga personal na karanasan dito sa mundo, nang walang mga bampira at mga wizard, ang mga kuwentong iyon ay nagbubuklod sa atin sa tao. mga kolektibo kung saan ang ating panlipunang pagkilos at ang ating mga motibasyon na proyekto ay nahahanap ang kanilang pang-araw-araw na kahulugan. Ang mga kwento ay maaaring ang perpektong mekanismo na nagbubuklod para sa mga likas na likas na matalino, eusocuial species na nakikita natin sa ating sarili, na nagtuturo sa atin kung paano maging tao habang pinaninindigan nila ang ating pagiging miyembro sa mga grupo ng tao." (p. 268 hanggang 269) Ang kapansin-pansing isyu ay ang mga salaysay at kwentong ito ay "nagbibigkis" ng mga tao at sa pamamagitan ng mga kwento o mito ay nagbabahagi ang mga tao ng isang karaniwang karanasan - at sa kaso ng aking, isang karaniwang ibinahaging kasaysayan at pamana. Ang Garden of Eden Myth sa Genesis ng Bibliya ay marahil ang quintessential at prototypal na paglalarawan ng isang mito. Ang ubod ng mito ay ang pagkilos nina Adan at Eba na kumain ng ipinagbabawal na bunga ng Puno ng Kaalaman. Kahit na ang isang paunang pagsusuri sa mito na iyon ay maghahayag ng alegoriko at simbolikal na kilos bilang gawa ng isang "hayop na naghahanap ng kahulugan." Dagdag pa, ang mito at salaysay ay naghahatid ng pag-unawa na ang kaalaman sa mabuti at masama ay humihimok ng isang maliwanag na masakit na kamalayan sa sarili na humihimok ng matinding kahihiyan at pagkakasala. Kung tutuusin, tinakpan nina Adan at Eba ang kanilang ari ng dahon ng igos. Kapansin-pansin na ang self-awareness ay na-highlight sa mito dahil napakakaunting mga species ng hayop ang lumilitaw na may anumang self-awareness dahil kakaunti ang nakakakilala sa kanilang sarili sa mga salamin (ibig sabihin, chimpanzees, elepante). Parang gustong itampok ng may-akda ang mga katangiang nagpapaiba sa tao sa hayop. Sasabihin sa iyo ng bawat siyentipiko na ang utak ng tao at ang isip ng tao - tulad ng kaalaman - ay ang pinaka natatanging katangian ng tao. Ang isang kagiliw-giliw na twist sa salaysay ay na sina Adan at Eba ay kumain mula sa puno ng kaalaman at sa gayon ay nakakaalam ng mabuti sa masama, ngunit sa Hebreo ang salitang "kaalaman" ay may ilang natatanging kahulugan ng isang matalik at isang personal na koneksyon. Sa pagtingin sa Lumang Tipan ay malinaw na ang "katuwiran" ay mahalaga sa salitang "kaalaman" marahil dahil ang kaalaman (at katotohanan) ay direktang sumasalungat sa kasinungalingan at pagsisinungaling. Kapansin-pansin na ang salitang Hebreo para sa kaalaman ay isinalin sa pag-uusap sa pagitan ni Abraham at ng Diyos sa isang pagkakataon bilang "tipan" sa halip na kaalaman. Syempre ang pag-unawa natin sa "kaalaman" ngayon ay konektado sa pilosopiya at agham. Ang walang hanggang siyentipiko o pilosopikal na mga katotohanan pati na rin ang "mga katotohanan" ay tila ang pangkalahatang pag-unawa sa "kaalaman ngayon. - na ganap na naiiba sa kung paano naunawaan ng mga sinaunang Hudyo ang kaalaman. Sinabi ni Blaise Pascal isang mathematician, physicist, manunulat at teologo, “Ang tao ay dapat kilalanin na minamahal; ngunit ang mga banal na nilalang ay dapat mahalin upang makilala.” Palagi akong may ilang mga problema sa pag-unawa sa pahayag na iyon ngunit ito ay tila kakaibang angkop sa kontekstong ito. Kaya, ang Garden of Eden Myth, bilang isang salaysay, ay naghahatid ng ideya ng tao bilang isang "ibig sabihin na naghahanap ng hayop" (kumakain ng bunga ng puno ng kaalaman) kung saan ang kamalayan sa sarili (kahiya at pagkakasala) ay nangyayari dahil sa kaalaman nakuha ng mali o tama at mabuti at masama. Ang mga dahon ng igos na tumatakip sa kanilang mga ari, siyempre, ay nagha-highlight sa isyu ng sekswalidad sa mga tao, at ang sex ay, para sa mabuti o mas masahol pa, isang malakas na puwersa sa kalikasan ng tao. Ang Garden of Eden Myth bilang isang Simbolikong Mapa Ang mga paniniwalang espirituwal-relihiyoso bilang kamalayang panlipunan at kaayusan sa lipunan-moral Ang social perception-consciousness ay panlipunang kaayusan: Ramon Reyes highlights the unifying aspect of spirituality in prehistoric Philippine society and early human society: "Sa kabuuan, panlipunan at moral na kaayusan ay sumasaklaw sa mga buhay na patay ang mga diyos at mga espiritu." Iyan ang espirituwal at relihiyosong paniniwala ng mga sinaunang lipunan ng tao na nilikha at pinanatili ang isang panlipunang kamalayan - isang panlipunan-moral na kaayusan. Makikita mo sa mitolohiya ni Zeus na ang parehong prinsipyo ay naaangkop. Inilarawan ni Zeus ang batas at kaayusan, karunungan, mabuting pakikitungo at panunumpa - lahat ng prosocial values. Sinusuportahan ng pananaliksik ni Ramon Reyes ang argumento ni Durkheim: “Sa katunayan, ang buong kaayusan ng lipunan ng Ifugao, kabilang ang mga praktikal na paraan ng pamumuhay, mga institusyong panlipunan at mga tuntunin, moralidad at lahat ng iba pa, ay bumubuo ng isang unitaryong sistema; at ito ay tinitingnan bilang isang relihiyosong kababalaghan ng supernatural na pinagmulan. Naglalarawan ng isang halimbawa ng prehistoric Filipino world-view na ito, sabi ng isang antropologo,. . . “Sa pagtrato sa kapaligiran bilang panlipunan, ang mga tao ay binibigyan ng maayos na pagpapaliwanag ng 'natural' na mga phenomena. Sa kabuuan, ang isang panlipunan at moral na kaayusan ay sumasaklaw sa mga buhay, mga patay, mga diyos at mga espiritu, at ang kabuuang kapaligiran.” Mga alamat bilang simbolikong mapa ng kamalayang panlipunan: (sipi mula sa sanaysay ng propeta ni Jeremias) Ang mga espirituwal na paniniwala ng sinaunang Griyego - partikular si Zeus - bilang isang kamalayan sa lipunan at kaayusan ng panlipunang moral. Si Zeus bilang simbolo ay "Ang nagtatag ng kapangyarihan ng hari, ng batas at ng kaayusan, kung saan si Dice, Themis at Nemesis ang kanyang mga katulong. Sa parehong dahilan ay pinoprotektahan niya ang kapulungan ng mga tao ( agoraios ), ang mga pulong ng konseho ( boulaios ), at habang siya ay namumuno sa buong estado, gayundin sa bawat bahay at pamilya. Binantayan din niya ang kabanalan ng panunumpa ( horkios ), ang batas ng mabuting pakikitungo ( xenios ), at mga protektadong suppliant. Pinaghiganti niya ang mga napinsala, at pinarusahan ang mga nakagawa ng krimen, dahil minamasdan niya ang mga ginagawa at pagdurusa ng lahat ng tao.” Sa The Elementary Forms of the Religious Life, unang inilathala noong 1912, si Emile Durkheim, isang founding father of sociology, ay nagsabi na "Ang relihiyon ay isang pinag-isang sistema ng mga paniniwala at gawain na may kaugnayan sa mga sagradong bagay, ibig sabihin, mga bagay na inihiwalay at ipinagbabawal—mga paniniwala. at mga gawaing nagbubuklod sa isang pamayanang moral na tinatawag na Simbahan, lahat ng sumusunod sa kanila.” Ipinagtanggol nina Paloutzian at Park (p. 12), "ang relihiyon at espiritwalidad ay higit o hindi gaanong magkakaugnay, kultural na elaborated na mga sistema ng kahulugan na naka-embed at nakuha sa pamamagitan ng mga panlipunang relasyon at mga institusyong matatagpuan sa kumplikadong natural at binuo na mga kapaligiran." Pagsusuri sa Simbolismo sa Halamanan ng Eden Ang Garden of Eden Myth, bukod sa paglalagay ng pananaw sa kamalayan at pagkatao ng tao, ay nagpapaliwanag din ng pagdurusa. Ang Diyos, siyempre, kapag nalaman Niyang kinain nina Adan at Eva ang bunga ng puno ng kaalaman ay naghatol: Sa Genesis 17, ang Diyos, na nakikipag-usap kay Adan, ay nagsabi dahil ikaw ay “kumain ng bunga ng puno na aking iniutos sa iyo. , na nagsasabi: Huwag kang kakain niyaon; sumpain ang lupa dahil sa iyo; sa pagpapagal ay kakain ka niyaon sa lahat ng mga araw ng iyong buhay. 18 Mga tinik din at dawag ang isisibol sa iyo; at iyong kakainin ang damo sa parang. 19 Sa pawis ng iyong mukha ay kakain ka ng tinapay, hanggang sa ikaw ay bumalik sa lupa; sapagka't diyan ka kinuha; sapagka't ikaw ay alabok, at sa alabok ka babalik.'” Kaya, ang Garden of Eden Myth ay nagpapaliwanag ng pagdurusa, at sa kuwento ay hindi masisisi ng tao ang sinuman maliban sa kanyang sarili. Pagkatapos ay pinalayas ng Diyos sina Adan at Eva mula sa Halamanan ng Eden at naglagay ng dalawang Kerubin upang bantayan ang Halamanan ng Eden. Genesis 24 Sa gayo'y pinalayas niya ang lalake; at inilagay niya sa silangan ng halamanan ng Eden ang mga kerubin, at ang nagniningas na tabak na lumiliko sa lahat ng dako, upang ingatan ang daan patungo sa punong kahoy ng buhay.” Ang pilosopo, Stephen Burr, argues na ang pagpapalayas mula sa Hardin ng Eden ay isang gawa-gawa na pinagmulan para sa umiiral na makamundong existential pagpapatapon ng mga tao. Gayunpaman, sa mitolohiya ang kaalaman sa mabuti at masama ay ang puwersa na nagdudulot ng kamalayan sa sarili na nagreresulta sa kahihiyan at pagkakasala. Sinabi ni Karen Armstrong, "Tulad ng sining, ang relihiyon ay isang pagtatangka na bumuo ng kahulugan sa harap ng walang humpay na sakit at kawalang-katarungan ng buhay. Bilang kahulugan na naghahanap ng mga nilalang, ang mga lalaki at babae ay napakadaling mahulog sa kawalan ng pag-asa. Lumikha sila ng mga relihiyon at gawa ng sining upang tulungan silang makahanap ng halaga sa kanilang buhay, sa kabila ng lahat ng nakapanghihina ng loob na ebidensiya sa kabaligtaran.” (Case p.8) Ito ay kagiliw-giliw na si Karen Armstrong ay gumagawa ng koneksyon sa pagitan ng sakit at pagdurusa at kahulugan. Napansin ng ilang psychologist na ang sakit at pagdurusa ay madalas na nagdudulot ng mga proseso ng paghahanap ng kahulugan sa isip - na tila natural dahil tinatanong ng utak sa sarili, "Bakit ito (sakit) nangyayari?" Sa anumang kaso, masasabi kong hindi lamang kinikilala ng mga kontemporaryong siyentipiko at palaisip tulad nina Clifford Geertz, Roy Baumeister, Viktor Frankl, Paul Wong, Abraham Heschel, at Karen Armstrong, ang kahalagahan at kahalagahan ng "kahulugan" sa buhay ng mga tao ngunit napagtanto din ito ng mga sinaunang tao. Sa buod, ang Garden of Eden Myth ay naglalarawan sa tao bilang isang "meaning seeking animal" na may mahahalagang katangian ng kamalayan sa sarili na may pagkakasala at kahihiyan pati na rin ang sekswalidad, na hindi na kailangang sabihin, ay isang mahalagang kadahilanan sa kalikasan ng tao. Sasabihin sa iyo ng bawat siyentipiko na ang utak ng tao ang pinakamahalagang katangian ng tao na nag-iiba ng tao sa hayop - kaya ang "kaalaman" sa Garden of Eden Myth ay lubos na angkop. Ang mga alamat, siyempre, ay nauna sa nakasulat na mga kasulatan - marahil sa libu-libong taon kung hindi sampu-sampung libong taon. Naniniwala ang ilang antropologo na ang alamat ng Australian na "Dreamtime" ay nagmula sa libu-libong taon. Kaya, kung isasaalang-alang ang mitolohiyang ito ay malamang na nagsimula noong libu-libong taon at nagmula sa isang 'primitive' na tribo ng mga tao, ang mga primitive na ito ay talagang hindi gumagawa ng kalahating masama. Maaaring imungkahi pa ng isa na tumagal ng dalawang libong taon para maabot ng sibilisasyon ang primitive na tribong iyon. Mula sa bukang-liwayway ng sibilisasyon, kung gayon, tila ang "kahulugan" ay naging isang makapangyarihang puwersang intelektwal at espirituwal sa mga tao at sangkatauhan.
Preamble: “There is no other sphere of human culture which is excluded from sympathetic academic consideration on its own terms on the grounds that such a study endangers science, reason, logic, and the whole heritage of the Enlightenment” (p.133). (p.36) Robert Bellah (1970b), [well known sociologist] The empirical and logical rationality that now only discovers and ascertains facts but that defines knowledge as knowledge of fact is not hospitable to the authority of either sanctity or value. Ultimate sacred postulates are no longer even counted as knowledge but are mere beliefs, if not superstitions. Values are defined by preference and as such become no more than matters of taste or of the arithmetic of economizing. ……………It is rationality that has no room for the insights of art, religion, fantasy, or dream. The evaluative capabilities of such a dispassionate but impoverished reason are limited, to say the least, and hardly trustworthy. Rappaport p. 130 Ecology, Meaning, & Religion Garden of Eden Myth: Symbolic map, myth, meaning and mode of thought We cannot live in a world that is not our own, in a world that is interpreted for us by others. An interpreted world is not a home. Part of the terror is to take back our own listening, to use our own voice, to see our own light. Hildegard of Bingen Parables, Metaphors, Symbolism and Truth - Knowledge without Understanding is Deception. The Corinthians book in the Bible on gifts distinguishes between knowledge and wisdom. Modern academia often blurs the distinction – which results in many mistaking knowledge for truth. “An increasingly mechanistic, fragmented, decontextualised world, marked by unwarranted optimism mixed with paranoia and a feeling of emptiness, has come about, reflecting, I believe, the unopposed action of a dysfunctional left hemisphere.” — Iain McGilchrist A Deeper Knowledge Jesus Christ and Buddha spoke in parables. The Islamic prophet Mohammed spoke of revelations. Karen Armstrong, a well-published scholar of religion states, “a good myth will tell us something valuable about the human predicament. Myths, generally speaking, are allegorical stories that are offered as genuine reflections, in some sense, of reality and the world.” Heschel refers to a “deeper knowledge” and observes that “what is we cannot say.” Heschel states about the ineffable aspect of consciousness which is beyond conscious expression: “Essential to human thought is not only the technique of symbolization but also the awareness of the ineffable. In every mind there is an enormous store of not-knowing, of being puzzled, of wonder of radical amazement.” (Quest p.139) Albert Einstein believed intuition and imagination were far more important to understanding than rational analysis and logical deduction. The iconic neuroscientist Damasio believed people have a nonconscious sense of being. Rappaport’s argument that “Higher order meanings… the meanings of metaphor, symbol, and value, are not grounded directly in observations of nature and are thus relatively free from constraints to conform to it.” (p. 84 Ecology) Rappaport is not the only scientist to make the distinction between meanings connected with physical reality and meanings of a higher order of complexity. Roy Baumeister, a prominent social psychologist, makes a distinction between meanings derived from the physical environment and other meanings, as well. As an important point of order, Baumeister, emphasized that – in actuality – there is “No Meaning to Life” – that “The meaning of Life is in truth a synthesis of the diverse “meanings” of life – derived from family, friends, education, religious beliefs, ethnicity, as well as upbringing and culture. Of course - such a complex synthesis and holistic being is beyond rational analysis and requires a “deeper As William James observes, “The truth is that in the metaphysical and religious sphere, articulate reasons are cogent for us only when our inarticulate feelings of reality have already been impressed in favor of the same conclusion…..The unreasoned and immediate assurance is the deep thing in us, the reasoned argument is but a surface exhibition. Instinct leads, intelligence does but follow.” (p. 48 varieties) The important idea James is presenting is that it seems, especially in religious beliefs where people are grappling with complex and intricate symbolism and inter-working meanings that people seem to rely at times on “inarticulate feelings of reality.” Carl Jung who stated that “A symbol remains a perpetual challenge to our thoughts and feelings. That probably explains why a symbolic work is so stimulating, why it grips us so intensely, but also why it seldom affords us a purely aesthetic enjoyment. A work that is manifestly not symbolic appeals much more to our aesthetic sensibility because it is complete in itself and fulfils its purpose.” CV 588 119 Furthermore, Nancy Furlotti, who extensively studied Jung, points out that, " Affect emerges from archetypes, which are the a priori ordering principles of nature, the world, and the psyche. When an archetype is activated, energy is put in motion that does not adhere to the laws of causality, or time and space." (Tracing a Red Thread: Synchronicity and Jung’s Red Book:(2010), Psychological Perspectives, 53:4, 455-478) The Synthesis Consensus of Carl Jung, William James, and Viktor Frankl observe that spiritual experiences create a sense of reality” that the people had as a result of their religious experiences. It would seem readily apparent that conveying a sense of reality is a major function of spiritual and religious beliefs is to create a sense of reality. Narrative Psychology It is clear that myths, on the face of it, are narratives or stories. Psychologists believe children as young as three start telling narratives. Narratives are an everyday thing because, if you think about it, you are creating a story during the day, each and every day as we do and say things we weave a story in our heads – a story of where one goes, what one does, who one sees, why things happen and so forth. Very little of what a person does is rational analysis. When humans discovered fire and created campfires and the tribes people gathered around the campfire, I’m sure the impulse to tell stories was prevalent among those people. So, it would seem likely that narratives originated with the discovery of fire millions of years ago. As Dan McAdams points out, “stories meet a basic human need for belongingness…They transport us to another social world… Moreover when we share stories of personal experiences here on earth, without the vampires and the wizards, those stories bind us to the human collectives wherein our social action and our motivated projects find their daily meaning. Stories may be the perfect binding mechanism for the cognitively gifted, eusocuial species we find ourselves to be, teaching us how to be human as they affirm our membership within human groups.” (p. 268 to 269) The salient issue is that these narratives and stories “bind” people together and through the stories or myths people share a common experience – and in the case of my, a common shared history and heritage. The Garden of Eden Myth in Genesis of the Bible is perhaps the quintessential and prototypal illustration of a myth. The core of the myth is the act of Adam and Eve eating the forbidden fruit of the Tree of Knowledge. Even a precursory analysis of that myth would reveal the allegorical and symbolical act as the act of a “meaning seeking animal.” Further, the myth and narrative convey the understanding that the knowledge of good and evil invokes an evidently painful self-awareness that invokes strong feelings of shame and guilt. After all, Adam and Eve did cover their genitals with fig leaves. It is noteworthy that self-awareness is highlighted in the myth because very few animal species appear to have any self-awareness since few can recognize themselves in mirrors (i.e. chimpanzees, elephants). It’s as if the author wanted to highlight the characteristics that distinguish a human being from animals. Every scientist will tell you that the human brain and the human mind – as in knowledge - are the most distinctive characteristics of the human being. An interesting twist in the narrative is that Adam and Eve ate from the tree of knowledge and thus knew good from bad, but in Hebrew the word “knowledge” had some distinct connotations of an intimate and a personal connection. In looking through the Old Testament it is clear that “righteousness” was integral to the word “knowledge” perhaps because knowledge (and truth) opposed directly lies and lying. It is interesting that the Hebrew word for knowledge is translated in the dialogue between Abraham and God in one instance as “covenant” rather than knowledge. Of course our understanding of “knowledge” today is very connected with philosophy and science. Eternal scientific or philosophical truths as well as “facts” seem to be the general understanding of “knowledge today. - which is completely different from how the ancient Jews understood knowledge. Blaise Pascal a mathematician, physicist, writer and theologian observed, “Human beings must be known to be loved; but Divine beings must be loved to be known.” I always had some problems grasping that statement but it seems oddly appropriate in this context. So, the Garden of Eden Myth, as a narrative, conveys the idea of the human being as a “meaning seeking animal” (eating the fruit of the tree of knowledge) in whom self-awareness (shame and guilt) happens due to knowledge gained of wrong or right and good and evil. The fig leaves covering their genitals, of course, highlights the issue of sexuality in human beings, and sex is, for better or worse, a powerful force in human nature. The Garden of Eden Myth as a Symbolic Map Spiritual-religious beliefs as social consciousness and social-moral order Social perception-consciousness is social order: Ramon Reyes highlights the unifying aspect of spirituality in prehistoric Philippine societies and early human societies: “In sum, social and moral order encompasses the living the dead the deities and the spirits.” That is the spiritual and religious beliefs of early human societies created and maintained a social consciousness – a social-moral order. You can see in the mythology of Zeus that the same principle applies. Zeus epitomized law and order, wisdom, hospitality and oaths – all prosocial values. Ramon Reyes research supports Durkheim’s argument: “Indeed, the whole Ifugao social order, including practical ways of life, social institutions and rules, morality and everything else, constitutes a unitary system; and it is looked upon as a religious phenomenon of supernatural origin. Describing an example of this prehistoric Filipino world-view, an anthropologist says,. . . “In treating the environment as social, the people are provided with an ordered explanation of 'natural' phenomena. In sum, one social and moral order encompasses the living, the dead, the deities and the spirits , and the total environment.” Myths as symbolic maps of social consciousness: (excerpt from Jeremiah prophet essay) Ancient Greek spiritual beliefs – particularly Zeus – as a social consciousness and social-moral order. Zeus as a symbol was “The founder of kingly power, of law and of order, whence Dice, Themis and Nemesis are his assistants. For the same reason he protects the assembly of the people (agoraios), the meetings of the council (boulaios), and as he presides over the whole state, so also over every house and family. He also watched over the sanctity of the oath (horkios), the law of hospitality (xenios), and protected suppliants. He avenged those who were wronged, and punished those who had committed a crime, for he watched the doings and sufferings of all men.” In The Elementary Forms of the Religious Life, first published in 1912, Emile Durkheim, a founding father of sociology, stated that "A religion is a unified system of beliefs and practices relative to sacred things, i.e., things set apart and forbidden—beliefs and practices which unite in one single moral community called a Church, all those who adhere to them.” Paloutzian and Park (p. 12) contend, “religion and spirituality are more or less coherent, culturally elaborated meaning systems embedded in and acquired through social relationships and institutions situated in complex natural and built environments.” Analysis of the Symbolism in the Garden of Eden The Garden of Eden Myth, besides putting perspective on human consciousness and being, also explains suffering. God, of course, once He finds out Adam and Eve has eaten the fruit of the tree of knowledge renders a judgment: In Genesis 17, God, speaking to Adam, says because thou “hast eaten of the tree, of which I commanded thee, saying: Thou shalt not eat of it; cursed is the ground for thy sake; in toil shalt thou eat of it all the days of thy life. 18 Thorns also and thistles shall it bring forth to thee; and thou shalt eat the herb of the field. 19 In the sweat of thy face shalt thou eat bread, till thou return unto the ground; for out of it wast thou taken; for dust thou art, and unto dust shalt thou return.'” So, the Garden of Eden Myth explains suffering, and in the story man cannot blame anyone but himself. God then banishes Adam and Eve from the Garden of Eden and places two Cherubim to guard the Garden of Eden. Genesis 24 So He drove out the man; and He placed at the east of the garden of Eden the cherubim, and the flaming sword which turned every way, to keep the way to the tree of life.” The philosopher, Stephen Burr, argues that the banishment from the Garden of Eden is a mythic source for the existent worldly existential exile of human beings. However, in the myth the knowledge of good and evil is the force that causes a self-awareness resulting in shame and guilt. Karen Armstrong observes, “Like art, religion is an attempt to construct meaning in the face of the relentless pain and injustice of life. As meaning seeking creatures, men and women fall very easily into despair. They have created religions and works of art to help them find value in their lives, despite all the dispiriting evidence to the contrary.” (Case p.8) It is interesting that Karen Armstrong makes the connection between pain and suffering and meaning. Several psychologists note that pain and suffering frequently invoke meaning seeking processes in the mind – which would seem natural since the brain asks of itself, “Why is this (pain) happening?” In any case, I would argue not only do contemporary scientists and thinkers like Clifford Geertz, Roy Baumeister, Viktor Frankl, Paul Wong, Abraham Heschel, and Karen Armstrong, recognize the importance and significance of “meaning” in the lives of human beings but ancient peoples realized it as well. In summary, the Garden of Eden Myth portrays the human being as a “meaning seeking animal” with the important characteristics of self-awareness with guilt and shame as well as sexuality, which needless to say, is an important factor in human nature. Every scientist will tell you that the human brain is the most significant characteristic of the human being that differentiates the human being from the animal – so highlight “knowledge” in the Garden of Eden Myth would be highly appropriate. Myths, of course, predate the written scriptures – possibly by thousands of years if not tens of thousands of years. Some anthropologists believe the Australian “Dreamtime” myth dates back tens of thousands of years. So, considering this myth probably dates back perhaps thousands of years and originated in a ‘primitive’ tribe of people, these primitives really didn’t do half-bad. One might even suggest that it took two thousand years for civilization to catch up to that primitive tribe. From the dawn of civilization, then, it would seem “meaning” has been a powerful intellectual and spiritual force in human beings and humanity.
Profezia di Geremia: Profeti dell'Antico Testamento = Quando la morte nazionale minaccia e l'uomo, non come un atomo, ma come parte di un organismo sociale (Stibitz) + credenze spirituali e religiose come "ordine socio-morale" (R Reyes) Profezia come giustizia sociale e profezia come insegnamenti (parola di Dio), + Profezia come forza Preambolo: Profezia ieri e oggi: 1. "La profezia biblica o profezia biblica comprende i passaggi della Bibbia che si sostiene riflettano comunicazioni da Dio agli esseri umani attraverso i profeti. I cristiani di solito ritengono che i profeti biblici abbiano ricevuto rivelazioni da Dio." (Wikipedia) 2. La profezia teologica è una previsione di eventi futuri che si ritiene sia divinamente ispirata e comunicata a un profeta da un essere soprannaturale. La parola "profezia" deriva dalla parola greca prophēteia , che significa "dono di interpretare la volontà di Dio". La “Truffa del Soprannaturale”: La parola “soprannaturale” appare tre volte nei Vangeli, e non è mai stata usata da Gesù Cristo. La parola “soprannaturale” è un termine materialista che non ha definizione e trasmette un significato completamente diverso dai Vangeli, come magia, poteri, predizione della sfera di cristallo, ecc. Breve sinossi di come Cristo descrive lo Spirito Santo: I Vangeli sinottici, in genere, hanno meno da dire sullo Spirito Santo rispetto a Giovanni. Il Vangelo di Marco è quello che ha meno da dire, menzionando lo Spirito Santo solo sei volte. Come tutti i Vangeli, Marco sottolinea il battesimo e in particolar modo il battesimo di Gesù. Infatti, questo è il punto forte della scrittura di Marco sullo Spirito Santo: che l'opera di Cristo è superiore e migliore proprio perché egli battezza nello Spirito Santo, non solo nell'acqua. Esempi rapidi: Apocalisse (Luca 2:26), guidato (Luca 2:27), battezzare (3 incluso Luca 3:27), guarire i cuori spezzati (Luca 4:18), recuperare la vista (come 4:18), insegnare (come 12:11-12), dare potere (Luca 24:49) aspettare (Luca 24:49) Battesimo (Giovanni 3: 5), libero come il vento (Giovanni 3: 8). Vivo (Giovanni 6: 63), acqua viva (Giovanni 7:37-39). Consolatore ("intercessore, consolatore, avvocato") (Giovanni 14: 16). Invisibile, sconosciuto, estraneo al mondo (Giovanni 14: 17). Consolatore divino (Giovanni 14 v.18). vedere Gesù (14: 19). vita di risurrezione Gesù vive (Giovanni 14: 19). vita di risurrezione Gesù vive (Giovanni 14: 19) Consolatore (Giovanni 15: 26). Egli è lo Spirito di verità (Giovanni 15: 26). Dobbiamo "aspettare" finché non Lo riceviamo (v.49). Per dare un'idea, uno studio ha rivelato che, sebbene la religiosità sia diminuita notevolmente tra i giovani in Inghilterra, si è registrato un aumento delle credenze nella vita dopo la morte. Profezia irlandese contro Oracolo di Delfi Differenze culturali relative alla spiritualità e alla profezia COME Caroline Francis Richardson osserva nel suo articolo "The Use of Prophecy in the Irish tales of the Heroic Cycle", la profezia irlandese/celtica era/è piuttosto diversa e distinta da altre forme di profezia, e quindi avrebbe probabilmente anche una componente genetica distinta (per la cronaca ). La profezia irlandese non aveva alcuna somiglianza con l'antica profezia greca e il suo fascino per gli oracoli, come l'oracolo di Delfi. Caroline Richardson sottolinea che, a differenza della tradizione irlandese che non aveva sacerdoti o organizzazioni gerarchiche, a differenza dell'antica religione greca che consisteva in "Un corpo organizzato di sacerdoti interpretava gli oracoli di Zeus e Apollo ed era in grado, quindi, di colorare le politiche della nazione e di influenzare il carattere dell'intero popolo così come degli individui". (p. 394) Inoltre, la profezia irlandese non aveva alcuna somiglianza con l'attenzione sulla profezia sociale della giustizia e delle alleanze, dei profeti dell'Antico Testamento che spesso promettevano l'ira di Dio per ingiustizie e idolatria. Caroline Richardson riassume la profezia irlandese/celtica in questi termini: "La profezia non è il possesso di un singolo gruppo di persone; non ha un'abitazione locale; non ha influenza sulle politiche della nazione o sugli individui; non è parte integrante della trama delle storie. E in questi racconti la trama è la cosa, non spesso una trama finita, ma qualcosa di definito ha luogo; uomini e donne, e il Twatha de Danaan agiscono!" (p.395) Caroline Francis Richardson osserva nel suo articolo "The Use of Prophecy in the Irish tales of the Heroic Cycle", The Sewanee Review, ottobre 1913, vol. 21. n. 4 (ottobre 1913, pp. 385-396) Sembra subito evidente che il concetto di percezione della sfera di cristallo abbia avuto origine dalla cultura greca e in particolare dal modello dell'Oracolo di Delfi. Come nomina di informazione, la parola ebraica originale (yada) per conoscenza aveva un contesto "da vicino e personale", specialmente nel contesto di Yahweh. Il cristianesimo ha assimilato la filosofia greca e questo fattore sembra aver cambiato l'orientamento dei cristiani. I Corinzi (Doni) fanno una distinzione tra saggezza e conoscenza, per esempio. Prefazione: I profeti si occuparono dell'uomo non come di un atomo, ma come di una parte di un organismo sociale, di un membro vivente di un corpo vivente. Come il filosofo spagnolo Ortega Gasset, io sono "io" e le mie circostanze. I profeti probabilmente non sarebbero diversi! I profeti si occuparono dell'uomo non come di un atomo, ma come di una parte di un organismo sociale, un membro vivente di un corpo vivente. Guarire questo corpo quando era malato (Isaia 1:6), metterlo in guardia contro la dissoluzione imminente e riportarlo sui sentieri che conducono alla perfezione in Dio, era la loro grande e unica missione (Geremia 6:6). Quindi, erano sempre più numerosi quando la morte nazionale minacciava. Proprio prima della caduta di Samaria e della caduta di Gerusalemme li troviamo all'opera nel maggior numero e con la massima energia. (I PROFETI DELL'ANTICO TESTAMENTO COME RIFORMATORI SOCIALI. Di REV. GEO. STIBITZ,) Geremia e Giuda: Il regno meridionale di Giuda cadde durante il ministero profetico di Geremia (586 a.C.), dopo essere stato minacciato per molti anni da potenze esterne, prima l'Assiria e l'Egitto e poi dai loro eventuali conquistatori, Babilonia. Geremia si ritrovò a parlare a una nazione che si stava precipitando a capofitto verso il giudizio di Dio. moderna : Come punto informativo, vorrei sottolineare che l'evento dell'11 settembre, secondo una serie di "resoconti di esperti", ha generato un gran numero di esperienze precognitive documentate. Ricerca per la prospettiva: "I tragici eventi dell'11 settembre hanno portato una raffica di casi all'attenzione dei laboratori di parapsicologia. I casi spaziavano da sogni drammatici di aerei che si schiantavano o esplodevano ai più frequenti esempi di insolite deviazioni dalle normali routine che finivano per salvare la vita di qualcuno". (Incontri alle frontiere del tempo: domande sollevate da esperienze umane anomale Richard S. Broughton) Storicamente, questo è inaudito, senza precedenti, non ci sono preveggenze storiche documentate, esperienze precognitive di terrorismo, zero. Ci sono circa otto avvertimenti documentati, preveggenze di assassinii, ma nessuno di terrorismo. L'implicazione è che qualcosa è cambiato nella coscienza umana. “Un mondo sempre più meccanicistico, frammentato e decontestualizzato,… è emerso, riflettendo, credo, l’azione incontrastata di un emisfero sinistro disfunzionale.” — Iain McGilchrist Coscienza sociale storica e ordine socio-morale “L’uomo, non come atomo, ma come parte di un organismo sociale, membro vivente di un corpo vivente” Credenze spirituali-religiose come coscienza sociale e ordine socio-morale La percezione-coscienza sociale è ordine sociale: Ramon Reyes sottolinea l'aspetto unificante della spiritualità nelle società filippine preistoriche e nelle prime società umane: "In sintesi, l'ordine sociale e morale comprende i vivi, i morti, le divinità e gli spiriti". Cioè le credenze spirituali e religiose delle prime società umane hanno creato e mantenuto una coscienza sociale, un ordine socio-morale. Si può vedere nella mitologia di Zeus che si applica lo stesso principio. Zeus incarnava legge e ordine, saggezza, ospitalità e giuramenti, tutti valori prosociali. La ricerca di Ramon Reyes supporta l'argomentazione di Durkheim: "In effetti, l'intero ordine sociale degli Ifugao, compresi i modi di vita pratici, le istituzioni e le regole sociali, la moralità e tutto il resto, costituisce un sistema unitario; ed è considerato un fenomeno religioso di origine soprannaturale. Descrivendo un esempio di questa visione del mondo filippina preistorica, un antropologo afferma, . . "Nel trattare l'ambiente come sociale, alle persone viene fornita una spiegazione ordinata dei fenomeni 'naturali'. In sintesi, un ordine sociale e morale comprende i vivi, i morti, le divinità e gli spiriti, e l'ambiente totale". I miti come mappe simboliche della coscienza sociale Le credenze spirituali dell'antica Grecia, in particolare Zeus, come coscienza sociale e ordine socio-morale. Zeus come simbolo era "Il fondatore del potere regale, della legge e dell'ordine, da cui Dice, Themis e Nemesis sono i suoi assistenti. Per la stessa ragione protegge l'assemblea del popolo ( agoraios ), le riunioni del consiglio ( boulaios ), e come presiede l'intero stato, così anche ogni casa e famiglia. Vegliava anche sulla santità del giuramento ( horkios ), sulla legge dell'ospitalità ( xenios ), e proteggeva i supplicanti. Vendicava coloro che erano stati offesi e puniva coloro che avevano commesso un crimine, perché osservava le azioni e le sofferenze di tutti gli uomini". Nelle Forme elementari della vita religiosa, pubblicate per la prima volta nel 1912, Emile Durkheim, uno dei padri fondatori della sociologia, affermava che "Una religione è un sistema unificato di credenze e pratiche relative a cose sacre, vale a dire cose separate e proibite, credenze e pratiche che uniscono in un'unica comunità morale chiamata Chiesa tutti coloro che vi aderiscono". Paloutzian e Park (p. 12) sostengono che “la religione e la spiritualità sono sistemi di significato più o meno coerenti, elaborati culturalmente, incorporati e acquisiti attraverso relazioni sociali e istituzioni situate in ambienti naturali e costruiti complessi”. Prefazione: Ruach Hakodesh Tutti i Profeti hanno parlato «nello Spirito Santo»; e il segno più caratteristico della presenza dello Spirito Santo è il dono della profezia, nel senso che la persona su cui esso poggia contempla il passato e il futuro. Nell'ebraismo, lo Spirito Santo (in ebraico: רוח הקודש, ruach ha-kodesh) si riferisce alla forza divina, alla qualità e all'influenza di Dio sull'universo o sulle creature di Dio, in determinati contesti. Il termine "spirito santo" appare tre volte nella Bibbia ebraica: il Salmo 51 si riferisce al "tuo spirito santo" (ruach kodshecha) [3] e Isaia si riferisce due volte al "suo spirito santo" (ruach kodsho).[4] Il termine ruach haqodesh si trova frequentemente nella letteratura talmudica e midrashica. In alcuni casi, significa ispirazione profetica, mentre in altri è usato come ipostatizzazione o metonimia per Dio. La comprensione rabbinica dello Spirito Santo ha un certo grado di personificazione, ma rimane "una qualità appartenente a Dio, uno dei suoi attributi".[8] L'idea di Dio come dualità o trinità è considerata Con la morte degli ultimi tre profeti (Aggeo, Zaccaria e Malachia), lo Spirito Santo cessò di manifestarsi in Israele e solo il Bat Kol rimase a disposizione dei saggi. Lo Spirito Santo di Cristo I Vangeli sinottici, in genere, hanno meno da dire sullo Spirito Santo rispetto al Vangelo di Giovanni. Il Vangelo di Marco ha meno da dire e menziona lo Spirito Santo solo sei volte. Come tutti i Vangeli, Marco evidenzia il battesimo nello Spirito come il segno distintivo di Gesù. Infatti, questo è il punto forte della scrittura di Marco sullo Spirito Santo: che l'opera di Cristo è superiore e migliore proprio perché battezza nello Spirito Santo, non solo nell'acqua. Luca rispecchia ciò che Marco dice nel capitolo 24, versetto 49: La "promessa del Padre" è il battesimo nello Spirito Santo". 1 Giovanni 2:27 dice "l'unzione che avete ricevuto da lui rimane in voi" (1 Giovanni 2:27). La metafora per "battesimo nello Spirito Santo" è diventata nel "cristianesimo" un aspetto fondamentale di "Cristo". La metafora prende l'idea della purificazione del corpo umano attraverso il battesimo con l'acqua e la estende alla purificazione dello spirito umano tramite il battesimo nello Spirito Santo. Questo saggio su Geremia si concentra sulla frequente attenzione nella teologia cristiana alla coscienza sociale (cioè al patto) e all'attivismo sociale, come nella giustizia, ecc. Aggiungo, naturalmente, che lo Spirito Santo è un aspetto importante della profezia. Sottolineo che considerare la profezia esclusivamente e interamente come una predizione sminuisce la vera natura della profezia e la coscienza sociale come forza George Barton; Come l'esilio babilonese e Geremia influenzarono il pensiero e la teologia ebraica: "L'influenza dell'esilio babilonese è discernibile in tre grandi ambiti della vita: (I) nell'apprensione della verità religiosa; (2) nell'organizzazione esteriore della vita religiosa; e (3) negli standard della morale pubblica. Cercheremo di trattare brevemente ciascuno di questi punti, ma prima di farlo sono necessarie alcune parole in riferimento alla natura dell'esilio stesso." (INFLUENZA DELL'ESILIO BABILONESE SULLA RELIGIONE DI ISRAELE, PROFESSOR GEORGE A. BARTON, PH.D.) La casa del vasaio: la profezia di Geremia sulla casa del vasaio - Senso della situazione storica e formazione della coscienza socio-collettiva Geremia parla della costrizione e della coercizione che sentiva e che lo spingevano a parlare e ad agire: "Se dico: "Non lo menzionerò (Dio), e non parlerò più in suo nome, c'è nel mio cuore come un fuoco ardente, chiuso nelle mie ossa, e mi sforzo di contenerlo, e non ci riesco". (Geremia 20:9) Nella profezia di Geremia erano coinvolte emozioni profonde e presumibilmente anche istinti sociali. Nonostante la persecuzione, Geremia persiste nei suoi comportamenti. Eppure, Geremia sembra credere che Dio non gli avrebbe fatto passare quello che ha passato, e si chiede perché, di fatto, è sottoposto a persecuzione. Geremia si lamenta che Dio lo ha ingannato e per questo "Sono oggetto di scherno ogni giorno, tutti si prendono gioco di me" (Geremia 20:7) Geremia: “18 Questa è la parola che fu rivolta a Geremia dal Signore: 2 «Scendi nella casa del vasaio e là ti darò il mio messaggio». 3 Allora scesi nella casa del vasaio e lo vidi lavorare alla ruota. 4 Ma il vaso che egli stava modellando con l'argilla si era rovinato nelle sue mani; così il vasaio ne fece un altro vaso, modellandolo come gli sembrò meglio. 5 Allora la parola del Signore mi fu rivolta. 6 Egli disse: «Non posso io fare con te, Israele, quello che fa questo vasaio?», dice il Signore. «Come l'argilla nelle mani del vasaio, così siete voi nelle mie mani, Israele. 7 Se in qualsiasi momento annuncio che una nazione o un regno devono essere sradicati, abbattuti e distrutti, 8 e se quella nazione che ho avvertito si pente della sua malvagità, allora mi pentirò e non le infliggerò il disastro che avevo progettato. 9 E se in un altro momento annuncio che una nazione o un regno deve essere edificato e piantato, 10 e se fa ciò che è male ai miei occhi e non mi obbedisce, allora riconsidererò il bene che avevo pensato di fargli». Nuovo paradigma e modello: cavallo che traina un carro carico di merci! Se si fa un passo indietro e si guarda alla profezia in un senso più ampio, specialmente in termini di cicli e scopi storici, sembra chiaro che, alla fine, ciò che la profezia ha spesso storicamente compiuto è stato produrre influenze significative sul modo in cui alcune persone guardano al mondo e ha chiaramente influenzato la coscienza sociale e spirituale di molte persone religiose. Cioè, la profezia plasma la coscienza umana. Vorrei sostenere che si potrebbe fare un'analogia tra un cavallo che traina un carro con beni al suo interno e la profezia. Ci sono tre parti o aspetti che vengono affrontati: il cavallo-energizzatore, il carro o la narrazione e i beni o il messaggio o la Parola di Dio. Paradigma carrozza-cavallo-merci In questa analogia, il cavallo sarebbe la profezia-previsione che dà energia alla profezia. Donald Kalsched, uno studioso junghiano, osserva sugli archetipi, che in generale sono visti come predisposizioni attitudinali o comportamentali nell'inconscio della mente umana, che "L'energia archetipica è radicata profondamente nell'inconscio ed è 'arcaica', primitiva e anche 'tipica'. Le energie e gli affetti archetipici non sono facilmente assimilabili dalla mente cosciente. Possono essere luminosi o oscuri, angelici o demoniaci, ma poiché esistono in forma grezza e non mediata tendono a essere travolgenti". Nancy Furlotti riecheggia questa affermazione quando dice: "L'affetto emerge dagli archetipi, che sono i principi ordinatori a priori della natura, del mondo e della psiche. Quando un archetipo viene attivato, viene messa in moto un'energia che non aderisce alle leggi della causalità, o del tempo e dello spazio". (Tracing a Red Thread: Synchronicity and Jung's Red Book: (2010), Psychological Perspectives, 53:4, 455-478) Le credenze e le idee sono molto reali e incredibilmente potenti e, come osservano sia James che Jung, il simbolismo religioso è spesso sovralimentato dall'energia emotiva. L'idea di spirito e profezia come energia e forza è molto reale, specialmente alla luce di una coscienza collettiva. Il secondo aspetto o caratteristica della profezia sarebbe la narrazione del profeta che fungeva da carro per trasportare i beni, o messaggio della profezia. Ogni libro di profezie e ogni profeta racconta una storia e presenta una narrazione. Come ha osservato uno psicologo, le narrazioni sono la forma di conoscenza più antica, la più antica e la più antica, risalente senza dubbio a milioni di anni fa, quando la specie umana scoprì per la prima volta il fuoco e si riunì attorno a esso, il che naturalmente portò alla narrazione. La psicologia narrativa è emersa per la prima volta solo negli anni '70, un concetto sviluppato dallo psicologo narrativo Dan P. McAdams è l'idea di narrazioni impiegate come modelli di storie di vita che hanno plasmato l'identità e sviluppato la personalità in strutture sofisticate. La storia della vita e degli sforzi del profeta, in questo caso, ha servito come narrazioni o storie che hanno servito a plasmare il pensiero spirituale e religioso, nonché a dare forma ai conflitti culturali. Come i miti, le narrazioni profetiche hanno servito come veicolo per trasmettere realtà e verità spirituali, che naturalmente erano i "beni" trasportati dal carro. La casa del vasaio: la profezia di Geremia sulla casa del vasaio - Senso della situazione storica e formazione della coscienza socio-collettiva Geremia parla della costrizione e della coercizione che sentiva e che lo spingevano a parlare e ad agire: "Se dico: "Non lo menzionerò (Dio), e non parlerò più in suo nome, c'è nel mio cuore come un fuoco ardente, chiuso nelle mie ossa, e mi sforzo di contenerlo, e non ci riesco". (Geremia 20:9) Nella profezia di Geremia erano coinvolte emozioni profonde e presumibilmente anche istinti sociali. Nonostante la persecuzione, Geremia persiste nei suoi comportamenti. Eppure, Geremia sembra credere che Dio non gli avrebbe fatto passare quello che ha passato, e si chiede perché, di fatto, è sottoposto a persecuzione. Geremia si lamenta che Dio lo ha ingannato e per questo "Sono oggetto di scherno ogni giorno, tutti si prendono gioco di me" (Geremia 20:7) Geremia: “18 Questa è la parola che fu rivolta a Geremia dal Signore: 2 «Scendi nella casa del vasaio e là ti darò il mio messaggio». 3 Allora scesi nella casa del vasaio e lo vidi lavorare alla ruota. 4 Ma il vaso che egli stava modellando con l'argilla si era rovinato nelle sue mani; così il vasaio ne fece un altro vaso, modellandolo come gli sembrò meglio. 5 Allora la parola del Signore mi fu rivolta. 6 Egli disse: «Non posso io fare con te, Israele, quello che fa questo vasaio?», dice il Signore. «Come l'argilla nelle mani del vasaio, così siete voi nelle mie mani, Israele. 7 Se in qualsiasi momento annuncio che una nazione o un regno devono essere sradicati, abbattuti e distrutti, 8 e se quella nazione che ho avvertito si pente della sua malvagità, allora mi pentirò e non le infliggerò il disastro che avevo progettato. 9 E se in un altro momento annuncio che una nazione o un regno deve essere edificato e piantato, 10 e se fa ciò che è male ai miei occhi e non mi obbedisce, allora riconsidererò il bene che avevo pensato di fargli». Ciò che Geremia presenta qui è una visione di forze potenti (Dio) che cambieranno e plasmeranno il popolo e la fede ebraica. Da una certa prospettiva, come mostrerò più avanti, la Profezia di Geremia sulla Casa del Vasaio, questa visione di forze enormi (Dio) che avrebbero influenzato e plasmato la nazione ebraica, si è rivelata una delle sue profezie più fruttuose. Per dare una prospettiva, vorrei sottolineare il fatto che, se si fa un passo indietro e si guarda alla profezia in un senso più ampio, specialmente in termini di cicli e scopi storici, in generale, sembra che, da lontano, ciò che la profezia ha spesso "storicamente" raggiunto e realizzato è di produrre influenze significative sulle visioni del mondo delle persone e nell'Ebraismo e nel Cristianesimo ha plasmato la coscienza sociale e spirituale di molte persone religiose. Cioè, la profezia plasma la coscienza umana. Vorrei sostenere che si potrebbe fare un'analogia tra un cavallo che traina un carro con delle merci al suo interno e la profezia. Vengono prese in considerazione tre parti o aspetti: il cavallo-motore, il carro o la narrazione e i beni o il messaggio o Parola di Dio. Profezia come coscienza sociale George Barton, PhD: “Il disastro e il dolore costringono un'anima o una nazione a cercare di nuovo le fondamenta della vita. I tempi di dolore sono di conseguenza tempi di crescita religiosa. L'esilio babilonese non fece eccezione. In effetti, l'influenza di questo esilio sulla religione di Israele fu enorme. Ciò fu in parte dovuto al fatto che l'esilio fu l'evento esterno necessario per cristallizzare i risultati di influenze profetiche che erano state all'opera per lungo tempo, ma fu anche in parte dovuto all'approfondimento e alla chiarificazione della percezione religiosa che il disastro e il dolore portano.” George Barton spiega: "L'influenza dell'esilio babilonese è discernibile in tre grandi ambiti della vita: (I) nell'apprensione della verità religiosa; (2) nell'organizzazione esteriore della vita religiosa; e (3) negli standard della morale pubblica. Cercheremo di trattare brevemente ciascuno di questi punti, ma prima di farlo sono necessarie alcune parole in riferimento alla natura dell'esilio stesso". (INFLUENZA DELL'ESILIO BABILONESE SULLA RELIGIONE DI ISRAELE, PROFESSOR GEORGE A. BARTON, PH.D.) Quindi, qui Barton, che riecheggia chiaramente un certo numero di studiosi, e afferma chiaramente che la profezia di Geremia, combinata con la sofferenza e il dolore dell'esilio, cambiò in modo benefico la teologia e la visione del mondo dell'Ebraismo. Un punto molto saliente Dalla descrizione di Geremia della spinta - e della compulsione - che lo spinse a pronunciare la Parola di Dio, sembrerebbe subito evidente che erano all'opera emozioni profonde e potenti istinti spirituali. Quindi, si potrebbe concludere che la lungimiranza e la profezia, in una certa misura, potrebbero essere viste in termini di un istinto correlato al gruppo, e la Parola di Dio sembra essere anche un'espressione di un istinto sociale poiché promuove i concetti di giustizia, i bisogni degli oppressi e dei deboli, così come la rettitudine. Geremia è l'illustrazione perfetta di come la profezia abbia cambiato la coscienza umana. Conclusioni su Geremia Devo dire che, secondo me, Geremia fece esattamente ciò che doveva fare. Fornì leadership e guida. E fornì un quadro di ciò che sarebbe accaduto in futuro. Per me, cavillare sul fatto che Geremia non abbia calcolato il numero preciso di anni dell'esilio sarebbe come criticare Geremia perché si è slacciato le scarpe. A mia conoscenza, nessuno ha mai predetto la data esatta di un evento, tranne forse per l'assassinio di Cesare, su cui c'è un dibattito storico. Come ha osservato lo studioso biblico Thompson, "se lo consideriamo [il numero settanta] come un simbolo di "molti" (Giudici 1:7; 8:14; 1 Sam. 6:19; 2 Sam. 24:15; Sal. 90:10; ecc.), servirà allo scopo che Geremia probabilmente intendeva". (p.514) 58 anni per me significano "molto tempo" e Geremia aveva ragione: è stato molto tempo. Ciò che mi ha colpito è che Geremia non solo sapeva che l'esilio non sarebbe finito tanto presto, ma si è fatto avanti e ha "sfidato" i falsi profeti. La mia argomentazione è che la profezia è una narrazione e che in questa particolare profezia, Geremia ha creato una narrazione che, alla fine, ha funzionato molto bene nel plasmare la coscienza e il futuro. A mio avviso Geremia ha fatto il suo lavoro, molto bene in realtà. Il modo in cui guardi le cose è la forza più potente nel dare forma alla tua vita. Il poeta teologo irlandese John O'Donohue 1. "Poche persone hanno l'immaginazione per la realtà!" - Goethe Johann Wolfgang (von) Goethe (1749 - 1832), poeta, drammaturgo, romanziere, scienziato e statista tedesco, sembra profetizzare accuratamente la rivoluzione scientifica della meccanica quantistica e dell'entanglement quantistico (in cui lo "spin" delle particelle subatomiche è sincronizzato - a velocità superiori a quella della luce - 2. Niels Bohr, fisico danese e pioniere della fisica quantistica, ha affermato che "Se la meccanica quantistica non vi ha profondamente scioccato, non l'avete ancora capita. Tutto ciò che chiamiamo reale è fatto di cose che non possono essere considerate reali." - Ciò suggerirebbe che è necessaria una rivalutazione della nostra comprensione del mondo, dell'universo e, naturalmente, della Verità, un universo di necessità. 3. Il futuro ha causato il passato. Professor Truscott Il professor Truscott ha concluso che l'esperimento ha dimostrato che: "Un evento futuro fa sì che il fotone decida il suo passato". (L'esperimento conferma la stranezza della teoria quantistica Science Daily, 27 maggio 2015 Australian National University) Riepilogo dell'esperimento: la natura bizzarra della realtà come delineata dalla teoria quantistica è sopravvissuta a un altro test, con scienziati che hanno eseguito un famoso esperimento e dimostrato che la realtà non esiste finché non viene misurata. I fisici hanno condotto l'esperimento mentale della scelta ritardata di John Wheeler, che coinvolge un oggetto in movimento a cui viene data la possibilità di agire come una particella o un'onda. Il gruppo ha invertito l'esperimento originale di Wheeler e ha utilizzato atomi di elio dispersi dalla luce. Se si sceglie di credere che l'atomo abbia realmente preso un percorso o dei percorsi particolari, allora si deve accettare che una misurazione futura stia influenzando il passato dell'atomo, ha detto Truscott. .... Quindi, la forma che avrebbe assunto dopo aver attraversato la prima grata dipendeva dal fatto che la seconda grata fosse stata messa in posizione in seguito. Pertanto, se continuasse come una particella o si trasformasse in un'onda non fu deciso finché un evento futuro non si fosse già verificato. Il tempo è andato all'indietro. Causa ed effetto sembrano essere invertiti. Il futuro ha causato il passato. La freccia del tempo sembrava funzionare al contrario. 4. Stephen Hawking: Einstein e il viaggio nel tempo "Un tempo si pensava che il viaggio nel tempo fosse solo fantascienza, ma la teoria generale della relatività di Einstein ammette la possibilità di deformare lo spazio-tempo a tal punto da poter partire a bordo di un razzo e tornare indietro prima di partire. Prefazione a “Profezia”: Definizione di profezia di Marriam-Webster Per dare una prospettiva, ci sono visioni diverse e contrastanti della profezia e la situazione sembra molto difficile da risolvere in quanto la definizione accettata di profezia esclude una comprensione teologica comune. 1: un'espressione ispirata di un profeta 2: la funzione o vocazione di un profeta (in particolare: la dichiarazione ispirata della volontà e del proposito divino) 3: una previsione di qualcosa che verrà (4:) A questa definizione di profezia, bisogna aggiungere la profezia come attivismo e promozione della giustizia sociale, tema comune e molto rilevante per i leader e i teologi cristiani. La mia tesi è che la “profezia” è in parte una forza dello Spirito Santo – o dal punto di vista psicologico, una forza nella coscienza socio-collettiva. La coscienza sociale è ordine sociale: Prospettiva nella profezia: congregazione e coscienza sociale L'ideale dei profeti non è una chiesa o una congregazione di credenti adoratori, ma una comunità, una società o uno stato di uomini e donne simili a Dio che vivono insieme nell'amore e nella verità sotto il Messia come re, che è pieno dello spirito di Dio, che esercita giustizia e giudizio verso i poveri e gli indifesi (Isaia 9: I-7; I1: 1-5). Dichiarazione d'indipendenza americana: "Riteniamo che queste verità siano di per sé evidenti, che tutti gli uomini sono creati uguali, che sono dotati dal loro Creatore di alcuni Diritti inalienabili, che tra questi vi sono la Vita, la Libertà e la ricerca della Felicità". Gran parte della coscienza umana riguarda gli ideali, il giusto e lo sbagliato. Come Hume osservò secoli fa, c'è una netta differenza tra il "dover essere" e l'"essere", e il giusto e lo sbagliato vanno oltre l'indagine scientifica. Secoli dopo, anche Einstein confermò questo fatto. Jung sottolineò che i simboli, in sé e per sé, sono processi cognitivi esterni. Come osserva il dott. Stephen Farra, "I nostri modelli sono la nostra realtà, ma i modelli Non sono la realtà. I PROFETI DELL'ANTICO TESTAMENTO COME RIFORMATORI SOCIALI. Di REV. GEO. STIBITZ, Philadelphia, Pa. Comunità Cristiana L'ideale dei profeti non è una chiesa o una congregazione di credenti adoranti, ma una comunità, una società o uno stato di uomini e donne simili a Dio che vivono insieme nell'amore e nella verità sotto il Messia come re, che è pieno dello spirito di Dio, esercitando giustizia e giudizio verso i poveri e gli indifesi (Isaia 9: I-7; I1: 1-5)… La pietà è carattere, e il carattere non è nelle cose, ma è il prodotto dello sforzo personale, per quanto favorevole possa essere l'ambiente. Pertanto, i profeti richiedevano a tutti uno sforzo onesto ed energico per realizzare il regno divino e ideale in questo mondo…, Rifiutano un culto che non mostra frutti nella sfera sociale…” I PROFETI DELL'ANTICO TESTAMENTO COME RIFORMATORI SOCIALI. Di REV. GEO. STIBITZ, Philadelphia, Pa. p.26 I veri profeti smascherarono i falsi ( Isaia 9:15) e li mostrarono come autoindulgenti, codardi, venali, che gridavano una falsa pace (Isaia 56:1-2; Michea 3:5, II); ma ai veri profeti rimase solo l'ingrato compito di dire una verità sgradevole a un popolo che amava farsi solleticare le orecchie (Michea 3:8-II). Quanto alle virtù richieste, l'opposto dei peccati precedenti non è solo implicito in ogni caso, ma espresso in modo molteplice. Senza entrare nei dettagli, è sufficiente richiamare l'attenzione sulle virtù fondamentali di giustizia, misericordia e umiltà richieste da Michea (6:8): "Che cosa richiede da te il Signore, se non di fare giustizia, di amare la misericordia e di camminare umilmente con il tuo Dio?" e da Amos (5:24): "Lascia che il giudizio scorra come acqua e la giustizia come un fiume possente". L'ideale dei profeti non è una chiesa o una congregazione di credenti adoranti, ma una comunità, una società o uno stato di uomini e donne simili a Dio che vivono insieme nell'amore e nella verità sotto il Messia come re, che è pieno dello spirito di Dio, esercitando giustizia e giudizio verso i poveri e gli indifesi (Isaia 9: I-7; I1: 1-5). La pace universale regnerà suprema (Isaia II: 6-01), ogni persona vile sarà conosciuta con il suo vero nome (Isaia 32: 5; e cfr. 26: I-Io; capp. 56-66). Per quanto riguarda la casa di questo regno ideale dei profeti (e possiamo dire della Bibbia nel suo insieme?), è una terra. È questa terra, e non così radicalmente diversa da quella che è fisicamente ora come a volte pensiamo. Rimuovi il peccato e le sue conseguenze diffuse, e chi sa fino a che punto anche questo mondo materiale sarebbe cambiato in meglio? (Cfr. Is 2,1-10; Rm 8,8-25; Ap 21,1-5.) p.27 La pietà è carattere, e il carattere non è nelle cose, ma è il prodotto dello sforzo personale , per quanto favorevoli possano essere le circostanze. Perciò i profeti richiedevano a tutti uno sforzo onesto ed energico per realizzare il regno divino e ideale in questo mondo... Rifiutano un culto che non mostra frutti nella sfera sociale, ma insistono sulla vera religione di Geova come unica radice e causa di tali frutti... Se ora chiediamo quale rimedio suggeriscono i profeti per i mali sociali, troviamo che la risposta è una fede vera e viva in Dio che opera tramite l'amore verso il prossimo". Ciò sembrerebbe - a prima vista - sostenere un tipo di coscienza sociale p.28 Abbiamo quindi qui scrittori che risalgono a un periodo che risale a circa ottocento o mille anni prima di Cristo e che all'unanimità esigono come potere purificatore e plasmatore della società la vera e disinteressata devozione dell'uomo al Dio supremo, in primo luogo; e, in secondo luogo, al suo prossimo... Profezia come giustizia sociale: “Giustizia sociale e profeti” di Walter J. Houston: estratto dall'articolo di Walter Houston che si concentra sulla giustizia sociale come aspetto vitale della profezia “Lasciate scorrere la giustizia come l’acqua!” (Amos 5:24). Parole magnifiche, ma cosa significano? Ciò che il profeta Amos intende con esse lo si può dedurre dalle ingiustizie che attacca. Le persone che denuncia prendono la loro parte dal duro lavoro dei poveri (Amos 5:11), li trattano con disprezzo e accettano tangenti. Quando vendono il grano, truccano le bilance e la valuta (Amos 8:5). Sono sempre i poveri le loro vittime. Questi spietati sfruttatori sono senza nome, ma hanno chiaramente ricchezza e potere. La loro casa è Samaria, la capitale del regno di Israele dell’ottavo secolo a.C. (Amos 3:9, Amos 4:1, Amos 6:1). Amos mostra che Dio esige da loro giustizia piuttosto che adorarli: “Io odio e disprezzo le vostre feste… Ma scorra come l’acqua il diritto e la giustizia come un fiume perenne” (Amos 5:21-24). Walter J. Houston, "Social Justice and the Prophets", np [citato il 20 aprile 2022]. Online: https://www.bibleodyssey.org:443/en/passages/related-articles/social-justice-and-the-prophets La domanda che pongo qui è questa: considerare la profezia come una previsione che svuota una caratteristica fondamentale della profezia come promozione della giustizia sociale e influenza della coscienza sociale e della cultura? Cioè, cosa pensi che sarebbe più importante per Dio: l'accuratezza della previsione o la giustizia sociale? Voglio dire, se Dio avesse voluto fare previsioni, avrebbe potuto assumere uno stenografo. Sembrerebbe evidente che la “comunità” e la “coscienza sociale” siano fondamentali per la profezia. Nuovo paradigma per la profezia: il profeta Geremia e la sua profezia sui settant'anni di esilio Dio mette i profeti nel mondo "solamente e unicamente" per fare previsioni? Profezia - Introduzione Sebbene non sia uno studioso di religione, l'unico scritto sulla funzione della profezia come argomento in sé e per sé sarebbe l'argomentazione di Spinoza secondo cui profeti come Mosè sono "esemplari", definiti come "una persona o una cosa che funge da esempio tipico o modello eccellente". La mia argomentazione è che la profezia è sia un messaggio che una narrazione o una storia. Inoltre sembrerebbe piuttosto evidente che tra il messaggio e la narrazione le profezie plasmano la coscienza umana che a sua volta plasma il futuro, per così dire, poiché il modo in cui pensiamo e agiamo determinerebbe in larga misura il futuro. Naturalmente, in ogni buona storia un eroe o un esempio è essenziale. Il profeta Geremia Il profeta Geremia ("Geremia" significa Yahweh stabilisce) visse in Giuda, il regno meridionale di Giuda all'incirca dal 627 al 586 a.C. Geremia fa risalire l'inizio del suo ministero al 627 a.C. quando ebbe la visione del ramo di mandorlo e del calderone rovesciato che trasmettevano il messaggio di una minaccia dal "nemico del nord!" Un commento interessante sulla prima profezia di Geremia sarebbe che c'è un gioco di parole della parola ebraica per mandorla che ha le sue radici nella parola ebraica per "osservare" e nel commento di Geremia che Dio stava "osservando". Un'altra sfumatura importante della prima profezia è che Geremia parla di Dio che chiede a Geremia cosa ha visto, il che ha un significato completamente diverso da un "profeta che scende dalla montagna e fa" proclami o dichiarazioni ". Geremia è spesso chiamato il profeta piangente perché ha vissuto e assistito alla distruzione di Gerusalemme e del Tempio. Geremia il combattente Poiché il messaggio di Geremia era così critico nei confronti del popolo ebraico e del suo paese di Giuda, Geremia suscitò un certo risentimento e animosità nei suoi confronti, e ci fu persino un complotto per ucciderlo, in cui persino la sua famiglia sembrava avere un ruolo. "La sua impopolarità crebbe e gli attirò scherni, ostracismo e maledizioni (15:10-11, 17; 17:15; 20:7)." (p. 101 libro di Ger) Spesso, Geremia gridava giustizia contro queste persone che lo stavano ferendo e ostacolando la sua missione. Alla fine, era molto amareggiato e, dopo la distruzione diffusa di Giuda (confermata dagli archeologi), fu portato con la forza in Egitto per sfuggire all'ira dei "super-patrioti" ebrei che volevano vendicarsi perché Geremia si era espresso contro i leader ebrei. Senza dubbio, il profeta Geremia era un combattente. In una pubblica "mostra profetica" Geremia ruppe un vaso di terracotta alla porta di Gerusalemme, per simboleggiare come il popolo ebraico sarebbe stato spezzato da Dio, proprio come Geremia ruppe il vaso di terracotta. In un'altra "mostra profetica" pubblica Geremia rivelò le sue profezie condannando le pratiche ebraiche di adorazione degli idoli nel suo "Sermone del Tempio". Per aver profetizzato, Geremia fu umiliato pubblicamente dal sommo sacerdote, processato pubblicamente dopo il suo Sermone del Tempio e, poco prima della caduta di Gerusalemme ai Babilonesi, gettato in una fossa in una segreta e lasciato morire. È fondamentale comprendere la profezia di Geremia secondo cui il "messaggio" di Geremia cambiò (il che cambiò anche la "narrazione") da uno di ebrei che incorrevano nell'ira di Dio a causa della loro infedeltà nell'allontanarsi dalle Vie di Dio e nell'adorare gli idoli, a un messaggio di riconciliazione e speranza. Ecco Geremia 32:36-37: 36 Voi dite di questa città: "Con la spada, con la fame e con la peste essa sarà data in mano al re di Babilonia"; ma così dice il SIGNORE, il Dio d'Israele: 37 Io li radunerò certamente da tutti i paesi dove li ho dispersi nella mia ira ardente e nel mio grande furore; li ricondurrò in questo luogo e li farò vivere al sicuro. La profezia dell'esilio di settant'anni Va notato che il primo attacco e la prima deportazione babilonese avvennero nel 597 a.C. Nel tentativo di convincere il popolo di Giuda che Babilonia era ormai il loro nuovo padrone, iniziarono un processo di esilio forzato dei residenti chiave, già nel 605 a.C. Negli anni successivi si verificarono altre deportazioni, che culminarono con la distruzione totale di Gerusalemme e del Tempio nel 586 a.C. Geremia parlò due volte della durata dell'esilio degli ebrei deportati. Il primo riferimento è in Geremia 25:11 che sembra essere parte di un riassunto (Geremia 25:1-14) Geremia 25:13 recita: "E tutto questo paese sarà una desolazione e una desolazione, e queste nazioni serviranno il re di Babilonia per settant'anni". Come ho detto prima, gli scavi degli archeologi hanno dimostrato che durante quel particolare periodo storico, numerose città in Giuda furono di fatto distrutte e ci fu una distruzione diffusa. La prigionia ebraica terminò nel 539 a.C., quando Ciro, un capo dei persiani e dei medi, conquistò Babilonia e pose fine al suo impero. Ciro diede quindi agli ebrei prigionieri la libertà di tornare in patria. John A. Thompson, studioso australiano dell'Antico Testamento e archeologo biblico, ha osservato nel suo voluminoso libro su Geremia che diversi studiosi calcolano il numero di anni dell'esilio storico in modi diversi. Ad esempio, un metodo di calcolo prende il numero di anni tra la caduta della capitale assira nel 612 a.C. e la caduta di Babilonia nel 539 a.C., che arriva a settantatré. Questo è davvero vicino ai settant'anni profetizzati da Geremia, anche se, come sottolinea Thompson, non è "esatto". (p.514) Tuttavia, a prima vista, l'esilio stesso dovrebbe essere il metro di paragone, poiché Geremia si rivolge agli ebrei nella sua profezia e quindi qualsiasi analisi dovrebbe essere rivolta alla situazione degli ebrei e non degli assiri o dei babilonesi. Per gli ebrei, l'esilio è andato dalla prima sconfitta di Giuda con la cattura di Gerusalemme e la deportazione di un numero considerevole di importanti leader e artigiani ebrei nel 597 a.C. all'editto di liberazione degli ebrei emesso da Ciro nel 538, il che dà una somma di 59 anni. Per comprendere il messaggio e la narrazione della profezia di Geremia è fondamentale comprendere che all'inizio dell'esilio, i "falsi profeti" profetizzavano agli ebrei esiliati che la loro redenzione era dietro l'angolo e che molto presto sarebbero tornati a casa. Sono sicuro che, poiché Geremia avrebbe saputo che si sbagliavano di grosso, ciò lo avrebbe fatto infuriare, soprattutto perché avrebbe prodotto cattivi frutti, per così dire. Questa sembrerebbe essere una pessima psicologia: dire alla gente che qualcosa sarebbe successo presto e poi che ciò non accadesse poteva essere piuttosto distruttivo per il morale delle persone. Quindi, Geremia prese posizione e prese posizione e profetizzò che gli ebrei sarebbero tornati nella loro patria in settant'anni. Il messaggio di Geremia agli ebrei esiliati era, essenzialmente, di "sistemarsi in quella redenzione che sarebbe tardata ad arrivare, ma quella redenzione e riconciliazione avrebbero davvero avuto luogo". Postscript: Un bivio – Una prospettiva storica contemporanea Quando la morte nazionale (culturale – stile di vita) minaccia “Un mondo sempre più meccanicistico, frammentato e decontestualizzato,… è emerso, riflettendo, credo, l’azione incontrastata di un emisfero sinistro disfunzionale.” — Iain McGilchrist Prefazione: Come informazione, vorrei sottolineare che l'evento dell'11 settembre, secondo una serie di "resoconti di esperti", ha generato un gran numero di esperienze precognitive documentate. Ricerca per prospettiva: "I tragici eventi dell'11 settembre hanno portato una raffica di casi all'attenzione dei laboratori di parapsicologia. I casi spaziavano da sogni drammatici di aerei che si schiantavano o esplodevano ai più frequenti esempi di insolite deviazioni dalle normali routine che finivano per salvare la vita di qualcuno ". (Incontri alle frontiere del tempo: domande sollevate da esperienze umane anomale Richard S. Broughton) Storicamente, questo è inaudito, senza precedenti, non ci sono preveggenze storiche documentate, esperienze precognitive di terrorismo, zero. Ci sono circa otto avvertimenti documentati, preveggenze di assassinii, ma nessuno di terrorismo. L'implicazione è che qualcosa è cambiato nella coscienza umana. Ho condotto studi approfonditi sulla letteratura profetica e psichica. Ho studiato l'oracolo di Delfi, l'Antico Testamento e Nostradamus. Gran parte delle profezie e delle predizioni dell'Oracolo di Delfi e di Nostradamus sono ambigue, il che le rende soggette a diverse interpretazioni. Il numero di "predizioni" dirette è estremamente limitato e forse arriva a una dozzina. Ho esaminato più di 900 quartine di Nostradamus e, usando alcune "regole" di buon senso, ne ho trovate solo una manciata che in realtà prevedevano un'azione specifica accompagnata da uno o due dettagli specifici. Ora, mentre ci sono un certo numero di profezie in qualche modo sorprendenti nell'Antico Testamento, come le interpretazioni dei sogni di Giuseppe, gran parte delle profezie dell'Antico Testamento, in un certo senso, mancano di alcuni dettagli specifici. Tim Callahan sottolinea che la profezia di Ezechiele sulla caduta e la completa distruzione di Tiro da parte dei Babilonesi non si è verificata storicamente esattamente come descritto nella profezia di Ezechiele. In realtà i Babilonesi non conquistarono Tiro e la città non cadde fino all'arrivo di Alessandro Magno. La conclusione è che quando si fa un confronto tra tutte le previsioni-profezie degli ultimi duemila anni prima della prima guerra mondiale e ciò che è accaduto dopo la prima guerra mondiale, il confronto è giorno e notte. In primo luogo, mentre Jeane Dixon è in realtà una sensitiva non documentata, ha fatto "verificare" le due previsioni dal suo biografo, il che perché sono, a mio avviso, statisticamente significative perché sono insolite. Edgar Cayce ha dimostrato la prima "percezione non locale" documentata o visione a distanza come sottolinea Stephen Schwartz. IN tutte le cose, si deve separare il grano dalla pula. Ciò sarebbe particolarmente vero per Edgar Cayce. Quando Edgar Cayce faceva previsioni per fare previsioni, aveva un alto tasso di fallimento, come Jeane Dixon e Nostradamus. Quando Cayce dava letture per il personale delle forze armate statunitensi, se la cavava piuttosto bene sulle questioni di quando sarebbe finita la guerra (seconda guerra mondiale). Edgar Cayce ha anche documentato otto guarigioni (su circa 100 casi) di epilettici, cosa inaudita a quei tempi e senza l'uso di farmaci. Poi c'è Theresa Caputo, la medium di Long Island, una medium sensitiva contemporanea in TV che contatta gli spiriti dei cari defunti e, così facendo, aiuta i suoi soggetti a ottenere una chiusura e conforto. Molto spesso i soggetti delle sue dimostrazioni la ringraziano profusamente e profondamente per il senso di chiusura e sollievo che hanno ottenuto. Se si assegna la probabilità di accadimento di ciascuna delle verbalizzazioni di Theresa Caputo di informazioni trascendentali che ha "ricevuto" - che a quanto pare potrebbero provenire solo dalla persona cara defunta del soggetto - a 1 su 10, allora solo dieci informazioni dalla "persona cara defunta" darebbero luogo a probabilità complessive di accadimento di una su dieci miliardi. Le persone si lasciano intrappolare nelle astrazioni. Un'amica di mia sorella è andata a una delle dimostrazioni di Caputo e ha finito per pensare che fosse totalmente una bufala perché aveva commesso degli errori. Mi imbatto abbastanza spesso nello stereotipo disadattivo secondo cui i sensitivi devono essere "assolutamente perfetti". Le persone commettono errori: questo è ciò che fanno. Oltre a ciò, c'è la visione a distanza. Wikipedia afferma: "La visione a distanza (RV) è la pratica di cercare impressioni su un soggetto distante o invisibile, presumibilmente percependo con la mente.[1] In genere ci si aspetta che un visualizzatore remoto fornisca informazioni su un oggetto, un evento, una persona o un luogo che è nascosto alla vista fisica e separato a una certa distanza.[2]" Sono stati condotti esperimenti dai fisici Russell Targ, Harold Puthoff e Stephen Schwartz. Negli Stati Uniti ci sono centinaia di migliaia di seguaci della visione a distanza, molti dei quali affermano di aver avuto esperienze di visione a distanza. Poi ci sono varie esperienze documentate come un artista che ha disegnato tre immagini chiaroveggenti sul Dr. Phil. Mele a mele In questa analisi il prerequisito è di confrontare mele con mele (indipendentemente dalla questione se psi lo sia o meno) - niente di più. Quando si confrontano esperienze spirituali-psichiche documentate di successo ora e negli ultimi cento anni - rispetto ai precedenti duemila anni di esperienze spirituali-psichiche documentate non c'è paragone - è un quadro molto netto di un nero molto scuro a un bianco molto bianco. Per quanto riguarda le profezie, l'Antico Testamento è piuttosto affidabile. Inoltre, all'Oracolo di Delfi - e centro intellettuale c'erano numerosi storici, quindi anche la loro documentazione potrebbe essere considerata piuttosto affidabile. Il mondo è stato capovolto e rovesciato - C'è un consenso tra gli scienziati sul fatto che la specie umana si stia ancora evolvendo e adattando. Negli ultimi 300 anni ci sono state rivoluzioni scientifiche, tecnologiche, socioeconomiche, sociali e politiche radicali e drammatiche. L'ambiente è cambiato: lo psicologo sociale Gergen ha scritto un libro intitolato "Saturated Self" che espone tutti i cambiamenti. Nel 1900 l'automobile ha rivoluzionato la mobilità. La radio e la TV hanno aumentato la comunicazione e il contenuto della comunicazione. Poi ci sono i Blackberry, Facebook; YouTube, Twitter, Internet, e-mail, SMS, ecc. hanno aumentato nel passato molto recente il numero di persone con cui comunichiamo e il tipo di comunicazione (più anonima, per lo più senza interazione tra persone). Tutto ciò che riguarda la comunicazione con gli altri è cambiato drasticamente. Credo che sarebbe ragionevole supporre che un notevole aumento delle interazioni tra esseri umani modificherà drasticamente i modelli di comportamento delle persone, e probabilmente non in meglio. Uno scienziato afferma che il numero di persone che il cervello umano è in grado di gestire è di circa 40 o 50. Ci sono troppe scelte, troppi modelli di ruolo, la società è diventata in un certo senso, semplicemente troppo per la mente umana, motivo per cui Gergen intitola il suo libro "The Saturated Self". Se la società è troppo, ci si potrebbe aspettare un comportamento più irregolare. In questa luce vorrei sottolineare che sembrerebbe una verità ovvia che la "società" non potrebbe nemmeno esistere senza la "coscienza sociale!" Tuttavia, quando ho chiesto a una studentessa di psicologia se avesse mai sentito parlare di "coscienza sociale", ha risposto: "No!" La definizione di religione in cinque parti "universalmente accettata" (secondo Chernus) di Geertz non include né la comunità né lo "spirito" per quella materia. Tuttavia, qualsiasi valutazione oggettiva o ragionevole della religione evidenzierebbe la caratteristica delle religioni come gruppi o comunità come caratteristiche incredibilmente salienti. Sembrerebbe anche una conclusione inevitabile che gli "insegnamenti" delle religioni dormirebbero - essendo norme - una coscienza sociale. Nella psicologia sociale la "norma" da Allport nel 1927 è che "Non esiste psicologia dei gruppi!" Nuovo approccio: spiritualità pratica-creativa vs. "La spiritualità è irreale!" "Non chiediamo alla vita qual è il significato della vita. La vita ci chiede qual è il significato della tua vita. E la vita esige la nostra risposta." Viktor Frankl: 1. WR Miller, CE Thoresen “Una base filosofica per questa prospettiva è il materialismo, la convinzione che non ci sia nulla da studiare perché la spiritualità è intangibile e va oltre i sensi”. 2. Critica peer-reviewed del 2018, approvata da 4 psicologi, ovvero il dott. H Koenig, confuta la massima materialista, identificandola come la fallacia del definitista (termini carichi). Spiegazione: se prendi il concetto di "morte", che è "intangibile e al di là dei sensi", allora "la morte deve essere frutto della tua immaginazione". 3.+Fallacia di Allport (psicologia sociale, 1927) "Non esiste una psicologia dei gruppi" = astrazione sconnessa con "patriottismo" - una confutazione ovvia + concerti rock, proteste... “I concetti creano idoli; solo la meraviglia comprende qualsiasi cosa. Le persone si uccidono a vicenda per gli idoli. La meraviglia ci fa cadere in ginocchio!" San Gregorio di Nissa È evidente che la spiritualità è impigliata in astrazioni: poteri, soprannaturale-irreale, magia, sfera di cristallo, ecc. Dott. S. Farra "Buon articolo breve: la mancanza di fede nel "libero arbitrio" porta di routine a un senso di mancanza di senso, disperazione e comportamento personale non etico. I nostri paradigmi sono il nostro modo di affrontare la Realtà, ma non sono la Realtà. Come suggerisce C Peck, Jr., ci stiamo perdendo nelle nostre astrazioni!" Nozioni di base 1. McGilChrist, M Sherif, Kant affermano che il "contesto del mondo reale" è vitale: le persone sono l'unica fonte di contesto del mondo reale per le credenze spirituali e religiose . 2. K Gergen: "La conoscenza adeguata mappa o rispecchia le realtà del mondo reale!!" - "Per comprendere qualcosa, che ne siamo consapevoli o meno, dipende dalla scelta di un modello!" I McGilChrist Metodo scientifico aristotelico 1. Raccogliere i fatti 2. Categorizza i dati 3. Analizzare le informazioni 4. Trarre conclusioni Nuovo approccio creativo pragmatico "La spiritualità è una predisposizione umana naturale! È più primordiale della religione istituzionale e riguarda il senso di connessione di una persona con sé stessa, gli altri e il mondo!" K. Bishop, B Hyde - A Killin: "I più antichi strumenti musicali conosciuti [risalgono] a 40.000 anni fa…" 1. Sé sociale spirituale musicale: "La musica è una parte fondamentale della nostra evoluzione – e funzionale perché facilita il “contatto umano” e il nostro “sé sociale!” - J Schulkin, G Raglan; la “musicalità” è una proprietà delle comunità piuttosto che degli individui” I Cross 2. Spiritualità e compassione: Saslow "La spiritualità era associata in particolar modo all'avere un'identità spirituale, all'aver avuto esperienze trascendenti e alla tendenza a pregare... ...i partecipanti spirituali ... tendono a provare compassione... collegamento tra spiritualità e compassione superiore..." & Sprecher + Fehr: correlazione tra spiritualità e compassione & principio di V Frankl: "gli esseri umani hanno un nucleo spirituale con un innato bisogno di significato..." 3. Guarigione spirituale nel lutto: Easterling: "... gli individui sembrano reagire meglio se riescono a "realizzare" le loro esperienze spirituali in tempi di crisi e J Parker 4. Spiritualità relazionale - sé spirituale: “Hay and Nye: la spiritualità implica una profonda consapevolezza della propria relazione con se stessi e con tutto ciò che è diverso da se stessi”. UN. Kapwa-loob filippino e norme pro-sociali: “Kapwa è un riconoscimento di un’identità condivisa, un sé interiore, condiviso con gli altri – appartenenza-coscienza sociale: JD Espiritu, M Zosa, R Ileto, J Reyes, Mercado, Jose De Mesa ... B. Tessitura dei sogni: T'boli-Bla'an T'nalak I sogni come fonte di ispirazione divina - T'boli Be Lang Dulay, ha creato oltre 100 diversi modelli T'nalak. c. "Relazioni umane con il mondo naturale" come credenze spirituali dei cacciatori-raccoglitori artici negli spiriti animali (Erica Hill) – coscienza relazionale-sociale 5. Spiritualità dei bambini “le esperienze anomale possono catalizzare l'autoguarigione per bambini e giovani.” Donna Thomas +D. Scott 6. Spiritualità artistica: il 20 percento degli americani si rivolge a "media, arti e cultura" come mezzo principale di esperienza e di espressione spirituale..." 7. Poesia e profezia: "Il profeta è un poeta. Ciò che i poeti conoscono come ispirazione poetica; i profeti lo chiamano rivelazione divina" - Heschel 8. Dott.ssa Ingela Visuri: Spiritualità e "Il caso dell'autismo ad alto funzionamento" - "esperienze sensoriali inspiegabili" Il dott. S Neal (JHU) ha affermato che la sua [psichiatria] non aveva alcuna formazione sulle persone che hanno esperienze spirituali. Dal capitolo "Esperienze mistiche, spirituali e religiose" di Park & Paloutzian - sinossi come breve elenco di "esperienze anomale, allucinazioni, esperienze di pre-morte, vite passate, mistiche e paranormali" dell'APA (senza nulla sulle "persone" che hanno esperienze. JE Kennedy: "Pochissime ricerche sono state mirate a indagare gli effetti complessivi" sulle persone Dott. Visuri: "C'è una differenza tra analizzare le esperienze e ricercare le persone". Prospettiva personale: Sinossi – biografia di 40 anni di esperienze spirituali-psichiche personali Prefazione: Come il filosofo spagnolo Ortega Gasset, io sono "io" e le mie circostanze. I profeti probabilmente non sarebbero diversi! I profeti si occuparono dell'uomo non come di un atomo, ma come di una parte di un organismo sociale, un membro vivente di un corpo vivente. Guarire questo corpo quando era malato (Isaia I:6), metterlo in guardia contro la dissoluzione imminente e riportarlo sui sentieri che conducono alla perfezione in Dio, era la loro grande e unica missione (Geremia 6:6). Quindi, erano sempre più numerosi quando la morte nazionale minacciava. (I PROFETI DELL'ANTICO TESTAMENTO COME RIFORMATORI SOCIALI. Di REV. GEO. STIBITZ,) “Un mondo sempre più meccanicistico, frammentato e decontestualizzato,… è emerso, riflettendo, credo, l’azione incontrastata di un emisfero sinistro disfunzionale.” — Iain McGilchrist Quando la morte nazionale minaccia: comportamenti antisociali negli USA 1. Negli ultimi 3 anni si sono verificate più di 73 sparatorie nelle scuole negli Stati Uniti. 2. CDC: i tassi di suicidio sono aumentati di circa il 36% tra il 2000 e il 2021. 3. Oltre 610 sparatorie di massa all'anno negli ultimi quattro anni. 4. Secondo il Washington Post, nel 2021 i crimini d'odio hanno raggiunto il massimo storico, con 826 filippini che si sono dichiarati vittime di crimini d'odio. 5. La politica di Trump di separare deliberatamente i bambini dalle loro madri per punirli per l'immigrazione In un recente articolo sulla candidatura di Trump alla rielezione, Trump ha dichiarato che cercherà di ripristinare la politica di separazione dei bambini dalle loro madri. "Più di 5.500 bambini, compresi i neonati, sono stati allontanati e centinaia non sono ancora stati riuniti ad agosto 2022". (Estratto da Wikipedia) 6. Le aggressioni agli insegnanti sono aumentate drasticamente, non solo negli Stati Uniti ma in tutto il mondo. 7. Le aggressioni agli operatori sanitari sono aumentate in modo esponenziale, un altro problema di portata mondiale. 8. epidemia (aumento del 25%) di narcisismo nei paesi occidentali (Twenge, ecc. ). 9. La "Antisocial No Mask Madness" guidata dai cristiani merita una menzione speciale. Gli americani sono il 4% della popolazione mondiale. Tuttavia, gli americani rappresentano il 20,6% dei morti nel mondo. Le analisi del numero di morti eccessive non necessarie rispetto ad altri paesi variano da 50.000 a 100.000 10. La sentenza della Corte Suprema sull'aborto si basa su una fallacia palesemente ovvia, una falsa premessa , che letteralmente sostiene che l'aborto non è legale perché la parola "aborto" non è nella Costituzione. Estratto dalla sentenza Sinossi-biografia: oltre 40 anni di esperienze spirituali-psichiche personali "Sosteniamo che Roe e Casey debbano essere annullate. La Costituzione non fa alcun riferimento all'aborto e nessun diritto del genere è implicitamente protetto da alcuna disposizione costituzionale, inclusa quella su cui i difensori di Roe e Casey ora si affidano principalmente, la clausola del giusto processo del quattordicesimo emendamento". Beh, sì ... metà della parola moderna non è nella Costituzione: energia nucleare, aerei, automobili. È una palese fallacia, una falsa premessa. Inoltre, l'argomentazione della Corte Suprema secondo cui il corpo di una donna non ha alcuna rilevanza costituzionale è una stronzata. È stato un lavoro di accetta politica. Il bastione di "Verità e Giustizia" che usa una fallacia superficiale e ovvia è un atto antisociale perché molti americani stanno perdendo fiducia nella "giustizia" o nel trattamento equo. Commento: Un'analisi ha affermato che gli USA hanno cinquantasette volte più sparatorie nelle scuole di tutta l'Europa messa insieme. Il tasso di suicidio negli USA è aumentato del 36% dal 2000 e, con 14,2 per mille, è più del doppio del tasso di suicidio nelle Filippine. Inoltre, mentre le aggressioni agli insegnanti sono un problema mondiale, le aggressioni agli insegnanti sono un'epidemia negli USA. Nelle Filippine, le aggressioni fisiche agli insegnanti sono rare. Sebbene vi siano senza dubbio diverse cause sottostanti distinte, quando un "presidente" e leader cristiani estremisti di alto rango "modellano" razzismo, odio e comportamenti antisociali, non dovrebbe sorprendere nessuno che gli USA abbiano più problemi con i comportamenti antisociali rispetto ad altre società. Detto questo, non si può considerare il problema delle sparatorie nelle scuole separatamente dagli altri comportamenti antisociali come le aggressioni agli insegnanti o le aggressioni agli operatori sanitari, che sono un problema diffuso nel mondo. Il fattore ideologia: omicidi con coltello nelle scuole materne ed elementari in Cina Credenze ragionevoli: categorizzare le esperienze insolite come insolite. Ciò che molte persone non capiscono è che gli studi dimostrano costantemente che da 1/3 a 1/2 delle persone hanno esperienze - e come osservano Park e Paloutzian, c'è una "normalità" nelle esperienze spirituali-psichiche. Inoltre le persone - a volte - perdono il buonsenso e spesso si perdono nelle astrazioni. Il buonsenso vorrebbe che il cervello elaborasse esperienze insolite come "insolite" - piuttosto sorprendente... eh? Quando le persone si lasciano andare alle astrazioni, spesso perdono di vista la comprensione del buonsenso e buon senso. Studi ed esperimenti che hanno stabilito che il processo di "categorizzazione" è un processo molto importante nella mente umana e che il processo di categorizzazione è sia ben noto che ben dimostrato in psicologia. William James continua dicendo che le esperienze religiose e le esperienze spirituali creano e generano un "senso di realtà" (p.48) Jung ha detto più o meno la stessa cosa in realtà: che le esperienze di un individuo modellano la realtà di una persona. Il consenso di sintesi di Viktor Frankl, Carl Jung e William James è semplicemente che "spirito, processi spirituali e credenze religiose creano significato, un senso di realtà e, in ultima analisi, Realtà e Verità". Nell'antologia, Meaning in Positive and Existential Psychology (2014), Paul Wong osserva: "Frankl considera la ricerca di significato come derivante dalla propria natura spirituale. William James sottolinea nella sua opera classica, originariamente pubblicata nel 1902, The Varieties of Religious Experiences: "Esse [le esperienze spirituali] determinano il nostro atteggiamento vitale [senso di realtà] in modo altrettanto decisivo quanto l'atteggiamento vitale degli amanti è determinato dal senso abituale,..." Jung osservò, nelle Opere raccolte (CW8: 648 -1968 revisionate) che "Vita e spirito sono due poteri o necessità tra cui l'uomo è posto. Lo spirito dà significato alla sua vita e la possibilità del suo massimo sviluppo. Prospettiva: quasi tutte le mie esperienze rientrerebbero facilmente in una categoria parallela ai richiami di allarme degli animali. Jean MacPhail, studiosa, autrice di A Spiral Life ed ex ricercatrice in neuropatologia presso l'Università di Harvard, osserva: "Le mie esperienze sono davvero uniche!" - in parte perché si riferiscono ad eventi esterni a me, oltre a essere coerenti con interpretazioni ragionevoli (tutte come percezioni di minacce ai gruppi) - oltre a essere relativamente ben documentate. Ciò si incastra con i risultati di Daryl Bem dei suoi esperimenti di precognizione che hanno dimostrato una correlazione con motivazioni "istintive" (ad esempio il sesso) Le recenti prove di numerose percezioni documentate di minacce riguardanti l'11 settembre mostrano che le "percezioni di minacce" sono un fattore molto saliente, così come la "visibilità" - politica e socio-religiosa - è un fattore molto importante nella "precognizione". In tutte le mie esperienze, solo una manciata di percezioni poteva essere identificata distintamente come "precognitiva". Infatti, quando di recente mi sono seduto e ho rivisto le mie esperienze - una grande percentuale potrebbe essere definita come percezioni relative a persone "alienate" - una chiara indicazione che la telepatia era parte integrante. Quindi, metterei in dubbio la legittimità dell'idea di "precognizione pura" - per così dire (specialmente alla luce della coscienza collettiva). 1. Sogni: ho quattro sogni documentati e due sogni non documentati, tutti con interpretazioni coerenti e ragionevoli che elenco qui: (1) un sogno sul Pakistan e la guerra nucleare. (2) Una percezione ibrida del sogno: "Tag" precognitivo (un tag sarebbe un'azione centrale più uno o due dettagli) del terrorista "incel" in Canada a fine aprile 2018. (3) Sogno sulla Libia (26-2-2019), (4) Sincronicità con l'attacco di Strasburgo, Francia - sogno (19-9-20) + non documentato (5) Sogno di Dudayev (6) Fredericksburg 2. Esperienze coscienti: evidenzia le percezioni da svegli (1) la mia recente e-mail del 30-10-20 all'agente dell'FBI McElwee ha avvertito di una minaccia di "terrorismo interno" riferendosi a una "bomba" come arma, che è correlata - ovviamente - all'attentato di Nashville del giorno di Natale 2020 (2) Un avvertimento molto breve (telefonato) all'FBI prima del tentativo di assassinio del presidente Reagan (3) Ho chiamato la CIA prima dell'11 settembre (4) L'avviso del 1981 What a nightmare è una categoria a sé stante: l'avviso molto dettagliato, specifico e autenticato all'FBI il 18 ottobre 1981 di un imminente attacco da parte del gruppo terroristico allora attivo dei Weathermen. I dettagli [accurati] sono: gruppo - con denaro, fabbricazione di bombe, denaro, donne, 22 sono riuniti, New York, morte, nonché ID del manifesto dei Weathermen terroristici nel titolo "incubo". Come punto di informazione "fabbricazione" era molto preciso: i terroristi avevano piani e materiali per la fabbricazione di bombe nel loro appartamento ma nessuna bomba vera e propria. Anche l'articolo "22 sono stati riuniti" è incredibilmente accurato, poiché c'è stata una sparatoria tra i Weathermen e la polizia di Nyack che, abbastanza bizzarramente, il New York Times ha riferito di avere 22 membri nella loro forza di polizia. Ciò che rende il mio "Che incubo" notevole è che l'ultima riga includeva il "Granello di senape" [Parabola] che, a mio avviso, sembra essere in realtà una "intuizione divina!" La parabola del granello di senape si incastra perfettamente con la Sintesi-Consenso di Viktor Frankl, Carl Jung, William James ed Emile Durkheim che afferma inequivocabilmente che lo "spirito" [processi spirituali] crea significato - e relativamente alla parabola sono "metaforicamente" semi di senape che creano crescita e producono una meravigliosa pianta di semi di senape - parallelo a "lo spirito è verità" (Giovanni 5:6) Riflessioni: A. L'esperienza può essere un'ottima maestra Ecco alcuni principi importanti che ho imparato dai primi spiritual-psichici relativamente ben documentati con interpretazioni costantemente ragionevoli delle mie esperienze nel 1981. A mio avviso le mie esperienze personali servivano principalmente come una funzione per innescare una ricerca e un interrogativo per essere onesti. 1. Come spiega JE Kennedy, gli studi dimostrano che circa il 45% delle persone ha una reazione iniziale di paura. Così è stato per me. Come molti, ho trovato la mia esperienza spaventosa, principalmente perché era un'incognita e la mia "mente non aveva modo" di organizzare l'esperienza. Dubbi e paure alimentavano un ciclo di dubbi e ansie. Una notte, ad Ann Arbor se non ricordo male, ho fatto due passi oltre il limite, ma me ne sono reso conto. Una mia epifania, condivisa da un gran numero di leader cristiani, è che la Verità Assoluta [Dio] è al di là della comprensione, che l'esperienza è acausale e al di là della comprensione. Questo è un fattore importante nella valutazione della profezia. Ridurre il divino all'esistenza come una previsione non è solo irrealistico, ma degradante per Dio e per il divino. 2. All'inizio del 1981, mi sono confrontato con la questione dello scopo della profezia. Mi era stato detto che avrei dovuto scrivere delle previsioni. Fu un grosso problema nel 1981, ed è una questione sollevata nella prima riga del mio avvertimento autenticato all'FBI il 18 ottobre 1981. La domanda che mi sono posto è: fare previsioni per fare previsioni ha senso biologicamente, psicologicamente o persino spiritualmente? La conclusione a cui sono giunto è che lo scopo e la motivazione sono fondamentali. Vale a dire, "lo scopo" è fondamentale per la profezia, e la spiritualità, specialmente alla luce di "Lo Spirito è Verità" (Giovanni 5:6). L'importanza della motivazione è molto coerente con le convinzioni spirituali delle persone con cui mi sono confrontato. Quando le "persone spirituali" vengono messe in discussione, in molti casi le convinzioni spirituali non sono solo una motivazione, ma una fonte di ispirazione molto profonda. Storicamente, dopo decine di migliaia di anni di convinzioni spirituali e religiose, anche se incredibilmente non accade nel mondo accademico, la spiritualità e la religiosità sarebbero chiaramente una spinta e una motivazione potenti. 3. Ho pensato intensamente alla spiritualità e alle esperienze spirituali trascendentali. Come ha sottolineato San Gregorio di Nissa, solo i "puri di cuore" 'vedono' Dio. A mio avviso è chiaro che c'è spirito dentro e spirito trascendentale. E senza spirito dentro non può esserci alcuna vera connessione con lo spirito trascendentale. Un'analogia appropriata sarebbe quella di considerare l'esperienza spirituale come il fiore e il significato, lo scopo e la creatività che vengono prodotti come il frutto. 4. Abraham Heschel (1907 – 1972), un filosofo e teologo ebreo “di spicco”: Nel libro di Heschel The Prophets, Heschel cita NK Chadwick: Ovunque il dono della profezia è inseparabile dall'ispirazione divina. Ovunque questa ispirazione porta con sé la conoscenza, sia del passato, sotto forma di storia e genealogia; del presente nascosto sotto forma di informazioni scientifiche; e del futuro sotto forma di espressione profetica in senso più stretto…..Invariabilmente scopriamo che……….il suo [del poeta] umore è esaltato e lontano dalla sua normale esistenza…..” (P. 482 – 483)